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Citations de Mao Tsé-Toung (43)


Nous devons faire une claire distinction entre l'ennemi et les nôtres, et ne pas adopter une position antagoniste à l'égard de nos camarades en les traitant comme ennemis.
Nos écrits doivent être pénétrés du désir ardent de défendre la cause du peuple et d'élever son niveau de conscience politique, ils ne doivent pas ni ridiculiser ni attaquer ceux auxquels ils s'adressent.
Intervention à la conférence nationale du Parti communiste chinois sur le travail de Propagande.
12 mars 1957
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Le noyau dirigeant de notre cause, c'est le parti communiste chinois.
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 Mao Tsé-Toung
C'est dans l'ignorance que l'on dirige un peuple.
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 Mao Tsé-Toung
C'est quand la merde et le pet sont sortis que le ventre est soulagé !
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 Mao Tsé-Toung
De défaite en défaite jusqu’à la victoire
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Nous réussirons à apprendre tout ce que nous ne connaissions pas auparavant.

Nous ne sommes pas seulement bons à détruire le monde ancien, nous sommes également bons à construire un monde nouveau.

«Rapport à la deuxième session plénière du Comité central issu du VIIe Congres du Parti communiste chinois» (5 mars 1949), Œuvres choisies de Mao Tsétoung, tome IV.
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 Mao Tsé-Toung
«Il n'est pas difficile à un homme de faire quelques bonnes actions ; ce qui est difficile, c'est d'agir bien toute sa vie, sans jamais rien faire de mal»
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C'est à travers les difficultés et les vicissitudes que grandit le nouveau.
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Celui qui ne voit que le côté radieux des choses et ne remarque pas les difficultés ne pourra lutter avec succès.
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La transformation d'une Chine agricole arriérées en un pays industriel avancé exige de nous un travail des plus ardus, alors que nos expériences sont encore loin d'être suffisante. Il nous faut donc savoir apprendre.
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Il faut que toute la main-d’œuvre féminine prenne sa place sur le front du travail ou sera appliqué le principe à "travail égal salaire égal", et cela doit être réalisé dans les plus brefs délais.
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Pour parvenir à l'émancipation complète, les peuples opprimés doivent compter d'abord sur leur propre lutte, et ensuite seulement sur l'aide internationale. Les peuples dont la Révolution a triomphé doivent aider ceux qui luttent pour leur libération. C'est là notre devoir internationaliste.
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Gardez-vous d'être orgueilleux. C'est une question de principe pour tous les dirigeants, et c'est aussi une condition importante pour le maintien de l'unité. Même ceux qui n'ont pas commis de faute grave et qui ont obtenu de grands succès dans leur travail ne doivent pas être orgueilleux.
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Le monde progresse, l'avenir est radieux, personne ne peut changer ce courant générale de l'histoire. Nous devons constamment faire connaître au peuple les progrès du monde et son avenir lumineux, afin d'aider le peuple à prendre confiance en la victoire.
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Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !
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 Mao Tsé-Toung
Il est plus utile de tuer des moustiques que de faire l'amour.
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Les masses nourrissent un enthousiasme débordant pour le socialisme.
(Page 137 de l'édition chinoise de 1966)
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 Mao Tsé-Toung
La révolution n'est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s'accomplir avec autant d'élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d'amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d'âme. La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre.
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L'histoire de l'humanité est un mouvement constant du règne de la nécessité vers le règne de la liberté. Le processus est sans fin.

Dans une société où subsistent des classes, la lutte de classes ne saurait avoir de fin; et la lutte entre le nouveau et l'ancien, entre le vrai et le faux dans la société sans classes se poursuivra indéfiniment.

Dans les domaines de la lutte pour la production et de l'expérimentation scientifique, l'humanité ne cessera jamais de progresser et la nature de se développer, jamais elles ne s'arrêteront à un certain niveau.

Aussi l'homme doit-il constamment faire le bilan de son expérience, découvrir, inventer, créer et progresser. Les points de vue inspirés par l'immobilisme, le pessimisme, le sentiment d'impuissance, l'orgueil et la présomption sont erronés.

Et cela parce qu'ils ne correspondent pas à la réalité historique du développement de la société humaine depuis environ un million d'années, ni à la réalité historique de la nature portée jusqu'à présent à notre connaissance (par exemple la nature telle qu'elle est reflétée par l'histoire des corps célestes, de la Terre, de la vie et des autres sciences de
la nature).

Cité dans le «Rapport sur les travaux du gouvernement présenté par le premier ministre Chou En-laï à la première session de la IIIème Assemblée populaire nationale» (21-22 décembre 1964).
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Les étudiants devraient partir à la campagne dès cet hiver – je pense aux étudiants en lettres. Les étudiants en sciences physiques ne devraient pas être déplacés pour l’instant, quoiqu’on puisse les déplacer pour une période ou deux. Tous ceux qui font des études de lettres – histoire, économie politique, littérature, droit – doivent tous partir sans exception.

Professeurs, assistants, travailleurs administratifs et étudiants devraient tous sans exception partir pour une période limitée de cinq mois. S’ils partent cinq mois dans les campagnes, ou cinq mois dans les usines, ils acquerront une expérience directe. Chevaux, vaches, moutons, poulets, chiens, riz, sorgho, haricot, blé, variétés de millet, ils peuvent jeter un coup d’œil sur tout ça. S’ils partent en hiver, ils n’assisteront pas à la moisson, mais ils pourront voir quand même la terre et les gens.

Faire l’expérience de la lutte des classes – voilà ce que j’appelle une université.
(…)
Vous autres intellectuels, vous êtes tous les jours dans vos bureaux de fonctionnaires, bien nourris, bien habillés, et ne faisant pas même un peu de marche à pied – c’est pour ca que vous tombez malade.

Les vêtements, la nourriture, le logement et l’exercice sont les quatre causes principales de la maladie.

Si d’une vie de coq en pâte, vous passez à des conditions un peu moins confortables, si vous parez participer à la lutte des classes, si vous vous retrouvez au beau milieu des « quatre assainissements » et des « cinq antis » et vous vous endurcissez pendant quelque temps, alors vous autres intellectuels, vous aurez une toute autre allure.

Si vous ne vous mettez pas à la lutte des classes, alors qu’est-ce que cette philosophie ? ("Entretien sur des questions de philosophie", 18 août 1964, pp. 260 & 263)
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