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Critiques de Akiko Miyakoshi (50)
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Un goûter en forêt

Ca commence un peu comme le Petit Chaperon rouge: Papa a oublié le gâteau en allant chez Grand-Mère et Kikko propose de leur apporter, mais pour cela elle doit traverser la forêt enneigée.

Vaillamment, elle part, tombe dans la neige, abîme le gâteau mais aperçoit son papa au loin et le suit en courant. Etonnée, elle le voit entrer dans une grande maison qu'elle n'avait jamais vue. Mais elle est encore plus étonnée quand elle découvre, en regardant par la fenêtre, que ce n'est pas son père, mais un ours qui ôte son chapeau, accueilli par un lapin, un renard et une biche endimanchés!



Kikko, avec son bonnet et sa jupe rouge, apporte une touche de joie dans ces épaisses pages blanches et noires tracées au fusain et cette fête d'animaux bien habillés crée une atmosphère magique et mystérieuse.

C'est un très joli album sur le courage et la solidarité pour les 5-6 ans.
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Un goûter en forêt

Kikko a bien du courage. Pour amener à sa grand-mère le gâteau que son père a oublié, elle va devoir traverser la forêt enneigée. Mais au détour d'un chemin, de bien étranges rencontres l'attendent...

Un album qui revisite Le Petit Chaperon Rouge, du moins au début, et puis, ensuite, qui nous plonge dans un monde onirique, entre rêve et réalité...

Les très belles illustrations d'Akiko Miyakoshi, toutes en noir et blanc, avec seulement quelques touches de rouge (forcément) et de jaune donnent à cette histoire un certain coté magique.
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Mon voyage à moi

un bel album avec des passages en noir et blanc.

Celui qui tient un hôtel ouvre sa porte et accueille les voyageurs du monde entier. Il rêve de partir, lui aussi, un jour, à son tour. De retrouver ceux qu'il a croisé et accueilli à son hôtel...



Un album ouvert sur un univers onirique: un monde à part, créé par une autrice japonaise que j'aime beaucoup (elle a conçu et illustré notamment un goûter en forêt et aussi Quand il fait nuit)
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Une maison dans les buissons

La petite Sakko s'installe dans une nouvelle maison. L'enfant est moins attirée par sa nouvelle demeure que par son jardin. Elle y découvre une sorte de cabane naturelle, apparemment déjà habitée...



Les textes simples et les dessins crayonnés entraînent l'enfant dans une histoire mignonne pleine de délicatesse. Même si le récit manque un peu de poésie, les illustrations relèvent le niveau.
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Un goûter en forêt

Scritch, scritch, font les petits pas de Kikko qui s'enfonce dans l'épaisse neige qui recouvre le chemin !

Parti hâtivement déblayer le devant immaculé et froid de la maison de sa grand-mère, Son papa en a oublié le gâteau qui lui était destiné.

La petite fille se presse de rattraper la silhouette fugace de son papa qui s'éloigne entre les ombres de la forêt et finira finalement pas s'égarer et suivre une ombre qui la conduira vers une maison inconnue où se déroule un étrange goûter.

Bien au chaud, derrière les carreaux givrés, Kikko s'apercevra avec stupéfaction que tous les invités sont des animaux entièrement vêtus et doués de parole.

Invitée à la fête et ayant la frayeur de finir à la place du gâteau de prime abord, la petite Kikko passera finalement une après-midi agréable et délicieuse.

Les ombres sont définitivement trompeuses.



L'ambiance toute de noir et blanc nous donnerait presque le frisson et pourtant.

L'auteure joue sur des vues plus ou moins saisissantes de personnages animaliers aux regards fixes et exorbités qui se tournent vers les jeunes lecteurs, qui eux, se retrouveront dans la position de la pauvre Kikko. Isolée et effrayée.

Nous pouvons supposer que la peur de la pauvre enfant génère cette vision surréaliste baignant dans l'ombre et finalement, elle réalisera par leurs manières délicates et leurs généreuses attentions que la « réalité » est tout autre. Les dessins à la technique empreinte de douceur contraste avec les présentations à contre-jour très impressionnantes.

Peut-on parler de réalité d'ailleurs ?

L'auteure nous propose une aventure onirique qui commence comme un cauchemar et se termine aimablement. Comme si la noirceur de la forêt avait inspirée quelques sombres frissons, une peur qui est dominer par la suite et le tableau se transforme au profit de la courageuse petite fille.

Cette traversée offre un album intéressant et esthétiquement attractif sur la peur du noir. Les petites touches de couleurs sont apportées par la petite Kikko, référence de bonnet rouge évidente avec le petit chaperon rouge mais cette petite ne se fera pas croquer par sa peur-son loup-. Kikko sera raccompagnée par ces étranges personnages hors de la forêt et auprès de son papa.

Un album réellement intéressant dans son approche du sujet à rapprocher d'un « Max et les Maximonstres », pour s'amuser avec ces petites peurs.
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Quand il fait nuit

Que font les gens à la tombée de la nuit ? C'est ce que ce petit lapin observe, puis imagine.



Dans des tons feutrés et granuleux, l'auteur conte une histoire du soir paisible où les ombres et les lumières jouent ensemble pour créer une atmosphère tamisée. Les dessins d'Akiko Miyakoshi sont très doux, très sereins. Cet album jeunesse invite vraiment au calme et au sommeil tranquille.
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Une maison dans les buissons

Sakko emménage dans sa nouvelle maison. Sa mère lui a dit que les voisins avaient une fille de son âge alors elle part à sa rencontre. Mais il n’y a personne dans la maison d’à coté alors Sakko décide d’explorer le champ qui sépare les deux habitations. Au milieu du champ, quelques buissons forment un abri sous lequel la petite fille se glisse. Au pied d’un buisson elle trouve un panier contenant une dinette. Devinant que ce panier appartient à la voisine, elle le décore de quelques fleurs et le remet en place, en espérant que sa propriétaire appréciera son geste.



Un album tout en tendresse qui montre la capacité des enfants à explorer de nouveaux territoires et à nouer des amitiés avec une simplicité désarmante. Les illustrations sont magnifiques, on se promène dans la nature avec Sakko et on partage avec elle le plaisir de sa rencontre avec Yoko. Sans compter qu’il est appréciable de voir des enfants jouer en plein air loin de tout divertissement numérique ou télévisuel.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Quand il fait nuit

Un petit lapin dans les bras de sa maman. C’est la fin de la journée, la tombée de la nuit. Il traverse la ville qui s’endort et prend des teintes gris et noir, à peine trouées par les lumières des réverbères ou des fenêtres. Tout s’endort en ville alors qu’il rentre sain et sauf chez lui, dans les bras de ses parents. Il comprend que qu’elle qu’ait été sa journée, la nuit sera sereine, calme et douce entouré des siens et bien au chaud dans son lit.

Voilà un livre pour enfants à partir de 4 ans, qui devrait les tranquilliser et les apaiser sur la nuit qui vient. Un très joli graphisme, les seules notes de couleur étant celles de petit lapin, le seul à être entouré d’un halo de lumière, le reste de l’album est tout en teintes sombres, comme brouillées par la nuit, mais il reste cependant rassurant et jamais triste. A lire aux enfants le soir avant de dormir, quand les petits lapins s’interrogent et ont besoin d’être réconfortés sur tous ceux qui les entourent et sur la nuit qui vient.

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Un goûter en forêt

N’écoutant que son courage, la petite Kikko traverse cette forêt blanche et froide. Elle suit un homme, qu’elle pense être son père jusqu’à son arrivée devant une maison inconnue. Elle se rend compte alors que l’homme n’est pas son père et encore moins un homme. C’est un ours, venu retrouvé ses amis pour le goûter. Invitée par une charmante brebis, Kikko prend le thé avec une multitude d’animaux qui par gentillesse lui offriront même de quoi remplacer son gâteau écrasé (cf. photo).



Kikko est telle le petit chaperon rouge, avec son bonnet et ses moufles rouges. Elle ne se rend pas compte du danger qui guette. La petite fille emprunte aussi à Boucle d’or, avec son arrivée dans une maison inconnue à la suite de Monsieur Ours. Enfin, Kikko peut faire penser à Alice (au pays des merveilles) lorsqu’à la fin on ne sait plus si ce qu’elle vient de vivre est un rêve ou une réalité…
Lien : http://boumabib.fr/2012/05/3..
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La petite musaraigne

Un grand album tout en douceur et en tendresse, qui regroupe trois histoires :

- La journée de la petite musaraigne

- Le rêve de la petite musaraigne

- Les amis de la petite musaraigne.

Les illustrations sont alternativement, chaque double page, en couleurs douces puis en gris. Aussi délicates les unes que les autres.



On suit d'abord la journée de cette petite musaraigne, qui vit (presque) comme un humain, mais qui est si adorable. Une journée typique mais tranquille en même temps, repas, transports, travail... Des illustrations douces toutes en poésie.

Le second texte nous fait partager un rêve. Rêve d'objet, ou rêve d'ailleurs ?

Le troisième est encore plus doux, puisqu'il s'agit d'amitié.

Sous une forme qu'il me semble on n'évoque pas souvent dans les livres d'enfants : d'abord préparer sa maison, nettoyer, décorer. Puis le partage de moments chaleureux, et le départ.



Difficile en quelques lignes d'évoquer tout le charme de cet album, un peu à l'opposé de ce que je vous présente habituellement. Peu de couleur, peu d'action, beaucoup de douceur, ombre, lumière, pastel, froid, chaleur.

Et une jolie base de réflexion selon l'âge de l'enfant.



Un album grand format, une belle couverture cartonnée solide, des pages épaisses et souples, un bel objet aussi, en plus du contenu. Il va être lu et relu longtemps.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Un goûter en forêt

Un album avec une histoire toute simple, dont la grande force repose sur des illustrations étonnantes, pleines de relief ; les arbres et leur fine couche de neige donnent une telle perspective à certaines pages que vous pourriez bien ranger au placard certains pop-ups qui ne sont pas aussi réussis ! Dommage que le visage de la fillette soit un peu inexpressif lorsqu'elle est en gros plan, mais l'album vaut le coup malgré tout.
Lien : http://chezradicale.canalblo..
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Le récital de piano

Peut-être certains se rappelleront "Un goûter dans la forêt" de l'auteure Akiko Miyakoshi où une petite fille se retrouvent à aller porter un gâteau d'anniversaire à sa grande parente, ceci rappelant un peu l'épisode du Petit Chaperon Rouge, par la situation et par la pointe de couleur donnée au personnage.



A l'instar de la célèbre écervelée, la jeune héroïne se perdait dans la forêt et se trouvait alors conviée à un étrange goûter dont tous les invités se trouvent être des animaux.



Nous naviguions à la frontière de l'onirisme sans trop savoir à la fin si elle avait rêvé sa journée ou non.



Le jeu de couleur et de noir et blanc y était important, partageant les univers, mettant l'accent sur le personnage, l'isolant et induisant pour l'intrigue une ambiance environnante peut-être à redouter, avec erreur évidement. La forêt en soi était inquiétante mais les convives se montrèrent au contraire plus qu'hospitaliers.





"Le récital de piano" est une nouvelle histoire qui va jouer de la même atmosphère et du même jeu de couleurs. Cela va servir le propos et ajouter une touche d'élégance et de tendresse.



Une petite fille doit passer en public pour son récital de piano et le trac commence à la gagner.



Pourtant, une petite souris, qui doit passer la même épreuve dans son propre petit univers, saura la rassurer et l'invitera à y assister.



Nous, lecteurs, seront surpris d'être conviés à un spectacle entier, multipliant les numéros de cirque et de divertissements artistiques. Eblouie et soutenue, la petite fille retrouvera le plaisir et la force d'offrir son air de piano.



Les lecteurs l'auront compris, il s'agit d'un album autour de la timidité, du trac plus largement.



Un album charmant et utile, intéressant par la démarche esthétique de Akiko Miyakoshi.



A découvrir.
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Mon voyage à moi

On aime décidément bien cette artiste Akiko Miyakoshi.

Comme avec "le goûter dans la forêt" aussi chez Syros, une fausse atmosphère triste de grisaille qui imprègnera le fond de décor de cette nouvelle parenthèse et qui cachera sa suite largement plus tendre et aimable.



Bienvenue à l'hôtel du personnage, un lieu bien tenu et où on s'y sentira confortablement bien installé.

On notera paradoxalement la pancarte derrière le bureau d'enregistrement :"Solitude Hôtel".

Tandis que le gérant nous confiera quelques les avantages à travailler ici (l'échange convivial, il renseigne sur le tourisme local, ils lui parlent de leurs villes, leurs pays), il se prendra tout de même à rêver qu'un jour lui aussi se trouvera à la place du voyageur, après une journée que l'on conclura harrassante.

Hop, au lit et cap vers un peu d'évasion!



À croire que cet hotelier à moustaches sera un peu enchainé à son métier tout de même.

Une bascule qui va s'opérer et filtrer la grisaille avec le voyage. C'est doux, chaud et frais à la fois.

Les contre-jours et les tons chauds de la séquence onirique en couleur feront penser à de vieux clichés polaroïds vintage 70's . C'est les vacances, la détente.

Le grain du papier apparent très apprécié de l'auteure fera profiter aussi d'un charme chromatique et pointilliste d'une évocation très lithographique.



Gage, oui, que l'hotelier enviera un peu à ce moment ses clients, s'imaginant s'inviter chez eux, découvrant leur quotidien, se ressourçant aussi seul, la plage, le vent et le bruit de l'océan.. .

À quoi ressemblerai cette aventure si enfin l'hôtelier nécoutait plus sa certitude qu'on ne pourrait se passer de lui?

Le réponse est bien entendu amusante et tendre comme prévue.

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Mon voyage à moi

J'adore les livres d'Akiko Miyakoshi. Je trouve qu'il y a une certaine magie dans sa manière d'aborder les histoires et son travail sur les couleurs est tout-à-fait remarquable.

Ici on suit le gérant d'un petit hôtel qui n'est jamais sorti de sa ville mais qui voyage en rêve toutes les nuits grâce aux récits de ses clients.

Le vocabulaire est simple et très imagé. Les illustrations éveillent la lumière, choisissent des focales différentes, s'amusent dans les ombres.

L'expérience de lecture est fascinante et un brin mystérieuse.

J'adore !
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Quand il fait nuit

C’est un album très poétique dont j’ai aimé le travail graphique tout dans les nuances de gris au noir. Les seules touches de couleurs viennent surtout du petit lapin. Les lumières jaunes pâles donnent ne donnent un éclairage tamisé, rien de criard.

L’anthropomorphisme de cette famille lapin dégage une certaine douceur car on pense au pelage doux de cet animal. On ressent un calme reposant.

J’ai été touchée par ce petit lapin dans les bras de sa maman, je me suis certainement identifié à cette maman car je portais mes enfants de cette façon.

J’aime beaucoup l’idée des fenêtres éclairées à travers des quelles on voit la vie quotidienne de chacun est visible. L’enfant est aux aguets il voit la vie, il entend les sons blotti contre sa maman. Dans son lit petit lapin imagine des vies.

Ce qui m’a impressionné ce sont les doubles pages qui montrent les façades des immeubles ou les toits. Le côté sombre de la nuit efface les limites cela devient un vaste monde, comme doit le paraître aux enfants.

Il n’y a pas de nom tout le monde peut se projeté dans cette histoire.

C’est un bel objet artistique.
Lien : https://latelierderamettes.w..
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Un goûter en forêt

L’histoire dans un premier temps fait penser au petit chaperon rouge… Kikko par à travers la forêt apporter un gâteau à sa grand-mère. Elle croit suivre son père, il y a la silhouette au loin. On retrouve la thématique de la forêt. Elle a les cheveux « jaunes », une jupe, un bonnet et des moufles rouges … on est dans la neige et les arbres ne sont que des troncs dénudés et sombres… Qui va-t-elle croiser ?

L’histoire bascule lorsqu’elle sort de la forêt mais pas du tout chez sa grand-mère… là cela m’a fait penser à l’histoire de « boucle d’or et les 3 ours », revisitée… la curiosité et l’intrusion dans une maison inconnue…

Elle va faire une drôle de rencontre… Là j’ai pensé aux « musiciens de Brême ». Il ya tout un jeu avec les couleurs de ses cheveux et ses vêtements rouges dans le dessin en noir (dégradés) et blanc. On voit le grain du papier sous le crayonné, c’est du plus bel effet. Ces couleurs vives vont se propager lorsque tout le monde va repartir dans la forêt… Cela a du sens…

La fin est douce et belle. On a presque l’impression avec le côté fantastique qu’elle a rêvé mais non puisqu’il reste des éléments.

L’autrice est japonaise et on sait combien la forêt et ses créatures font partie de l’imagerie collective

[...]
Lien : https://latelierderamettes.w..
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Le récital de piano

J’ai choisi cet album parce que les illustrations à l’intérieur m’ont plu. Je les ai trouvées douces, et ce, malgré le contraste du noir et blanc qui peut rendre les dessins durs et les rares couleurs qui les soulignent de manière plus ou moins vives.

Par contre, la couverture m’a fait hésiter, principalement parce que je trouve que la gamine dessus fait peur avec son sourire de psychopathe.



L’histoire est simple mais sympathique :

Momoko doit jouer du piano lors de son premier récital. Elle est stressée et se répète en boucle que “ça va aller”, jusqu’à ce qu’une petite voix l’interpelle. C’est une petite souris qui l’invite au spectacle que les siens organisent. La fillette la suit à travers une porte minuscule.



Le thème de cet album est poétique, malheureusement, les textes manquent foncièrement de poésie, ils sont très terre à terre… cette lecture m’a quand même laissé une étrange sensation de légèreté, entre rêve et réalité.

Chaque fois qu’on le lit, les enfants regardent attentivement les images et attendent la suite, comme si l’histoire allait changer une fois la page tournée, je trouve leu réaction assez déroutante.

J’ai bien aimé cet album, il est loin d’être passionnant, mais il est plein de douceur et incite à la rêverie.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Quand il fait nuit

Dans cet album, qui a reçu un Ragazzi Award en 2016 à Bologne, on découvre une ville dont les lumières aux fenêtres s'allument peu à peu. Chaque foyer, représenté par un animal différent, propose une vision de la vie quotidienne : se reposer, lire un livre, prendre un bain, faire la fête… Chacun a sa manière de finir ses journées.



L'ensemble forme comme un cocon bienveillant dans lequel on a envie de se glisser . La nuit apparaît alors comme une compagne familière importante. Véritables jeux autour des ombres et de la lumière, le style de Miyakoshi a ce petit quelque chose d'intemporel.
Lien : http://boumabib.fr/2017/11/0..
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Un goûter en forêt

Un monde de poésie et de magie.





Quand Kikko se réveille ce matin-là, tout est blanc dehors. Son papa part à l’autre bout de la forêt pour aider Grand-mère à déblayer la neige devant sa maison. Mais il oublie d’emporter avec lui le bon gâteau spécialement préparé pour elle. Elle décide alors de prendre le chemin de la forêt pour rejoindre son père.



Elle aperçoit au loin une grande silhouette et se dépêche pour le rattraper son père. Ce n’est pas lui qu’elle trouve, mais un ours qui l’emmène dans une maison inconnue remplie d’animaux vêtus comme les humains. Ils sont réunis là pour goûter et invitent Kikko...



La beauté des images au fusain parsemées de quelques notes de couleurs - le rouge des vêtements et des gâteaux, le jaune des cheveux de Kikko- crée un univers où se mêlent rêve et réalité.



Une belle invitation au partage et à l'imaginaire.
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Un goûter en forêt

Une jolie histoire où Kikko, une petite fille, va rencontrer de drôles d'animaux pour un goûter original sur le chemin la mènant chez sa grand-mère qui habite tout au fond de la forêt.

L'histoire est plaisante mais ce sont surtout les illustrations qui sont merveilleuses.. Au fusain avec quelques touches de couleurs pour Kikko. Il s'en dégage une grande douceur et une vision très poétique des animaux.

A découvrir
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