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4.45/5 (sur 151 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Étienne
Biographie :

Anne Cantore est auteure de romance.

Elle a fait ses études scientifiques en France, à Clermont-Ferrand, et à l'Université d'Oklahoma aux États-Unis.

Elle découvre sur le tard la littérature érotique. Décidée à vivre l’aventure pleinement, elle se lance dans la rédaction d’une romance.

"On the road with you" sera publié en Août 2017 aux éditions addictives. Depuis, elle n'arrête plus.

Mariée et mère de deux enfants, elle vit dans le Var.

son site : http://www.annecantore.com/
pages Facebook :
https://www.facebook.com/ac.auteur/
https://www.facebook.com/anne.cantore.31
Instagram : https://www.instagram.com/anne_cantore/


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La première romance d'Anne Cantore aux Éditions Addictives !


Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
- (...) Et puis, maman, je regrette, mais j’ai suivi tes conseils à la lettre, achève-t-il avec un petit air supérieur.
Ben voyons ! D’ici deux minutes, ça va être moi qui l’aurai incité à coucher avec la femme du voisin ! Manque pas de culot, ce gosse !

– Mes conseils ?! je croasse, indignée. Quels conseils ?
Le sourire retrouvé, James se penche vers moi et énumère en levant un doigt à chaque fois.

– Primo : Non, c’est non. Ce n’est pas oui, ce n’est pas peut-être. Si une fille dit non, n’insiste pas. Meryl, elle, a dit oui tout de suite !
Bon, ça, OK. C’était un bon conseil. Au moins il ne sera pas poursuivi pour viol !

– Deuxio, continue-t-il : toujours, toujours et toujours mettre un préservatif. Avec Meryl, je me suis protégé !
Je le savais ! Je ne suis pas complètement nulle comme mère. Ça aussi c’était un bon conseil !

– Tertio, ne jamais laisser sa partenaire sur le carreau. Avec Meryl, contrat rempli sur toute la ligne, me dit-il un sourire de triomphe plaqué sur sa belle petite gueule d’ange.
– Fils, je lui dis en me penchant à mon tour, si tu permets, je vais en rajouter un quatrième : ne jamais, jamais, jamais se taper la femme du voisin !
Son sourire disparaît d’un coup.

Et paf ! Fallait pas me chercher ! 
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– Eh oui, ajoute-t-il confirmant mes pires craintes. Ce n'était pas Gracie, mon informateur, mais James !
Mon indignation est à son comble. Les mots se bousculent dans ma gorge. Je n’arrive pas à trouver une formulation assez forte pour exprimer ce que je ressens. Alors, muette de rage, j’écoute Matt continuer son discours.

– Mais il a très bien négocié son changement de camp ! J’ai dû lui vendre ma fille en contrepartie ! Il ira loin ce garçon !
– James ! Mon propre fils ! je balbutie retrouvant enfin l’usage de la parole. Oh, le petit…
Il pose un doigt sur mes lèvres.

– Attention à ce que tu vas dire ! Sa mère est très à cheval sur le vocabulaire que l’on utilise à propos de son rejeton.
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Elle a le goût fort et épicé du single malt qu’elle a avalé. Ses mains prennent mon visage en coupe et, instinctivement, je pose les miennes dessus. Je devrais me détacher. Dire non. Elle et moi, c’est juste la connerie du siècle. Le fantôme de mon père va venir me hanter jusqu’à la fin de mes jours! Les avertissements de Nonce résonnent à mes oreilles. «Elle réclamerait tes couilles sur un plateau que tu te les couperais toi-même». Putain, mon pauvre Nonce, si tu savais seulement à quoi elles rêvent, mes couilles, à ce moment précis! Je finis par me détacher de sa bouche, véritable paradis qui me fait vivre un enfer. Louise, commencé-je, je ne sais pas si… Moi non plus, coupe-t-elle vivement, mais je m’en fous! Aujourd’hui, j’ai dû faire quelque chose d’horrible pour ne pas mourir. Pour ne pas souffrir. S’il te plaît, donne-moi quelque chose de beau, de fort, de bon, pour… oublier. Je veux juste me sentir vivante !D’un coup d’épaule, elle se débarrasse de ma veste. Elle se lève, se dressant entre mes jambes, et dénoue la serviette qui entoure son corps. La vision de ses deux magnifiques seins juste à la hauteur de mes yeux me coupe le souffle. Sur sa peau pâle se dessinent deux petits tétons rose framboise, gorgés d’excitation, et pointant fièrement vers moi. Ma main se lève et caresse le galbe de sa poitrine. Son épiderme se couvre de chair de poule. Elle gémit, basculant la tête en arrière, se cambrant un peu plus pour se rapprocher de mon visage. Avec toi, je n’ai plus peur, souffle-t-elle contre ma peau.
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Pour la première fois depuis que j’ai repris connaissance, son visage s’anime. Il est furieux et ne le cache plus.
— À votre guise ! Vous préférez sans doute que mon cousin fasse valoir ses droits sur vous et vos terres avec l’aide malfaisante de mon grand-père ? Vous n’avez que deux choix et je ne suis pas forcément le pire.
À mon tour, je suis gagnée par l’irritation et je me lève d’un bond pour lui faire face.
— Je ne voulais ni de lui, ni de vous, ni d’un autre, figurez-vous ! Je suis parfaitement capable de gérer mon domaine toute seule !
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Prologue :
Sullyvan
Confins des territoires civilisés du futur État de l’Oklahoma
Domaine d’Oaks Creek
Fin mai 1869
«…Tendue, elle attend. Je prends ma décision en un battement de cœur. Je lâche l’arme et charge ma femme sur mon épaule, bloquant ses jambes avec mon bras. Son bonnet blanc tombe à mes pieds avec un petit bruit semblable à un soupir.
— Vous avez raison, Kathleen, j’ai négligé mes devoirs d’époux et voilà où nous en sommes. Ma femme menace de me tuer d’un coup de carabine. Qu’auriez-vous fait, ma douce, pour vous débarrasser de mon corps ?
Elle me martèle le dos de coups de poing, gigotant et hurlant.
— Je l’aurais donné aux coyotes, espèce de chien d’Indien.
J’éclate de rire alors que ma main s’abat violemment sur ses fesses.
— Chien d’Indien ! Cela faisait un petit moment que je ne l’avais pas entendue, celle-ci ! Allons, assez parlé !
Je me mets en marche et sors de la pièce. Vu l’heure, je doute que nous croisions Liz. Et quand bien même, elle n’interviendra pas ! Kathleen donne de la voix en espérant ameuter la maisonnée.
— Lâchez-moi ! Lâchez-moi immédiatement ou je hurle à vous faire tomber cette satanée baraque sur le crâne !
— Quel langage indigne d’une jeune femme bien séante ! Mlle Amélie n’aurait pas apprécié. Hurlez tant que ça vous chante, ma belle, je suis le maître ici et personne, y compris vous, ne peut me refuser l’accès à votre lit.
En quelques enjambées, j’ai gravi les escaliers et traversé l’étage jusqu’à ma chambre...»
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Chapitre 7 :
Kathleen
«…Je leur laissant pas le temps de réagir, il entraîne les membres de la famille Jefferson vers la salle à manger attenante, non sans m’avoir gratifiée d’un regard que je ne sais pas trop interpréter. Je reste à la traîne quand je note que « l’Indien » n’a pas bougé d’un pouce et me scrute toujours, visiblement amusé. Prudente, je feins de ne rien remarquer, mais dès que je passe près de lui, il accroche mon coude et murmure :
— Joli coup et intelligemment joué. Mais il en faudra bien plus pour déjouer l’union qu’on vous propose. Ou qu’on vous impose, au choix. Earl Jefferson est un vieux roublard qui ne fera qu’une bouchée d’une jeune innocente comme vous. Qu’importe votre apparence ou n’importe quel autre de vos qualités ou défauts. Earl veut vous marier à son héritier. Et à part votre mort, je ne vois pas ce qui l’empêchera d’atteindre son but.
Je soutiens un instant son regard. Ses yeux d’un noir ardent se rivent aux miens. C’est tellement intense que j’en rougirais presque. Et puis ce curieux fourmillement au creux de mon ventre qui me donne envie de partir en courant et de me jeter dans ses bras tout à la fois. En tout cas, il ne se détourne pas ou ne fait pas mine de ne pas remarquer mon visage abîmé. Non, il se contente de me fixer et d’attendre ma réponse. J’étudie attentivement ses traits et plisse les paupières. Je penche la tête de côté...»
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Je farfouille dans mon énorme sac essayant d’en extraire mon tout petit trousseau de clés.

Pour la énième fois, je me fais la réflexion que je devrais acheter une besace plus petite. Et pour la énième fois, je me dis que ce n’est pas une bonne idée !! Mon sac c’est ma seconde maison. Peut-être accrocher mes clés à une grosse peluche pour les retrouver plus facilement.

C’est ça, Vic, bonne idée : rajouter du bordel au bordel. C’est bien, tu progresses, ma fille !
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La guerre de Sécession a éclaté et, contrairement à la majorité de mes frères, j’ai choisi de me battre pour le Nord. Pas spécialement pour l’Union, mais plutôt contre l’esclavagisme, activité pratiquée par la nation cherokee sans réel état d’âme. Sauf que pour moi, tout est lié. Les Noirs étaient les esclaves des Cherokees, les Cherokees, esclaves de l’argent et donc des Blancs. Je voulais un monde libre, autant pour les Noirs que pour ma nation.
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Soyez un roseau. Ployez si le vent souffle fort, couchez-vous et attendez que ça passe. Puis quand la tempête sera terminée, relevez-vous. Les chênes sont beaux, majestueux et paraissent forts. Mais si l’ouragan se déchaîne, ils ne résistent pas. Les roseaux semblent frêles et insignifiants, pourtant le vent aussi violent soit-il n’arrive pas à les déraciner. Parce que les roseaux ont l’intelligence de se coucher.
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Du plus âgé des hommes, qui doit certainement être Earl Jefferson, au plus jeune, que je devine être mon prétendant, tous les visages reflètent une surprise teintée d’un dégoût relativement prononcé.
Tous sauf un.
Ses yeux couleur onyx sont fixés sur moi et me détaillent avec une curiosité manifeste, mais sans aucune trace de répugnance.
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