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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Angelo DA CANOSSA apprend peu à peu que l'enfance de Cesare a été difficile. Son père n'est autre que le cardinal Rodrigo BORGIA qui a « fait une entorse » à ses voeux de chasteté, donc la mère de Cesare est considérée comme une putain. Tout petit, il en a été séparé pour recevoir une éducation digne de ce nom, mais au prix d'une énorme souffrance. Sa mère lui manque tant, qu'un jour Rodrigo ramène avec lui un enfant du même âge et ils vont devenir très proches : Miguel.
Cesare a emmené Angelo de l'autre côté du fleuve et les choses ont failli se terminer de façon tragique. le deuxième tome s'ouvre sur les regrets d'Angelo qui va retrouver Cesare dans la cathédrale de Pise pour s'excuser.
Cesare lui explique alors comment fonctionne les clans à Rome. On voit donc apparaître tous les protagonistes : Rodrigo Borgia qui veut être le futur pape, le cardinal DELLA ROVERE qui vise la tiare aussi, et qui intrigue par l'intermédiaire de Monseigneur RIARIO (qui héberge Cesare, on s'en souvient) et de l'autre côté la Fiorentina avec Lorenzo DE MEDICIS dont le frère et un fils ont été assassinés sur l'ordre de DELLA ROVERE et son fils Giovanni. Tout ce petit monde complote tandis que le pape .
Pendant ce temps, Miguel oeuvre dans l'ombre, avançant ses pions pour que son père soit élu.



Ce que j'en pense :

L'intrigue se met en place et dans ce deuxième tome, on a une place prépondérante laissée à l'histoire, les alliances entre les grandes familles, les haines, donc on voit de plus près les cardinaux dont les visages et les corps sont bien plus imposants, au niveau du dessin : autant la silhouette de Cesare est fine, harmonieuse avec son visage d'adolescent presque encore, autant Rodrigo est massif, imposant, austère et il en est de même pour DELLA ROVERE ou RIARIO, Lorenzo est différent, plus élégant.
On voit la chapelle Sixtine comme l'a imaginée Fuyumi Soryo avant sa transformation par Michel Ange, avec un gros travail de rechercher au niveau historique. Les bâtiments sont toujours aussi beaux que l'on soit à Pise (T1) ou à Rome comme ici.
On voit apparaître Christophe COLOMB qui vit du commerce et commence à envisager son départ pour « les Amériques », essayant de recruter des marins. En fait on s'attend à voir apparaître toutes les personnes ayant eu une influence à cette période et on n'est pas déçu….
On aborde aussi la Reconquista qui risque de modifier les échanges commerciaux, donc les spéculations.
La magie opère toujours, les dialogues sont plus compliqués car l'Histoire entre par la grande porte, on n'est plus dans les querelles estudiantines même si on assiste à une joute verbale intéressantes entre les étudiants en cours.
Ce deuxième tome se déguste comme le premier, avec gourmandise ; on n'a pas envie d'avancer trop vite, les décors sont beaux les personnages riches en couleurs (2 planches sont en couleur) et on a envie de s'y promener avec Cesare dont le sens aigu de la politique, du commerce nous laisse admiratif étant donné son jeune âge.
J'attends le troisième avec impatience !!! il est sur ma table de chevet bien-sûr !!!
Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Que du beau monde dans ce deuxième tome ! Christophe Colomb, Leonard de Vinci, et nous faisons enfin la connaissance de Rodrigo Borgia, le père de Cesare - le héros éponyme donc. Mais plus que le cardinal, c'est surtout ses alliées et ses ennemis que nous nous familiarisons.

Ah le pouvoir... Celui pour qui tous sont susceptibles - et prêts ! - de périr. Heureusement, les Médicis et surtout les Borgia sont passés maîtres dans l'art de comploter, manipuler, manigancer et acheter les alliés qu'il faut à n'importe quel prix. le but ? S'élever dans les plus hautes sphères du pouvoir et placer ses "pions" (simples alliés ou membres de la famille) à des postes stratégiques. Et pour le garder, peut-on se dire que la fin justifie les moyens ? Visiblement, les Borgia ont décidé que oui !

Borgia : un nom qui fascine autant qu'il fait frémir, et ce deuxième tome ne va pas démentir ce fait. Plus d'intrigues et plus de complots qui s'invitent au Vatican. On s'enfonce de plus en plus dans les coulisses de pouvoir et tout ce qu'il faut pour le garder... Et ce n'est pas Dante et sa Divine Comédie qui contrediront ces familles .

J'ai encore plus aimé ce tome que le précédent, peut-être parce qu'Angelo l'ingénu passe au second plan et cette fois c'est Cesare qui est mis en avant. On apprend aussi des choses intéressantes sur l'ascendance de Miguel le serviteur de Cesare. Et on comprend pourquoi il est encore plus révulsé que les autres par les discours des fanatiques religieux.
Et les graphismes sont toujours aussi saisissants. Une jolie visite guidée dans le Pise de la Renaissance ! Et les scènes de batailles sont ici beaucoup plus dynamiques.

Vite le troisième tome !

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Dans ce tome, apparaissent de nouveaux personnages historiques: Borgia père, Laurent de Médicis et Léonard de Vinci.
Toujours servi par un graphisme délicat, cet manga colle de très près à L Histoire, avec un regard très intime qui nous permet d'entrer dans la vie des personnages.
Intrigues politiques, familiales et rivalités; il n'y a pas de temps morts dans cette histoire.
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Un tome deux de Cesare aussi captivant que le premier. J'apprécie autant les dessins que l'aspect pédagogique de l'histoire.
Angelo, qui vient d'arriver à l'université de Pise, se met toujours autant les pieds dans les plats du fait qu'il se dit ignorant des bons usages du monde. Mais est-ce bien vrai? Il est pourtant très intelligent et sensible.
Sa visite dans les bas fonds de la ville le perturbe et l'amène à se questionner sur les mauvais traitements réservés aux gens de basses classes par les dominicains. Belles réflexions sur le salut que propose les ordres religieux.
Un chapitre propose un débat très intéressant entre Giovanni de Médicis, Cesare Borgia et notre naïf Angelo sur les interprétations de la « Divine comédie » et le rôle de la ville de Pise dans l'oeuvre de Dante. C'est suffisant pour me donner le goût de mettre mon nez dans cet ouvrage que je ne connais que de nom.
C'est un travail remarquable de la part de Fuyumi Soryo et Motoaki Hara à la réalisation de ce manga, retrouver l'ambiance de la Renaissance dans les dessins et l'équilibre entre réalité et fiction dans les textes.
Le tome trois suivra bientôt assurément!
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Le 1er tome de Cesare m'avais conquit en tout points.
L' Italie de l'époque est représentée à la perfection, il faut dire que l'histoire est supervisé par Motoaki Hara enseignant à l'université des arts libéraux de Tokyo.

On retrouve donc Angelo qui fit la connaissance de Cesare Borgia, fasciné par ce dernier, Angelo apprit les durs lois de la réalité par Cerare.
Le fis de Rodrigo (futur pape Alexandre VI) garde un charisme irréprochable et je suis curieux de voir comment le personnage va évoluer au fil des tomes, il est tellement crédible, rusé dans ses propos et dispose d'une grande intelligence notamment en proposant des plans à ses interlocuteurs tel un stratagème.
En parlant de Rodrigo, celui ci entre en scène et une partie de l'histoire se consacre au père de Cesare, je trouve même qu'il est bien représenté il me rappelle le Rodrigo de la série TV BORGIA que je vous conseille.

Des personnages emblématiques font leur apparition et cela fait plaisir de les rencontrer.

Le 1er tome a posé les bases de l'histoire, ce tome 2 apporte son lot de nouveauté et on suit l'ascension de Cesare avec beaucoup de plaisir.
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"A lutter chaque jour contre la faim on finit par devenir capable de tout.", voilà une phrase importante à retenir de ce deuxième volet du manga consacré à Cesare Borgia.
A la fin du premier tome, le lecteur avait quitté Angelo et Cesare en plein coeur du quartier pauvre de Pise, car pour Cesare : "Mais pour comprendre la vraie Pise, plutôt que de longs discours mieux vaut l'expérience du terrain !".
Mais les ennuis s'accumulent et il est désormais question des Dominicains et des luttes entre les différentes familles influentes.
Cesare éprouve une haine envers les Dominicains qu'il tient pour responsables de la pauvreté de certaines personnes : "A croire que la souffrance et la peur sont indispensables à la survie de cette église.", des mots durs dans la bouche d'un jeune homme de dix-sept ans lui-même homme d'église.
Au-delà des luttes et des haines entre les différents clans, ce deuxième volume est aussi l'occasion de croiser des personnages prestigieux comme Christophe Colomb au port de Pise ou Léonard de Vinci à Florence.

Dans ce deuxième tome, l'intrigue évolue et le personnage d'Angelo s'efface au profit de celui de Cesare dont le lecteur découvre l'enfance, sa rencontre avec Miguel et les racines de cette relation si particulière entre les deux jeunes hommes.
C'est également l'occasion de présenter en parallèle Rodrigo Borgia à Rome, en train de comploter pour devenir pape et utilisant pour cela son fils et ses relations à Pise.
Le jeu des intrigues amène même Cesare à se rendre à Florence pour nouer de nouvelles alliances et assurer à son père son succès à venir.
Mais à Florence, il y a aussi le sublime "Printemps" de Botticelli que le lecteur peut admirer comme le personnage, le déroutant Léonard de Vinci qui intéresse au plus haut point le jeune Cesare Borgia ainsi qu'un prêcheur public déversant sa haine des Médicis, Borgia et autres familles puissantes : Savonarole.
Pour qui a été à Florence ou connaît l'histoire de cette ville, ce sont autant de noms qui ne sont pas inconnus.
A noter que Pise n'est pas non plus en reste, j'ai particulièrement apprécié les dessins de la cathédrale dans la Cour des Miracles, un ensemble de monuments qu'il est toujours possible d'admirer en l'état actuellement.
Mais ce qui m'a le plus intéressée, c'est toute la partie consacrée à un cours sur "La divine comédie" de Dante, avec une joute verbale entre Angelo et Cesare sur le pouvoir des plus captivantes : "J'affirme que quel que soit le type de pouvoir, tant que l'ordre règne, le peuple n'a d'autre choix que de s'y plier ... le problème réside dans la qualité de l'homme qui arrive à sa tête !".
La fascination que l'un exerce sur l'autre s'arrête à l'expression des sentiments de chacun, c'est une confrontation intéressante car jusqu'à présent Angelo était sous le charme de Cesare et n'existait pas réellement.
Ici, il s'affirme et laisse à penser que son rôle ne s'arrêtera pas à celui de simple observateur.
Comme dans le précédent tome, la documentation est riche ainsi que la bibliographie en fin d'ouvrage qui présente une notice de grand intérêt sur Dante et "La divine comédie".

Ce deuxième volume de la série "Cesare" tient toutes ses promesses et Fuyumi Soryo, sous la supervision de Motoaki Hari, a décidé créé une série talentueuse et captivante dans l'univers littéraire du manga.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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C'est avec un frémissement d'excitation que j'aborde ce deuxième tome d'une série qui m'a totalement emballé, et ce dès les premières pages. L'intrigue de l'histoire se met petit à petit en place, les alliances apparaissent, les complots aussi, avec Cesare en personnage central, pour mon plus grand plaisir.
Nous retrouvons Cesare et Angelo dans les quartiers les plus pauvres de la ville de Pise. Une imprudence d'Angelo manque de les faire tuer (la maladresse de ce personnage est hallucinante, j'en suis mortifiée pour lui à chaque fois) tous les deux mais Miguel veille au grain. le jeune florentin se remet difficilement de cette escapade. Dans le même temps, il en apprend plus sur Cesare dont l'enfance a été difficile, séparé de sa mère, et surtout en tant que fils reconnu du cardinal Borgia. On comprend que malgré son jeune âge Cesare s'est endurci et fait tout pour servir les intérêts de son nom, quitte à manipuler les gens autour de lui pour servir ses intérêts. Pourtant, je trouve que Cesare reste un personnage vraiment attachant (malgré certains de ses comportements). Sa rencontre avec Léonard de Vinci reste, pour moi, un moment fort de ce livre, qui nous permet de découvrir l'adolescent qu'est encore Cesare Borgia. On découvre également qu'Angelo affirme son caractère, y compris face à Cesare, lors de la discussion sur la Divine Comédie de Dante. Jusqu'ici c'est un personnage qui était resté un peu passif et c'est très plaisant de le voir prendre toute sa place dans cette "amitié" qui se construit entre Cesare et lui.

Et c'est donc avec le même frémissement d'excitation que je referme ce livre, impatiente d'avoir la suite.
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C'est en lisant le blog " les quotidiennes de Val" que j'ai découvert ce manga . Autant vous dire que je ne suis pas du tout une lectrice habituelle de mangas, ma seule expérience étant "Quartier lointain " de Jiro Taniguchi que j'avais trouvé sympathique mais qui n'a pas été une révélation .

Dans le cas de Cesare mon attention a été attirée car il raconte l'histoire de la famille Borgia durant la renaissance italienne, l'ancrage historique en plein XVème siècle m'a intéressée.

Avant de vous résumer l'histoire, je tiens à vous dire que j'ai été bluffée par la qualité des recherches historiques tant du point de vue iconographique que bibliographique . La liste des références en fin de volume en témoigne et la supervision de l'ouvrage par l'historien Motoaki Hara, spécialiste de la littérature et de l'histoire italienne, enseignant l'université de Tokyo donne tout son crédit au récit.

J'ai donc découvert un manga aux dessins et reproductions d'une qualité et d'une finesse de trait incroyable avec une justesse historique dont on ne peut douter .

J'ai débuté la lecture et n'ai pu la lâcher qu'à la fin du 2ème tome, même le vocabulaire utilisé par les personnages est châtié.

Voici le résumé des tome 1 et 2 :

Angelo Da Canossa, jeune petit fils de tailleur de pierre, arrive à la célèbre université de Pise, La sapienza, parrainé par Lorenzo de Médicis qui a repéré son potentiel.

Cette université dans laquelle il va suivre l'enseignement du droit canon est fréquenté par les plus grandes familles européennes dont les Médicis et les Borgia, les dominicains. Les étudiants se regroupent selon leur région d'origine et ne se mélangent pas entre eux, Angelo fait parti de la Fiorentina et Cesare du cercle des espagnols.

Angelo qui par sa naîveté commet gaffes sur gaffes, s'attire les foudres des différents cercles et doit apprendre les règles qui régissent l'université et cette ville.

Cesare, contre toute attente, prend en amitié Angelo et apprend à ce jeune homme innocent les rivalités politiques, religieuses et commerciales qui régissent la ville de Pise.

Ce premier tome met en scène les principaux protagonistes de l'histoire et le contexte historique et religieux de l'époque.

Dans le deuxième tome, l'amitié entre Angelo et Cesare Borgia se renforce en dépit de leurs différences de milieux sociales et géographiques.

Nous découvrons dans ce deuxième tome tous les dessous des rivalités religieuses, les complots et machinations pour faire élire le pape dans sa propre famille etc...

Dans ce volume apparaissent également d'autres personnages historiques tels que Christophe Colomb et Léonard de Vinci ! Gageons qu'ils auront une part importante dans la suite de cette histoire qui comporte au Japon près de 10 tomes !

Le tome 3 devrait bientôt sortir en France.

Autant vous dire que j'ai hâte de lire la suite et je recommande chaudement à tous les passionnés d'histoire et aux adolescents pour la leur faire aimer, de lire ce manga.

Lien : http://bibliothequedechalipe..
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Dans ce tome 2, on en apprend davantage sur le passé de Cesare et de son entourage, ainsi que sur les rivalités autour de la succession du pape.
Cesare, à 16 ans, se montre entreprenant et rusé pour contribuer à la gloire familiale.
Le scénario est toujours malin et fluide, on mêle histoire, aventure et politique. Très sympa de rencontrer Christophe Colomb en chair et en os ainsi qu'un Léonard de Vinci dans la quarantaine, de découvrir les réalités sociales et politiques de Pise, de visiter la chapelle Sixtine avant les fresques de Michel-Ange.
Les décors sont très travaillés et garantissent une imprégnation historique en plus de celle apportée par le scénario.
Cela se lit tout seul en apprenant plein de choses. Avec en bonus cette fois-ci, en plus de la bibliographie, un lexique et un entretien avec l'auteure et le conseiller historique.
Merci à eux pour ce travail remarquable !
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Dans ce second tome de Cesare, on retrouve les personnages à l'endroit exact où on les avait laissés à la fin du premier. Cette fois, l'histoire se concentre moins sur le jeune Angelo, mais beaucoup plus sur les grandes figures de l'époque.

À Rome, on découvre les cardinaux, en particulier Rodrigo Borgia et son ennemi juré, Giuliano Della Rovere. le ton est donné entre ces deux-là et leur haine, à l'approche de la mort du Saint-Père et du conclave qui s'ensuivra, est plus que palpable, tandis que des alliances s'organisent autour des deux camps.

À Florence, on fait la connaissance du charismatique et amateur d'art Lorenzo de Médicis, ainsi que de l'énigmatique Léonard de Vinci, dont l'intelligence et la finesse d'esprit ne manquent pas de désarçonner Cesare, qui le rencontre en même temps que le lecteur.

Si les personnages principaux du premier tome sont un peu moins présents, ils ne sont pas en reste pour autant. Angelo n'hésite pas à s'opposer à Cesare au cours d'un passionnant débat à la Sapienza, qui revisite L'Enfer de Dante et la sinistre histoire de la Tour de la faim.

La naïveté et la bienveillance du jeune homme sont toujours au rendez-vous, ce qui offre encore quelques situations cocasses, comme lorsqu'il présente ses excuses à un Cesare perplexe, tandis que celui-ci dévoile pour la première fois une certaine part d'ombre.

On en apprend davantage sur son passé, ainsi que sur celui de Miguel, grâce à l'intervention de leur ami Christophe Colomb. Cela met en lumière la relation à la fois fraternelle et complice qu'ils entretiennent tous deux, et lui donne tout son sens.

La culture occupe toujours une place prépondérante dans cette oeuvre, avec les nombreuses références historiques et artistiques qu'elle contient. Beaucoup de thèmes d'époque, tels que la Reconquista, sont abordés, et enrichissent le manga autant que le savoir du lecteur.

Les dessins sont encore plus splendides que dans le premier tome et méritent sincèrement que l'on s'attarde sur eux, en particulier la représentation des lieux tels que la Chapelle Sixtine, que l'on n'aurait su imaginer sans la célèbre fresque de Michel-Ange.

On ne peut que ressortir conquis de ce manga. Il est dense, riche, amusant, esthétique... On passe vraiment un très agréable moment à la lecture et, une fois terminée, on n'aspire plus qu'à entamer la suite.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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