Cette triste vie du bord de Meuse a été écrite par un autodidacte qui a connu la vie de carrier, la souffrance, la prison et qui le raconte d'une manière admirable.
D'autres nouvelles, MarJosèphe, ou le petit clerc qui ont été reprises dans
La cellule 158.
Ressurgissent mes souvenirs de travail d'étudiant. J'étais manoeuvre pour les maçons qui réparaient l'intérieur des cheminées de la sucrerie, travailleurs aux yeux injectés de sang dès le matin et qui m'envoyaient en cachette acheter leur genièvre. C'est à eux que je dois mes rudiments de wallon!