AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782265088283
353 pages
Fleuve Editions (14/05/2009)
3.41/5   82 notes
Résumé :
A priori il y a pire qu'un médecin vous prescrivant une cure de bonheur-thérapie, non ? Sauf que le cas de Méline est un chouia plus complexe: elle explose à la moindre contrariété, tyrannise et exaspère son entourage ! Après des examens poussés, son médecin - un brin déconfit tout de même - lui annonce que ses pétages de plomb façon Hulk cachent une bien étrange maladie.
Un mal inconnu au bataillon, une sorte de cancer qui s'attaque au gène du bonheur et la ... >Voir plus
Que lire après Le bonheur sur ordonnanceVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
3,41

sur 82 notes
5
6 avis
4
7 avis
3
4 avis
2
2 avis
1
2 avis
Méline est une jeune femme déjantée et accro aux crises de nerf intempestives. La moindre contrariété la transforme en vipère avec du plomb dans les mots et des lames de feu dans le regard. Une contravention et c'est parti, le policier en prend pour son grade, une petite vieille à la caisse impatiente fait grincer Meline, jamais à court de vocabulaire élaboré dans la grossièreté au goût amer et acerbé. A chacun son tempérament tant qu'il ne condamne pas à devoir en mourir. Voilà ce qui tombe au nez de Méline. Chute de tension, perte de mémoire, vertiges, fatigue,... le médecin est formel: Méline souffre d'une dégénérescence du gène H, gène capturant et libérant l'hormone du bonheur dans une gestion du stress sous contrôle. Si Méline ne se décide pas à être heureuse, elle en mourra.
Barbara Abel sort de son registre et propose ici un roman léger pincé à l'humour. Elle dessine un beau portrait de la société où le bonheur semble être une aventure difficile, surtout quand il remue le fond de la nature humaine. Si le rire et les orgasmes semblent aider notre caractérielle héroïne, encore faut-il trouver la bonne mesure dans un monde aseptisé peu habitué aux sautes d'humeur. Une famille déboussolée, des collègues méfiants, des enfants pas toujours très sages, Méline aura bien du pain sur la planche pour atteindre son objectif.

Un roman à lire pour se faire du bien et qui se moque des conventions avec humour et légèreté. À savourer en cas de grisaille et de morosité.
Commenter  J’apprécie          735
Qu'est-ce que le bonheur ?
Vous avez deux heures ! Tic-tac, tic-tac !
.
S'il est facile d'en donner une définition, l'atteindre relève de la mission impossible. du reste, si quelqu'un a la malencontreuse idée de nous demander si on est heureux, sauf événement exceptionnel, en mode profonde introspection, on est bien en mal de répondre à la question.
.
Parce que le bonheur est fait d'instants, et être heureux tout le temps et sur la durée, c'est impossible. Alors on fait avec.
.
Pour Méline, 40 ans, chef de projet dans une agence de publicité, le diagnostic est tombé comme un couperet.
.
Victime d'une maladie orpheline, un cancer du gêne H, segment du chromosome associé à la transmission des traits de caractère, autrement dit le "gêne du bonheur", la ronge irrémédiablement.
En d'autres mots, si elle n'arrive pas à faire en sorte que ce gêne H se régénère, la carence détériorera petit à petit ses fonctions vitales, entraînant sa mort.
.
Mais attention, il ne lui suffit pas de ne pas être malheureuse, il est impératif qu'elle baigne dans le bonheur en permanence.
.
Symptômes associés à cette terrible maladie, pour la moindre péccadille, Méline pète un boulon et se met à invectiver quiconque se trouve à portée de voix. Les propos orduriers volent bas et très souvent, si vous voyez ce que je veux dire.
.
J'appelle les victimes à la barre : Vincent, son mari, très amoureux bien qu'un peu fadasse par moments ; Agnès, sa fille, 13 ans... inutile de vous faire un dessin, le début de l'adolescence fait une entrée fracassante dans le paysage ; Oscar, son fils, 6 ans ; ses parents qui l'adulent et l'estiment parfaite ; ses collègues ; les enseignants de ses gamins... et tout inconnu malencontreusement croisé.
.
Et voilà notre héroïne partie à la recherche du Saint Graal en mettant toutes les chances de son côté... du moins en essayant.
.
*******
.
Barbara Abel nous offre un filgoude de très bonne facture, très agréable à lire, si ce n'est par l'histoire simple et distrayante, grâce à son style qui m'a littéralement scotchée.
.
Les situations cocasses se succèdent à un rythme hallucinant, pour notre plus grand plaisir.
Sa plume allègrement caustique m'a embarquée du début à la fin du roman, et encore une fois je n'ai pas vu les pages défiler.
.
J'ai pris ce livre en m'attendant à un thriller, genre habituellement exploré par l'auteure, et puis finalement pas du tout, mais je ne le regrette pas une seconde.
Commenter  J’apprécie          5245
Méline, une jeune femme dynamique est mariée à Vincent.
Elle travaille comme graphiste dans un bureau où une promotion va avoir lieu bientôt. Elle pourrait très bien se placer sur les rangs pour l'obtenir.
Dans ce cadre de vie viennent s'ajouter deux enfants : Agnès, une ado de 13 ans déjà très éveillée et un garçon de 6 ans, Oscar pas difficile mais bien vivant avec ses joies et ses exigences.
Tout semble aller pour le mieux mais depuis un certain temps, Méline sent monter des colères irrépressibles qui lui font prononcer des chapelets de grossièretés à tout qui la gêne ou l'énerve.
Cela ne peut plus durer.
Elle consulte un spécialiste qui lui annonce comme dans un récit fantastique qu'elle est atteinte d'une dégénérescence d'un gène. Sa seule planche de salut est d'être heureuse. Facile à dire.
Un roman tout à fait différent des thrillers que j'ai l'habitude de lire venant de la plume de Barbara Abel.
Sorti en 2009, déjà aux éditions du Fleuve Noir, on peut dire que l'auteure a déjà une sacrée plume et une richesse de mots inégalable dans ses colères. Les insultes du capitaine Haddock sont très pâles à côté de ses tirades qui sont vraiment colorées. Elles m'ont vraiment bien amusée je dois dire.
Je préfère ses derniers romans qui sont de vrais thrillers avec des personnages très finement analysés mais j'ai été ravie de lire ce livre tout à fait différent.
L'artiste présente plusieurs facettes, c'est le moins qu'on puisse dire.
Commenter  J’apprécie          412
Une vraie bombe, cette Méline : elle explose sans préavis au nez de son mari, de ses enfants, de ses collègues. La moindre contrariété et la voilà qui sort de ses gonds, furie vociférante, terrifiante, vulgaire, injuste et méchante. Mais la liberté d'être hystérique s'arrête où commence la vie en société, Méline est priée par ses proches d'apprendre à se maîtriser ou d'aller voir ailleurs. Elle tente la chromothérapie en s'habillant de couleurs flashy, sans succès. le rire, en revanche, désamorce parfois ses colères. Quant à l'orgasme, il la rend zen pendant près de vingt heures. Encore faut-il que le chéri n'ait pas été refroidi par une des crises redoutables de la mégère...

Sous couvert de comédie, Barbara Abel évoque cette drôle d'exigence que nous avons à l'égard du bonheur, comme s'il était dû, et la frustration qui découle de son absence :
--- « Autrefois, l'espérance du bonheur était sans cesse relayée par la promesse d'un au-delà, reléguant la félicité immédiate à l'état de détail sans importance. Cela revenait à dire que notre vie ici-bas se réduisait à une succession d'épreuves dont le but était, à terme, de nous garantir le paradis. [...] Au cours du XXe siècle, en revanche, l'individu s'est peu à peu émancipé des contraintes sociales, gagnant en droit et en autonomie. [...] tout s'est mis en place pour donner à l'homme du XXe siècle l'obligation d'être heureux. » ---

Beaucoup moins léger qu'il n'y paraît malgré la caricature, ce roman nous renvoie à nos propres comportements en société, à nos faiblesses, nos mesquineries. Il a le mérite de rappeler que ne pas être malheureux, c'est déjà pas si mal - ceci avec humour, sans prêchi-prêcha. Se remettre en question de cette façon-là, je trouve que ça fait du bien...
Commenter  J’apprécie          240

- Pétasse congénitale *

Etymologiquement, le prénom Méline vient du grec meli ( miel ).
Les Meline sont des femmes enthousiastes, souriantes et respirant la joie de vivre.
Meline est également le prénom qu'a choisi de donner Barbara Abel à l'héroïne de son roman le bonheur sur ordonnance.

- Je t'arrache chacune de tes dents avec un décapsuleur, je fais pareil avec tes ongles, et je te fais bouffer le tout par le truc informe qui te servira encore de bouche.

Meline est une femme résolument moderne et dynamique. Elle travaille dans une agence de publicité où elle aspire à un poste à responsabilités, elle est mariée et a deux enfants : un petit garçon de six ans et une jeune adolescente de treize ans. Elle a également une soeur, des parents fervents catholiques, des amies que tout oppose.
Mais elle est gravement malade.

- T'as de la mélasse dans le cerveau? Tu te crois fort avec ton petit carnet à la con, hein?

Non, elle n'est pas victime de coprolalie ( ces fameux tics verbaux associés au syndrome de Gilles de la Tourette ). Ces explosions de colère sont les manifestations d'un mal bien plus étrange encore. "Je m'énerve pour un rien, je crie beaucoup, et parfois même, à mon corps défendant, je suis grossière." A défaut de meilleur terme, un cancer s'attaque à son gène du bonheur. Méline est en danger de mort.

- J'ai une putain de maladie de merde qui me force au bonheur.

Barbara Abel quitte le temps d'un livre le thriller psychologique, son terrain de prédilection, pour s'essayer à la comédie. Tout en gardant pour thématique le cadre familial qui lui est cher.
Méline n'est pas malheureuse, mais c'est hélas insuffisant. Et comment s'obliger à être sereine alors qu'elle n'a aucune maîtrise sur son entourage et que leur parler du mal qui la ronge fausserait leur attitude et donc la moindre chance de guérison ?

- Desserre ton string, mon grand, ça te rendra peut être un peu moins couillon !

Le lecteur assistera donc à la lutte de Méline pour trouver une joie de vivre pleine et entière dans un parcours semé d'embûches. Que ce soit des contrariétés professionnelles ( petite mention au slogan "les coups et les douleurs, ça ne se disculpe pas", contre la maltraitance aux femmes ), des oppositions de points de vue avec des parents rétrogrades ou tous les petits et gros soucis que peuvent occasionner les enfants, rester zen est parfois mission impossible.

- Ben oui ma grande ! Il faudrait que de temps en temps tu puisses enlever le manche à balai que tu t'es planté dans le cul il y a vingt-cinq ans. Alors peut être que tes contemporains pourraient commencer à t'apprécier.

Le roman est donc une succession d'épisodes parfois réellement très drôles ( j'ai souvent eu le sourire aux lèvres pendant ma lecture ) avec de savoureux quiproquos, des solutions provisoires ( comme le rire et le sexe ) pas toujours évidentes à appliquer quand surviennent les crises et faisant passer Méline pour folle, des situations pour le moins incongrues. L'originalité de cette maladie inventée pour les besoins du roman a permis à Barbara Abel de créer quantité de scènes inédites, avec plus ou moins de succès.

- Toutes vos manières à la mords-moi-le-noeud, vous pouvez vous en torcher le cul.

Cependant l'humour est également parfois lourd ou de mauvais goût ("sa mère a d'étranges accointances avec la chaudière : sans doute ramonée une fois tous les deux ans, juste pour l'entretien, vieille, mais on espère qu'elle tiendra encore quelques années"). Quant aux réactions de Méline, si on les comprend parfois, si on les envie même parce qu'on aimerait pouvoir se permettre de dire leurs quatre vérités à tous ceux qui ont l'art et la manière de nous pourrir l'existence, elles sont aussi parfois gratuites et disproportionnées. Elles attaquent non seulement les empêcheurs de tourner en rond mais également les enfants ou l'époux aimant. Si bien que je n'ai eu que peu d'empathie pour notre principal personnage, pourtant en danger de mort.

- Sale petite pisseuse
- Ecoute moi bien, manche à couilles

C'est un livre qui a quand même le mérite de se lire très vite et très bien. Et bien sûr, l'air de rien, il fait se poser une multitude de questions sur notre propre aspiration au bonheur. Quelles priorités lui donner ?  Que peut on améliorer pour être plus heureux ? Dépend on de la joie de vivre de nos proches ou le bonheur est-il individuel ?
Même s'il n'est pas exempt de défauts, je dois bien avouer que j'ai lu le roman de Barbara Abel avec un petit plaisir coupable, petite pause bienvenue entre deux histoires plus sombres.
 
 
* Si vous aussi vous souffrez de violentes crises verbales, consultez vite votre médecin.
Commenter  J’apprécie          153

Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Est-ce le lot de tous les parents de se retrouver un jour dans un lieu inconvenant, à chercher son enfant ? Avec, dans la tête et dans le cœur, le souvenir d’un bébé rose et tout potelé, la frimousse illuminée par un sourire qui jamais ne sera égalé. Et puis, regarder autour de soi et constater dans un misérable soupir qu’on n’a pas vu le temps passer.
Commenter  J’apprécie          410
Comment affronter les soucis ordinaires sans avoir chaque jour sa dose de bien-être, son injection de joie, son comprimé de plaisir ? Ne pensez-vous pas que les gens qui passent leurs journées à affronter les tourments du quotidien finissent, eux aussi, par péter les plombs à la moindre contrariété ? Ne pensez-vous pas que nous sommes des millions de mères à perdre nos moyens lorsque nos enfants nous poussent à bout ? Alors, nous sortons de nos gonds, nous hurlons pendant cinq minutes comme vous venez de le faire et nous passons ensuite vingt-quatre heures à culpabiliser, en se disant que nous sommes la pire des mères, incapable d'assumer correctement l'éducation de nos gosses. (p. 331)
Commenter  J’apprécie          120
Il y a quelque chose d'immuable dans la bêtise [...]. Si l'on alignait toutes les personnes stupides qui peuplent cette pauvre planète, chacune se différencierait des autres par un bon nombre de paramètres : le manque de bon sens, le manque de réflexion, le manque de gentillesse, le manque de compassion, ou tout simplement le manque d'intelligence... Mais il y a une chose qui leur serait commune à toutes : c'est le manque de doute. (p. 52-53)
Commenter  J’apprécie          161
Ce qui est certain, c'est que le bonheur se construit lentement, avec l'aide de ceux que l'on aime, sans mensonge ni faux-fuyant. Et que pour trouver ce Graal de l'âme, il faut savoir douter, il faut beaucoup chercher, et posséder un certain talent.
Commenter  J’apprécie          270
Car, après tout, qu’est-ce que le bonheur ? Pour certains, c’est un trésor oublié, enseveli quelque part au milieu d’une plaine déserte. Pour d’autres, c’est un enfant qui lentement se construit au sein d’un ventre accueillant. Pour d’autres encore, c’est l’inadvertance de deux mains qui se frôlent et le soleil radieux d’un regard qui se pose. Les uns le voient comme un jeu à partager en famille, les autres comme un petit chat au pelage noir et blanc. C’est un éclat de rire, c’est un vêtement de couleur, c’est un saut qui donne l’impression de voler, c’est un orgasme du corps, mais également de l’esprit.
Commenter  J’apprécie          50

Videos de Barbara Abel (53) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Barbara Abel
Découvrez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/niko-tackian-la-lisiere-53718.html Les études de droit et d'histoire de l'art peuvent mener à l'écriture de roman noir. La preuve ! C'est en tout cas le chemin pris par Niko Tackian pour arriver en librairie au rayon des romans qui font peur…
On l'a aussi connu journaliste, auteur de BD, metteur en scène et scénariste. On lui doit d'ailleurs la série télé « Alex Hugo » écrite en collaboration avec Franck Thilliez.
Mais aujourd'hui, c'est avant tout de l'auteur de thrillers que je veux vous parler, lui qui, en quelques titres, est devenu un incontournable. Il fait d'ailleurs partie du collectif « La ligue de l'imaginaire » aux côtés de Bernard Minier, Olivier Norek, Bernard Werber ou Barbara Abel.
Dans l'univers du thriller, Niko Tackian fait ses armes avec « Quelque part avant l'enfer », un premier titre primé au festival de Cognac. Rapidement les succès vont s'enchainer au rythme d'un livre par an.
Et si vous n'avez pas encore lu « Avalanche hôtel », « Celle qui pleurait sous l'eau » ou « Repère », allez-y ! Vous allez adorer avoir peur ! Dans ses romans, Niko Takian aime décortiquer la psychologie de ses personnages, les mettre face à des situations toutes plus angoissantes les unes que les autres et, à chaque fois, son histoire prend place dans un paysage différent, sorte de huis-clos naturel qui joue un rôle dans le déroulé de l'intrigue.
Avec « La lisière », le nouveau thriller de Niko Tackian, nous voici en Bretagne. Mais pas la Bretagne de bord de mer, riante et touristique. Non, nous sommes ici au coeur de la Bretagne, celle des monts d'Arrée, rugueuse et austère, pétrie de légendes autour des elfes, du chien noir et de l'Ankou, le serviteur de la mort.
Ce soir-là, Vivian est en voiture avec son mari Hadrien, au volant et leur fils Tom à l'arrière. Il fait nuit, le crachin masque la visibilité, le vent s'engouffre dans ses paysages tortueux des monts d'Arrée. Tout à coup, une forme surgit devant la voiture obligeant le conducteur à s'arrêter précipitamment. Hadrien descend du véhicule pour vérifier que tout est en ordre. le petit Tom descend aussi pour soulager un besoin pressant. Une minute passe, puis deux… Vivian sort à son tour de voiture. Personne. Son fils et son mari ont disparu, elle est seule dans cette lande bretonne battue par le vent et la pluie.
Voilà le point de départ de cette histoire à vous empêcher de dormir. Une petite famille bien ordinaire embarquée dans une intrigue sinistre à souhait.
L'écriture est vive, rythmée, addictive. Les situations angoissantes s'enchainent, les chausses trappes abondent et le lecteur de suivre frénétiquement les soubresauts de l'enquête et d'accompagner Vivian dans sa quête de la vérité. Que sont devenus sont fils et son mari ?
Un thriller impeccablement réussi que vous allez dévorer jusqu'à la dernière page avec une conclusion terrifiante que vous n'aurez pas vue venir. Et cerise sur le gâteau, Niko Takian vous offre aussi un chapitre supplémentaire grâce à un QR code en fin de roman qui vient compléter le plaisir de lecture.
Vous qui aimez avoir peur, vous allez vous régaler.
« La lisière » de Niko Takian est publié chez Calmann Lévy.
+ Lire la suite
autres livres classés : littérature belgeVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (270) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Derrière la haine" de Barbara Abel.

Quel cadeau le parrain de Milo offre-t-il au garçon pour ses 4 ans ?

un ballon de foot
une petite voiture
des gants de boxe

10 questions
148 lecteurs ont répondu
Thème : Derrière la haine de Barbara AbelCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..