Aidan Adam

Mais il faut être complétement barges pour écrire cela où mégalo ! Venant de moi ces mots sont tous gentils ! Ne fronce pas les sourcils tu vas avoir des rides !





Comment commenter ce roman qui vraiment à tout l’air d’un OLNI ? Comment décrire l’audace de ces 34 mains qui prennent un plaisir malsain à te faire devenir chèvre. S’arracher les cheveux est aussi de rigueur et ne plus savoir où donner de la tête également. C’est dingue, loufoque, irréaliste, c’est wouah !





Imagine sur une île déserte : 17 héros de romances que vous adorez ou exécrez. Imagine les, ensemble dans un décor absolument pas paradisiaque loin de leurs moitiés. Imagine les se toiser, à faire le coq et à celui qui sera le meilleur de tous. Imagine la dose de testostérone que tu te prends en plein pif. Imagine la scène avec un juge toujours aussi glacial, un médecin arrogant, un macaroni un tantinet tendu du slip, un psychiatre qui a tout compris (et il a eu tout ma sympathie), des musicos enfumés et j’en passe. Imagine la scène quand tout ce petit monde se met en mouvement pour partir à la recherche de leur éditrice. Enfin t’es loin de douter ce qu’ils vont vivre et il n’y a que l’imagination borderline de 17 autrices psychopathes pour rendre cela inouï, dérangeant et totalement scandaleux. Car cette aventure n’est pas celle que tu pourrais croire, elle te plonge dans un décor hallucinant où la réalité perd pied face à ce quelque chose de bien plus grand, de bien plus puissant.





Mais que dire de cette lecture !!! J’en sors abasourdie par la pugnacité et l’audace (oui encore !). Oui il fallait oser. Il fallait oser écrire cela, il fallait oser réunir 17 héros de romance de tout horizon. Il fallait oser et le résultat est juste DINGUE (oui encore !). J’ai essayé de passer outre le fait que je ne connaissais pas tous les beaux spécimens. Après tout si j’ai envie de faire plus amples connaissances, je pourrais toujours ouvrir leurs bouquins.





BLACK X-SCAPE GAME est bourré d’humour, de scènes spicy et immémorables et de rencontres inédites. On pourrait s’attendre à un fil conducteur en dents de scie. Mais du tout, les 17 plumes s’accordent parfaitement et leurs 17 personnages s’entrecroisent avec légèreté et facilité. 17 plumes qui ne font finalement qu’un pour mon plus grand plaisir de lectrice. Une histoire pas comme les autres qui met à l’honneur la romance sous toutes ses coutures. Elle magnifie cette dernière et met en lumière tout ce que j’aime retrouver dans ce genre de lecture. Il n’y a pas de graveleux, il n’y a que le beau, celui qui met les papillons dans le ventre, celui qui nous fait lever les yeux au ciel, celui qui nous fait rougir, celui qui nous rend féminine. Un bel hommage à tout cela et de très bonnes raisons de le dévorer !
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Dès les premiers chapitres, la plume de l’auteure m’a captivée et entraînée dans son récit à la découverte d’un amour naissant, incertain et pourtant inévitable entre deux protagonistes qui se ressemblent d’une certaine manière, dont les blessures trouvent un écho dans l’autre. Le récit aborde des sujets sensibles tels que le deuil, la reconstruction de soi, la culpabilité. Mais, l’auteure donne une certaine douceur à sa narration plutôt agréable à parcourir. On trouve un côté poétique à certaines scènes, ce qui est assez troublant.
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Vous arrive-t-il d’être déçu par un livre après une relecture ?



Cela est pour moi le cas avec le tome 2 de Just Love Again de Aidan Adam. Je ne vais pas vous résumer l’histoire pour éviter les spoilers. Cependant, si vous voulez en savoir plus je vous invite à aller lire ou regarder mon avis sur le tome 1. Celui-ci est disponible sur mes réseaux sociaux (blog, Facebook, Instagram et YouTube).



J’ai été complètement blasé par le schéma narratif qui se répète sans cesse dans le récit : « le je t’aime moi non plus ».



Les personnages principaux sont complètement immatures. Jace joue sans cesse de sa célébrité et son côté possessif me hérisse les poils. Leya, malgré son vécu répète toujours les mêmes erreurs et cherche le danger. Leur relation est toxique. Ils s’aiment autant qu’ils se font souffrir.



Il y a de nombreuses péripéties. Impossible de s’ennuyer. Seulement cela fait énormément d’informations à ingérer en peu de temps. Et malgré tous ses rebondissements, j’ai trouvé l’histoire longue. Cela est principalement dû à la boucle infernale dans lequel nous immerge Leya et Jace.



Cependant, j’ai énormément apprécié les thématiques abordées. La misère dans le monde, la protection marine, les sévices sous toutes leurs formes, … sont des sujets mis en avant via les différentes passions de Leya. Le tout est abordé avec justesse. On sent qu’Aidan Adam s’est renseigné auprès de nombreuses associations œuvrant contre tout cela.



Si la romance et les dialogues n’avaient pas déclenché un sentiment d’exaspération en moi, j’aurai pu apprécier cette relecture.
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Ce livre m'a beaucoup émue. Vivre ces moments de guerre, de sang à travers les yeux de Jah, mais aussi de Aly et de leurs amis est une épreuve. On souffre pour eux, on se bat avec eux parce qu'a chaque opération on a la même envie qu'eux : Sauver des Vies.



Jah, jeune homme attachant, chirurgien orthopédiste né de parents médecin dans l'humanitaire va suivre leurs traces et partir en mission en Ethiopie.

Aly, jeune femme traumatisée par la perte de son frère mais aussi par le rejet de ses parents va réussir à se relever et décide de partir en Ethiopie pour des études.

Un regard aura suffit, mais l'amour aura-t-il sa place au milieu des bombes, des attaques, de la misère et du sang?



Je me suis beaucoup attachée a Aly et Jah mais aussi a toute l'équipe : Ben, Roman, Rebecca, Luca, Carl, Jemal, Andrei et sa femme .... Tous attachants par leur façon d'être mais aussi leurs embûches.



Un roman qui nous fais vivre la misère que l'on ne voit pas dans notre beau petit monde a nous, mais qui est pourtant bien réel. On ne ressort pas indemne de cette lecture.

Merci a l'auteur pour ce voyage en Ethiopie, triste mais rempli d'amour et d'amitié.
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Dans ce second volet, l’auteure nous offre des protagonistes plus matures et plus torturés. De nombreuses péripéties viennent bouleverser leur existence, donnant un nouveau tournant à leur vie.

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je n’ai pas ressenti les mêmes choses à la lecture de ce volet : trop de démesures dans les péripéties rencontrées par les deux protagonistes pour que cela ne m’apparaisse pas excessif et dénature leur relation. Malgré ce point, cela reste toutefois une histoire touchante.
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C'est inhumain de nous laisser avec une fin pareil !!! J'en ai encore le coeur tout chamboulé..

Une véritable pépite à ne pas ignorer mais attention âme sensible...



Leya, jeune femme de 35 ans, quitte absolument toute sa vie en France pour fuir son deuil et sa détresse et s'installe dans une petite maison au bord d'une crique dans un endroit isolé d'Amérique. Elle renoue avec ses premières passions: la photo et les soins aux animaux marins. Elle est belle, intelligente, pleine d'humilité et d'humour en apparence car à l'intérieur c'est chaos et désolation. Son seul moment de bonheur, son instant, est c'est moment de nage avec deux dauphins qui viennent la chercher au seuil de chez elle. Jusqu'à la rencontre...



Jace, jeune homme de 37 ans, est un acteur mondialement célèbre, beau gosse et imbus de lui-même, il enchaîne les films à succès et les femmes entouré de son ami d'enfance et agent Kyle, son cousin Scott et sa femme, ses deux gardes du corps Will et Mike et son intendante Emma. Égocentrique au possible et désagréable avec tout le monde, le karma fait qu'il est poussé sous une voiture et se retrouve gravement blessé et momentanément aveugle. Il s'isole alors au QG, maison à pend de falaise et accessoirement maison voisine de la cabane de Leya !!! Pour lui aussi la rencontre va tout changer.



Il va être attendri et attiré par ses sanglots nocturnes et ses airs de piano mélancolique. Elle va être attiré par le charisme brute de l'homme et de ses manières agressives/ possessives.

On assiste à l'éclosion de l'amour, d'abord bancal, puis effrayant et enfin indispensable. Un coup de coeur qui se transforme en coup de foudre. Ce petit couple est tellement touchant, bouleversant et beau malgré les quelques difficultés dues à leur mode de vie respectif.

Il apprend l'amour, la considération de l'autre et fait passer ses désirs en second plan malgré quelques maladresses.

Elle découvre qu'elle peut toujours aimer et plonge sans hésiter dans ses sentiments malgré la peur de l'abandon et de connaître à nouveau la souffrance.

Ils revivent tous les deux au contact de l'autre, j'ai pleuré avec eux, j'ai ri à leur humour décadent et décalé, j'ai souffert avec les mots de trop et l'éloignement et j'ai tellement aimé et désiré avec eux.

Une plume complètement envoûtante qui nous plonge aux côtés de nos tourtereaux sans nous faire remonter à la surface avant le dernier mot de la fin. Le vent nous transporte au gré des sentiments et c'est juste Sublime.



Un coup de coeur magnifique pour moi qui m'a laissé en haleine et dont j'attends désespérément la suite...

"L'âme rencontre l'âme sur les lèvres des amoureux" Percy Bysshe Sheley

Leya, divorcée depuis 4 ans, seule, terriblement seule. Elle a perdu les deux êtres qui comptait le plus dans sa vie.Cette tragique disparition l'a anéantie, brisée, dépossédée de son âme, de son esprit et de sa volonté de vivre. Elle décide sur un coup de tête de tout plaquer pour vivre autre part, loin de tous ces souvenirs trop douloureux et recommencer une nouvelle vie ailleurs.

Jace, acteur, mannequin, salopard de première, célibataire et heureux comme ça. Malgré sa célébrité, il lui manque quelque chose, un vide qui ne se remplit pas. L'accident dont il est victime lui permettra de relier ce manque à Elle. Sans le savoir, ils vont se reconnaître. Doucement, lentement, ils s'apprivoisent, se déchiffre, il n'a jamais connu ce genre d'émotions, elle ne s'autorise plus d'être un être humain, une personnalité à part entière. Deux points communs, le vent et deux passés anéantis.

Leya porte son fardeau depuis plus de 3 ans, sa force est dans ses souvenirs même douloureux, elle y puise cette envie d'avancer pour eux. Avec Jace, ensemble, ils vont apprendre à revivre, à se dépasser, à vivre simplement, à profiter de chaque instants qui leur ai accordé, avant que tout ne bascule. Le vent chantera sa mélodie, sa mélopée, son espoir, son amour inconditionnel et ses dernières pensées. Savoir l'écouter, c'est savoir s'ouvrir aux autres.

Cette histoire est une poésie, une évidence qui m'a beaucoup émue. Je crois aux âmes sœurs, je crois que deux être sont destinés l'un à l'autres, je crois en l'amour inconditionnel, je crois à la simplicité de dire les mots sur les maux pour adoucir cette douleurs et l’effacer avec une caresse. Aidan, ce premier livre que tu as écris est magnifique, une parenthèse de tendresse dans ce monde brutal qui est le notre, une chanson sur la vie et sur l'appartenance d'un homme et d'une femme qui s'aime. La disparition d'un proche est difficile, reconnaître que la vie vaut le coup d'être vécue et qu'il suffit d'un souffle pour que tout devienne réel. La mélodie du vent est magique, savoir imaginer que de l'autre côté il y a quelqu'un qui écoute aussi cet air mélodieux est un signe qu'il faut croire en ses rêves et s'autorisé un lâcher prise.

cette citation est pour moi celle qui exprime le mieux le chant de l'alizé et le cœur même de cette histoire : "écoute le vent, il parle, écoute le silence, il discute, écoute ton cœur il sait".

Merci Aidan Adam pour ce livre emplit d'émotions, de tendresse, de nouvelle chance et d'espoir. Merci pour ces mots que tu as choisi et qui m'ont chambarder. Merci pour ce doux chant et cette litanie.

Je vous conseille ce livre coup de cœur.

Bonne lecture.
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{Jess} Mon avis + détaillé sur le blog : https://wp.me/p6618l-agy



Nous sommes tous, plus ou moins, conscients de ce qui se passe en dehors de notre pays sans réellement toucher du doigts ce que vivent les autres. Nous en sommes conscients mais nous ne cherchons pas plus loin à comprendre ni à voir l’horrible vérité.



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Aidan Adam nous livre cette histoire avec justesse et surtout beaucoup de réalisme. Elle est rythmée par différents points de vue qui apportent tout un dynamisme au texte, nous happant et nous maintenant en apnée au fil des chapitres.



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Nous nous retrouvons au cœur de la guerre où le manque de matériel, d’eau et de nourritures se font ressentir, où la chaleur pèse sur les hommes et où la mort va marquer leurs vies.



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En bref, « La promesse de la lune » fût une lecture aussi belle que sombre, aussi poignante que déstabilisante dans laquelle nous apprenons qu’au cœur de la guerre peut éclore l’amour, l’espoir mais surtout la vie…
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"La promesse de la Lune" est une magnifique histoire qui nous emmène au cœur de l'Ethiopie en compagnie de personnage aux vraies valeurs, qui vont vivre des moments uniques, ressentir des sentiments exceptionnels mais la part effrayante, traumatisante et douloureuse de leur voyage n'est jamais très loin au dessus de leurs têtes.



Laissez moi vous parler des personnages principaux. Tout d'abord Jahmaë. Vous voyez le Docteur Avery dans Grey's Anatomy? Hé bien Jay lui ressemble comme deux gouttes d'eau même au niveau de sa plastique irrésistible! Et en plus il est lui même médecin, spécialisé en chirurgie orthopédique et traumatologique. Récemment célibataire, il profite de son physique de tombeur, de son teint chocolat au lait et de ses superbes yeux verts pour séduire la gente féminine. Autant Jah peut être droit et sérieux professionnellement autant dans le privé il devient arrogant - un vrai Don Juan.

Dans quelques jours il doit s'envoler pour l'Ethiope afin d'intégrer Médecin Sans-Frontière et aider la population en leur prodiguant des soins et en les opérant pour tenter de les sauver. Cette partie de l'Afrique est en guerre, la pauvreté et le manque d'hygiène règne et Jay a pour unique motivation de tenter de sauver la population prise dans le chaos de cette guerre.



Après sa rupture Jay a décidé de ne plus jamais faire confiance à une femme mais en découvrant un vieux secret son nouveau mantra est désormais : ne plus jamais faire confiance à personne.

Partir en Ethiopie est comme un nouveau départ, il s'éloigne de cette vie superficielle et fausse qu'il menait sans le savoir.

Cependant cette même vie risque de changer quand il va se noyer dans les yeux d'un bleu limpide de Aliya, jeune ingénieur faisant également partie de cette mission Ethiopienne.



Aliya, une héroïne alliant fraîcheur, douceur et fougue, belle de corps et d'esprit, au caractère de feu et à la langue bien pendue.

Résultat : Jay va littéralement fantasmer sur elle mais ce qu'il va ressentir va être différent.

Une histoire est-elle possible entre eux dans ce milieu hostile et instable où tout peut s'écrouler du jour au lendemain?



L'auteure nous plonge dans un environnement malheureux et douloureux mais tellement vrai! Aidan Aidam a su retranscrire l'atmosphère de ce pays avec sa très belle écriture à la fois fluide et forte. Avant de se lancer dans une scène, l'auteure plante le décor et c'est comme si on y été.

Son histoire va raconter bien plus qu'une histoire d'amour, il s'agit plus d'un lien indéfinissable embelli par un désir sans pareil.

Un récit où des multiples combats vont être menés mais où le sens de l'humour de nos héros permet d'alléger leur quotidien.

Un récit qui allie amour, amitié, solidarité et soutient mais où la douleur et les imprévus ne sont jamais loin.

Un récit où des personnages vont gagner en maturité, où ils vont évoluer et où ils vont voir la vie autrement - vivre autrement.

Un récit où même pendant les périodes d'accalmies j'ai eu un mauvais pressentiment pour la suite des événements....



Bravo à Aidan Aidam qui a su imaginer et écrire une histoire pleine de courage, d'amour et d'humanité.
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Chronique de Audrey :



Jahmaë est chirurgien, mais aussi un jeune homme sexy et irrésistible qui aime les jolies femmes et les parties de jambes en l’air torrides. Il sait qu’il fait craquer les filles et il en joue, son univers tourne autour de son métier et des plaisirs de la chair. Nous commençons le roman par son point de vue et c’est une position que je n’ai pas beaucoup aimé : il est très machiste dans ses réflexions, sa façon de considérer les femmes n’a pas emballé mon côté féministe et je l’ai trouvé très vulgaire pour peu de choses (du moins, au début de l’histoire). Suite à une rupture délicate, avec une ex-petite amie qui aspirait à un médecin plus renommé ainsi que des problèmes familiaux, il va partir en Ethiopie pour faire de l’humanitaire.







La plume de l’auteure est très jolie, fluide et agréable à lire, totalement adaptée à la narration : elle dose subtilement la quantité de détails pour que l’on soit transporté sans être submergé par les informations. Les points de vue sont multiples mais majoritairement masculins ce que j’ai trouvé très original par rapports aux livres du même genre. Personnellement, je suis rentrée doucement mais sûrement dans le roman : une fois que j’y ai été plongée, impossible de le reposer !







Ce qui m’a gênée : les points de vue multiples peuvent être déstabilisants par moment et j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages au début (surtout à Jah), il m’a fallu vraiment apprendre à les connaitre et cela prend du temps. Au contraire, j’ai adoré les nombreuses recherches sur beaucoup de sujets différents, nous sommes vraiment plongés dans le contexte. Un détail m’a cependant dérangée celui du problème de filiation à cause des groupes sanguins que je trouve tendancieux car, même si ce cas est rare, un enfant peut avoir un groupe sanguin O avec un parent AB, l’expression du groupe sanguin ne dépendant pas que d’un seul gène.







Bien loin des romances habituelles, l'auteure nous plonge sans tabous entre guerres conflits humanitaire, où des personnages différents vont tenter de faire front pour apporter un peu d'aide aux réfugiés. Je pense notamment à Aly, qui possède un tempérament de feu et qui n’hésite pas à agir en suivant seulement son cœur et ses convictions. J’ai adoré ce personnage très fort qui va complètement transformer Jah (en bien !).







Si je devais résumer, le début aurait pu me faire arrêter ma lecture mais je me réjouis encore d’avoir continué ! J’ai découvert une auteure talentueuse qui m’a littéralement fait voyager. Les mots sont bien choisis, chaque détail est travaillé et expliqué ce qui nous plonge dans le quotidien de ces travailleurs humanitaires. Les émotions sont correctement dosées afin de nous toucher sans rentrer dans le glauque : une histoire prenante, émouvante, touchante, bien loin des codes traditionnels de la romance, à découvrir absolument.
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Une lecture en demi teinte pour ma part.



Leya doit se reconstruire suite au décès de ses deux enfants. Elle décide de tout abandonné et part s’exiler aux Etats-Unis. Elle espère pouvoir recommencer à vivre, à se retrouver. Et puis il y a Jace, une star du petit écran plutôt imbu de lui-même, un connard à ses heures perdues, qui se retrouve isolé dans une superbe villa le temps de retrouver la vue. Alors que chacun souhaitait s’isoler, se retrouver seul, ils vont vite se rendre compte de la présence de l’autre. Si au début, la relation entre les deux protagonistes est tendue, elle va finir par les rapprocher.



J’ai adoré la première partie de ce premier tome. Quand on découvre les personnages, qu’ils apprennent à se connaître. L’histoire de Leya m’a profondément touchée même si certaines de ses réactions m’ont parue disproportionnées. J’ai moins accroché au personnage de Jace malgré qu’il évolue positivement tout au long du roman.



Et puis est arrivé la deuxième partie du roman… Un nombre incalculable de scène de sexe (avec un vocabulaire des plus crus) qui, pour moi, n’ont rien amenés de plus au roman. Je trouve même que cela a desservit l’histoire, que j’ai fini par lire en diagonale. Après il ne s’agit là que de mon avis.

J’ai adoré ma lecture !



Ca se passe dans un univers violent, mais paradoxalement c’est tout de même apaisant.



On voit évolué un homme avec ses défauts qui tentent de se comprendre et de comprendre le tournant que prend sa vie dans son camp humanitaire en pleine guerre.

Comprendre ce en quoi la vie peut être belle. Et pour l’éclairer il pourra compter sur Alyia et une équipe soudée.



L'autrice sait montrer toute l’atrocité d’une guerre et des hommes tout en nous insufflant une dose d’espoir.



Cela faisait longtemps que je voulais découvrir cette histoire et je n’ai qu’un regret c’est de ne pas l’avoir fait plus tôt…



Si vous voulez rire, trembler, vous émerveiller lisez La Promesse de La Lune, vous ne serez pas déçus !

J'ai adoré ! Kaysha et sa meilleure amie Calie sont rafraîchissantes et nous emmènent dans de somptueux lieux exotiques...

Dane pourrait jeter un froid avec ses bonnes manières anglaises...

Mais peut-être arrivera-t-il à se laisser contaminer par la joie de vivre de Kaysha...

J'ai vraiment passé un excellent moment avec eux.

Réel coup de cœur pour ce livre. On plonge dans l'univers d'un camp militaire qui abrite un hôpital humanitaire. Dans ce camp nait un amour surprenant mais tellement beau. Un amour fait de hauts et de bas. Malgré le sujet tragique, il y a des moments doux, de l'humour ce qui permet de dédramatiser l'histoire de fond.

Un livre drôle, voir complètement barré où les 17 auteures ont réunis leur 17 héros, qui font partis chacun d’un des livres édités de cette même maison d’édition, dans une histoire d’enquête dans une île célèbre en Charente.



Pas indispensable cependant, je pense qu'il faut connaître un minimum le groupe Facebook et les gens réels dont il s'inspire pour comprendre tous les clins d’œil et apprécier totalement cette folle histoire. Ce n'est pas une romance mais plus un hommage (voir délire) aux personnages des livres, aux personnels Black Ink et ses lectrices.



Le livre se laisse lire grâce aux plumes qui se coordonnes à merveille ensemble. J’ai eu plaisir à retrouver une grande partie des personnages emblématiques des romans de chez BI éditions. Un véritable ovni à découvrir.

Mon ressenti: Pour une fois, j'ai eu un peu de mal avec la plume de cet auteur. L'histoire manque de rebondissements et d'action à mon avis, ce qui fait que certains passages traînent en longueur par moments. L'histoire ne me paraît pas réaliste, ce qui fait que j'ai eu du mal à rentrer dans le roman par moments. L'idée de base sur le roman est pourtant intéressante.

Relisez-vous vos livres ?



Personnellement, j'aime relire les livres qui m'ont transporté. Cependant, cette relecture était totalement improvisée. En commençant Just love again tome 1 de Aidan Adam, je ne me suis pas aperçue immédiatement que je connaissais déjà l'histoire : pour cause je l'avais lu en numérique à sa sortie et le résumé officiel est très vague.



Nous suivons Jace et Leya. Tous deux se sont retranchés dans des maisons isolés près de l’Océan. Ils ne se connaissent pas et leur mode de vie est à l'opposé. Pourtant, tout va les rapprocher. Ils seront liés à jamais malgré leurs passés difficiles.



Lors de ma première lecture en 2017, je me souviens avoir adoré cette histoire. Aujourd'hui, si j'ai passé un agréable moment, certains passages m'ont gêné : comme les nombreuses scènes de sexes qui n'apportent pas grands choses au récit et ponctuées d'un langage cru.



Pourtant l'histoire est prenante. Le vécu de Leya est atypique et ne m'a clairement pas laissée insensible. Jace lui est totalement immature. Mais on comprend que malgré sa notoriété d’acteur : il est seul. Cet homme a peur de l'effet dévastateur des sentiments qui l'assaillent.



Ce livre met en avant l'histoire d'une deuxième chance qu'il ne faut pas gâcher tout en abordant des problématiques bien connues. Ici, Aidan Adam met l'accent sur la préservation des mammifères marins qui sont en voies d'extinctions.



Si je devais décrire ce livre en une phrase, je vous dirais simplement que c'est une lecture qui fait passer un agréable moment malgré quelques passages gênants.




























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3 jours que j’essaie tant bien que mal d’avancer dans cette lecture qui n’arrive pas à m’emporter... « Seulement » 136 pages lues + le tome 2 acheté récemment mais je vais en rester là. L’histoire manque d’un réel point de départ développé; on passe du personnage de Jace, acteur et mannequin reconnu qui « se la joue » et profite de ce statut de star adulée à un homme obligé de se mettre en retrait de la société et surtout des paparazzi suite à un accident, et d’une femme qui est censée être brisée suite à un terrible drame dont on n’a quasi aucun détail mais qui décide de quitter la France pour s’installer, comme par hasard, dans la seule maisonnette proche de la villa de Jace. Elle trouve quasi direct un emploi et noue très vite le contact avec Jace, son cousin Scott et ses gardes du corps, passant limite direct au tutoiement !! Son côté triste et en deuil paraît être resté en France... Les dialogues m’ont aussi plutôt fait lever les yeux du bouquin qu’autre chose; je préfère donc en rester là, même si c’est pas mon genre d’abandonner...

Vous le savez maintenant, j’apprécie cette maison d’édition, et quand l’annonce a été faite de ce projet un peu fou que les auteurs ont réalisé, 17 plumes pour un même roman, je ne pouvais que me plonger dedans à sa sortie.



Une île de Charente Maritime, une convention de Héros de romance, et une disparition.

L’inspecteur Capello, tout fraîchement débarqué du continent, va devoir démêler le vrai du faux, apprendre à lire entre les lignes, et ne pas se laisser déconcentrer par cette jolie sirène afin de retrouver l’éditrice disparue.



Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je n’ai pas été déçue. Les chapitres s’imbriquent avec une facilité, on ne peut que saluer le travail qui est fait.

J’ai aimé retrouver les black boys que je connais mais aussi en découvrir d’autres qui sont venus compléter ma wish list.

L’humour est au rendez-vous, les références musicales et cinématographiques apportent une touche de folie supplémentaire. L’écriture multiple est très addictive.



Ici, chaque personnage a sa place et nous raconte sa version, et franchement je ne sais pas comment a fait l’inspecteur Capello pour ne pas remonter dans le bateau ou même partir à la nage.

J’ai aussi apprécié les interludes qui nous mettent un peu sur la piste. La narration à 18 voix est très fluide, comme si les auteurs avaient fait cela en discutant autour d’un café, en fait non, sûrement quelque chose de plus fort pour en arriver à ces idées rocambolesques.



Que vous connaissiez tous les personnages, une partie comme moi, ou bien aucun, vous ne serez pas perdu, ce livre a une identité propre. J’ai découvert des personnages qui m’ont donné envie d’en apprendre plus sur eux, notamment Alex suite à sa participation aux olympiades une peu spéciales, mais aussi Bradley, Grégoire et Jace. D’autres m’ont fait un autre effet comme Leith mais surtout Madsen, je n’ai pas lu son histoire mais je ne peux plus boire de thé sans penser à lui ( merci les infos de la lecture commune 😉 )

J’ai trouvé cela vraiment sympa que les personnages féminins soient de vraies personnes, et de les imaginer avec ces mots dans leurs bouches était une vraie rigolade.

Mais le véritable héros de ce roman, c’est l’inspecteur Capello, je ne peux pas vous en parler de trop, cela gâcherait votre plaisir, mais sachez qu’il y a des sondages et des tractations pour qu’il ait lui aussi son propre roman!



Si vous avez envie d’une bonne intrigue, avec des beaux mecs, envie de rire, de chanter, de pleurer ( un peu) et d’avoir des étoiles dans les yeux en refermant ce livre, alors foncez!


Lien : https://wordsoflovebooks.jim..

Alors qu’il est quitté par sa copine, qu’il a le sentiment d’être trahi par ses parents, Jahmaë s’en va en Ethiopie, les terres qui l’ont vu naître, dans le cadre d’une mission avec Médecins Sans Frontières. Jeune chirurgien, il a tout pour plaire, et parfois tout pour me donner envie de lui retourner quelques claques. Lorsqu’il arrive en Afrique, il rencontre Aliya, son Aly – sa signification m’a beaucoup émue. Elle, elle est empathique, forte, généreuse. Et elle est surtout une tornade pour lui. Une femme dont il tombe amoureux.



Mais est-ce que l’amour peut survivre à la guerre ?



Car oui, cette romance se déroule sur un fond de guerre, entre les balles, les cris et le sang. L’atmosphère est explosive, ne laisse aucun répit. L’auteure connait son sujet, décrit avec réalisme ce qu’il est en est. Et c’est horrible. Alors que j’achevais les dernières pages du livre, je n’étais pas indifférente. Vraiment pas. Je me suis pris une gifle en pleine gueule.



La Promesse de la Lune est avant tout une belle leçon de vie qui nous invite à réfléchir. Au travers de ses mots et de ses personnages, Aidan apporte de l’espoir, dévoile une ode à l’amour et à la paix – parce qu’il n’y a pas de frontières pour ça. Ce que je retiens, parmi des milliers d’autres, c’est qu’il ne faut jamais baisser les bras et abandonner. J’ai adoré ce livre, j’ai été tourmentée. Chamboulée. Parce que j’ai pleuré – la légende du Gardien et de la Lune est si magique, sourit – pour pallier à mes larmes et mes crises, rit – un clin d’œil à Little Jah et Miss Pearl, et failli succombé au moins trois fois – un spécial coup de cœur pour Roman, mon personnage secondaire préféré.



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