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Critiques de Libon (151)
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Animal lecteur, tome 6 : Un best-seller sin..

L’humour est fin et juste, le ton léger et enjoué,on apprécie chaque planche, on apprend deux ou trois anecdotes au passage sur les nombreux auteurs cités, bref,on se détend.
Lien : http://www.avoir-alire.com/a..
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Animal lecteur, tome 6 : Un best-seller sin..

Ce tome fait suite à Animal lecteur, tome 5 : C'était mieux avant ! (2014) qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu avant, mais ce serait dommage de s'en priver. Il s'agit donc du sixième tome d'une série humoristique, constituant une compilation de gags en 1 bande verticale, chaque page comprenant 1 bande. Il se présente sous un format original : demi A4 vertical, avec des bandes verticales (par opposition à l'habitude des strips qui se présentent sous la forme d'une bande dans laquelle les cases se suivent à l'horizontal). Il est initialement paru en 2016, écrit par Sergio Salma, dessiné par Libon. Ce tome comprend 92 strips.



Dans son magasin BD Boutik, le libraire Bernard Ledoux est en train de monter une pile avec les exemplaires du dernier Blake & Mortimer en se disant qu'il n'aurait jamais imaginé que cette série allait sauver le chiffre d'affaires de son magasin. Il est très surpris par l'arrivée de l'objet promotionnel associé. Pour répondre à la demande d'un jeune client, le libraire recherche sur son logiciel s'il existe une version chti de Titeuf. Bernard discute avec un client âgé, abonné au Journal de Spirou depuis le premier numéro en avril 1938. En 1938, deux héros emblématiques sont apparus : Spirou et Superman. Entre deux clients, le libraire s'imagine en marionnette de Guignol, frappé par le gourdin de la crise. Monsieur Ducolrède est un monsieur sérieux, avec un métier sérieux dans une société sérieuse, abonné à un journal sérieux. Mais pendant les vacances le journal sérieux se lâche en offrant à ses lecteurs un supplément BD. Bernard Ledoux réfléchit au paradoxe du décalage entre la période de l'été propice aux lectures plaisir, et à l'absence de nouveauté pendant cette même période. Un client demande si Raoul Cauvin c'est bien : le libraire se lance dans un passage en revue de toutes ses séries.



Au vingt-et-unième siècle, toute la planète est accaparée par internet. Toute ? Non une seule librairie résiste encore et toujours à l'envahisseur. Début décembre, le libraire a mis en place un grand stock de Fouette Man, dans l'ombre de Saint Nicolas, parce que les méchants ça se vend bien. Pour ses bonnes résolutions, Bernard Ledoux a décidé de mieux maîtriser ses émotions face aux demandes impossibles des clients, à commencer par savoir s'il livre. Le libraire se voit bien en Astérix résistant à l'envahisseur César qui représente la crise. Bernard est tout fou devant son poste de télévision à regarder un match de foot, à la grande surprise de son fils. Il imagine ensuite où va arriver Lucky Luke à force de s'en aller vers l'ouest à la fin de chacun de des albums. Il se lance ensuite dans le moyen de distinguer Boule de Bill, de savoir qui est le chien et qui est l'enfant. L'employé du libraire reçoit un appel de son patron, mais ça coupe tout de suite. Deux enfants regardent la vitrine de BD Boutik, en notant l'influence de la télé sur la BD. Bernard Ledoux est en train de pointer du doigt les défauts d'amazon par rapport au contact direct avec un libraire quand le facteur vient lui apporter un colis. Une fois n'est pas coutume : le libraire va acheter un livre dans une librairie spécialisée et il demande des renseignements à son collègue. Un client est en train de regarder les différentes BD dans les bacs, et le libraire ne sait pas trop s'il doit proposer son aide pour le guider, ou respecter le fait qu'il fait du lèche-vitrine par lui-même.



Après la surprise du format traditionnel du tome précédent, les auteurs reviennent au format habituel de leur série : un demi A4 avec des gags en format vertical. Le libraire est toujours aussi sympathique et motivé pour exercer sa profession qui avoisine le sacerdoce. De temps à autre, il ne parvient pas à conserver son flegme et il s'énerve du comportement d'un client, d'une exigence idiote, du volume de BD à déplacer chaque semaine. Son apparence est toujours aussi sympathique avec l'exagération caricaturale du dessinateur : gros nez très allongé, lunettes basses avec les yeux regardant par au-dessus, bras très épais avec le coude presque pas marqué, gros doigts, visage très expressif, tenue inchangeable avec un jean, un tee-shirt jaune, une chemise rouge à manche courte toujours ouverte. Les autres personnages sont également croqués avec une belle expressivité : le jeune employé avec les cheveux qui lui cachent les yeux (seul personnage récurrent), le fiston portrait craché de son père, le frère du libraire en costume-cravate, et les clients variés de 7 à 77 ans, plus ou moins intéressés, plus ou moins exigeants (souvent plus que moins).



Outre le format très particulier, l'horizon d'attente du lecteur comprend des références BD, des piles de cartons de BD à déplacer chaque semaine, des observations sur l'industrie de la BD, et des gags visuels. Salma & Libon ne déçoivent pas. Oui, c'est vrai que voir citer des séries BD connues ou moins connues permet d'établir que Bernard Ledoux est un libraire spécialisé, et ça crée une connivence avec le lecteur de BD. En outre ces références sont accessibles à la plupart des lecteurs : Blake & Mortimer, Spirou, Superman, Lucky Luke, Marsupilami. Il est même vraisemblable que le lecteur occasionnel se reconnaîtra dans le gag sur la difficulté de se souvenir qui est Boule et qui est Bill (page 17). Il appréciera également l'opposition ou plutôt le rapprochement entre la souris de Walt Disney (Mickey) et celle d'Art Spiegelman (Maus). Le degré de connivence augmente d'un cran quand le libraire est confronté à un client qui en sait réellement plus que lui, ou quand est évoqué la signification du mot Spirou en wallon. Le scénariste développe un gag autour de la diversité des œuvres de Raoul Cauvin, auteur qu'il admire, en citant ses principales séries : Les femmes en blanc, les tuniques bleues, Cédric, Les psys, Pierre Tombal. Le ballet des cartons de nouveautés et d'invendus reprend avec 6 gags : pages 9, 38, 49, 54, 59, 67, ce qui ne fait pas beaucoup sur un total de 92. À chaque fois, Salma trouve un autre angle pour considérer cette tâche inéluctable : la reprise des nouveautés en septembre en décalage avec la disponibilité des lecteurs en été, les périodes de creux (janvier, avril, juillet, octobre) permettant d'affiner les retours d'invendus, la force physique acquise avec la pratique de l'exercice de port de cartons de BD, l'incrédulité du livreur de voir que le libraire parvient à caser les nouveautés chaque semaine, l'énergie nécessaire pour faire face à 500 nouveautés par mois, la solution trouvée pour gérer les nouveautés qui ne trouvent pas leur place dans l'espace de la librairie.



Étant un maillon de la chaîne du livre (très beau gag visuel dans un dessin en pleine page, p.77), le libraire subit en direct le mode de fonctionnement de cette industrie et les contraintes qui s'imposent à lui, parfois en dépit du bon sens. Ainsi, les gags ont pour objet ou abordent de manière indirecte la concurrence de la vente en ligne avec la disponibilité presque infinie de tous les titres, la déclinaison d'un personnage en une véritable franchise multimédia donnant à son tour à d'autres versions BD du même personnage, le volume hallucinant de nouveautés annuelles (environ 5.000 BD par an, tout genre confondu), les produits dérivés comme les figurines ou les objets de collection, les différentes versions d'un BD (basique, augmentée, noir & blanc), la recherche de petits plus produits pour le client, le paradoxe du tome 1 d'une nouvelle série (les lecteurs ayant tendance à attendre le tome 2 pour être sûrs que la suite paraîtra bien), la part financière qui revient à un auteur sur la vente d'une BD… En arrière-plan, le libraire doit suivre ou accompagner d'autres évolutions plus profondes de la société comme les efforts pour moins consommer d'énergie, ou l'évolution à la baisse des revenus qui incite au licenciement des employés. Impossible de résister à la comparaison du libraire et de sa librairie, à un petit village irréductible résistant contre la dématérialisation.



Le lecteur retrouve donc tout ce qu'il attend de la série, les auteurs sachant regarder d'autres facettes de thèmes déjà abordés, et se pencher sur de nouveaux. Les auteurs réalisent aussi bien des gags racontés en plan fixe, généralement sur le libraire, qu'avec une prise de vue qui évolue d'une case à l'autre, Libon prenant soin de rappeler discrètement ou dans le détail, le décor en arrière-plan. Chaque gag fonctionne grâce à la dimension comique de l'expressivité exagérée des personnages. De temps à autre, un gag repose plus sur la narration visuelle : la loupe sur la librairie comme la loupe sur le village gaulois d'Astérix, Lucky Luke s'éloignant vers e soleil couchant, le libraire hurlant dans une pièce insonorisé pour évacuer sa frustration, le libraire enchaîné à un carton plein, la scène d'action irrésistible du libraire changeant le rouleau de sa caisse en étant chronométré par son employé, et bien sûr monsieur et madame couché au lit, l'un lisant Mickey, l'autre Maus, sans aucun mot ou texte. De temps à autre, le lecteur prend conscience d'une prise de recul encore plus importante que ce soit l'être humain dépassé par la quantité de produits à sa disposition (le libraire se fait aider par son fils pour se faire une idée sur les mangas, il tente l'oreillette pour être guidé en temps réel sur les conseils à délivrer aux clients), ou le cumul des années qui fait que l'enthousiasme enfantin cède progressivement la place aux critiques systématiques chez les adultes, ou encore le concept très intelligent de l'Udersatz.



S'il a lu les tomes précédents, le lecteur revient pour avoir plus de la même chose, mais avec des gags neufs. Il est comblé : Libon est en très grande forme pour animer ses personnages d'une vitalité humoristique, et l'inspiration de Sergio Salma ne se tarit pas.
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Animal lecteur, tome 6 : Un best-seller sin..

Voilà j'ai tout lu ce que ma médiathèque proposait sur cette série. Et ce 6ème tome m'a fait beaucoup de bien : c'était un petit divertissement au milieu de lectures un peu arides que je m'impose en ce moment.... et étrangement, même si ça reste toujours un peu répétitif, je m'amuse encore à ces lectures.

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Hector Kanon - Intégrale

Belle intégrale proposée par Fluide, pour une comète Hector Kanon trop vite passée dans le ciel BD, et à vite réobserver.
Lien : http://www.bdencre.com/2019/..
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Hector Kanon, tome 1 : Une certaine élite

Un humour trash servi par des graphismes volontairement simplistes à l'extrême.

Cela semble un peu daté, je ne suis pas sûr que cela puisse plaire aujourd'hui avec l'évolution de la bande dessinée.

Je suppose qu'on adore ou qu'on déteste mais qu'on peut difficilement rester dans l'entre-deux.

A voir comme un pan de l'histoire de la bande dessinée.

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Hector Kanon, tome 2 : Un scooter dans la m..

Hector revient ! faite gaffe !..

parce que quelque part, il est toujours aussi... stupide, à côté de la plaque.. à côté de ses pompes...

Mais y a un truc qui le sauve.. il est drôle.. vraiment !

En écrivant ces mots, j'ai des strips, des cases et des histoires qui popent dans ma tête... et donc j'ai un sourire plaqué sur la face, et j'ai le rire qui monte... et en même temps je secoue la tête de consternation...

Pasque y veut bien faire le pauvre...

Il aide... des fois... mais nan...

Pourvu que les jeunes trentenaires soient pas tous comme lui... sinon on est pas sorti de l'auberge! ^^
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Hector Kanon, tome 2 : Un scooter dans la m..

La suite des aventures du gars qu'il est impossible de définir. Le beauf tel qu'on l'imaginait il y a quelques dizaines d'années, du temps du baladeur et des mobylettes.

Cela peut faire rire ou sourire. Ou pas.

Au mieux, ses allers-retours en enfer, ses ventes de vêtement bios sont dans l'actualité.

Mais malgré tout, difficile de ne pas penser à un moment que c'est d'un autre âge.
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Lecture jeune, n°126 - Jacques est un petit lézard qui, traversant une base militaire où se déroulaient des essais nucléaires, est devenu géant :1,30 m pour un lézard, c’est impressionnant ! Qui plus est, désormais, il pense et il parle. Ce drôle de monstre sème la panique en ville alors qu’il souhaite tout simplement manger un morceau. Chacune des rencontres provoque de nombreux gags et des situations abracadabrantes : et les policiers s’inquiètent quand la réapparition du monstre du Loch-Ness est annoncée ! Heureusement, une mamie « gâteuse » prend soin de lui comme d’un petit chat.



Une bonne série d’aventures délirantes auxquelles un graphisme volontairement caricatural donne toute sa saveur. Cet album est adapté à tous les publics car il joue sur différents registres d’humour et le scénario permet de multiples niveaux de lectures. Ainsi, derrière cette succession d’épisodes légers, la bêtise et l’absurdité humaine sont évidemment dénoncées. Le dessin drôle et coloré séduit immédiatement, parvenant à rendre compte de situations délicieusement cocasses.



Agnès Donon
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Une BD comme je les aime! Un petit lézard mutant plein de bonté (et d'appétit) va produire des événements tout autour de lui, c'est qu'il se perd tout le temps! Or, il ne passe pas inaperçu... Adopté par une mamie gâteuse, un cirque ou un pêcheur... Il n'aura pas le temps de s'ennuyer (nous non plus)!
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Des militaires décident d’abandonner les essais nucléaires en mer au profit de mini bombes atomiques plus discrètes. C’est ainsi qu’ils balancent une ogive miniature dans le village du coin. Celle-ci tombe sur un lézard qui prend taille et voix humaines, semant la panique partout où il passe.



Finalement recueilli par une vieille dame, le lézard va s´habituer à sa nouvelle condition. Il va malheureusement égarer sa bienfaitrice et se lancer à sa recherche, rencontrant des satanistes, un cirque et d’autres personnages.



Libon croque avec bonheur tout ce petit monde, se moque gentiment de l’armée et de la police et nous fait sourire tout au long de l’aventure.
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Bigre que j'ai pensé quand j'ai vu le petit autocollant collé sur la bd qui clamait : "impitoyablement testé et approuvé par 300000 lecteurs de Spirou Hebdo". Il fallait que cela soit vraiment à la hauteur. Cela me paraissait un peu prétentieux.



Je ne suis pas généralement un lecteur de bd d'humour. Est-ce que celle-ci sort réellement du lot de la profusion actuelle ? La réponse est nettement positive dans la mesure où l'on se marre assez rapidement. J'ai été touché par la naïveté et la candeur qui se dégage de ce pauvre lézard atomisé. Sa relation avec la mamie est tellement touchante qu'on espère qu'il va la retrouver. Je suivrais avec plaisir les aventures de Jacques le petit lézard géant. J'espère seulement que la magie opérera à nouveau...



Ce fut le cas par la suite avec notamment la rencontre avec l'auteur lors d'un festival de bande dessinée à Strasbourg. C'est quelqu'un de très sympa à l'image de son petit lézard géant. Par ailleurs, il fourmille de projets. Pour le coup, je remonte ma note.



Note Dessin: 4/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4/5
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Suite à une expérience militaire, Un petit lézard se retrouve transformé en grand lézard de 1 mètre de haut, qui marche sur deux pattes et qui parle. C’est une histoire complètement loufoque, burlesque, avec des personnages tous plus bêtes les uns que les autres, tout le monde en prend pour son grade, les militaires, les policiers, les journalistes, les satanistes, les vieux... Le situations improbables s’enchaînent en cascade. Le graphisme est expressif, simple, vivant, coloré. Un bon moment de bonne humeur.
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Une bande dessinée très drôle partant de l'idée d'un petit lézard transformé en humain (mais avec une apparence de lézard de grande taille qui marche sur deux pattes...). Ses tribulations à travers la ville et la campagne à la recherche d'un repas (papillons mais aussi croquettes pour chiens ou toute autre opportunité nouvelle pour lui) provoquent la panique dans la population et le déploiement des forces de l'ordre. Le héros est adorable dans sa recherche de la mamie qui l'a adopté et les réactions de l'armée et de la police présentés comme assez bêtes particulièrement réussies.

Un excellent moment de lecture !
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Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

A partir d'une idée toute simple et incongrue, Libon nous amène à nous interroger sur les rouages de notre société. Bien sûr, on n'est pas dans une thèse de philo, ce n'est pas un sujet du BAC façon "vous avez 3 heures", mais quand même ! Derrière le rire ou le sourire, au-delà de l'absurde, il y a autre chose.



L'action: suite à une expérience atomique militaire, un tout petit lézard devient un "petit lézard géant"... il est doté de la parole, marche et se met en mouvement vers la ville la plus proche. Là, il va désespérément essayer de comprendre notre mode de vie... Cela va de la télé à la pub, des céréales aux codes de la vie en société. Le tout est rythmé par une enquête de la police qui essaie de trouver le fauteur de trouble... et ponctué par l'intervention de l'armée pour tenter de couvrir leur bévue du début... Ce final est jouissif.



Personnellement, j'ai bien aimé. Le graphisme un peu "à l'arrache", le côté décalé, le politiquement incorrect et cette façon de remettre à plat les conventions de notre société. C'est fait avec douceur, humour et sans en avoir l'air. Cela m'a rappelé (bonheur ultime) le Concombre masqué (en moins déjanté quand même), c'est tout dire !
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Jacques, tome 2 : Jacques a plein d'amis

Dans ce second tome, on retrouve Jacques où on l'avait laissé. Il cherche toujours sa mamie, et l'armée cherche toujours à le récupérer. Les gags s'enchaînent, tout le monde tente de sauver le petit lézard géant : des enfants, des hippies,...

Très bon album !
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Jacques, tome 2 : Jacques a plein d'amis

Aux militaires, policiers, vieux, journalistes, savants et autres spécimens comiques, on rajoute ici les écologistes, les poètes, les marins et encore bien d’autres, tous bien déjantés. Le lézard mutant qui marche sur deux pattes et qui parle continue son périple dans l’espoir de retourner chez sa mamie. C’est pas une mince affaire : situations rocambolesques, loufoques en tout genres. C’est drôle, frais et pétillant.
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Jacques, tome 3 : Relativement discret

Rien de révolutionnaire mais ça reste rigolo. La qualité ne baisse pas d'un tome à l'autre.
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Jacques, tome 3 : Relativement discret

Un monstre horrible terrorise les habitants d’une petite ville. La description qu’en font ses victimes semble correspondre étrangement au profil de Jacques.

La suite des aventures de Jacques, le petit lézard géant, toujours aussi loufoque et attachant.
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Jacques, tome 3 : Relativement discret

Un joyeux foutoir déjanté, drôle et loufoque.

Un monstre terrorise la ville, mais en fait il y en a deux, Jacques le petit lézard géant, et un autre, le fruit d'une expérience secrète de l'armée. Jacques fait des efforts pour rester discret à coup de déguisements, mais ce n'est pas très au point. Tout ce télescope, témoignages contradictoires, journalistes bordéliques, armée, police, petites vieilles qui font leur courses, cambrioleurs, chasseurs... Ça part dans tous les sens, pour notre plus grand plaisir.
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Les cavaliers de l'apocadispe - Tome 4 - en..

Ils sont très forts en bêtises ces trois gaillards, mais le pire, c’est quand ils essaient de réparer leurs bêtises ! Le dessin de Libon est très expressif et les couleurs sont intenses et saturées. Le style un peu grossier du trait donne un aspect improvisé, à l’image des bonnes idées des trois amis.

Le trio infernal va tenter de sécher les cours, trouver un porte-feuille, voler un téléphone portable, emprunter un ballon et se rendre en sortie scolaire au centre équestre… ils se retrouvent dans des situations cocasses, loufoques, burlesques et délirantes, ça dérape à chaque fois, une constante : leurs bonnes idées sont toujours de très mauvaises idées.

J’ai ri aux éclats, c’est vraiment très drôle, je ne me lasse pas de cet improbable trio.
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