Un Roman pas mal qui mélange romance et policier.
La romance est aussi grosse qu'un éléphant., on sais dés le debut du livre que ça vas ce finir comme ça, il n'y a aucun suspens la dedans.
La partie policier/enquête est elle aussi sans grande surprise, on comprend bien vite qui a fait quoi et pourquoi.
Pour moi le seul gros point négatif serait le manque d'information sur la victime qui semble mise au second plan dés le depart. j'aurai aimer en savoir plus sur lui, qu'on mettent un un peu plus de suspens la dedans.
C'est un bouquin que je recommande mais qui laissera pas mal de lectrice sur leurs faim !
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Un livre policier et roman d'amour. L'enquête se suit même si on devine assez vite le coupable, les motifs sont un peu moins évidents. Distrayant mais cela manque un peu de fun ...
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J’aimerais tant savoir ce qui est arrivé pour que cet étudiant perde la vie, mais la vérité c’est que je suis effrayée par ce que je pourrais découvrir. Il y a certaines choses que je devrais garder pour moi, j’en ai la certitude. Pourtant, j’ignore si ces éléments qui m’obsèdent et ceux dont on m’a parlé se sont réellement produits. Ça me paraît insensé. Incompréhensible. Impossible. Je suis toutefois bien obligée d’admettre que les faits parlent d’eux-mêmes. J’ai eu une relation sexuelle avec Ethan Lewis, il a été assassiné et, selon toute vraisemblance, c’est moi qui l’ai tué.
Je comprends l’incrédulité que je décèle dans le regard sombre du policier. Et quel regard ! Nul doute, il restera longtemps gravé dans mon esprit. Dans ses pupilles noires comme la nuit, je peux lire des éclats d’une intelligence vive. Et dans la robustesse de son corps, je devine une force tranquille. La virilité émane de tout son être ; avec ce genre d’hommes, les femmes se sentent en sécurité, c’est certain. Je perçois aussi un sens de l’humour, même si nous n’avons abordé aucun sujet désopilant.
Dans notre société, la réussite se mesure davantage à ce que vous possédez qu’à ce que vous êtes. C’est un constat désolant, mais assez réel. Cela dit, je pense qu’une part inconsciente de moi avait l’impression d’être parvenue à s’en sortir, à cadrer dans ce que la société espère, en étant avec lui. Ça ne me ressemble pas d’être aussi hypocrite.
Ne parvenant plus à lutter contre mes bas instincts, dès que je m’installe audessus d’elle, j’empoigne son sein et pourlèche avec insistance l’aréole raffermie. Elle cambre les reins en émettant sa satisfaction de la plus sensuelle façon. Docile, elle me permet d’abord de la toucher sans bouger, mais quand ma main glisse de son genou jusqu’à l’intérieur de sa cuisse, elle oscille doucement le bassin. Je me penche pour semer un chapelet de baisers sur ses flancs, son abdomen et entre ses seins, avant de goûter sa bouche.
Même si je ne vivais pas dans le luxe, j’étais heureuse ; j’enseignais, je sortais, je peignais et je profitais de la vie, tout simplement. Mon salaire me rapportait assez, même si, bien sûr, ce n’était nullement comparable à ce que je gagne maintenant. Non, l’aspect financier n’a jamais été une source de motivation pour devenir prof, je voulais plutôt transmettre ma passion à un maximum de personnes. Pour y arriver, tous les moyens servaient mes intentions, enseigner à l’université plus que tous les autres.