Ayant accroché et adoré le premier tome j'étais impatient de découvrir ce que nous réservait ce deuxième opus. Helas rien de très surprenant j'ai eu l'impression de relire le 1 avec les mêmes passages qui traînent en longueur. On se retrouve le passage course poursuite à disque qui n'est pas plus convainquant que la première fois, toujours le même problème de se faire découvrir et oublier, le même but : vaincre un programme pour donner à Phoe un peu plus de pouvoir, à nouveau dans une réalité paralelle un peu comme l'IRES du premier tome à devoir vaincre des créatures cauchemardesques sauf qu'on passe de scorpion à serpents et araignée... Après l'histoire avance légèrement bien que entre le début et la fin on a pas fait plus de 2 jours dans l'histoire et que la condition du personnage a la fin ressemble à celle qu'il avait au début.
Je trouve que malgré les effort il y a un gros manque d'originalité dans le déroulement du livre. En faite ça pourrais être une autre version du premier tome.
Je vais quand même lire le troisième tome car j'aime malgré tout la trame et la façon d'écrire de l'auteur en espérant ne pas retrouver encore une fois les mêmes choses.
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Je marche dans le désert, le soleil rayonnant sur ma peau. J’aperçois un scintillement bleuté au loin. Est-ce un mirage ? Je cours dans sa direction et le scintillement se transforme rapidement en un océan bleu infini.
Je suis fou de joie. J’ai toujours voulu voir l’océan.
Soudain, une silhouette en bikini et cheveux courts apparaît devant moi et dit :
— Je ne savais pas si cela allait fonctionner, mais je voulais tenter le coup. Tu es en train de rêver, mais il faut que tu te réveilles.
Une fois que la surprise de son apparition est passée, je me rends compte qu’elle a raison. D’une certaine façon, je savais que je rêvais. Après tout, il n’y a pas de dômes ni de barrières autour de moi et je sais que les océans et les déserts n’existent pas sur Oasis.
Cette prise de conscience me réveille en sursaut.
Les lumières du dortoir sont tamisées au point d’être à peine perceptibles. Ce n’est donc pas encore le matin.
— Je suis désolée de m’être immiscée dans ton rêve, dit Phoe. Je sais qu’il est tôt, mais c’est urgent et nous devons parler.