Michel Serres/5
6 notes
Résumé :
De l'impertinence, aujourd'hui
Parce que l'impertinence est une façon d'être, de penser, parce qu'être impertinent c'est entrer en résistance avec le prêt-à-penser contemporain, osez l'impertinence !
Parce que l'impertinence est une façon d'être, de penser, parce qu'être impertinent c'est entrer en résistance avec le prêt-à-penser contemporain, osez l'impertinence !
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Une petite leçon de « choses » et des réflexions sur des mots que l'on utilise souvent ou auxquels nous sommes confrontés, sans forcément y prêter plus d'attention, comme par exemple, la bêtise, la caricature, le chef, le peuple, les retraités, le scandale, la révolution et même Tarzan…
Très pertinent ce petit livre où l'on retrouve quelques chroniques réalisées par Michel Serres et Michel Polacco pour France Info.
On aimerait qu'il y en ait plus.
Très pertinent ce petit livre où l'on retrouve quelques chroniques réalisées par Michel Serres et Michel Polacco pour France Info.
On aimerait qu'il y en ait plus.
une vraie perle!!!
quelques chroniques de france inter, ciselées avec finesse, détaillées dans les étymologies, parsemées d'humour, un vrai bonheur, à lire et à relire sans se lasser ;-)
quelques chroniques de france inter, ciselées avec finesse, détaillées dans les étymologies, parsemées d'humour, un vrai bonheur, à lire et à relire sans se lasser ;-)
Citations et extraits (1)
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Page 100
La Société a besoin de fêtes. Celui qui ne fait pas la fête gâche sa vie. Les sociétés sans fêtes sont en train de mourir, il n’y a pas de doute. Que nous reste-t-il comme fêtes ? Y-a-t-il encore des fêtes politiques ? Probablement pas. Y-a-t-il encore des fêtes religieuses ? Un peu. Des fêtes militaires ? Oui, le défilé du quatorze juillet. Alors, que nous reste-t-il comme fêtes ? Oh je n’ose le dire…
- Allez !
- La coupe du monde de football. C’est la seule fête qui nous reste. Hélas, ça ressemble un peu au Colisée de la Rome décadente. Mais chut, ne le dites pas.
Chronique du 13 juillet 2014
La Société a besoin de fêtes. Celui qui ne fait pas la fête gâche sa vie. Les sociétés sans fêtes sont en train de mourir, il n’y a pas de doute. Que nous reste-t-il comme fêtes ? Y-a-t-il encore des fêtes politiques ? Probablement pas. Y-a-t-il encore des fêtes religieuses ? Un peu. Des fêtes militaires ? Oui, le défilé du quatorze juillet. Alors, que nous reste-t-il comme fêtes ? Oh je n’ose le dire…
- Allez !
- La coupe du monde de football. C’est la seule fête qui nous reste. Hélas, ça ressemble un peu au Colisée de la Rome décadente. Mais chut, ne le dites pas.
Chronique du 13 juillet 2014
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Michel Serres nous manque déjà...
Certains les nomment génération Y ou "digital natives", les jeunes, (nouvelles ?), générations nous battent à plate couture devant un écran. Moi j'ai préféré les désigner sous le terme générique de ........?........
petite poucette
les pouces en or
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