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Don't call it mystery tome 1 sur 7
EAN : 9782490676750
192 pages
Noeve Grafx (14/05/2021)
3.89/5   52 notes
Résumé :
C'est un Mystère nous entraîne aux côtés d'un singulier Sherlock Holmes des temps modernes. L'action fait ici place à la réflexion, à l'écoute et à la parole. Totono observe, analyse, déduit et conseille, avec une franchise frôlant parfois l'impertinence. Il pourrait sembler hautain mais n'émet jamais de jugement, quelles que soient ses conclusions. Il est jeune et réservé mais pose une regard éclairé surs ses contemporains.
Et l'on élucide à ses côtés autant... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Visiblement,la police ne fait pas bien son travail car elle arrête un innocent le rendant responsable d'un meurtre dans le quartier. Notre héros Totono ne va pas se laisser faire et va déchiffrer ce mystère tant bien que mal.

Il faut dire que l'inspecteur en charge de l'enquête va vite en besogne pour arrêter notre héros en se basant sur un témoignage sans preuve. Les déductions comportementales sont souvent fausses.

Il est intéressant de voir la capacité de raisonnement de notre héros au visage de poupon. Il garde son calme à toute épreuve. Il parvient à deviner instinctivement ce que les gens autour de lui vivent comme situation dans la vie. L'observation ne fait pas tout !

La mise en scène est parfois assez exagérée ce qui ne rend pas très crédible cette histoire d'un Sherlock Holmes des temps modernes. On retrouve ce qui fait les travers de certains mangas qui versent dans la facilité afin de nous surprendre davantage. C'est même parfois trop bavard mais cela donne une réflexion sur des thèmes comme la notion de vérité.

Pour autant, je dois reconnaître que le dessin reste assez soigné dans une édition de qualité avec une couverture à effet nacré. Je garde ma sympathie pour ce titre grâce au retournement de situation que notre héros a magistralement accompli en exploitant chaque indice.

La mangaka Yumi Tamura a ses adeptes en France avec des titres aux univers pourtant assez éloigné passant du post-apocalyptique à un Conan version mature. Certes, ces enquêtes peuvent apparaître comme sympathique. Néanmoins, il est réellement dommage que les personnages soient tellement caricaturaux et si éloignés du réel.

Ce titre ravira les fans de l'auteure et procurera également du divertissement malgré un côté pas facile d'accès.
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Adolescente puis étudiante, j'étais une grande fan des récits d'aventure de Yumi Tamura, une autrice qui n'a malheureusement pas su trouver son public chez nous en France, probablement à cause d'un trait auquel les lecteurs n'étaient pas habitués mais que je trouve plein de charme. Ainsi même si j'ai pu aller jusqu'au bout de Basara avec délectation, ce ne fut pas le cas pour son second titre : 7 Seeds qui fut abandonné au bout de 10 tomes sur plus de 30...

Je ne m'attendais donc absolument pas à voir revenir l'autrice chez nous, mais en 2021, Noeve Grafx nous a fait la belle surprise de sortir en vf l'une de ses dernières séries en cours : Don't Call It Mystery qui met en scène un héros aux allures de Sherlock à la japonaise. Publié dans le magazine Flowers qui appartient à la Shogakukan, ce josei a tout pour plaire au plus grand nombre : un habillage de polar/thriller moderne, un héros dans les codes actuels du genre, et une édition vraiment très très soignée dont j'ai notamment adoré la traduction avec ses jeux de mots bien trouvés ! Je croise donc fort les doigts pour que l'autrice trouve son public cette fois chez nous.

Don't Call It Mystery est cependant très différent de la production de l'autrice qui est arrivée chez nous jusque là comme le mentionne le bandeau de l'éditeur. Nous la retrouvons dans "un registre complètement nouveau" pour nous, mais pas totalement pour ceux qui comme moi ont également acquis ses oeuvres sorties aux Etats-Unis : Chicago (Fiche) et Wild Com (Fiche), où on retrouvait déjà un peu cette veine de polar. Mais les années sont passées et c'est avec un habillage bien plus moderne qu'elle revient au genre ici.

Le premier tome de Don't Call It Mystery nous offre de suivre Totonô Kunô lors de deux histoires où son sens de la déduction et de la répartie sera fort utile. Pour nous faire découvrir ce héros et le mettre en scène, l'autrice n'hésite pas à en faire des tonnes. Lui, qui est un banal étudiant vivant seul et adorant le curry, se retrouve à chaque fois embarqué dans des histoires d'une ampleur incroyable : meurtre d'un camarade de Fac, détournement d'un bus. Il n'a vraiment pas de chance mais pour nous, lecteurs, c'est jouissif à suivre.

Avec sa narration tranquille somme toute mais assez bavarde, l'autrice fait sans cesse basculer le quotidien monotone du héros dans une suite de dialogues de haut niveau où il démontre tout son génie de la déduction pour se sortir des terribles situations dans lesquelles il se retrouve. On a alors l'impression d'assister à une représentation théâtrale ou cinématographique comme dans Douze hommes en colère. C'est certes très riche en texte mais passionnant à suivre et pas du tout lourd à lire au final, car c'est très fin et souvent assez caustique. Totonô, tout comme son prénom, est vraiment un garçon qui sort du lot et sait se faire remarquer, même si parfois c'est en tapant sur le système de ceux en face de lui.

Dans la première histoire, il se retrouve donc impliqué dans une affaire de meurtre dont tout le désigne comme coupable. Il est donc embarqué par la police et interrogé longuement à plusieurs reprises, mais il ne cède jamais et fait toujours preuve de logique. Une discussion en amenant une autre, il nous permet également de faire connaissance avec les policiers qui l'interrogent, ce qui fait qu'il n'est pas le seul sur scène et qu'on lui donne efficacement la réplique, se crée une connivence entre eux et nous, qui assistons à répétition à ces échanges qui en plus virent sur la vie privée petit à petit. Un jeu d'échanges privés / professionnels s'instaure alors avec une histoire qui gagne et gagne en profondeur au fil des pages jusqu'à la brutale révélation finale qui marque le coup. L'autrice a vraiment le sens du suspense et du coup de théâtre.

Elle réitère cela dans la seconde histoire développée dans ce tome, qui n'est pas terminée à ce jour et qui verra probablement sa conclusion dans le tome 2. Cette fois, Totonô veut aller à une exposition de peinture et monte précipitamment dans un bus, qui quelques minutes plus tard est détourné par un fou armé d'un couteau. Situation, malheureusement courante de nos jours, mais qui va à nouveau permettre à notre héros de mettre en scène son sens de la déduction et de la répartie pour tenter de s'en sortir avec les autres voyageurs. Pour le moment, je trouve l'histoire moins prenante que la première. Les ressorts sont autres. Il y a cependant la même dynamique que précédemment qui s'installe mais avec les autres voyageurs cette fois qu'on voit ainsi se dévoiler. le coup de théâtre lui intervient dans les dernières pages et n'est pas si surprenant que ça. Il laisse cependant un beau suspense pour la suite et j'ai hâte de connaître le fin de cette histoire.

Au cours de ces deux récits, j'ai donc retrouvé la narration impeccable de cette autrice toujours aussi bavarde qui aime développer ses idées et faire parler ses personnages. Elle a su imaginer un héros atypique, qui certes a un petit côté Sherlock Holmes mais pas que. Il reste d'ailleurs assez mystérieux encore pour le moment. J'aime son côté froid et décalé mais humain aussi. On se demande un peu quel est son parcours personnel, comment il peut être ainsi, comment cela va évoluer pour lui, s'il va rejoindre les forces de police d'une façon ou d'une autre, etc. A côté de lui, dans les nombreuses personnages que l'on croise en arrière-plan, il y a des figures un peu typiques des mangas de Yumi Tamura pour ceux qui les ont lus. C'est pour cela que certains revirements m'ont peu surpris d'ailleurs. J'aime bien retrouver des figures et visages un peu connus avec des rôles légèrement similaires, cela a un côté réconfortant, surtout après avoir attendu tant d'année pour retrouver l'autrice.

Je reconnais cependant que sa narration chargée en bulles et son dessin atypique pourraient ne pas plaire à tout le monde. Pour ma part, je trouve son trait frais et original. Personne ne dessine comme elle. Imaginer un héros sérieux comme Totonô avec une coupe de cheveux aussi décalée est excellent, ça m'a beaucoup fait rire. Les planches ont un vrai charme en tout cas et les personnages ont chacun "des gueules", ce qui fait que ce titre pourrait tout à fait plaire aux habitués des seinen.

Avec ce premier tome, Yumi Tamura frappe fort en revenant sur le sol français, tout comme son éditeur qui nous offre un objet soigné, à la couverture surprenante, l'impression impeccable et la traduction réussie. J'ai vraiment adoré découvrir ce Sherlock japonais décalé mais moderne, le temps de deux aventures, dont la première, terminée, a tenu toutes ses promesses. C'est un excellent polar qui joue sur des codes classiques pour mieux nous surprendre. Avis aux amateurs !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Yumi Tamura est une mangaka assez malchanceuse chez nous. Basara a été publiée jusqu'au bout mais n'est plus disponible depuis un moment, 7 Seeds a tourné court, et le reste de sa longue bibliographie est inédite chez nous. Jusqu'à ce que Noeve Grafx décide de nous proposer la dernière série en date de la mangaka, Don't call it Mystery, en cours depuis 2017 avec déjà 8 volumes parus. Ainsi, c'est l'occasion pour le public français de retrouver la mangaka, et pour moi de la découvrir !

Je remercie par ailleurs Noeve Grafx pour l'envoi de ce premier tome.

Avant d'aborder le contenu du volume en lui-même, je me permets un petit mot au sujet de l'édition, car l'éditeur continue de faire le maximum pour se démarquer en proposant une qualité éditoriale vraiment top. La jaquette a un effet nacré particulier en terme d'impression qui donne une sensation particulière au toucher, et même en terme de visuel. On a comme d'habitude avec l'éditeur droit à un insert et un bandeau comme ce qui se fait au Japon. Il n'y a pas la petite carte à collectionner qu'on trouve habituellement, mais il me semble que c'est dû à un soucis fournisseur et qu'il y en aura deux avec le second tome.

Le tout pour un tarif de 7€95, soit dans la moyenne de ce qui est pratiqué pour ce type d'ouvrage, pour une qualité éditoriale vraiment au top. Et pour avoir d'autres titres Noeve Grafx sous la main, je peux déjà dire que c'est une constante, chose qu'on verra dans de prochains articles.

Mais tout ça c'est bien beau, mais ça ne nous dit pas ce qu'il en est de la qualité du titre en tant que tel. Voyons donc de quoi il en retourne… Et pourquoi je suis tout à fait emballé !

Etudiant solitaire, Totono Kuno n'aspire qu'à profiter de ses journées tranquilles en cuisinant et en observant le passage des saisons. Son quotidien est bouleversé le jour où la police se présente à sa porte. L'un de ses camarades a été assassiné et il est le seul suspect. Totono doit déployer toutes ses capacités de déduction pour lever les soupçons qui pèsent sur lui.

Le résumé resitue la première intrigue de ce volume, car à l'instar de pas mal de récits d'enquête, le titre se divise en petites intrigues autonomes (en tout cas pour ce premier volume), liées par le personnage principal qui, on le verra, est unes des grosses qualités du titre. Nous avons donc deux gros chapitres de plus de 80 pages, une centrée sur l'assassinat d'un camarade de Totono, dont il est accusé à tort, et l'autre sur une prise d'otage dans un bus, dans lequel se retrouve notre jeune héros.

À la lecture, j'ai eu le sentiment d'un titre très proche du théâtre dans son approche narrative, chose qui est confirmée dans la postface de la mangaka. J'ai eu cette impression car on a pour chaque histoire une unité de lieu, et surtout une emphase mise sur les dialogues, par ailleurs parfaitement écrits et ciselés.

Car il faut le dire, le titre est très bavard, et est donc plus long à lire que la moyenne des mangas. Mais ce n'est en aucun cas un défaut tant le tout est rendu passionnant. Comme je l'ai dit, le personnage de Totono est clairement une des grosses qualités du titre. Étudiant solitaire, il est d'une très grande acuité vis-à-vis des gens mais aussi du monde qui l'entoure. Cela lui permet de résoudre les intrigues avec un talent certain, mais également de proposer une vision des choses vraiment pertinente qui dépasse le simple cadre de l'enquête.

De réflexion en point de vue personnel sur la société, Totono permet de mettre en exergue des choses passionnantes, que ce soit la différence d'appréhension des tâches ménagères et du rapport aux enfants dans un couple, à la question du travail ou n'importe quel autre élément qui ne peut que nous parler. Ainsi, le personnage est étonnant dans sa caractérisation, puisque son côté extrêmement solitaire et en décalage par rapport aux gens cache au contraire quelqu'un qui saisit particulièrement bien les individus. Se pourrait-il que ce soit cette compréhension très fine des êtres humains qui crée ce décalage ? Cela se pourrait.

Quoi qu'il en soit, Totono est clairement un personnage brillamment écrit, et dont on prend un énorme plaisir à partager les réflexions et les pensées. Mais il n'y a pas que lui qui est bien servi en terme d'écriture. Car il y a un plaisir tout à fait ludique à suivre les enquêtes, et à voir comment Totono, en restant assis et en ne faisant que parler, arrive à glaner et recouper tous les indices qui lui permettent de comprendre les tenants et aboutissants des enquêtes. Pour quiconque apprécie les récits du genre, nous sommes particulièrement bien servis !

Notons d'ailleurs que la seconde affaire du tome n'est pas achevée à la fin de celui-ci, me rendant particulièrement curieux concernant le deuxième volume que j'achèterai à coup sûr !

Vous l'aurez donc compris, j'ai été particulièrement emballé par ce premier tome, qui s'impose grâce à une écriture parfaitement maitrisée, et un personnage principal passionnant, qui dépasse le cadre du cliché que l'on a souvent du petit génie inadapté social. Ainsi, pour un premier contact avec l'oeuvre de Yumi Tamura, c'est pour moi un coup d'essai totalement validé, et j'ai particulièrement hâte de voir ce qu'elle nous réserve pour la suite !
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Ce tome contient une première histoire, où le personnage principal Totono Kuno est suspect dans une affaire de meurtre et la première partie d'une deuxième histoire où il se retrouve dans un bus détourné. Dans les deux histoires les facultés d'analyse et l'intelligence de Totono vont être mis l'épreuve, mais surtout son franc parlé et son apparente froideur vont frapper fort.
Ce titre est complétement atypique, dans mes lectures de manga et, je pense, dans la production actuelle. Atypique à tous points de vues, dans les dessins, les histoires et le traitement des personnages.
Les dessins, pas particulièrement attractifs, plutôt figés avec des incursions du numérique en début de chapitre, ils peuvent déstabiliser par leur côté brut de décoffrage, très loin des standards habituels. Tous les personnages sont quasi exclusivement cadrés au dessus de la ceinture, avec beaucoup de plans serrés sur les visages, eux même pas forcément super expressifs. Esthétique et narration particulière donc.
La narration visuelle correspond très bien aux histoires et aux situations proposées. Nous sommes dans les deux histoires dans une sorte de huis clos (au commissariat et dans le bus) très très bavard, où les réflexions et analyses de Totono sur la vie et les agissements des protagonistes ont autant d'importance que la résolution des énigmes. Tous les personnages secondaires sont suffisamment caricaturaux (mais sans abus) pour savoir rapidement à qui on a affaire, ce qui permet à la mangaka par l'entremise de son personnage central de fouiller leurs psychés et d'assener ses vérités (qui tapent juste et sont souvent frappés au coin du bon sens) qui donnent à réfléchir, aux personnages et à nous.
Pour Totono, il s'avère assez difficile de s'attacher pour le moment vraiment à lui mais il n'en demeure pas moins intéressant et énigmatique. En gros on ne demande qu'a en savoir plus, parce que ce qu'il dégage, sa manière de penser et son attitude sans fard sont fascinants et intrigants.
Un premier tome qui a su m'accrocher, presque contre toute attente, l'essai ne demande qu'a être transformé. A suivre ...
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☼ Mon avis ☼

Avant de commencer ma chronique, je voulais remercier les Éditions Noeve Grafx qui ont eu la gentillesse de m'envoyer le premier tome de " Don't Call it Mystery " en version numérique.
J'ai eu la chance de pouvoir lire ce titre avant sa sortie en magasin.
" Don't Call it Mystery " est un titre qui a eu un certain succès au Japon sur les huit tomes disponibles avec plus de 7 millions de copies écoulée.
En plus de ça, chaque nouveau tome atteint le top 10 du classement Oricon.
Franchement, je ne suis pas déçu d'avoir choisi ce titre et je suis très contente de pouvoir vous donner mon avis sur ce premier tome.
Tout d'abord, je trouve cette jaquette très jolie visuellement, j'adore la coupe de cheveux de Totono qui est très originale et c'est la première fois que je vois une coiffure comme celle-ci dans un manga.
J'aime tout particulièrement le travail qui a été fait sur le personnage principal que ce soit pour le visuel ou bien pour la colorisation.
" Dont Call it Mystery " est un Josei centré sur les enquêtes de police et le quotidien de Totonô.
C'est un protagoniste atypique qui va nous montrer sa vision de la vie et ses questionnements sur les actions de certaines personnes tout en donnant son avis sur le sujet.
J'ai adoré voir ses déductions et ses avis sur chaque situation, il est vraiment très intéressant à écouter et tu as limite envie de découvrir son ressenti pour chaque chose de la vie.
Je pense que je vais passer de très bons moments à lire cette série grâce à lui.
J'ai eu un vrai coup de coeur pour ce personnage et pour les histoires de ce premier tome, pour moi tout étais parfait de ce côté-là.
Par contre, c'est tout l'inverse avec l'intérieur du manga, on dirait que seul Totonô et Shô ont le droit à de nombreux détails sinon pour les autres personnages, leurs visuels sont simplistes et très fouillis par moments.
J'ai été déçu de ne pas retrouver d'arrières plans, il y en a quelques-uns mais c'est très rare.
Du coup ça laisse place à de nombreuses trames qui sont beaucoup trop nombreuses et pas très jolies à regarder.
" Dont Call it Mystery " est un titre qui tourne autour de la physiologie ou on prend plaisir à écouter un jeune étudiant où ses seules armes pour se défendre sont la réflexion, l'écoute ainsi que la rhétorique.
Même s'il peut paraître hautin, il n'apporte aucun jugement quelles que soient ses conclusions.
Alors malgré les graphismes qui ne sont pas très détaillés, je ne peu que vous conseiller ce livre par rapport à l'histoire et la franchise de Totonô.

Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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critiques presse (2)
ActuaBD
26 mai 2021
Retour inattendu en France de la très brillante Yumi Tamura, auteure de "Basara" et de "7 Seeds", avec sa nouvelle série, à la fibre policière et psychologique. Un premier tome époustouflant, au ton et à la justesse sidérants.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
MangaNews
17 mai 2021
Don't call it Mystery, comme espéré, s'offre alors un excellent début.
Lire la critique sur le site : MangaNews
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
C'est un beau jour pour faire un curry !
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Pourquoi ne faut il pas tuer les gens ?
Il faut vraiment être le dernier des imbéciles pour se poser la question surtout.
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Vous savez me faire traiter de connard par un type qui fabrique de fausses preuves... ça m'en touche une sans faire bouger l'autre...
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Les humains n'ont jamais qu'un point de vue subjectif sur ce qu'ils font et ce qu'il leur arrive.
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