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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Susan et Alex déménagent à Brooklyn dans un appartement, de rêve pour Susan, à l'étage d'une maison aussi vieille que sa propriétaire.

Susan a quitté son travail pour se consacrer à la peinture et par chance, une petite pièce “bonus” va lui donner l'opportunité de s'installer.

Mais rapidement Susan présente des symptômes de paraonïa après avoir appris que des invasions de punaises de lit sévissaient dans le quartier, il lui semble en voir partout et surtout être leur cible.

Toute cette partie de montée en tension est très bien même si Susan ne m'a pas particulièrement donné envie de l'apprécier ! Son côté petite fille gâtée m'a un peu crispée et sa façon de s'occuper, si peu, de sa fille telle un bébé alors qu'elle a presque que 4 ans, m'a grandement crispée !

Là où le bât blesse et grandement, c'est la fin, le dénouement, impossible de savoir ce qui est réalité de ce qui est imagination ou même si c'est l'un ou l'autre ! du coup mon plaisir est retombé, n'ayant pas une fin à la hauteur de ce que promettait le texte et un manque flagrant de crédibilité sans même basculer dans le fantastique.

Je n'ai pas ressenti le même plaisir qu'à la lecture de sa trilogie ''Dernier meurtre avant la fin du monde'', où son personnage principal et les événements avaient plus de présence !

#Parasites #NetGalleyFrance

Challenge MAUVAIS GENRE 2021
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"Parasites" est un thriller aussi inquiétant et obsessionnel que son titre le laisse présager. Ben H. Winters s'amuse avec notre angoisse des petites bêtes envahissantes et fait monter la pression au fil des chapitres de ce court roman grâce à l'ambiguïté des perceptions de ses personnages. Si la seule évocation du mot "poux" provoque chez vous des démangeaisons intempestives, alors vous êtes sans doute au bon endroit, entrez dans cette maison pleine de charme de Brooklyn Heights et laissez-vous envahir par ces "Parasites"!
New- York de nos jours. Alex et Susan ont décidé de déménager et finissent par trouver le duplex de leur rêve : de la lumière, une cuisine spacieuse, un loyer raisonnable et une vieille voisine charmante. Qui plus est, Susan dispose enfin d'une petite pièce parfaite pour faire ce dont elle rêve depuis toujours : peindre.
La joie des débuts laisse pourtant rapidement la place à une inquiétude sourde. Susan est persuadée que leur appartement est la proie des punaises de lit. Elle ne parvient pas vraiment à le démontrer, c'est plutôt une conviction intime. Elle le sait, elle le sent, dans sa chair, et dans son âme.
La raison de Susan vacille, et celle du lecteur lui emboîte la pas. On ne sait plus démêler ce qui est réel et ce qui l'est moins dans les perceptions du personnage principal et c'est selon moi la vraie réussite de ce roman. En revanche, on ne peut que regretter une dernière partie précipitée, qui se conclut dans un dénouement qui ne m'a pas convaincue. le miroir se brise et l'illusion prend fin de manière abrupte. Dommage!
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Un petit roman gore, sur le thème des parasites "puces de lit".
J'ai choisi ce roman, car en ce moment les puces de lit sont un véritable phénomène de société qui génère chez certains une psychose, vu les difficultés et le coût pour s'en débarrasser.
De quoi me donner un délicieux frisson (je précise que je ne suis pas concerné par ce problème) !
Mais rapidement, le roman vire au "fantastique" et là ce n'est plus du tout le registre que je recherchais ...
L'histoire se laisse lire jusqu'au bout, mais elle n'a rien de surprenant en tant que roman d'horreur, ou roman gore.
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Une famille aménage dans une nouvelle maison, ou plutôt l'appartement de leurs rêves (évidemment). Mais tout ne se passe pas comme prévu (évidemment bis). Dans la ville, on parle de plus en plus d'un fléau: les punaises de lit! Atroces insectes, assoiffés de sang, et difficiles à déloger. Susan, la mère de famille, est persuadée que son logement en est infesté. Alors, l'est-il réellement où Susan plonge dans la paranoïa ?
J'ai aimé l'idée de départ, mais le personnage de Susan m'a agacée. Elle était d'un cliché! On avait envie de la secouer. Aussi, je n'ai pas trouvé ce roman innovant, il suit les codes du thriller domestiques, sans plus.
La fin m'a surprise mais je ne l'ai pas aimé.
Bref, je l'oublierai vite.
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Susan rêve de changer de quartier,et quand elle trouve l'appartement de ses rêves,  fait des pieds et des mains pour que son mari, Alex, accepte le déménagement à Brooklyn Heights. de plus, il y a une pièce " bonus", qui lui permettra de se remettre à la peinture...La propriétaire,  vieille femme un peu bizarre, tend à les installer de la meilleure manière...
Cependant...le quartier est ébranlé par une mère qui a perpétré un double infanticide
Etrangement,...des odeurs repoussante et bruits étranges résonnent dans la pièce bonus..
Horrifiant, Suzanne doit faire face à une invasion de redoutables punaises de lit...qu'elle semble être la seule à voir...
Finalement, ..malgré une ambiance inquiétante assez bien posée, c'est fort lent, ( sauf la fin, au contraire,  trop précipitée), plutôt cliché, et fort court, ce qui permet certes de le lire vite, mais pas vraiment d'adhérer aux personnages.. Au final, trop séduite par le résumé,  pas assez par le roman.

Lien : https://instagram.com/danygi..
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Le titre nous met tout de suite dans l'ambiance comme la couverture du roman. Quand on le penche des petites bestioles apparaissent.

Nous nous glissons dans le quotidien de la famille Wendt composée de Susan la mère, Alex le père et de leur petite fille Emma.
Sous l'insistance de Sarah, la famille déménage dans un appartement sur deux étages proposé en location par une vieille dame tout à fait charmant.
A peine installé, elle est angoissé et pense que l'appartement est infesté de puces de mot mais aucun signe ne donne corps à ses paroles.

On est plongé dans la tête et le ressentit de Sarah tout du long. On ressent son angoisse, sa lente descente aux enfers alors que pour les autres tout va bien. le gros reproche que je ferai a ce roman est qu'il faut attendre la troisième (et dernière partie) du roman pour que tout s'accélère et qui comprend à peine 25 pages sur 280. A trop vouloir créer le suspense, on est à attendre désespérément que l'action arrive. Heureusement c'est bien écrit et le personnage principal de Sarah est bien campé.
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🪳Susan et Alex ont enfin trouvé un appartement plus grand et dans leur budget, ça y est ! Ils emménagent avec leur fille Emma. Une nouvelle vie peut démarrer pour eux. Alex travaille, beaucoup. Susan avait arrêtée de travailler pour s'occuper de leur fille mais dans ce nouvel appartement elle va enfin pouvoir s'adonner à sa passion : la peinture.

🪳Tout est réuni pour une vie apaisée mais c'était sans compter la paranoïa de Susan depuis qu'ils ont emménagé. Des bruits, des bêtes, des sons, elle devient folle ! Elle se gratte. Ça pullule autour d'elle, elle n'arrive pas à se débarrasser de ces bêtes qui s'agrippent à elle.

🪳Nous rentrons dans l'action immédiatement, c'est cash ! Les personnages sont réduits au minimum nous faisant presque vivre un huis clos dans cette immeuble dont la propriétaire est intrigante. Néanmoins, c'est un rendez vous manqué pour ma part. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Je n'ai pas ressentis d'émotions, ça m'a manqué. Il ne s'agit que de mon avis et je suis curieuse de connaître le vôtre ! Si quelqu'un l'a lu, j'aimerai échanger sur un élément de l'histoire.
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babelio_id:Winters-Parasites/1284841
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Un jeune couple et leur enfant emménage dans un somptueux appartement à Brooklyn. le loyer n'est pas cher, la propriétaire est sympathique… Que cache cette perle rare? Sa cave mystérieuse dans laquelle il ne faut pas aller? L'étrange homme à tout à faire qui reste planté dans le jardin? Quelle est cette étrange odeur de puanteur que l'on sent dans cette petite pièce? Et les médias qui relèvent nombre d'appartements infestés par des nuisibles depuis quelques semaines… L'héroïne semble perdre pied et la folie commence à s'immiscer en elle.
Le livre se dévore pour savoir si la jeune mère est victime de visions ou voit-elle vraiment ces parasites courir sur le parquet? « Une héroïne hitchockienne » selon Sonatine, n'exagérons pas. le suspense est bien présent, pas de doute. La douce folie de cette femme à bout de souffle, en manque de sommeil, s'avère relativement bien traitée. Elle perd tout repère, ne fait plus confiance à personne, perdu dans son couple et professionnellement, son esprit dérape et plus rien ne semble la retenir.
Le final, grotesque et presque décevant, s'avère grossier. 300 premières pages bien tenues, au rythme soutenu, aux invraisemblances bien présentes mais le charme de Brooklyn & du logement jouent en faveur de ce thriller facile. Plombé par des situations quasi rocambolesques en fin de livre. Quelle déception.
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Bon voilà, si vous écrivez vous-même des chroniques, vous savez dans quelle position je me trouve. C'est toujours délicat d'aborder une lecture qui n'a pas totalement fonctionné sur nous. Entre l'envie de ne pas en parler du tout, pour l'oublier au plus vite et celle d'expliquer pourquoi cela ne l'a pas fait et peut-être permettre à des lecteurs de se positionner quant à cette lecture, notre coeur balance. Comprenez-moi bien, je n'ai absolument pas envie de casser le roman ou l'auteur, bien au contraire. Je vais simplement vous exposer mon point de vue en restant courtois et en essayant d'apporter une analyse complète vis à vis de mon ressenti…

Alors autant commencer par le plus dur. Arrachons tout de suite ce pansement pour ne plus y penser par la suite. Parasites de Ben H. Winters, c'était la promesse d'un thriller domestique et psychologique à la frontière de l'horreur avec la représentation de punaises de lit envahissant le quotidien d'une famille fraîchement arrivée dans son nouvel habitat. Je ne vais pas vous mentir, j'y ai cru. Les premiers chapitres m'ont mis dans une ambiance particulière, à la limite de la bizarrerie, notamment avec le personnage de la vieille propriétaire un poil loufoque, à côté de la plaque. Cependant, tout est très vite retombé…
Le VIDE. Voilà ce que j'ai pu ressentir par la suite durant ma lecture et je peux vous garantir que je les ai senti passer les 260 pages du roman. Bon ou mauvais moment pour entamer cette lecture ? Je ne sais pas, je ne pense pas. J'ai retrouvé dans Parasites tout ce que je rejette dans le thriller domestique/psychologique. Je n'ai eu aucune alchimie avec les personnages et plus particulièrement avec la protagoniste que j'ai trouvé exécrable dès les premiers instants. Capricieuse, hautaine, mal dans sa peau, consommatrice d'alcool et de somnifère. Bref, le parfait cliché de la ménagère bourgeoise avec des problèmes de bourgeois… Dès lors, il était impossible pour moi de ressentir une once d'empathie et surtout de me prendre au jeu de cette “paranoïa” prévisible assez rapidement.
Le frisson, l'angoisse, la terreur, le dégoût, voilà ce qui m'a également manqué durant cette lecture. Ben H. Winters ne m'a pas transporté par sa plume que j'ai trouvé trop distante, n'essayant même pas de jouer sur une montée en puissance de l'effroi qu'aurait pu apporter la vision de ces insectes. Rien, le néant. Enfin presque, mais je vais y revenir.


Le venin est sorti, je peux passer à autre chose. Parce que Parasites ce n'est pas que des mauvais points, au contraire. Si l'aspect paranoïa semble assez cliché, elle est ici utilisée pour nous parler d'un couple en crise, qui ne se comprend plus et qui se perd dans les non-dits, les rancunes et le quotidien qui nous abrutit. Nous passons tous par cette phase à un moment donné et on ne s'en rend pas toujours compte. Ben H. Winters nous livre ici une vision parfaite de ce qu'est un couple sur la corde raide, qui n'a besoin que d'une petite chose pour que tout explose. Cette chose est représentée par les parasites visibles ou invisibles.
Revenons-en à cette question de l'effroi. Si celui-ci a été aux abonnés absents durant une bonne partie de l'intrigue, je peux vous assurer qu'il revient en force dans le dernier tiers. Parasites se transformant ainsi réellement en un pur thriller horrifique jouant sur ce qu'on nous avait promis depuis le début et sur une explosion de violence dont on ne s'attendait pas. L'auteur transforme l'essai en jouant avec les codes, en apportant plus de nuances, plus de terreur et laissant alors un souvenir impérissable en tête. Dommage que le romancier n'ait pas eu ce niveau d'exigence dès les premières pages…
Lien : https://tomabooks.com/2021/0..
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