La poésie montre mieux encore son pouvoir bienfaisant dans les périodes les plus noires. Elle éclaire la nuit, petite lampe fragile et obstinée. Il y a, dans ce quatrième volume comme dans les précédents, dix petites lumières : dix poètes viennent vers nous, leurs loupiotes à la main, la doyenne Anghelàki-Rooke ouvrant la marche, la benjamine Panayòtou la fermant, et ce qui s’avance n’est pas une procession de vaincus, mais une troupe d’infatigables et superbes voya... >Voir plus