Ce recueil de citations (devenu parfois des dictons) présente des petites phrases mais grandes par leur popularité. L'auteur donne le contexte de ces phrases si souvent entendu mais dont on ne connait pas tout à fait l'origine ou le contexte historique voire qui n'existent pas ! (du moins qui n'a jamais été prononcé véritablement par l'intéressé).
Les explications sont courtes mais vont à l'essentiel. J'avouerai que je ne me suis pas arrêté à chaque citation mais l'approche de l'auteur qui consacre seulement une petite page par phrase permet de s'intéresser à des citations moins inspirantes ou en tout cas moins connues.
"Les dés sont jetés", "Honni soit qui mal y pense", "On subit sa famille, on choisit ses amis", "Ich bin ein a Berliner", "Au revoir" ... à vous de devinez à qui appartiennent ces phrases...
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Du pain... Depuis le IIe siècle avant J-C., l'Etat distribue de la farine aux nécessiteux, gratuitement ou à prix réduit. Les boulangers sont devenus des fonctionnaire assurant la paix civile, au prix de l'oisiveté d'une grande partie des citoyens...
Et des jeux. Inauguré en 80 sous l'empereur Titus, le Colisée accueille 87 000 spectateurs. Quant au Circus Maximus, il peut en contenir 250 000, c'est à dire le quart de la population romaine.
Intervention au Conseil de sécurité des Nations unies du 14 février 2003 de Dominique de Villepin.
"N'oublions pas qu'après avoir gagner la guerre, il faut construire la paix (...). Une telle intervention, prophétise le ministre, ne risquerait-elle pas d’aggraver les fractures entre les sociétés, entre les cultures, entre les peuples, fractures dont se nourrit le terrorisme ?" Il conclut avec des accents gaulliens : "Et c'est un vieux pays , la France, d'un vieux continent comme le mien, l'Europe, qui vous le dit aujourd'hui, qui a connu les guerres, l'occupation, la barbarie. Un pays qui n'oublie pas et qui sait tout ce qu'il doit aux combattants de la liberté venus d'Amérique et d'ailleurs."
[...]
Aujourd'hui, une large majorité d'Américains reconnaît que la vieille Europe n'était peut-être pas si mal avisée.