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4,18

sur 461 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Découverte de cet auteur avec ce roman 'phénomène'. Une fois commencé, je n'ai pas pu décrocher ma lecture car le roman est raconté sous forme d'un journal intime d'une enfant de 8 ans. Et quelle enfant ! Florence raconte sa vie quotidienne auprès de ses parents et ses amis d'école avec candeur et innocence mais on apprend également à connaître le monstre qui se cache en elle. J'ai tout de même trouvé la dernière partie un peu 'too much' mais ça n'enlève rien à la force de ce récit tellement glauque et exaltant.
Lu en audio avec des narrateurs québécois, le roman a pris une dimension horrifique encore plus immersive. Je recommande ce roman mais attention : âmes sensibles s'abstenir ! du coup, très curieuse de lire d'autres romans de l'auteur.
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" Flots " placent à l'histoire d'une petite fille Florence âge de huit ans qui ne voit pas la vie aussi belle et qui vit malheureusement dans une famille complètement dysfonctionnelle.

Florence est seule chez elle, on la retrouve dans sa maison familiale en haut du dépanneur, et aucune trace de ses parents et elle refuse de dire quoi que soit et c'est tranquillement qu'à travers son journal intime où elle confie ses réflexions et ses observations sur sa vie quotidienne que je vais avoir la confession d'une Flo une gamine pas du tout comme les autres.

Florence en apparence et une jeune fille comme toutes les autres, elle a beaucoup d'amis avec qui elle joue beaucoup.

Florence à un journal intime, un journal que lui a offert son oncle Hubert et qui lui a dit d'écrire tout ce qu'elle veut, et elle, elle adore ça, lire, écrire, regarder des films avec sa mère, apprendre ses leçons de piano avec Mme Lemaire.

Qui dit journal intime dit que personne n'a le droit de le lire et d'y toucher, car s'est inscrit dessus journal intime.

Surtout ne jamais trahir la confiance de Florence, sinon elle ne pardonne pas la petite Flo.

Florence chez elle, il y a un truc qui ne tourne vraiment pas rond, elle sent en elle des bruits assourdissants qui arrivent dans sa tête, et quand ça arrive, elle n'a pas d'autres choix que d'agir.

Comme à son habitude Patrick Senécal à placer la barre très très haute, ici rien n'est laissé au hasard, car Florence à huit-ans et l'auteur à écrit un roman où c'est le journal intime d'une enfant de huit-ans et franchement, c'est carrément super réaliste et franchement, j'en ai pris plein la vue.

Quand j'ai lu cette histoire, je lisais vraiment comme dans un journal intime de Florence, tout se passe à travers le regard de Flo, c'est elle la narratrice, elle est à la fois toute mimi dans ses robes et à la fois hyper terrifiante et elle juge tout ce qui se passe autour d'elle à travers son regard à elle, son regard de petite fille et le retranscrit dans son journal intime.

J'ai bien compris que l'auteur voulait absolument que l'écriture ressemble à une enfant de huit-ans, sinon ne saurais pas été crédible, mon moment de panique à moi avoir peur de me lasser, mais non, ça va, Flo et attachante, et cela, malgré les choses horribles qu'elle commet, et le truc, c'est qu'elle n'a pas vraiment l'air de s'en rendre compte.

J'ai sentie une fillette qui à gros problème dans sa tête , mais en même temps elle à des parents pas très finaud , une mère qui lui fait voire des films d'horreurs et en même temps refuse de voir qu' un truc cloche chez sa fille , pour elle sa fille et normal et elle aime au-dessus de tout alors à coup de bisous tout ai pardonner , un père qui voit que sa fille à un truc qui cloche mais part dans des délires que le monde , les politiques ,les gens lui en veulent du mal , donc il est perché grave et complotiste sur les bords .

J'ai assisté à la naissance d'une véritable psychopathe à en devenir, et en plus, personne ne pourra rien faire pour elle, parce qu'ici, dans ce roman, on parle d'une enfance ratée, des amitiés foireuse, de la confiance rompue, de la trahison et de meurtres.

Dans ce roman, il y a de l'horreur et des événements complètement fous et des scènes hard, c'est le maître de l'horreur tout de même.

Comme dans tous les Patrick Senécal, le dénouement final se finit carrément en apothéose et j'espère une suite, où retrouver Flo voire ce qu'elle deviendra. Car si vous avez déjà lu comme moi le maître de l'horreur dans chaque roman , on retrouve un personnage phare de ses romans et là ici ce dénouement final est purement un coup de génie de sa part .

Flots le titre m'a fait penser au bruit que Florence entend dans sa tête. Flo comme son diminutif. Flots comme flot de paroles.

Quant à la couverture super mystérieuse, elle est en totale corrélation avec l'histoire de ce roman complètement dingue.

Ce roman est sublime en tout point, comme tous les Senécal, je n'arrive jamais à me dire qu'elle est celui que j'ai aimé le plus, parce qu'à chaque fois l'auteur écrit des romans complètement bluffant et dingue.

En tout cas, celui-ci est extraordinaire et terriblement incroyable.

Comme je le disais plus haut, pour ne pas être trop perdu, je vous invite à lire ses romans précédents, car il reprend souvent, un personnage phare et le glisse dans ses romans, mais vous pouvez de tout de même lire Flots et je vous invite carrément à le faire.
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Encore un roman de Senécal qui me laisse sans voix. Dès le début, nous sommes plongés dans l'univers de Florence Roberge, 8 ans, grâce à la lecture de son journal intime.
Le propos est totalement, déroutant, on s'attache à cette enfant, on essaie de comprendre. Et puis l'horreur, totalement désarmante.
C'est bizarre, original et glauque. Comme toujours, l'écriture est addictive, que j'aime cet auteur!
Encore 5/5 pour monsieur Senécal.
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Le livre nous fait entrer dans la tête, dans l'intimité du personnage, Florence 8 ans. Elle nous décrit ses journées, sa famille, ses amies. Mais bien vite, l'auteur nous fait découvrir le détachement psychopathe de cette enfant. Elle analyse froidement l'horreur, ramène tout à elle, commet des actes qui m'ont fait frissoner. C'est un voyage dévorant au coeur de l'âme froide de quelqu'un sans empathie. Mais, comment en vouloir à une simple enfant?
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Je remercie chaleureusement, les Editions Ramsay, pour l'envoi en service presse, du roman de Patrick Sénécal " Flots". Un auteur que nous ne présentons plus, une notoriété imparable avec ses écrits qui laissent une trace indélébile dans nos mémoires. , des romans durs , insoutenables, au bord de la nausée, je suis pourtant sensible, mais je me régale toujours autant, à découvrir ses nouveaux romans, c'est mon petit côté psychopathe. Je ressors totalement chamboulée, scotchée, un véritable uppercut. Ce roman est un véritable chef d'oeuvre , impossible de le lâcher, je l'ai dévoré en une journée. Il a l'art et la maniere de nous tenir en haleine du début, jusqu'au final ,une fin en apothéose, qui me laisse sur ma faim, j'en demandais encore, mais l'auteur laisse une porte ouverte à une suite. Une thématique originale , maitrisée, et retranscrite d'une maniere majestrale. On retrouve la plume percutante , le langage cru, soupoudré d'expressions québécoises. Une lecture addictive, qui nous fait passer de l'émotion, à l'écoeurement, à l'insoutenable, un côté malsain. Il joue à merveille avec nos neurones, comme dans tous ses romans. Une histoire sans faute note , tous les protagonistes ont un rôle précis donnant du piment à cette intrigue. L'auteur est direct, il est sans filtre, un style unique., hors norme. Un univers d'une noirceur intense, nous avançons en apnée , avec une peur de respirer, mais nous replongeons très rapidement dans les tréfonds du récit La psychologie des personnages est très importante, voir existentielle, il l' est façonne sans états d'âme. L'auteur raconte son histoire à travers les écrits d'un journal intime, d'une petite fille de huit ans, Florence. Elle est la narratrice, l'auteur, met en avant le langage d'une fillette, elle veut savoir la définition de mots qu'elle ne connait pas, mais sera les utiliser, ,comme il faut dans sa vie de tous les jours. Ce langage donne toute sa valeur, un ressenti profond dans le déroulement de l'histoire.
Une petite de fille , qui a une vie banale, elle adore jouer avec ses amis, regarder des films d'horreur avec sa mère, un père qu'elle adule moins, mais arrive à avoir quelques moments de complicité. Peut-on se fier aux apparences? Son journal intime est toute sa vie, son monde, son ami qui ne peut la trahir, sauf s'il tombe entre des mauvaises mains, mais elle fait en sorte que cela n'arrive jamais. Nous comprenons très rapidement ,que Florence a un comportement étrange, elle est proche de la schizophrénie, des sons qui envahissent son cerveau, la perturbent au point de devenir dangereuse pour elle même et son entourage.
La mort, le sang, rien ne la dérange, une sorte de normalité. J'ai eu une véritable empathie au début pour Florence, et au fur et à mesure, cette petite fille ce transforme en vrai démon, une future psychopathe.
Sa vie est basée sur la confiance, et non la trahison, tu l'as trahi tu peux passer de vie à trépas. Des situations qui partent en vrille nous entrainant dans les abimes de la folie. je m'arrête là pour ne pas spolier l'histoire.
L'auteur a une nouvelle fois mis la barre très haute, à mes yeux, ce livre est un chef d'oeuvre. Un thriller glaçant, terrifiant, préparez vous à passer des nuits blanches.
Le jeux de mot de "Flots " Florence est très subtile.
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Quel livre ! Quelle noirceur ! " Flots " est un thriller dérangeant mais sacrément bien fait. Patrick Senécal a une plume qui percute et qui se montre violente dans certains passages. Dans ce roman, il est question des Roberge, une famille qui n'est pas si parfaite. En effet on finit par se rendre compte qu'elle connait quelques tensions.
Sébastien et sa femme Maryline se disputent fréquemment et leur fille âgée de 8 ans se réfugie alors dans son journal intime offert par son oncle Hubert et joue quelques notes sur son piano.

Certains chapitres laissent place aux extraits du journal intime de Florence. Au fur et à mesure des pages, le lecteur va comprendre qu'un drame chamboulera ce récit.

Patrick Senécal s'immisce dans la peau d'une petite fille et le fait remarquablement bien. Dans cette lecture, tout n'est pas tout beau tout rose. La folie va s'intensifier davantage et l'intimité de la jeune fille se dévoile de plus en plus grâce à ses écrits dans son journal intime.
" Il m'a dit que ça, c'était des romans inventés, mais que mon journal intime à moi, ce serait vrai et que personne n'aurait le droit de le lire. C'est pour ça qu'on peut écrire tout ce qu'on veut dedans, c'est secret. Il m'a dit que quand on vit des affaires difficiles, des fois, ça fait du bien de l'écrire dans notre journal intime. "
L'auteur ne fait pas dans la dentelle ; " Flots " est un thriller qui commence tout doucement mais la tension va exploser et vous en mettre plein la vue. J'ai aimé certaines expressions canadiennes et pas besoin de chercher le sens des mots, le lecteur arrive très bien à comprendre ce que Patrick Senécal veut dire.

C'est noir et horrifique à souhait ! Vous aurez compris que Florence n'est pas une petite fille si gentille que ça ; elle est très particulière !

"Flots " est une histoire à en faire pâlir plus d'un ! Vous êtes prévenus ; ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains !

Si je devais résumer en une phrase : " Un début timide mais totalement effrayant par la suite ! "
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ant qu'à lire un auteur québécois, autant opter pour une édition québécoise de son roman histoire de profiter pleinement de verbe chantant à l'accent de Caribou. Il est vrai que pour les amateurs il n'y a pas souvent d'autres options, sur la vingtaine de titres écrits par Patrick Senécal seuls quatre ont bénéficié d'une édition made in France (Aliss, Les 7 Jours du Talion, le Vide et Hell.com). Pas de regrets pour ma part, cette couleur « locale » supplémentaire apporte un vrai plus à la lecture… et l'on s'y habitue très rapidement sans effort.

J'ai remarqué, même cela reste un ressenti purement personnel, que les auteurs québécois étaient davantage décomplexés par rapport à la littérature horrifique que nos auteurs français ; peut-être est-ce dû à l'influence des auteurs américains qui assument totalement ce genre. Quand je vois des séries comme Cobayes ou Les Contes Interdits (les deux attendent leur tour dans les méandres de mon Stock à Lire Numérique), ou même le présent roman, j'ai du mal à imaginer la même chose écrite par un auteur français… en tout cas pas de manière aussi « libérée ».

Il faut dire que Patrick Senècal fait un choix plutôt audacieux pour son nouveau roman, son héroïne, Florence, est une enfant de 8 ans qui a un mode de pensée dénué de toute empathie et qui, de fil en aiguille, va la transformer en véritable psychopathe.

Une gamine d'apparence tout ce qu'il de plus banale et innocente qui vit dans une famille qui semble tout aussi normale. C'est vrai que papa et maman se chicanent de temps en temps et que Florence trouve ça plate. Parfois le ton monte, et Papa cogne maman, ça fait chier Florence, mais finalement pas tant que ça.

Maryline, la mère, est nostalgique de son ancienne carrière de mannequin, elle noie parfois son chagrin dans l'alcool, mais cela ne l'empêche pas de surprotéger Florence et d'entretenir une relation très complice avec elle.

Sebastien, le père, gère tant bien que mal la supérette (dépanneur en québécois dans le texte) située au rez-de-chaussée de la maison familiale, mais les temps sont durs. Un brin parano à tendance complotiste, l'émergence de la crise sanitaire du Covid-19 n'arrangera pas son humeur.

Le reste de l'univers de Florence tourne autour de l'école et de ses amies, ainsi que de ses cours de piano, assurés par Mme Lemaire, une vieille dame aveugle. Normal, quoi.

Le roman s'ouvre donc sur l'arrivée de tante Josée qui vient rendre visite à sa soeur (Maryline) inquiète d'être sans nouvelles depuis plusieurs jours. Sauf qu'en arrivant elle trouve Florence seule à la maison, prostrée dans le canapé et mutique.

La structure du roman alterne entre les chapitres « actuels » relatant l'intrigue depuis l'arrivée de Josée chez sa soeur et le journal intime de Florence qui décrit avec force détails les événements qui se sont déroulés les jours précédents.

L'auteur passe donc d'une vue à la troisième personne écrite dans un style et une vision des événements très adultes, à une vue à la première personne (Florence) qui raconte son quotidien avec un curieux mélange d'innocence propre à son âge et sa perception très personnelle des faits. Un exercice de style que Patrick Senècal maîtrise à la perfection, on y croit à 200% !

Pour en revenir à ce que je disais en ouverture de cette chronique quant au choix de lire ce roman dans sa version d'origine, il me semble encore plus important présentement. L'emploi du québécois retranscrit au plus juste les émotions de Florence.

Les personnages sont traités avec beaucoup d'attention, le plus frappant étant de loin le gouffre qu'il y a entre les perceptions de Florence et celles de ses copines et copains. D'un autre côté heureusement que tous les gamins ne fonctionnent pas comme Florence !

Dès le départ on se doute bien que quelque chose a mal tourné et que Florence n'y est pas totalement étrangère, au fil des chapitres on découvre que la « réalité » va bien au-delà de tout ce que l'on avait pu imaginer. le déroulé et le rythme de l'intrigue sont menés d'une main de maître, on est entraîné dans une spirale infernale dont on ne peut se détacher.

Un récit horrifique totalement assumé à l'ambiance délicieusement malsaine (dérangeante, déstabilisante… les qualificatifs ne manquent pas). À ne pas mettre entre toutes les mains (âmes sensibles s'abstenir) car Patrick Senécal n'y va pas avec le dos de la cuillère. Les lecteurs friands du genre (dont je suis) se régaleront et dévoreront sans retenue le roman (ce que j'ai fait).
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Criss, mon auteur québécois préféré (bon d'accord c'est le seul que j'ai lu) est de retour ! Déjà conquis par la couverture, je me lance, tête baissée, dans la lecture de ce petit bijou en perspective.
La police intervient dans une maison où ils ne retrouvent que la petite Florence, jeune fille de huit ans, refusant de dire un mot (choc traumatique ?). Les parents semblent avoir disparus. Ils n'ont plus donné de nouvelles à leurs proches depuis plusieurs jours. Que s'est il passé dans cette maison ? C'est ce que nous allons découvrir grâce au journal intime de la charmante petite Florence...
J'ai adoré ce roman original, malaisant (désolé) à souhait, où l'horreur nous ait expliquée avec des mots simples d'une enfant pas tout à fait comme les autres. du grand Sénecal ! Allez bye.
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Senécal l'a encore fait. Il nous a encore sorti un petit bijou de sa plume d'auteur incontournable. Au départ, je me disais que, malgré que celà représentait un tour de force et/ou un défi personnel pour l'auteur, l'idée d'écrire en utilisant la main invisible d'un enfant,par l'entremise d'un journal intime, allait ralentir le rythme. Que ça allait infantiliser une écriture d'ordinaire plus sombre et lugubre. C'était clairement sous-estimer le grand maître de l'horreur québécois. On entrait dans l'innocence de l'esprit de cette enfant, sans pour autant en perdre les détails d'une histoire toujours aussi sanglante de maturité. Une mère alcoolique qui vit d'une nostalgie d'une époque plus clémente. Un père "panaro" qui violente sa femme et voit des complots partout. Une petite fille intrigante qui ne laissera aucun lecteur indifférent. Plus j'avançais, plus le rythme s'intensifiait, plus on comprend que la jeune Florence Roberge n'a rien d'une petite fille ordinaire. Allez vous procurer ce livre, une autre preuve que Patrick Senécal a encore du génie dans le crayon!!! Là, j'ai mis trois point d'exclamation parce-que je suis tout excité!!!
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Je ne sais pas pourquoi j'appréhende encore un nouveau Senecal car chaque nouveau roman est excellent.
Encore une fois, changement de style en suivant le journal intime d'une petite fille. le style est excellent et j'ai dévoré ce roman jusqu'à la petite touche finale qui m'a donné le sourire pour la nuit.
Attention qu'en même, c'est du Senecal, c'est dur et violent.
En tout cas, je n'ai qu'une hâte maintenant, c'est découvrir son nouveau roman car Senecal est un génie et chaque histoire est une évasion qui reste en mémoire.
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