Millénium, tome 7 : La Fille dans les serres de l'aigle

Lisbeth doit recevoir une nièce qu'elle n'a jamais vue. En effet, Svala, qui est une adolescente débrouillarde, se retrouve seule suite à la disparition étrange de sa mère. de son côté, Mikael s'apprête à assister au mariage de sa fille, avec le conseiller municipal Henry Salo. Ce dernier semble être mêlé à des affaires douteuses de pots de vin en ce qui concerne l'établissement d'un parc éolien qui pourrait provoquer le délogement des certaines personnes habitant le territoire convoité.

Je vais m'arrêter là quant au synopsis, ce roman étant très complexe. L'auteure va donc reprendre la saga Millénium et c'est une véritable réussite. J'ai trouvé qu'elle avait réussi à garder l'essence même des personnages, et à créer une intrigue qui va à toute vitesse.

D'emblée, j'ai été prise dans cette histoire pas toujours simple. C'est pourquoi il faut rester bien attentif, puisque de multiples ramifications nous amènent de pistes en pistes et beaucoup de personnages seront présents tout au fil des pages.

Ce roman peut bien évidemment se lire indépendamment des autres tomes, mais malgré tout, je ne peux que vous conseiller de découvrir les précédents, puisque bien évidemment, les personnages ont une évolution au fil des tomes.

La plume de l'auteure m'à beaucoup plu. J'y ai retrouvé beaucoup d'entrain et de rythme, notamment grâce à de courts chapitres. Les pages ont défilé.

Un premier tome de l'auteure pour poursuivre cette saga. C'est très réussi et j'ai passé un excellent moment de lecture.
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Que dire ?
Grosse déception. J'ai trouvé ce tome totalement nul et inutile. Je me suis perdue au milieu de ces petits intermèdes en italique qui surviennent à tout bout de champ, coupant le rythme de lecture, me laissant à chaque fois confuse.
Ça passe du coq à l'âne sans aucune logique.
L'histoire est aussi barbante que les livres de Ken Follet et autres écrivains divinement banals. Lisbeth qui a une nièce, et hop ! Une gamine surdouée de 13 ans qui déglingue de gros bêtes et méchants comme s'ils étaient de simples petits lapinous fragiles.
Des personnages sans contours (je pense au nettoyeur), qui s'avère être le frère de S… Et qui va l'avouer à un gosse de 10 ans, qu'il est censé tuer, mais qu'il ne tuera pas, tout en priant Dieu le père de le laisser vivre. (Oui, carrément !)
Un mic mac débile, brouillon, mal écrit, qui reprends l'histoire de Lisbeth et Mickael avec des retours sur les 3 premiers tomes. Mais comme ça fait un bail que je les ai lus, sans compter les dizaines de livres lus entre temps, impossible de m'y retrouver.
Et Lisbeth de tomber amoureuse d'une fliquette….
Et Mickael qui marie sa fille et se fait un mea culpa, crise de la 50 aine…. Bheuuuu
C'est nul ! Punaise la claque !
J'ai envie de dire, c'était mieux avant.
Un conseil, si on ne vous l'offre pas, n'allez pas dépenser 20 balles pour cette niaserie.

Les héros de roman noir sont fatigués. Je le constatais récemment dans ma critique consacrée à Ombres et Poussière d'Antonio Manzini. Comme Walt Longmire, Rocco Schiavone, Dave Robicheaux, Salvatore Montalbano, Harry Bosch et bien d'autres, Mikaël Blomkvist  n'a plus la forme dans le dernier opus de la série Millenium, premier d'une nouvelle triogie due à la plume de Karin Smirnoff, qui succède ainsi à Stieg Larsson, puis à David Lagerkrantz.
A vrai dire, ce n'est pas trop grave. D'abord, celui-là, je l'aimais moins que les autres, en raison de ses opinions politiques, et peut-être aussi par jalousie ; les lecteurs hommes me comprendront.
Et surtout Lisbeth Salander, la véritable héroïne de la série au moins depuis La fille qui révait d'un bidon d'essence et d'une allumette, est toujours égale à elle-même ; elle se trouve même peut-être une alter ego ; mais chut, ne spoilons pas !
Blomqvist, donc ; dans ce volume, il ne fait plus grand chose ; le dernier Millenium a paru, et son journal ne survivra que sous forme électronique ; il ne comprend pas trop ce qui se passe, et n'a pas la moindre conquête féminine ; même les femmes de sa vie l'ont provisoirement abandonné. Il ira peut-être mieux dans les tomes suivants, qu'on attend avec impatience ; d'abord parce que tous les fils de l'intrigue sont loin d'être dénoués à la quatre cent trente deuxième page, où on craint toujours pour la vie des héros (enfin, pas celle de Lisbeth, quand même ; cette fille est en acier inoxydable), et ensuite parce que finalement, ça n'est pas mal du tout.
L'intrigue, il est inutile d'en parler, la quatrième de couverture en dit suffisamment. Disons seulement qu'elle est bien glauque (comme le grand nord suédois semble l'être, j'en frisonne rien que d'y penser ! Ce climat, cette neige, ces solitudes glacées, ces hivers sans lumière...), qu'il y a des méchants vraiment très méchants, un surtout, original à plus d'un titre, notamment celui-ci : ce n'est pas un banal néo-nazi comme on en rencontre quand même quelques-uns dans le livre (il faut bien respecter les règles de la franchise Millenium et taper un peu sur les méchants Démocrates de Suède), mais un écolo-nazi (ça existe dans la réalité, voyez Peter Singer) ; c'est encore beaucoup plus méchant, mais je ne vous dirai pas pourquoi.
Au fait, oui : la tonalité politique de la série s'est quand même bien droitisée ; et on reste écolo, mais c'est une écologie qui me plait, celle de la bio-diversité : on soutient les éleveurs de rennes sami contre les méchants qui veulent construire mille cent éoliennes sur leurs terres ancestrales.
Bref, à lire ? Mais oui, sans hésiter, malgré quelques descriptions d'horreurs dont on aurait pu se dispenser.

Après la première trilogie de Stieg Larsson, puis celle de David Lagercrantz, c'est Karin Smirnoff qui reprend maintenant le flambeau pour trois nouveaux thrillers. Ce nouvel opus est traduit du Suédois par Hege Roel-Rousson, et il toujours publié chez Actes Sud, dans la collection Actes noirs.

Nous voici de retour aux côtés de Mikael Blomkvist et de Lisbeth Salander. Alors que le premier rejoint sa fille pour assister à son mariage, la seconde apprend l'existence de Svala, la fille de son demi-frère. Si Lisbeth est une tante inhabituelle, sa nièce l'est tout autant et ne dépareille pas dans la famille. Douée d'une intelligence remarquable, elle va se retrouver à prêter main forte à Lisbeth... ou inversement, qui sait ? le journaliste d'investigation va de son côté faire la connaissance de son futur gendre et ira de surprise en surprise. Chacun d'eux trouvera sur son chemin des personnages puissants et peu recommandables. Seront-ils à nouveau amenés à conjuguer leurs talents ? La chance restera-t-elle de leur côté ? A force de trop tirer sur l'élastique...

Selon moi, Karin Smirnoff réussit haut la main à reprendre le flambeau de cette saga vendue à plus de cent millions d'exemplaires dans le monde. On y retrouve les points forts des six autres romans avec notamment un suspense grandissant et des personnages auxquels je me suis attaché. Malheureusement, on a aussi ce qui apparaît pour moi comme étant quelques uns des mauvais côtés de Millénium avec par exemple pas mal d'informations à assimiler (sociétés, personnages, interactions) et des patronymes auxquels je ne suis toujours pas habitué, sans oublier un début beaucoup trop lent à mon goût. En revanche, quand on est au coeur de l'action, cela devient un véritable "page turner" qu'on ne peut plus lâcher... mais encore faudra-t-il aller jusque-là !

Je suis un fan des aventures de Lisbeth et de Michael, et donc, quand j'ai vu ce septième tome, je n'ai pas pu résister et je l'ai donc acheté. Probable que je réagisse de la même manière pour les suivants.

Après, bien entendu, c'est moyen, voire un peu moins que moyen. On voit bien que l'autrice a tenté de s'inscrire dans l'esprit des 3 premiers tomes. C'est difficile.

L'autrice s'efforce de faire intervenir de nouveaux personnages, c'est louable. On verra ce que ça donne pour la suite.

Voilà, ne tirons pas sur l'ambulance.

Quatre ans.
Quatre ans qu'on attendait le retour de Lisbeth.
Et même si la deuxième trilogie n'avait pas vraiment su convaincre, peu importe, Millenium reste Millenium. Vous allez vous demander si on doit ABSOLUMENT avoir lu les précédents tomes avant d'entamer ce nouveau roman ? Je vous répondrai qu'effectivement les personnages évoluent au fil des enquêtes. MAIS les mentions d'autres enquêtes sont parfaitement amenées si bien que non, vous ne serez pas perdu(e)s si vous n'avez pas lu le tome 6. de toute façon, quatre ans après, qui se souvient exactement de tout ce qui a pu se passer dans le précédent ?
Cette année c'est une femme qui reprend le flambeau et entame une nouvelle trilogie : Karin SMIRNOFF. Je vous conseille d'ailleurs d'aller sur le site d'Actes Sud où vous pourrez visionner une vidéo de l'auteure qui vous parle de son roman, d'elle et de son pays. Très intéressant.
La fille dans les serres de l'aigle replace d'entrée la saga en haut du hit-parade des meilleurs polars Suédois. On retrouve enfin le rythme, la psychologie des personnages créés par Stieg Larsson et dont la seconde trilogie s'était un petit peu éloigné. A la décharge de David Lagercrantz, il était très attendu au tournant et il n'est jamais bon de comparer deux auteurs. Stieg Larsson a ses aficionados mais c'est quand même génial de pouvoir retrouver ses personnages. Karin Smirnoff lui rend hommage avec brio.
L'histoire se déroule à Gasskas, dans le nord de la Suède où vit l'auteure, et dont Henri Salo est le maire mais aussi un industriel qui a pour voeu de développer un immense parc éolien sur les lieux d'élevage des rennes en expropriant, en menaçant, des gens du village qu'il connait, parfois, depuis sa plus tendre enfance. Mais en dehors de ses fonctions, Salo est aussi le futur gendre de Mikael Blomkvist, l'ancien journaliste du Millenium devenu un podcast et nostalgique de ces années passées auprès de Lisbeth.
Cette dernière, toujours aussi solitaire, se voit confier une ado indomptable pour un certain temps… à Gasskas.
Le duo va se reformer pour faire face à des magouilles et des cadavres plus ou moins anciens.
Comme je le disais, c'est très rythmé, le style est totalement adapté au scénario.
Le message écologique est également très présent, l'énergie éolienne encore une fois pointée du doigt. Là encore on voit bien qu'il est compliqué de concilier avancées technologiques et recherches d'énergies alternatives aux énergies fossiles avec préservation de l'environnement et protection des élevages.
Karin Smirnoff nous promet avec ce septième volet une nouvelle trilogie de qualité et si Millenium n'est plus, Mikael et Lisbeth sont toujours là.
A lire chez Actes Noirs et à suivre donc…

Lien : http://www.evadez-moi.com/ar..

Merci à Babelio et aux éditions Acte Sud pour l'envoi de ce tome 7 de Millénium, tome que je trouve bien réussi, alors que je n'ai pas lu le 5 et le 6.
J'ai retrouvé avec grand plaisir Lisbeth qui doit garder sa nièce Svala, 13 ans, dont la mère vient de décéder. Notre Lisbeth arrive donc dans la ville de Gasskas, au Nord de la Suède, proche des rennes et loin de tout, pour découvrir une pré-ado qui est aussi peu ordinaire qu'elle, un petit double, qui a la particularité de ne ressentir aucune douleur et a une intelligence bien au-delà des normes. Et il faut cela pour faire face à tout ce qui va se passer dans ce livre puisque le projet d'un immense parc éolien divise la ville, attise convoitise, mafieux qui ne reculeront devant rien.
Et puis nous avons également Michael Blomkvist, venu également à Gasskas pour y marier sa fille avec le maire Henry Salo, partie prenante dans le projet éolien, magouilleur et chargé d'expulsé les derniers résistants des arpents de terre dont ils ont besoin pour le projet.
Michael et Lisbeth se retrouvent donc mais Lisbeth est heureusement plus au coeur de l'action. le tout forme un roman policier agréable, des méchants, des gentils, des sujets actuels, de la sympathie pour des personnages comme Lisbeth et Svala évidemment mais aussi Märta ou Jessica et c'est pour moi très important. de la bonne détente.

7ème tome des aventures de Lisbeth Salander et je me pose cette question existentielle : ne serait-il pas temps de la laisser reposer en paix ?
Il est vrai que la punk rebelle de Stieg Larsson n'avait déjà plus la même saveur depuis que son créateur nous avait quittés. La 2ème trilogie nous avait déjà présenté une Lisbeth quelque peu aseptisée et un Blomkvist moins pugnace.
Ici, on nous fait le grand plan de la relève (assurée à juste titre ou pas) par un nouveau personnage qui nous suggère que l'arbre généalogique de Lisbeth ressemble à la grande famille des influenceurs : on pense qu'on sera tranquille mais on en découvre toujours des nouveaux!
Ajoutez à cela une intrigue vraiment pas fofolle et il ne reste vraiment que le plaisir de retrouver ces quelques personnages de la saga qui nous ont tant marqués dans les 1ers tomes.

La fille dans les serres de l'aigle de Karin Smirnoff, présentation
Le nettoyeur vit seul dans la forêt. Il n'est rien. Il s'occupe à donner à manger aux aigles. Il observe la nature. Une seule personne a son numéro de portable. Il doit accomplir une nouvelle mission. On lui livre une femme, il peut en faire ce qu'il veut.

Avis La fille dans les serres de l'aigle de Karin Smirnoff
#Millenium7


Et le premier d'une nouvelle trilogie. J'ai profité de ma Kube Majuscule pour le recevoir car j'avais lu la sortie de ce nouvel opus. En quelques lignes, cela ne valait pas le coup de faire une nouvelle suite à Millenium. J'avais pas mal aimé les trois précédents opus.


Premier point, je ne me rappelais pas que Mikael avait une fille, Pernilla. Deuxième point, je ne me rappelais que Lisbeth avait tué son demi-frère.

Svala est une jeune adolescente de 13 ans, qui attend le retour de sa mère. Elle arrive à décoder tous les systèmes à nombres et elle ne ressent pas la douleur. Elle est utilisée pour ses facultés par l'ancien compagnon de sa mère qui souhaite retrouver tout l'argent qu'il a investi.

Mikael est invité au mariage de sa fille. Il ne connait pas son gendre. L'été précédent, il a passé quelques semaines avec son petit fils. Mikael n'a plus aucune relation avec Erika car Millenium c'est fini et il ne veut pas s'y faire.

Lorsque Mikael rencontre son gendre, il a très vite compris à quel type d'homme il a affaire. Une sorte de maire de sa commune qui essaie d'oeuvrer tant et plus pour le bien de ses administrés mais aussi pour le sien, en tentant de récupérer des contrats qui vont asseoir son autorité, son pouvoir. Après une enfance chaotique auprès d'un père v!olent, il s'est fait tout seul, sans l'aide de sa famille, ni de son frère car à un moment de leur adolescence, ils ont été placés. Mais les enjeux sont très importants avec cette énergie verte, qui va permettre à la Suède de pouvoir produire de l'électricité et d'avoir des entreprises qui vont investir. Mais une poignée d'irréductibles veulent contrecarrer ce projet car cela va défigurer la nature et chasser les animaux.

Svala retrouve sa grand-mère morte, elle est maintenant seule au monde, sauf que les services sociaux ont retrouvé sa tante qui n'est autre que Lisbeth. Les services sociaux demandent à cette dernière de s'occuper de sa nièce. Après avoir tergiversé, elle accepte pour quelques jours et au fur et à mesure du roman, elle va se prendre d'affection pour cette jeune fille qui lui ressemble, qui a besoin d'aide pour retrouver sa mère, qui est très intelligente et insensible à la douleur, elle se moque de qui meurt ou pas. Toujours en thérapie, Lisbeth va se découvrir une fibre familiale. Libeth en veut toujours à Mikael, mais leur enquête va les amener à se recontacter, se retrouver, surtout lorsque le petit fils de Mikael est enlevé.

Un cocktail explosif avec un homme qui veut assouvir ses fantasmes, maintenir son pouvoir occulte, un jeu de pouvoir, de pots-de-vin avec en ligne de mire le bien de la planète. Ceux-là ne s'occupent pas du bien de ceux qui n'auront plus rien.

J'ai bien aimé retrouver Lisbeth et ses relations avec sa nièce, Svala, laquelle retrouvera la famille de sa mère mais conservera des liens avec sa tante. Les retrouvera-t-on dans un prochain tome ?

Ce roman ne m'a fait ni chaud, ni froid. Je n'ai eu aucune difficulté à le lire, mais je me rends compte qu'il m'est très difficile d'en écrire une critique réellement constructive. Millenium évolue avec le temps, les scandales politiques, l'actualité de la planète. Les journaux tendent à disparaître mais pour le moment, pas les livres. Les personnages ont également évolué, ils tendent à être moins présents, comme Mikael, mais ils sont remplacés par d'autres, comme Slava. Quand je commence des séries, il m'est difficile de dire stop, même si les romans ne remportent pas forcément mon adhésion. Par conséquent, je lirai les deux suivants et j'espère que ce sera beaucoup mieux.
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Oh que ce fut agréable de retrouver Lisbeth Salander, loin de Stockholm, dans le Nord de la Suède, là où l'électricité bon marché, les anciennes mines où on peut encore trouver de bonnes choses à récupérer attisent les convoitisent ... 

Lisbeth a (un peu) vieilli, s'est assagie (enfin juste un peu) et se retrouve maintenant avec une ado dans les pattes : Svala, (la fille de son frère, un des méchants d'un tome précédents) dont la mère vient de disparaître. 

Mikael Blomqvist, se trouve dans la même ville où sa fille est sur le point de se marier avec un responsable municipal, qui s'avère être un peu véreux et subit le chantage de grands méchants qui veulent mettre la main sur des terrains protégés. 

Un roman qui change totalement de ton avec les trois précédents.

Ici, Karin Smirnoff s'ancre dans la terre du nord pour nous faire partager les problématiques des éleveurs de rennes dont les terres sont convoitées par plus forts qu'eux, sur l'arrivée de gangs stockholmois qui répandent drogues et violence sur ces territoires rudes qui n'avaient pas besoin de ça. 

Elle nous offre de plus, une nouvelle facette de Lisbeth, qui se retrouve à 'materner ' une ado qui lui ressemble finalement beaucoup ! 

Un seul bémol, Mikael n'apparaît que de loin en loin dans ce roman et davantage en tant que grand-père que comme journaliste. Mais en ces temps de disparition de nombreux titres de presse papier, quelle place reste -t-il aux journalistes d'investigation ? L'écriture de "non-fiction", de documentaires vidéo ? Problématique de fond, déjà évoquée par Jakub Szamalek dans 'Datas sanglantes' ... 

Je remercie vivement les Editions Actes Sud et Babelio qui m'ont offert cet ouvrage et m'ont permis de rencontrer l'auteur, mardi dernier 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..