Michel Viegnes écrit de la poésie comme expression d’une méditation sur la vie, le temps qui la texture : « Le temps bientôt va fondre et inonder les lignes de la main… » « Ni effroi ni larmes/juste l’immense/et froid conciliabule des astres/ (…)/ En attendant que s’ouvre/aux archives de l’âme/un livre immémorial… »
Poésie visuelle aux subtils calligrammes, elle est quête du sens, cette « quatrième allégorie du sphinx ». « Pour un cœur d’homme (…) dir... >Voir plus