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Citations de Sylvie G. (160)


Dans notre société, la réussite se mesure davantage à ce que vous possédez qu’à ce que vous êtes. C’est un constat désolant, mais assez réel. Cela dit, je pense qu’une part inconsciente de moi avait l’impression d’être parvenue à s’en sortir, à cadrer dans ce que la société espère, en étant avec lui. Ça ne me ressemble pas d’être aussi hypocrite.
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N’empêche que c’est facile de se satisfaire de peu quand on peut tout se payer !
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Je n’ai pas l’intention de continuer à vivre avec un homme pour qui je n’éprouve plus rien. Néanmoins, je crois qu’Alexander sera bouleversé de l’apprendre. Ainsi, je me suis donné pour mission d’amasser des preuves de son infidélité.
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Je comprends l’incrédulité que je décèle dans le regard sombre du policier. Et quel regard ! Nul doute, il restera longtemps gravé dans mon esprit. Dans ses pupilles noires comme la nuit, je peux lire des éclats d’une intelligence vive. Et dans la robustesse de son corps, je devine une force tranquille. La virilité émane de tout son être ; avec ce genre d’hommes, les femmes se sentent en sécurité, c’est certain. Je perçois aussi un sens de l’humour, même si nous n’avons abordé aucun sujet désopilant.
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J’aimerais tant savoir ce qui est arrivé pour que cet étudiant perde la vie, mais la vérité c’est que je suis effrayée par ce que je pourrais découvrir. Il y a certaines choses que je devrais garder pour moi, j’en ai la certitude. Pourtant, j’ignore si ces éléments qui m’obsèdent et ceux dont on m’a parlé se sont réellement produits. Ça me paraît insensé. Incompréhensible. Impossible. Je suis toutefois bien obligée d’admettre que les faits parlent d’eux-mêmes. J’ai eu une relation sexuelle avec Ethan Lewis, il a été assassiné et, selon toute vraisemblance, c’est moi qui l’ai tué.
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-Ce n'est pas ça non plus. C'est bien ce que je croyais, alors j'ai formulé d'autres hypothèses. Il y a quelqu'un qui a des poux et tu te sauves pour le fuir?

Cette fois, j'éclate de rire.

-Et selon mon analyse, chuchote-t-il, ce serait Chad le pouilleux.

Mon rire s'arrête net.

...

Je soupire à plein régime au point où je pourrais expédier Mirko à l'hôtel.

-Je veux bien admettre qu'il est beau, mais c'est tout. De toute façon, il me déteste tellement que même si j'avais un tout petit intérêt - ce qui n'est pas du tout le cas -,ce serait inutile de me faire des idées à son sujet.

-Bien sûr!

-Bien sûr quoi?

-Tu vas me dire que tu ne remarques pas la façon dont ses yeux balayent ton corps chaque fois qu'il en a l'occasion.Tu vas aussi me faire croire que tu ne vois pas que, dès que tu t'éloignes,il te cherche. Tandis que tu y es, tu vas prétendre que,lorsque vous avez joué au foot,tu n'as pas remarqué qu'il a tout mis en œuvre pour s'assurer que tu gagnes. Juste pour te voir te réjouir.
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Il y a deux choses que j’ai faites que je voudrais oublier à tout jamais. L’une parce que j’étais persuadé de bien agir et l’autre causée, entre autres, par la culpabilité de devoir mentir jour après jour pour camoufler ce geste qui servait à protéger une personne que j’aime. Si ces détails sont connus, je risque non seulement de briser la vie de gens qui méritent mieux, mais en plus je devrai mettre une croix sur ma carrière de criminaliste.
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Je n’arrive pas à croire que j’ai perdu mon cellulaire. J’ai mis tout sens dessus dessous, sans succès ; je ne le vois nulle part. J’avais trop bu hier, alors je commence sérieusement à me demander si je ne l’avais pas dans la poche de mon jeans quand j’ai sauté dans la piscine. Ce serait une meilleure nouvelle que d’imaginer qu’il s’est retrouvé dans les mains de quelqu’un. Je n’ai pas grand-chose à cacher, mais je n’ai quand même pas envie qu’on fouille dans mon intimité. J’ai bien un code, mais qu’est-ce que ça vaut de nos jours ?
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Je choisis d’être honnête, même si ça dérange parfois. Les gens sont si habitués de côtoyer le mensonge qu’ils sont effrayés par la vérité.
Il a tellement raison. C’est désarmant d’entendre de tels propos de la bouche d’un aussi jeune homme. Je fantasme à l’idée d’avoir ne serait-ce qu’une fine parcelle de cette authenticité. Mes choix sont toujours effectués en fonction de ce qui est moralement acceptable et de ce qui est bien vu par la société.
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Autrefois, c’était une fierté d’être un modèle de compétences et de bonnes mœurs, aujourd’hui, c’est une épine dans le pied. J’en ai assez d’être cette fille qui s’efforce de tout accomplir à la perfection. Thomas a été le premier pas vers un changement. L’idée d’avoir des relations sexuelles avec un homme sans que nous soyons officiellement engagés ne me ressemble pas. Ça peut paraître idiot pour la plupart des gens, mais accepter de m’allouer une entorse aux règles politiquement correctes a eu un effet libérateur. Sauf que ça ne suffit plus. J’en veux plus. J’ai envie de me rebeller contre cette recherche incessante de perfection qui n’arrive jamais.
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Étant donné que les deux victimes étaient connues pour être très actives sexuellement, il pense que Katriana les a attrapées dans son filet en utilisant sa meilleure arme, son sex-appeal. Jonathan connaît bien ce genre de femme, celle qui balance la tête pour vous obliger à respirer son parfum, qui cambre les reins pour exhiber sa poitrine, qui se tortille sur sa chaise pour que vous puissiez l’imaginer se mouvoir sur vous. Katriana agit exactement de cette façon sur le film. Le visage illuminé de Collins ne laisse aucun doute, il est excité par elle, il veut la posséder et il la suivra n’importe où pour qu’elle se donne à lui. Même sur un chemin de campagne, à l’abri de tous les regards. Surtout sur un chemin de campagne, à l’abri de tous les regards.
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Avec son jean trop grand, sa veste à capuche, ses lunettes fumées et ses cheveux en pagaille, elle ressemble vaguement à une vedette d’Hollywood qui tente de rester incognito. L’image lui rappelle ces fameux clichés pris par les paparazzis qui volent le moment tandis que les stars se faufilent derrière leurs gardes du corps. Comme ces célébrités, Elisabeth semble vouloir disparaître. Ça ne fait aucun doute pour le policier, cette femme aux yeux d’argent et à la silhouette de mannequin souhaite minimiser les regards sur elle en revêtant des habits masculins, en choisissant une coiffure courte et en évitant de mettre l’accent sur ses traits par du maquillage. Pourtant, elle demeure une des femmes les plus belles qu’il ait jamais vues.
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Chaque fois qu’elle se penche pour écrire, Jonathan en profite pour évaluer les traits de son visage délicat. Si elle n’était pas policière,lle pourrait devenir mannequin sur-le-champ, pense-t-il. Son nez est fin, ses pommettes, saillantes, sa peau, sans défaut, et sa bouche, juste assez charnue. Contrairement à la plupart des femmes, elle ne porte aucun maquillage, mais Jonathan juge que ce serait inutile. Elisabeth est une beauté sans artifice.
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-Kelly, je suis malade. Je sais que je le suis, comme ma mère l'était, mais je ne suis pas une meurtrière. Je suis folle, mais pas un monstre ; tu dois me croire.
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"Plus l'intérieur est tendre, plus la carapace ce doit être dure pour la protéger."242
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– Ça va ?
– Oui, j'ai juste un peu mal aux fesses. Merci à Isaak, dis-je sans réfléchir.
Edward écarquille les yeux.
– Oh ! Non, non. Isaak, c'est mon prof de yoga.
– Ah bon !
– Ce n'est pas ce que tu crois.
– Ce n'est pas ce que je crois ? demande Edward en affichant un sourie en coin.
– Laisse tomber.
– Non, ça m’intéresse.
– Ça t’intéresse de savoir pourquoi j'ai mal aux fesses !
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– Est-ce que j'annule ton dîner avec monsieur O'Tool ? se risque Maya après un moment.
– Oui.
– Non, répond Edward juste après moi.
– Oui !
– NON !
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est beau dans tous les sens du mot. Il a un visage magnifique et un corps fabuleux. À l’intérieur de cette robustesse, il y a une dose infinie de tendresse. Il est si doux et fort à la fois ; il m’a changée de position en n’utilisant qu’un bras et m’a transportée de la salle de bain jusque dans mon lit en me soulevant comme si j’étais une enfant. Je suis folle de lui.
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Je suis à la fois soulagé et déçu de me laisser moi aussi aller à mon plaisir. Je souhaitais que ce contact intime, et infiniment meilleur que tout ce que j’ai connu dans ma vie, se poursuive pour longtemps, voire éternellement.
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La gourmandise avec laquelle elle s’empresse de me prendre entre ses magnifiques lèvres me fait perdre la tête. Je voudrais mourir dans cette position. Je ne peux résister à l’envie de la toucher tandis que mon regard alterne entre cette bouche exquise et ses jolies fesses. C’est là que je découvre les gouttes de rosée qui perlent de son intimité et m’invitent à la goûter à mon tour.
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