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J'ai été tres heureuse de recevoir le trou de Yrsa Sigurdardóttir grace à Masse Critique de Babelio que je remercie chaleureusement.
J'ai toujours été férue de polar nordiques, et avec ce livre je n'ai pas été déçue …

Même s'il s'agit du quatrième volet d'une saga (the children house) je n'ai pas été gênée de n'avoir pas lu les 3 précédents.

Dans ce roman on suit l'assistante sociale Freyja qui aide Huldar le policier sérieux dans son enquête, ainsi que son équipe. On sent entre deux une petite attirance qu'il savent garder discrète.

Le roman traite de sujets un peu difficiles pour moi , comme le viol ou la violence conjugale, et ces moments ont parfois été compliqués à lire. Malheureusement ce sont des thèmes qui reviennent assez régulièrement dans les polars actuels et il faut bien que je m'habitue …

L'écriture est tres fluide et je pense lire tres bientôt d'autres romans de cette autrice, à commencer par les autres volumes de cette saga !

Je recommande donc cette lecture, à tous ceux comme moi qui aiment les polars froids et un peu noirs 😊
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Un homme pendu sur le champ de lave de Gálgahraun, un gamin inconnu dans l'appartement de celui-ci, des amis qui ont trop de secrets et une police débordée par la venue du président chinois. Yrsa Sigurdardóttir impose tout de suite son cadre et captive ses lecteurs. Ils vont suivre l'assistante sociale Freyja légèrement dépassée par sa vie et Huldar flic honnête mais bourru à la recherche de de la vérité. Au gré des indices et des fausses pistes, l'autrice nous promène au coeur de la capitale islandaise pour notre plus grand dépaysement.
«Le trou» est la quatrième aventure du duo islandais mais nul besoin d'avoir lu les précédentes pour se passionner pour ce roman. Par contre, je sens que vais les ajouter à ma pal. Ce dernier roman est un vrai bon récit noir à la fois humain et grinçant comme les Nordiques savent les faire et surtout comme on les aime.
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Un homme retrouvé pendu, un enfant retrouvé dans l'appartement de cet homme mais qui n'a aucun lien de parenté...
Pourquoi ? Comment ? Que ce cache t'il derrière toute cette affaire ?

Freya et Huldar rentrent en scène !
Encore un très bon moment passé, l'écriture d'Yrsa Sigurdardóttir est tellement fluide, mensonges, secrets, violence, vont être les maîtres mots de ce roman. C'est sombre, c'est glauque mais certaines choses viennent apaisé tout ce décor...
Huldar et Freya forme vraiment un super duo, j'adore cette série !
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L'air de rien l'autrice entremêle enquête policière, problématiques sociales, travail d'équipe et relations personnelles; il en résulte un polar prenant, bien équilibré où l'attention papillote d'un thème à l'autre sans perdre ni le fil ni l'intérêt. Ce n'est pas le roman policier qui me laissera des souvenirs indélébiles, mais j'ai pris plaisir à me laisser porter par cette enquête, par les pistes qui se développent lentement, par cette équipe soumise aux sautes d'humeur de leur cheffe. le mystère entourant le jeune enfant m'a intrigué tout au long et son éclaircissement fait bien du sens. J'avais déjà aimé “ADN” du même auteure et je lirai sans hésiter d'autres de ses livres si l'occasion se présente.
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Je remercie Babelio et Actes Sud pour l'envoi de ce roman policier de l'écrivaine islandaise Yrsa Sigurdardottir.
La littérature islandaise semble être très productive en ce qui concerne le genre policier, depuis plusieurs années je découvre de nouveaux auteurs qui ont le vent en poupe.
''Le trou"est le quatrième roman d'une série avec la psychologue Fryja et l'officier de police Huldar.
J'avoue avoir mis un certain temps pour rentrer dans l'histoire, une fois le déclic opéré l'auteur nous dévoile un côté obscur de la société islandaise :la violence et le harcèlement sexuel envers les femmes même si l'Islande est un des pays les plus respectueux à l'égard des droits des femmes.
Par curiosité, j'emprunterai probablement les trois premiers romans de la série.
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En Islande, à Reykjavik un homme est trouvé pendu entre deux rochers de lave. Parallèlement, suite à signalement, une psychologue récupère un enfant de quatre ans seul dans un luxueux appartement. Il n'est pas chez lui et ne sait pas où sont ses parents. le lecteur se doute qu'il y aura des liens entre ces faits étranges...
L'équipe criminelle va de voir faire face à une enquête complexe, aux nombreux suspects.
Difficile d'en dire plus sans en dire trop!

Le roman structuré en courts chapitres se lit facilement. Je reste toutefois mitigée. Bien sûr on ne s'ennuie jamais, tout est tendu, très noir, glauque même par moment.
C'est un bon thriller addictif. Pourtant l'ensemble reste superficiel. Les sujets sociétaux majeurs qui nourrissent l'intrigue restent factuels. L'écriture ne crée pas de relief, pas d'épaisseur ni d'atmosphère. Elle ne suscite pas de réflexion, elle reste à distance et finalement nous aussi.
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Faible femme ?
Avec « le Trou », j'achève ma lecture désordonnée des 5 volumes de la série écrite par l'islandaise Yrsa SIGURDARDOTTIR avec comme fil rouge un couple antinomique, Freya la psychologue pour enfants et Huldar le policier, tous deux en mode « je t'aime moi non plus ».

« ADN », « Succion », « Absolution », « le Trou » et « La poupée » sont les 5 romans concernés. Il faut avouer que l'on fait difficilement mieux en matière de titres moches… Mais quoi qu'il en soit, les 5 romans ont tous un charme certain et se laissent lire avec des émotions diverses : meurtres affreux, enquête complexe, personnages variés pour lesquels on ressent sympathie ou antipathie, fin avec de multiples rebondissements, questions sociétales et toujours la nécessaire protection que familles et société doivent à l'enfance.

Tout commence avec un « suicide » alambiqué qui se révèle être un meurtre cruel… et bienvenue dans l'univers des golden boys misogynes et amateurs de pornographie. Bienvenue aussi au sein de la violence de la société islandaise, notamment avec les femmes. Bienvenue dans le commissariat d'Huldar, avec Erla la cheffe « cocote minute », le collègue en bute à l'homophobie, la stagiaire diplômée confrontée au terrain… de péripétie en péripétie un univers romanesque prend vie et nous confronte à une certaine réalité traversée d'extravagances meurtrières.

J'apprécie la façon dont l'auteure met en scène son histoire, nous piège à répétitions, nous leurre sans aucune gêne. Elle nous fait « vivre » son récit et c'est toujours volontiers que je la rejoins.

Petit bémol pour « le Trou », le dénouement nous offre plusieurs coups de théâtre, mais trop appuyés à mon goût, trop expliqués d'où une certaine lourdeur au finish. La fin de « La Poupée », tout aussi surprenante, sera plus finement menée.

Si vous pensez un enfant en danger, n'hésitez pas, appelez le 119. Anonymat assuré.
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Je suis rebelle à la littérature policière nordique, biberonnée à celle des Etats-Unis. Pourtant, les thèmes abordés sont contemporains et pertinents : les violences domestiques, la pornographie, l'homophobie, le racisme, la misogynie. le Trou est le quatrième volet de la série Freyja et Huldar. Freyja est psychologue à la Maison des enfants ; Hulda, ancien charpentier, travaille pour la criminelle de Reykjavik.
La criminelle, dirigé par Erla, une femme au caractère bien trempé est appelée suite à la mort par pendaison d'un homme dont la vision pourrait obscurcir la visite du ministre chinois des Affaires étrangères. le corps suspendu est visible depuis la maison du président islandais en exercice. La découverte d'une feuille de papier déchirée, transpercée d'un clou au niveau du thorax écarte rapidement la thèse du suicide. Son identité connue, les agents se rendent au domicile de la victime et découvrent en même temps que les services sociaux qui attendaient devant la porte, un garçonnet de quatre ans. L'intrigue est labyrinthique. Les pistes se multiplient. Les relations entre les différents protagonistes se mettent en place. La psychologie des personnages est sommaire. Au final, l'auteur révèle la raison du titre du roman. Je reste sur ma faim.
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4e opus des aventures de Freya, l'assistante sociale et Huldar, le policier, ce roman commence sur la pendaison d'un homme face au palais présidentiel. Juste après la découverte du cadavre, un petit garçon inconnu est retrouvé dans l'appartement de la victime.
Sans trop de violence, l'autrice nous fera découvrir les liens curieux entre les divers protagonistes.
Agréable lecture, même si la fin semble un peu improbable.
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Au préalable, je confierai que je ne suis pas particulièrement familier du polar nordique ; j'en ai lu deux ou trois avec plus ou moins de plaisir. En l'occurrence, je ne connaissais pas Yrsa SIGURÐARDÓTTIR et ce « trou », qui m'a été offert récemment, m'a permis de la découvrir. Après lecture, je ressens une impression mitigée. Si l'intrigue est plutôt bien menée, on ne flirte pas, pour autant, avec la grande originalité. le récit est parfois rendu inutilement compliqué par de nombreux personnages secondaires – peut-être issus de productions antérieures de l'auteure… – qui n‘ajoutent rien à l'histoire principale. Par ailleurs – on me pardonnera, j'espère, ce biais « linguo-centré » –, la proximité de certains prénoms ou diminutifs islandais n'arrange rien à l'affaire : les Margeir Maren, Margrét ou les Siggi, Sibbi, Saga obligent parfois à revenir plusieurs pages en arrière pour bien vérifier qui est qui. Et puis, je trouve qu'au regard du sujet traité, la narration est très « sage » en définitive, une certaine pudeur sans doute tout à l'honneur de l'écrivaine, mais qui parfois sonne faux. Quelques petites digressions sur des sujets « sociétaux » ne sont pas du meilleur effet : par exemple, le passage sur l'homophobie dans la police est plutôt maladroit. Quant au style proprement dit, c'est le minimum syndical. Souvent des dialogues à n'en plus finir, les uns à la suite des autres, sans respiration. Nulle recherche de formule, nulle pensée un peu travaillée, pas d'ambiance dépeinte. On est bien loin d'un Ellroy ou d'un Lehane, aux USA, ou d'un Pagan en France. Somme toute, un bon roman de vacances qui ne risque pas de laisser un souvenir impérissable.
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