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Les Contes interdits tome 7 sur 35
EAN : 9782897864071
240 pages
Ada éditions (11/06/2018)
3.37/5   267 notes
Résumé :
Dans le conte original, Pinocchio était loin de l’adorable marionnette que Geppetto voulait créer. La fin de ses aventures, jugée trop violente, a dû être réécrite. Ce Conte Interdit rejette la censure et ose aller beaucoup plus loin Vous pourriez regretter votre escapade aux pays des jouets. Une maison insalubre accumulant les jouets d’un vieux sculpteur alcoolique. Un manipulateur vicieux trouvant l’extase dans le mensonge et la torture. D’infâmes parents accusés ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (68) Voir plus Ajouter une critique
3,37

sur 267 notes
Patrick Nocchio émerge d'un coma de quelques jours... Il est à l'hôpital, sans vraiment comprendre ce qui lui est arrivé. le médecin lui parle d'une tentative de suicide râtée... Aucun souvenir. À cause de parents sans aucune compétences, une travailleuse sociale de la DPJ lui dit qu'il devra aller vivre chez son grand-père, Jo, à Québec. le choc ! Arrivé sur les lieux, il n'a qu'une envie, se pousser et vivre son indépendance. Surtout que son grand-père, souffrant du syndrome de Diogène, vit sans une maison où règne le bazar, insalubre... et remplie de marionnettes, pantins de bois, poupée, etc... Pour se cumuler assez d'argent pour partie, Patrick appâtera des filles sur Internet, en espérant que celles-ci, naïves, lui enverront plein d'argent. Très malsain... En fait, c'est le mot qui me vient en pensant à ce livre. Relations aux femmes tordues, rapport à la sexualité malsaine, torture sur les animaux pour prendre son pied... C'était trop pour moi, et pourtant, j'aime bien les livres glauques et je crois avoir une bonne tolérance au noir... C'est le conte interdit que j'ai le moins aimé jusqu'à maintenant.
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Il s'agit d'une version très sombre, dérangeante et originale du célèbre conte pour enfant. Ce fut horrifique mais tout de même moins gore que les cinq autres contes interdits que j'ai déjà pu lire. Un bon début, une bonne fin mais un milieu un peu mou. Les personnages sont bien développés et le protagoniste bien malsain dans ses déviances et toute sa folie. Au final, un bon moment, sans plus.
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Patrick n'était encore qu'un enfant quand ses parents ont fait de lui un monstre, en le faisant participer à des jeux pervers et en les lui faisant subir également quand l'envie leur prenait. A tel point qu'avant même ses dix-huit ans, Patrick s'est pendu à l'arbre derrière sa maison, peut-être en espérant échapper à tout ça. Ses parents furent arrêtés, et Patrick décroché juste à temps pour être emmené à l'hôpital en urgence absolue.


Amnésique, Patrick ne se souvient de rien de son passé, hormis quelques bribes qui remontent parfois à la surface à travers ses mauvais rêves et quelques allusions qu'il surprend entre les adultes parlant de son cas. Une travailleuse sociale décide de le placer chez son grand-père maternel, le temps que les choses s'arrangent. le vieil homme, du nom de Joseph, est tout sauf ravi d'accueillir un petit-fils dont il n'avait aucune idée de l'existence, et surtout pas après toutes les horreurs qui sont sorties dans la presse au cours de l'enquête. En plus, Joseph a ses habitudes bien arrêtées, une vie solitaire organisée entre l'alcool et la menuiserie artisanale, et une collection maladive de jouets qu'il répare ou fabrique et entrepose n'importe où dans sa maison-dépotoir.


Amené à vivre avec Joseph au moins jusqu'à sa majorité, Patrick va devoir se débrouiller pour trouver à manger et survivre dans ce capharnaüm, survivre à l'école aussi où les brutes locales ont tôt fait de lui mettre la main dessus, survivre surtout avec les souvenirs absents qui ne demandent qu'à remonter à la surface à travers des sensations étranges, une envie de cruauté pure envers certains animaux également, et une répugnance manifeste pour le sexe féminin.


Patrick, tout amnésique qu'il soit, n'est pas un ange pour autant. Il passe le plus clair de son temps sur son ordinateur portable, à s'inventer une vie et de faux profils Facebook, pour arnaquer des jeunes femmes en se faisant passer pour une pauvre victime et en leur extorquant affection et surtout argent pour assurer son train de vie. L'objectif de Patrick est clair, il veut réunir suffisamment d'argent pour se tirer de chez Joseph, qui n'a pour lui que mépris, et mener la grande vie par ses propres moyens, souvent à la limite de la légalité.


Quand les arnaques en ligne ne suffisent plus, Patrick n'hésite pas un seul instant à sauter sur les occasions les plus baroques qui se présentent à lui : dealer des amphétamines à la sortie des écoles, combattre dans une arène frauduleuse pour le plaisir d'hommes aussi pervers que ses propres parents, et voler et surtout surtout, mentir, encore et toujours. Plus le mensonge est gros, plus le plaisir que Patrick en retire l'est tout autant. Bientôt, se faire passer pour une victime de la vie ne suffit plus non plus, il en rajoute des caisses sur les mauvais traitements qu'il subit au quotidien dans son établissement scolaire, qu'il ne fréquente d'ailleurs pratiquement plus. Et les gens en ligne sont assez naïfs ou assez horrifiés par ses récits pour le croire et lui prodiguer encouragements et soutiens financiers.


Jusqu'au jour où tout ça ira beaucoup trop loin, même pour le mythomane patenté qu'est devenu Patrick. Les choses se bousculent soudain et les malheurs s'enchaînent à un rythme effréné, les combines se débinent, la vérité éclate un peu partout et le sol se dérobe sous ses pieds. Entre les retours de bâton de ses mensonges et les hallucinations cauchemardesques qui font revenir les souvenirs de son enfance dans son esprit torturé, Patrick est au bord de l'implosion, qui se produira fatalement et dans laquelle il entraînera la plupart des gens de son maigre entourage. Même la présence d'une inespérée Fée Bleue dans sa vie, seul vecteur de sincère gentillesse à son égard et seul véritable espoir de liberté, ne sera au final qu'un ultime coup de massue que son existence minable lui assènera pour mieux le renvoyer dans les cordes et achever de le briser.


Plus que tout, Patrick veut être libre, ne plus jamais être le pantin de personne, ne plus jamais rien devoir à qui que ce soit, et s'émanciper des souvenirs, des cauchemars, de la hantise et du goût du sang. Même le sexe ne lui fait vivre que troubles et tiraillements de plus en plus graves et intenses. Au fond du trou, Patrick est sur le point de se faire avaler tout entier par la colère et l'envie de se venger, de tout détruire autour de lui, pour que son monde ressemble à ce qu'il est à l'intérieur, un être brisé de toutes parts et qui n'a déjà plus aucun espoir de revoir un jour la lumière salvatrice.


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Pour être honnête avec vous, chères lectrices et chers lecteurs, en lisant cette version de Pinocchio par Maude Royer dans la collection des Contes Interdits je ne m'attendais pas vraiment à tant de violence morale et physique, même si quelques signes auraient du me mettre la puce à l'oreille.


Je ne peux m'empêcher de regretter un peu cette lecture, car ce n'est clairement pas ce que je m'attendais à y trouver et certainement pas ce qui m'a fait le plus de bien dernièrement dans mes pérégrinations littéraires. Ces réécritures modernes des contes en version très sombre ont toujours eu un côté très voyeur et montreur, et la perversité est une donnée clairement assumée à chaque fois bien qu'à des degrés divers et variés selon les auteurs et autrices de la collection.


Peut-être que j'avais l'espoir assez naïf moi aussi qu'avec une autrice de romans pour enfants comme Maude Royer, ce conte malfaisant ne serait pas si noir, pas si infernal, pas si désespéré et désespérant. Je m'étais trompé, et de beaucoup.


Je n'ai jamais à ma connaissance ressenti le moindre intérêt et surtout la moindre once de compassion pour le personnage principal, du début à la fin. Chaque chapitre, chaque page, est l'occasion de le voir s'enfoncer davantage dans ses méfaits et dans ses mensonges, et de faire souffrir toutes les personnes qu'il approche ou qu'il rencontre. Patrick Nocchio est conçu, selon moi, pour être parfaitement antipathique à quiconque le lira, un portrait saisissant de réalisme de ce que peuvent être les pires trolls et harceleurs que l'on trouve à foison sur les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter/X, Instagram, YouTube, etc. etc. Ces êtres toxiques n'ont pas la moindre parcelle de gentillesse en eux, pas le moindre état d'âme, et doivent être condamnés dès le départ avec la plus grande fermeté pour tout le mal qu'ils font et continueront de faire tant qu'ils ne seront pas arrêtés.


Pour le coup, Maude Royer réussit à nous raconter une vérité qui dérange beaucoup à travers une montagne de mensonges tous plus gros les uns que les autres, une vérité sur la société virtuelle dans laquelle nous vivons toutes et tous, à laquelle nous contribuons et participons à divers degrés, et dans laquelle certaines et certains se noient totalement quand d'autres s'y complaisent éhontément. Franchement, cette lecture n'était pas pour moi, et elle restera je le pense un moment assez désagréable et décevant. Et heureusement, j'ai envie de dire, parce que dans le cas contraire je m'interrogerais fiévreusement sur mes propres inclinaisons à la cruauté perverse et gratuite, du moins si j'avais encore une conscience.
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Série des contes interdits découverte grâce à une amie, et je l'en remercie !
Car sans elle, je n'aurai jamais découvert ces contes de notre enfance revisités en version gore.

Ces livres ne laisseront personne indifférent : soit on trouvera l'idée excellente et originale pour casser les codes du conte classique, soit on trouvera cela vulgaire et immoral voir même inacceptable.

Les couvertures de ces contes sont de qualité.

Pour cette réécriture de Pinocchio, nous suivons les traces de Patrick Nocchio, un jeune homme qui se réveille amnésique à l'hôpital. Il a été retrouvé vivant après une tentative de suicide par pendaison.
Il ne se souvient de rien, pas même des raisons l'ayant poussé à commettre cet acte.
Il est alors confié à son grand-père maternel qu'il ne connaît pas. Ce grand-père alcoolique souffre du syndrome de Diogène, qui se manifeste par le manque d'hygiène corporelle et domestique, et par l'accumulation d'objets : il collectionne les poupées et marionnettes diverses, et en créé de ses propres mains : on retrouve ici la référence évidente à Gepetto dans le conte d'origine.
Pinocchio va alors faire différentes rencontres bonnes et nocives. Son seul souhait est de partir de chez son grand-père et de prendre son indépendance. Pour cela, tout est bon, et Patrick est alors capable du pire.



Je n'ai pas trop accroché à cette histoire et l'ai trouvée décevante, exceptée la révélation finale. Cependant, j'ai trouvé certains passages extrêmement bien écrits, et les différentes idées références à l'histoire d'origine sont très bien trouvées, comme le syndrome du grand-père et la fée bleue.

Ce conte revisité traite du syndrome de Diogène, de la manipulation, du plaisir sexuel avec le massacre d'animaux, des enfants confrontés aux violences.

Dans ce livre, l'auteur fait des références à :
- Gepetto
- Covielle et Arlequin - Commedia dell'arte
- Polichinelle
- Poupée Reggedy Ann
- le chat Figaro
- Renard
- Jimmy Cricket
- Stromboli
- la Fée bleue
- La petite fille aux allumettes
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Malgré une version originale et très glauque, dégoutante, écoeurante et abominable du conte original, ce tome n'est pas du tout mon favoris. Néanmoins, je peux aisément reconnaître les qualités de l'auteure dans cette version de Pinocchio car j'ai malgré moi tourné les pages à un rythme assez soutenu car j'avais envie de savoir jusqu'où Maude Royer pouvait aller... et franchement, je ne sais pas si on peut dire que je n'ai pas été déçue !

Attention : ce tome contient des scènes de violence animale ! coeur fragile, abstenez-vous ! j'en ai eu des nausées ! (Mais avant de crier au scandale, ce conte rentre dans le cadre des Contes Interdits qui, je le rappelle, sont interdits au -18 !)

Patrick est un gamin hospitalisé suite à un "accident" dont on ne sait rien, de prime abord, car lui-même ne se souvient pas de ce qui lui est arrivé. Étant donné l'impossibilité de le confier à ses parents, une assistante sociale va le déposer chez son grand-père maternel, Joseph, un illuminé qui passe son temps à créer des jouets en bois au point d'en oublier, littéralement, tout le reste. Sa maison est remplie de jouets, de pantins, principalement. On est face à un homme qui souffre du syndrome de syllogomanie. L'endroit est insalubre, la nourriture est périmée de plusieurs jours / mois / années. Bref, on n'a aucune envie de rester et Patrick non plus ! Il est prêt à tout pour partir le plus loin possible !

Et là, on plonge dans l'esprit tordu et malsain de Patrick... Honnêtement, je ne m'attendais pas au 3/4 de toute cette histoire. de tous les tomes de cette saga que j'ai lu jusqu'à présent, Maude Royer détient la palme du conte le plus dérangeant ! Elle ne lésine pas sur les détails, si bien qu'en tant que lecteur, il devient difficile de ne pas imager les scènes et sentir le sang quitter nos veines... Hormis cela, je n'ai pas su m'attacher au personnage principal, ni même à aucun d'entre eux ; sauf peut-être le personnage de Jim, un SDF au chapeau haut de forme qui n'est pas avare en citation en tout genre, cruelle de vérité... Patrick est notre personnage principal de l'histoire, mais il n'est clairement pas notre héros non plus ! Bien au contraire. Et je pense qu'il est voulu qu'on ne puisse s'attacher à lui.

Les expressions canadiennes sont beaucoup trop nombreuses, alourdissant ainsi la fluidité de la lecture lorsqu'on n'est pas habitués à ces derniers. Ce qui est dommage c'est qu'il n'y ait pas de lexique prévu pour donner du sens à certaines d'entre elles. Peut-être qu'à cette époque-là (2018), il n'était possiblement pas prévu que Les contes interdits arrivent jusqu'en France, mais pour avoir lu le Livre de la Jungle de cette même auteure, écrit en 2020, il est clair qu'elle ne se place pas forcément au niveau de l'ensemble de son lectorat. C'est dommage. Et peut-être que c'est pour cette raison que pour le moment, les 2 livres lus de Maude Royer ne font pas partis de mes favoris.

On retrouve beaucoup de référence à l'oeuvre originale. C'est sûrement celui où les références sont les plus évidentes contrairement à d'autres. Tout d'abord, Patrick Nocchio (P.Nocchio), Joseph (Gepetto en italien), Jimmy (Jiminy Cricket), Cléo, Figaro, la fée bleue, Stromboli, le renard et le chat, la baleine (aka Madame Frechette). Ces références s'accompagnent assez souvent d'une similitude avec les personnages de l'oeuvre originale. Je me demande même si on ne croise pas un personnage qui pourrait avoir un lien avec La petite marchande d'allumette, mais ce conte-là n'existe pas (encore ?). Donc possible aussi que je m'enflamme !
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Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
Dans la classe de français, la tête de monsieur Grégoire lui confirma son intuition. Le professeur, assis sur son bureau, les deux pieds posés sur une chaise d’étudiant, était un homme jeune et séduisant, ex-joueur de football. Il tentait de s’enlaidir en s’imposant le port de cols roulés et de lunettes aux verres en cul-de-bouteille. Efforts inutiles qui n’empêchaient nullement ses jeunes élèves féminines de ce pâmer devant lui.
Dès que le dernier élève de sa liste répondit présent, monsieur Grégoire prit une profonde inspiration, chargé qu’il était d’éclairer quelques lanternes.
- la plupart d’entre vous sont déjà au courant, commença-t-il. Pour les autres, j’ai l’immense regret de vous apprendre que deux de vos camarades, Bernard Leroux est Steve Pelchat, ont été retrouvés morts dans la nuit de vendredi à samedi.
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Figé dans l’entrée de la maison, Patrick n’en finissait pas de promener ses yeux autour de la grande pièce à aire ouverte. Ayant du mal à croire ce qu’il voyait, il entreprit de compter les jouets qui, installés un peu partout, le regardaient de leurs petits yeux fixes. Leur nombre était tel qu’il rendait l’exercice ardu. Chaque fois que Patrick avançait d’un pas en direction du salon, traversant la salle à manger en se prenant les pieds dans des objets disparates, d’autres marionnettes apparaissaient dans son champ de vision.
Ce n’est qu’une fois la surprise passée que l’odeur immonde imprégnant les lieux monta aux narines du jeune homme.
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Pendant un temps, l’homme avait su se satisfaire des petits bonheurs quotidiens que lui prodiguait sa vie de famille. Puis, il s’était mis à refuser de jeter certaines choses. Même si sa femme jugeait que les vieux journaux, les emballages vides et les objets brisés qu’il amassait étaient inutiles, Joseph arguait qu’on ne savait jamais quand ces choses pourraient s’avérer pratiques, voire indispensables. En bon père de famille, il vivait dans la hantise que sa femme et ses enfants manquent un jour de quelque chose.
Il ne voulait que leur bien.
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Adoptant un air penaud, l'homme ouvrit son parapluie, qu'il plaça au-dessus de sa tête comme si le plafond fuyait.
- Qu'est ce que tu fais ? gronda Patrick. T'es déficient ou quoi ?
- L'amitié reprend rarement son premier abandon lorsqu'elle a été une fois lésée : les jours qui suivent les orages sont ordinairement froids
Sérieux ? grinça Patrick en lui-même. Mais quelle plaie !
- C'est ben beau tout ça, mon Jimmy, mais là y fais chaud et tu m'fais suer. Tu dégages, avant que j't'enfonce ton parapluie dans l'cul.
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- C'est en Italie qu'ils font les meilleures chaussures, convint une blonde habillée à la dernière mode.
- C'est pour ça que l'Italie à la forme d'une botte ? demanda le gros lard.
[...]
En sentant monter l'excitation que lui procuraient les mensonges qu'il proférait, il n'avait eu aucune raison de penser que son sexe suivrait subitement le mouvement.
[...]
- C'était quoi ça, la tour de Pise ? ricana la blonde.
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Vidéo de Maude Royer
Bande-annonce des Premiers magiciens de Maude Royer chez Hurtubise
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