Citations de Hub (82)
La satiété est souvent propice à la réflexion.
Le sommet de la montagne n’est jamais très loin du vide.
Le chant rend le labeur plus léger.
- Alors, Almarik ? Tu ne viendrais pas avec nous ?
- Pas vraiment, non ? Entre ta guerre fratricide et ta recherche d’un vieux conteur, je trouve que ça sent mauvais ton affaire. Je préfère le calme et la tranquillité de ma forêt !
- Mais, Almarik, et l’aventure ? La découverte ? Tu es un guerrier !
- Je suis un guerrier en quête de sérénité ! Adieu et bonne chance à vous deux ! Puissent les dieux vous protéger… Mais je sens que ce n’est pas gagné, ça !
À celui qui ne sait pas vers quel port il navigue, nul vent n'est jamais favorable.
- Pas maintenant, Kurt ! Laisse parler les adultes !
- T'aurais dû dire ça aux loups pour les empêcher de te bouffer ! Heureusement que j'étais là pour te sauver la vie ! Abruti !
- Tlaloc, Seigneur de la Pluie !!! Ô cyprès séculaire… Sois l’éternel témoin de notre serment. Ici, devant toi, nous mêlons notre sang et nous jurons l’un et l’autre entraide et amitié jusqu’à la fin de notre éphémère passage dans ce monde… Que celui qui brise ce pacte secret soit maudit à jamais...
L'eau est le miroir de l'âme.
Elle est calme, limpide et pure comme le lac des montagnes pour le sage.
Opaque comme la vase pour le menteur.
Bouillonnante et violente comme l'écume qui surmonte la plus haute vague d'un tsumani pour le fou.
- Mon cher capitaine Roald, nous allons devoir arriver les premiers si nous voulons ce livre.
- Le Markvart est le plus rapide de tous les drakkars du royaume. Ce ne sera pas difficile !
- Hum… Ne vendons pas la peau de l’ours… Enfin, tu connais la rengaine…
Tes suspicions frôlent le blasphème.
Ô douce lune, que la froide sagesse de tes rayons dans cette nuit aussi profonde qu'un puits vienne soulager les fardeaux les plus lourds à porter et apaiser les blessures et chagrins de ton âme pure.
- Nos montagnes se sont fait l'écho de nombreux récits de vos exploits.(Fauche-Le-Vent)
- ... Hmmm. L'écho aura mille fois eu le temps de déformer la réalité... (Okko)
La vieille femme courbée tel un frêle roseau,
Déploya ses maigres bras pour étreindre son fils.
Okko, sabre à la main, vide de toute compassion et de tout honneur,
offrit à sa mère le baiser macabre d'un fils indigne.
Celui-ci avait le gout de l'acier,
celui-ci avait le gout du sang.
Dis donc, Brynhild, par rapport à l'incident de la cascade... Avec un groin pareil, j'espère que tu ne m'as pas trop dans le nez! HA HA HA ! Elle est bonne hein?
Feu mon mari m'a souvent parlé de vous et de vos exploits. Je vous en supplie, aidez-nous, votre prix sera le mien. Sauvez ma fille, vous êtes mon dernier recours. (Dame Mayudama à Okko)
-Cet homme et ses compagnons ont sauvé ma fille. S'il venait à trépasser, je vous tiendrais pour responsables... Vous feriez aussitôt connaissance avec la lame de feu mon époux... Ai-je besoin de préciser ma pensée?
-Glups... Non, tout est parfaitement clair Dame Mayudama... Parfaitement clair.
-Contente d'avoir su trouver les mots pour vous remotiver...
-Dis, tu crois qu'on peut lui faire confiance? T'as vu ce qu'il porte comme vêtements? Et son accent! Il est bizarre non?
-Bah... S'il fallait juger les gens sur leur apparence...
A celui qui ne sait pas vers quel port il navigue, nul vent n'est jamais favorable...
Il n'y a ni victoire ni défaite dans le cycle de la nature : il y a du mouvement.
L'histoire s'écrit lentement, au gré des saisons.
Le destin de chacun diffère tels les pétales du cerisier.
Certains n'auront pas la chance d'éclore...
... D'autres donneront des fruits bien mûrs, et les derniers pourriront.