C'est un auteur que je ne connaissais pas du tout. Une intrigue intéressante qui se passe dans le milieu des courses hippiques. J'ai découvert un univers qui m'a beaucoup lu malgré une histoire assez vieillotte. Je ne sais pas si je vais continuer à lire cet auteur
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- Ce cheval-là, il faut le porter, dit Fervent, mettant pied à terre.
- Peut-être, dit Jouannot, mais pour ça il ne faut pas être fatigué. Dès que vous êtes arrivés, vous autres, les jockeys, vous croyez que tout est possible. Je vous ai vu au casino passé minuit.
- Je ne pouvais pas dormir. Et puis, je suis libre.
- Vous allez l'être, dit M.Jouannot.
- J'ai un contrat.
- Renouvelable tous les ans.
- Et qui montera vos chevaux ?
- Lui, dit M.Jouannot, montrant Raoul, ou un autre, un jeune qui ne se croira pas tout permis, qui en voudra.
- Vous croyez que ça remplace l'expérience ?
- Non mais la prétention sûrement
Une cravache, ça n’est pas fait pour les coups mais plutôt pour les caresses. Jamais d’attaque directe avec elle : de petits coups roulés, sur le flanc, comme sur un tambour à la peau délicate. Qui frappe comme une brute est perdu. Le cheval n’oublie jamais. La cravache c’est fait pour demander, non pour forcer.
18 mai 1976
Paul Vialar présente et joue avec ses chiens, Quick et Ismaël, Cocker Spaniel. Il parle également d'Isidore le Cocker qu'il a offert au Shah d'Iran. Il parle de l'importance des chiens dans la vie des hommes qui apportent énormément d'amour. Le Cocker Quick caliné par le petit fils Edmond. Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel