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4.28/5 (sur 123 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Louis , le 29 mars 1975
Biographie :

— Vous croyez que c’est lui ?
— Certain…
— On parle bien de Philippe Meisburger, l’auteur haut-rhinois qui a écrit "C’est arrivé en avril" et "Le livre qui parle de toi" ?
— Absolument. Celui qui initialement a étudié le cinéma, mais qui paradoxalement a trouvé sa voie à l’écrit.
— En ayant un style très cinématographique quand même…
— On ne se refait pas...
— Alors, ils sont bien ses bouquins ?
— C’est aux lecteurs d’en juger…

Diplômé d'une école d'audiovisuel, Philippe Meisburger puise dans le septième art ses multiples univers ainsi que son style, résolument visuel et rythmé, comme un film au montage survolté, mais néanmoins porteur de sens.

Il conçoit l'art du récit comme un divertissement grand public qu'il met au service d'idées et de valeurs qui lui sont chères, au bénéfice d'une vision du monde résolument ouverte, inclusive et tournée vers l'avenir.
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Source : L'auteur :-)
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Et si nos pires ennemis étaient ceux qui veulent que demain soit un autre hier ? Dans une lointaine forêt tropicale, Rainbow, un jeune oiseau croyait que sa vie serait faite de bonheurs simples, dans son écrin de verdure. Mais un jour, conformément à l’usage dans sa tribu, ses parents lui coupent les vivres : il devra désormais se battre pour sa nourriture quotidienne, et de ce fait renoncer aux plaisirs qui faisaient son bonheur. Cependant Rainbow n’est pas de ceux qui abandonnent leurs rêves, et c’est bien ce qui lui est reproché. Car là où les autres rentrent dans le rang, lui décide d’utiliser son intelligence pour s’extraire de sa condition, mettant sans le vouloir l’ordre immuable de sa tribu en péril. Dès lors, comme bien souvent les visionnaires, il devient l’oiseau à abattre, la cible préférée des démagogues et surtout, surtout, de la masse bêlante qui refuse de voir qu’un autre monde est possible… ----------- Mot de l'éditeur : Un conte philosophique qui dégage une candeur et une apparente simplicité dans la veine du Petit Prince de Saint-Exupery, pour mieux servir un propos fort et universel porté par une écriture rythmée. L'inaccessible étoile est le troisième roman de Philippe Meisburger. ----------- "L'inaccessible étoile". Un roman de Philippe Meisburger, publié par M+ Éditions Sortie : 26 octobre 2023 ISBN : 978-2-38211-194-9 - 383 pages ✨🦜🥰

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Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
La cascade. Elle entre dans notre champ visuel, magnifique, sublime, splendide, luisante comme une chute d'étoiles sous la lumière lunaire, qui n'éteint que peu les autres joyaux de la voûte céleste, à commencer par la voie lactée, merveilleuse, qui traverse le ciel de part en part.
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Quand on a tout pour être heureux, on ne doit plus se battre pour sa vie, et donc on ne se bat plus dans la vie. Et quand on ne se bat plus, on perd l'expérience, on oublie tout, jusqu'au fait que la vie est un combat. Par conséquent, à la première contrariété, on en sort forcément perdant... voilà pourquoi le bonheur à perpétuité est impossible... le bonheur peut exister de manière transitoire, mais seuls le malheur et l'adversité sont faits pour durer...
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Il est inutile de vouloir changer le monde, car la majorité ne sait même pas se représenter le monde autrement. Il est tout aussi inutile de vouloir le sauver. .. car le monde ne veut pas être sauvé ! Il faut faire profil bas et ne pas réfléchir. Jamais réfléchir. Juste obéir. C'est le seul moyen de s'en tirer dans la vie. Ne pas sortir du rang, ne pas être le clou qui dépasse, celui qui attire le marteau. C'est comme ça... croire qu'on peut changer le cours des choses, c'est... c'est puéril...
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Personne dans les jardins, personne aux fenêtres, pas de voitures sur la route, un endroit vide de toute vie humaine ou animale. Il n'y a là plus que Karine, Vincent, et leur angoisse qui monte, monte...
Vincent va sonner à quelques portes. Peu de sonnettes semblent fonctionnelles, seuls quelques vieux modèles entièrement mécaniques émettent encore un son strident.
Néanmoins même là, personne ne vient ouvrir.
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Quand twitter t’impose d’écrire en moins de 280 caractères, il te prépare – consciemment ou non – à considérer comme étant la norme plus que les messages courts, concis, synthétiques. Bref, des avis vite dits plutôt que des argumentaires construits. Je ne veux pas dire, mais si cela devait advenir, ce serait juste la fin de notre civilisation née des lumières et de leurs… argumentaires. 
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Hé toi !
Oui toi…
… toi qui as les yeux rivés sur cette page.
’Fais pas comme si t’avais pas pigé, c’est bien à toi que je parle.

Quoi ? T’as pas l’habitude qu’un livre se mette à te causer ? T’avais encore jamais lu de bouquin qui te choppe comme ça, direct, à l’improviste, dès les premières lignes ? Ben avec moi, faudra t’y faire !

Ah parce que tu crois qu’on peut ouvrir comme ça, impunément, sans risque, un bouquin qui s’appelle "Le livre qui parle de toi" ? Ça va encore la tête ? Tu te trompes grave, là… ce que tu as ouvert, c’est plus qu’un livre.

C’est ton livre.
Ta boîte de pandore aussi.

À présent, impossible de faire marche arrière, je suis comme le génie sorti de sa boîte. ’Va falloir que tu t’y fasses…

Je sais bien qu’à ce stade, tu crois encore pouvoir m’échapper… Tu crois qu’il te suffira de me refermer et puis voilà ? Eh bien essaie voir… vas-y, essaie… j’attends…

Et voilà le travail !

Tu piges le truc maintenant ?
Je suis entré dans ta vie, et crois-moi, à partir de maintenant, je ne vais plus te lâcher les baskets.
Là, je vois ta mine déconfite, sur laquelle on peut lire quelque chose comme « wah balaise, comment qu’il a fait le bouquin pour piger ce qui se passe là, pile en ce moment, dans ce coin obscur sous mon crâne qu’on appelle mon cerveau ? ».

Tu vois, je lis en toi comme dans un livre ouvert.

Ça tombe bien, c’est exactement ce que je suis : un livre ouvert face à tes yeux. Je peux voir le moindre détail de tes mirettes qui parcourent mes lignes, je ressens le moindre de tes doigts qui effleure mon papier, et je tiens à te signaler que j’ai aussi entendu là, à l’instant, quand tu as lâché
ce petit…

— Non, c’est pas possible…

Et pourtant si, c’est possible. La preuve.

Alors détends-toi, bois un truc si ça t’aide à encaisser le choc, mais surtout, attache ta ceinture. Parce que là où nous allons, crois-moi, aucun bouquin ne t’y a encore emmené…
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L'invention, Mathilda. C'est ça la clé. Quand le monde ne tourne pas comme tu veux, c'est juste que tu n'as pas assez cherché à le tordre pour le faire plier à tes désirs. C'est ça la force de l'invention.
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Un roman très très prenant ! Une fois ouvert vous aurez bien du mal à le refermer !
A la fois roman post-apocalyptique, de SF, d'aventures et d'amour, ce mélange qui pourrait vite s'avérer indigeste est ici parfaitement maîtrisé par l'auteur. On ne s'ennuie pas une seconde, on est pris dans le tempo et on adhère complètement jusqu'à la fin pourtant inattendue ! Et que de complots et de retournements de situations : qui dit vrai ? Qui manipule qui ? Sans cesse on se pose la question et on a la tête retournée !
J'ai beaucoup aimé les personnages de Vincent et Karine mais j'avoue que le général Skinner a quelque chose de fascinant.
Alors lancez-vous dans la lecture de ce roman haletant, dans cette quête prenante du début à la fin , où l'on ne voit pas défiler les pages et vous vous decouvrirez tout aussi impatient que les héros d'atteindre Sedona.
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Ça ne peut pas être ça, le sens de la vie... ce serait un non-sens ! Le sens de la vie c'est vivre, se réaliser, pas juste perdre son temps à chercher de quoi manger ! Ça, ce n'est pas vivre, c'est... c'est au mieux survivre...
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Il ne sait pas qui elle est, mais assurément, c'est elle.
Elle est belle, elle est brune, son corps est svelte et élancé. Ses longs cheveux forment de larges boucles qui rougeoient à la lumière du soir.
Ils marchent ensemble au sommet d'un plateau rocheux, typique de l'Ouest américain. Elle lui semble de plus en plus belle. Elle porte une petite robe noire, plus adaptée aux soirées mondaines qu'aux balades en pleine nature.
Elle...
Elle se tourne vers lui, mais étrangement, il ne parvient pas à distinguer son visage. Et surtout pas ses yeux.
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