Cher Jean-Pierre Thorn,
Bien que mon désir soit on ne peut plus réel de voir, revoir, parler de, écrire sur vos films, j'ai glissé depuis l'été dans le Grand Divertissement : voyages incessants, conférences innombrables, fatigue probablement vaine. Avec à peu près tout ce que j'aime vraiment, vos films ont été victimes de ce temps qui passe sans qu'on puisse lui accorder une véritable importance, ni en prendre la mesure. Ayant constaté les dégâts, j'a...
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