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Autant j'ai adoré La Bâtarde d'Istanbul qui nous transportait au coeur de l'univers stambouliote, autant je n'arrive pas à pénétrer dans l'univers stambouliote décrit dans Bonbon Palace.
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Personnages exceptionnels et chassé-croisé constant. Quel plaisir !
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J'avoue avoir mis du temps à me mettre dans le bain avec ce livre. Peut être parce que le début m'a semblé un peu décousu, que les introductions (parce qu'il y en a plus d'une) à la philosophie de l'histoire et à la remise dans le contexte m'ont perdue à un certain moment, ou que l'impatience de retrouver le développement du résumé que j'avais lu se faisait trop pressant.

Quoiqu'il en soit, une fois dans le vif du sujet, on se laisse vite et facilement emporter par les différentes histoires que renferment chaque appartement de ce fameux Bonbon Palace.

Un patchwork de récits presque indépendants assemblés petit à petit par le fil de la narration.
Un petit recueil de nouvelles qui au cours de la lecture deviennent chapitres. Des tranches de vies autonomes qui s'observent, se côtoient, se frôlent et finissent par entrer en collision.

Entre horizontalité et verticalité. Entre mensonge et vérité. Ce roman est il une ligne droite ou un serpent qui se mord la queue? Aidée par des répétitions gérées d'une main de maître, Elif Shafak nous entraine dans une ritournelle annoncée et pourtant inattendue.

Un délice d'orient une fois de plus.
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Bonbon Palace est un immeuble croulant, miteux, à bout de souffle. Une dizaine d'habitants pour un millier de cafard, poux et autres bestioles qui pullulent, une odeur putride et des habitants… pittoresques. Au fil des chapitres on découvre les portraits de ces habitants.
On s'imagine à Istanbul avec ses bruits, ses odeurs, certains passages sont trop longs à mon goût (flash back de certains locataires), on décroche facilement
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Au delà de ces bémols, il est un talent que l'on ne peut renier à Elif Shafak, celui de conteuse, celui de savoir manier les mots qui roulent sous la langue comme le bonbon qui donne son nom à l'immeuble. Elle joue avec, les marie, les répète, les énumère pour en faire par moment une musique poétique. Ce sont ces mots, cette musicalité qui m'ont aidé à terminer cette lecture, que je rapprocherai d'ailleurs grandement de Chicago d'Alaa El Aswany, qui m'avait également laissé un sentiment mitigé.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Istanbul, une promenade dans un ancien palace, divisé en appartements plutôt décrépis, et la vie de ses occupants, très excentriques. Très bien écrit. Les personnages sont attachants, et nous rendent un juste portrait de la Turquie contemporaine. Différent de « L'immeuble Yacoubian ».

Club de lecteurs de la M"diathèque des Chartreux
Lien : http://www.mediatheque-agglo..
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