Le 18

Voilà un bon livre sur le numéro fétiche de la population française, à savoir...le 18.
Le 18 rouge comme nos pompiers préférés, nos sapeurs dévoués.
Un roman de héros casqués, d'engins, de sang, de tripes, de cendres, de cris, de vie de caserne tranquille où personne ne viendrait grippé cet ordre bien établi.
Personne ? Sauf le nouveau capitaine...qui bouscule, remet des choses à leur place, rectifie de mauvaises habitudes. Et alors ? Alors le nouveau capitaine s'appelle Métrono. Nathalie Métrono.
D'emblée, ça dérape ferme dans le sexisme. Les choses empirent puis la tolérance s'installe… mais le feu couve toujours.

Lu il y a déjà plusieurs années mais je me souviens avoir passé un très bon moment de lecture et le hasard de la vie a fait que je lisais le même livre que mon voisin dans le train !
Ce voisin lui-même sapeur-pompier de Paris, qui le dévorait.

Certains passages m'ont beaucoup marquée, émue et j'ai aimé le parti pris de l'auteur concernant la place des femmes pompiers.

Je recommande.

Petit roman sympathique sur les pompiers et la misogynie. L'auteur est réaliste. L'acceptation des femmes dans les fonctions de commandement est loin d'être acquise mais si ce petit livre peut y contribuer. Je prends. En tout cas c'est un livre très plaisant à lire, efficace. J'ai envie de lire ces autres romans.

j'ai aimé ce livre parce que il reprend la vie d'une caserne de sapeur pompier il est particulièrement réaliste, les interventions sont bien décrites. Il décrit aussi l'ambiance entre les homme et les femme

Bien que très sensibilisée et concernée par ce domaine, j'ai été plus déçue qu'autre chose par cette lecture, qui ne valorise en rien le métier, bien au contraire..... C'est rempli de clichés et de grossièretés !
Une lecture sans aucun intérêt à mon goût.