L'Enfant des cimetières

Ce livre est pour moi, à classer dans le thriller horreur.

Je n'ai pas pu le lire de soir dans mon lit 🤣😅

Quoi qu'il en soit l'histoire est pour moi bien construite, on ne s'ennuie pas et on ne devine pas la fin.

Cependant ayant passé des nuits difficiles à la suite de ce livre je souhaite juste préciser sa catégorie horreur, esprit, fantôme, possession...

Je ne connaissais pas Sire Cédric, mais l'intrigue m'a captivée. J'ai donc tenté la lecture et grand bien m'en a pris. La lecture m'a impressionnée. Je ne m'attendais pas à une si agréable surprise.

Le début m'a quelque peu perturbée. J'ai immédiatement pensé que je m'étais trompée dans l'idée que je me faisais de l'histoire. Je m'attendais à un thriller classique et je tombe sur un roman fantastique. Mais cette pensée est bien vite passée! L'histoire devient bel et bien ancrée dans la réalité. Néanmoins pendant très longtemps on balance entre le monde réel et le fantastique, et ça c'est bien le génie et l'originalité de l'auteur. Il parvient à mélanger les deux univers en maintenant un équilibre parfait. Cela fonctionne merveilleusement bien. La touche de fantastique et de surnaturel est subtile et ajoutée à l'intrigue de manière intelligente, sans trop en faire et sans tomber dans les clichés du genre.
Le personnage d'Alexandre Vauvert, policier bourru qui se fie avant tout à son instinct, est un plus indéniable. C'est peut-être le personnage qui possède le plus de profondeur. le reste des personnages est plutôt neutre.
Et que dire du suspens? Il nous prend aux tripes et ne nous lâche pas avant la fin. J'ai dévoré le livre en quelques jours. L'écriture est simple et fluide. le rythme est rapide, d'autant plus avec des chapitres qui sont souvent courts. C'est diablement efficace, un peu comme les thrillers d'Harlan Coben et de Lisa Gardner. Je n'arrive jamais à les lâcher, et il en a été de même avec ce livre.
Sire Cédric est définitivement un écrivain français de thriller que je vais suivre.

J'ai découvert cet auteur avec ce roman très sombre, horreur et émotions de toutes sortes se côtoient.
Lecture très inhabituelle pour moi et que j'ai trouvé très surprenante et intéressante dans ce genre horreur-fantastique.
Cela ne m'a pas terrifier outre mesure , mais il est vrai que c'est un peu dérangeant quand on lit ces pages (comme moi) juste avant de s'endormir.
Eh! bien, non je n'ai pas fais de cauchemar pour autant !
Cela reste une légende urbaine et je n'irais pas chercher plus loin, je suis trop cartésienne face à ce genre de lecture.
J'ai apprécié l'imagination débordante (il en faut) de cet auteur et son écriture aussi très claire, très détaillée.
J'ai suivi les périples de David et Aurore et du policier Vauvert avec un intérêt grandissant au fil des pages.
Une très bonne intrigue .
Je n'irais pas jusqu'à en faire une habitude de ce style de lecture ; mais de temps à autre j'y reviendrais très certainement.

Dans un délire hallucinatoire un fossoyeur vivant près d'un cimetière tue toute sa famille avant de se suicider. Un adolescent menace de son arme les occupants d'un hôpital et tue Kristel, une artiste peintre. Puis d'autres meurtres sordides et suicides pour le moins étranges s'enchaînent. David jeune photographe, compagnon de Kristel, décide de mener l' enquête avec l'aide de son amie journaliste Aurore et du commandant de police le colosse Vauvert. Un thriller gothique qui entraîne son lecteur au tréfonds de l'horreur et du macabre, les amateurs du genre ne seront pas déçus les autres passeront sans doute leur chemin...

et bien quelle belle découverte que cet ouvrage de Sire Cédric ! Je croyais avoir affaire à un polar, franchement non c'est un excellent Thriller Horrifico-Fantastique qui m'a fait penser à bien des égards à certains ouvrages de Graham Masterton (notamment le Démon des Morts). Ha tiens c'est bizarre, l'Enfant des Cimetières a justement reçu le Prix Masterton, quel hasard :)

Publié en 2009, voila donc le premier tome d'une série de 5 nommé Cycle Eva Särta - Alexandre Vauvert, si je ne connais pas la première le second est effectivement le flic principal de l'opus.

Alternant des descriptions d'une poésie gothique absolue (incroyable scène d'ouverture) et de scènes gores à faire frémir, SIre Cédric a produit un tome haletant[spoiler]la scene d'exploration de la maison des Mendes par Aurore et Damien ! et le final grandiose ! [/spoiler], sans temps morts, avec assez peu de personnage et de lieux visités, ce qui fait qu'il est relativement simple de s'immerger dans son texte. Son style est vif, sans fioriture, parfois très sanglant et toujours très cinématographique. En y ajoutant quelques scènes pseudo érotiques au compte-goutte, on se rapproche donc du style de Masterton évoqué plus haut, mais cependant dépoussiéré des années 70 chères à Graham: Cedric Sire vit avec les marques de son époque, associant culture Rock/Hard Rock avec technologie moderne (enfin moderne en 2009). On notera quelques clin d'oeil à d'autre maitres de l'horreur et du fantastique tels Stephen King ou HP Lovecraft

Un léger bémol: Ses personnage gagneraient à avoir un peu plus de profondeur (notamment le lien de Kristel et de ses soeurs) mais sont bien choisis pour l'histoire: le flic à la carrure de colosse, la jolie journaliste un brin sexy, le photographe d'art raté qui est obligé de bosser pour un équivalent de Paris-Match plutôt qu'aller exposer ses oeuvres à New York.

Un thriller horrifique efficace qui marque véritablement les débuts de Cédric Sire dans l'industrie de la littérature de genre. Un meurtre particulièrement sanglant va venir bouleverser la vie plutôt tranquille d'un photographe journalistique, David. La sauvagerie des faits et les événements qui vont suivre vont le plonger au coeur d'un cauchemar qui ne fera qu'empirer au fil des jours. de son côté, l'inspecteur Vauvert aura fort à faire, entre meurtres et suicides maquillés, un tueur en série insaisissable semble être à l'oeuvre et aucune piste ou indice n'est laissé pour l'aider à avancer tandis que les autorités lui mettent la pression pour régler cette sordide histoire au plus vite. Un pitch qui peut sembler banal mais la violence des faits, le nombre de victimes et cette légende de « l'enfant des cimetières » viennent vraiment garnir cette histoire violente et triste. le premier chapitre est un exemple de ce que la littérature de genre peut proposer de mieux comme introduction. L'écriture de l'auteur est toujours aussi forte dans ses descriptions (ayant déjà lu l'auteur, je savais à quoi m'attendre) et dans sa fluidité, le découpage des chapitres permet une lecture plus nerveuse et dynamique tandis que l'antagoniste créé par l'auteur est une vraie saloperie pour laquelle on ressent un pointe d'empathie, ce qui est très fort. Une fin qui a légèrement terni mon aventure et qui me laisse cette étrange frustration en fin de parcours (mais qui devrait plaire à ceux qui ont peut-être cette capacité à mieux entrevoir ce que voulait proposer l'auteur) à cause d'un aller-retour réalité-onirisme qui m'a sorti de ma bulle. Quelques facilités scénaristiques et quelques passages plus contemplatifs pour reposer le lecteur m'ont également un peu gêné mais c'est bien léger lorsque l'on se rend compte de la force du livre et de ce qu'il nous propose. Peut-être pas aussi bon que « de fièvre et de sang » qui m'avait réellement mis une grosse claque pour ma première lecture de Cédric Sire, mais qui propose une vraie revisite du genre « esprit » ou « démon » avec des personnages intéressants et qui font le boulot. On peut le dire sans sourciller, ce livre est bon, plein de tension et de sang, mais derrière l'obscurité réside la lumière et heureusement, il y en a un peu tout de même pour ne pas sombrer dans l'angoisse et la folie. Une belle expérience.
Lien : https://evasionimaginaire.wo..

Je crois que je ne retiendrai pas grand chose de ce thriller gothique que j'ai trouvé maladroit et souvent incohérent (oui, je sais, c'est un livre fantastique mais ça n'empêche pas pour autant le bon sens).
Je ne suis pas une lectrice assidue de ce genre de littérature et sans doute que je n'en connais pas assez les codes pour juger mais j'ai trouvé qu'il y avait de gros problèmes de timing et je ne suis pas non plus franchement convaincue par les personnages. Je passerai sur les caricatures que sont Kristelle et Aurore pour en venir directement au personnage de Nathaniel dont on a l'impression que Sire Cédric n'a pas su lui-même exactement délimiter les contours.
Je n'ai pas compris la pertinence de certains éléments (parfois inutilement) avancés ni les justifications très sibyllines vaguement évoquées par des ‘tu n'as pas à le savoir' et autres ‘c'est ainsi' ou encore ‘en quelque sorte'.
J'ai même eu l'impression que, par moment, l'auteur n'assumait que moyennement la dimension fantastique de son roman.
Bref, pas vraiment séduite.

Lorsque sa collègue Aurore l'appelle en pleine nuit pour couvrir avec elle un meurtre atroce, David, photographe de presse, se rend sur les lieux du drame. Un fossoyeur pris d'une folie hallucinatoire vient de tuer sa femme et ses enfants avec un fusil à pompe, avant de se donner la mort. le lendemain, un adolescent, se croyant poursuivi par des ombres, menace de son arme les patients d'un hôpital et tue Kristel, la compagne de David.
Mais qui est à l'origine de cette épidémie meurtrière ? Est-ce un homme ou un démon ?
Le journaliste, qui n'a plus rien à perdre, va se lancer à la poursuite de Nathaniel, l'enfant des cimetières, jusqu'aux confins de l'inimaginable...

J'ai beaucoup aimé l'entrée en matière dans cet ouvrage. le prologue est super efficace et nous prend tout de suite à la gorge. L'horreur s'installe immédiatement, mélangée à une ambiance pour le peu malsaine.
Et puis l'enquête policière commence immédiatement. On entre immédiatement dans le vif du sujet. J'ai également aimé l'intrigue qui m'a tenue en haleine jusqu'au dénouement. D'une part, car celle-ci est très bien ficelée, l'auteur ne délivrant des indices qu'au fur et à mesure en avançant dans l'histoire. Mais également pour son côté fantastique. Car jusqu'au bout, je n'étais pas sûr de savoir ce qui était réel et ce qui tenait du surnaturel. Quels éléments étaient rationnels, et les quels étaient irrationnels.
Sire Cédric nous balade avec une aisance déconcertante entre ces mondes réels et surnaturels. Et cela accentue l'aspect très angoissant de ce roman.
J'ai notamment apprécié l'évolution du commandant Vauvert, personnage fort attachant. Au début du roman, ce policier fait figure de personnage secondaire. Mais au fil des pages, sa présence sera de plus en plus marquante, pour finalement apparaître comme un personnage principal.
J'ai par ailleurs aimé la relation entre David et Kristel. Une relation pleine de tendresse et d'amour qui tranche avec l'intrigue très angoissante. Toutefois, si leur amour est attendrissant, il n'est absolument pas du tout mièvre.
J'aime particulièrement le style d'écriture très visuel de l'auteur, qui est très cinématographique. Je m'imaginais parfaitement chaque scène décrite. Et c'est d'ailleurs ce qui renforce son côté horreur.
"L'enfant des cimetières" est une oeuvre horrifiquement palpitante, mêlant l'aspect policier et thriller fantastico-ésotérique que je vous recommande hautement.

Je découvre Sire Cédric avec ce titre.
Et Wahouuuu ! ! ! Quel livre!
J'ai adoré !
L'histoire est addictive, le style est parfaitement maîtrisé !
Tous les ingrédients sont représentés pour ne nous laisser aucun répit. Nous " vivons" l'histoire avec ses personnages. Frissons, malaise, peur, adrénaline, et enfin la délivrance, tout y est ! !
Difficile de lâcher ce livre une fois ouvert !
Je le recommande d'urgence ! !

Une histoire passionnante et palpitante. Dès le début on rentre dans l'histoire. C'est mon tout premier roman de cet auteur. Autant vous dire que ce n'est pas le dernier. C'était un très bon thriller. J'ai adoré. C'est un livre que j'ai dévoré.
Tout commence par le massacre d'une famille. le commissaire vauvert, les journalistes Aurore et David vont connaître le terrible enfer. Ils seront aidés par Christelle la petite amie de David. L'enfant des cimetières une légende urbaine, une histoire de fantômes qui ont ces lieux de repos éternel. Mais pas si reposant finalement.