"It's a pretty grim world when I can't even feel superior to a toddler." Welcome to the curious mind of David Sedaris, where dogs outrank children, guitars have breasts, and French toddlers unmask the inadequacies of the American male. Sedaris inhabits this world as a misanthrope chronicling all things petty and small. In Me Talk Pretty One Day Sedaris is as determined as ever to be nobody's hero--he never triumphs, he never conquers--and somehow, with each failure,... >Voir plus
Les sortes de chroniques sont bien écrites. Certaines phrases sont même carrément hilarantes, mais j'ai beaucoup de mal avec le genre américain de l'essai. Selon moi, le style ne peut pas se substituer au fond et, clairement, David Sedaris n'a rien à apporter sinon de petites histoires sur sa vie. Et, franchement, sa vie, je m'en moque complètement. Parce que je me suis longuement demandé pourquoi il me racontait tout ça, pourquoi je perdais du temps à lire des anecdotes sans intérêt alors que ma pile de livres à lire continue de croître, j'ai abandonné après 50 pages.
De distrayant à drôle, le désintérêt que possède le ton ajoute un attachement, un quasi investissement de camaraderie quand on lit les récits de l'ainé des deux frangins (et une soeur) qui raconte sa famille, joyeuse et un peu décalée, où les enfants poussent quoi qu'on en fasse et pis c'est tout !
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.