Ce tome bourré d'actions relève les précédents tomes que j'avais trouvés brouillon et difficile à suivre. Concluant le 1er cycle, il nous offre une bonne dose d'événements qui s'enchaîne bien avec la bataille finale entre les gentils d'Under York et le méchant bonhomme à exorciser. Les parties du journal intime d'Alison rythment également le récit avec des touches d'émotion sur la mort de sa meilleure amie. Je ne sais pas si je poursuivrai avec le prochain cycle. Les graphismes sont toujours aussi sympa.
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Fin du premier cycle d'urban fantasy avec le combat d'Alison contre l'horrible démon invoqué par son petit frère.
Graphisme percutant alternant texte et bande dessinée traditionelle.
Destinée à un public ado mais c'est plutôt pas mal.
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Des dieux maléfiques pour certains, un mal nécessaire pour d'autres, histoire de respecter un équilibre universel dont je n'ai jamais compris quelle serait la raison de son existence. Un meurtre, une guerre, la torture, la misère...c'est censé harmoniser quoi, en fait ? Trop de bonheur tuerait le bonheur ? Ou simple discours de nantis qui cherchent à justifier que d'autres restent bloqués dans les souffrances et les privations sans avoir à repenser le monde ? J'ai ma petite idée. Je vous laisse y réfléchir, vous êtes assez grands pour utiliser vos fonctions cérébrales sans assistance complémentaire.
Pour Sloppy, la magie c'était le son, la musique. Pas les sorts et les envoûtements. Et c'était aussi une vision du monde, un engagement, des remises en causes, ne pas accepter des normes simplement parce qu'elles s'imposent à vous. (...) Parce que les normes aux Etats-Unis, et souvent ailleurs aussi, ce sont les puissants qui les imposent.