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Critiques de Alain Grousset (302)
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Dix façons d'assassiner notre planète

Parlons d’un sujet qui, étrangement, divise : l’écologie. Tandis que tous les compteurs climatiques sont au rouge, que de plus en plus d’espèces animales disparaissent à vitesse grand V, que les déserts avancent, les orages estivaux sont de plus en plus violents, que les cyclones se multiplient, une frange de la population mondiale refusent de mettre ça sur le compte d’un bouleversement climatique du à l’activité humaine. Du haut de leur cynisme ou de leur cécité intellectuelle, les climatosceptiques avancent le fait que des changements climatiques, il y en a déjà eu et, si en 2019 il y a eu de la neige dans le sud de la France en plein mois de mai, c’est bien la preuve que le réchauffement climatique est une pure invention des Chinois.

Je ne rejoins toutefois pas l’idée selon laquelle nous sommes définitivement voués à disparaître à cause de ça : ça donne l’impression qu’une force supérieure a décidé qu’on avait suffisamment fait de bêtises et qu’il fallait nous rayer de la carte. L’ésotérisme, très peu pour moi. Je vous invite à venir débattre dans l’espace commentaire en-dessous de l’article si vous vous sentez d’humeur à le faire ! En attendant, vu que nous sommes sur un site où l’on parle de science-fiction, j’aimerais vous parler de la réédition d’une anthologie publiée chez Flammarion. Car l’écologie est un sujet qui intéresse beaucoup la SF, au point que des sous-genres comme le cyberpunk ou le post-apo[calypse], questionnent parfois, si ce n’est souvent, notre rapport à la Nature. Editée une première fois en 2007, l’anthologie dont il est question ici est de nouveau sortie, dans un format plus moderne ; notons que sa réédition fait encore plus sens aujourd’hui. Une dizaine d’autrices et d’auteurs de science-fiction sont réunis ici pour nous faire questionner notre rapport à la Nature : certains d’entre eux sont connus du grand public, d’autres non. C’est aussi l’occasion de s’initier à leurs plumes ou de les redécouvrir.

1O façons d’assassiner notre planète, c’est 10 sujets écolos que l’on croise régulièrement dans la SF : la glaciation, les inondations, le nucléaire, la surpopulation, les épidémies et les pandémies, etc. Dans ces dix nouvelles, la Terre est une planète franchement morte, ou dont l’agonie ne va plus durer très longtemps. Même si on n’en est pas encore là, il ne faut pas exagérer, ça fout la trouille de se dire que ça peut survenir.

Ces nouvelles sont courtes, certaines sont assez récentes, d’autres datent des années 40 – comme quoi déjà la question de la bonne santé de notre planète se posait. Toutes ne sauront charmer un lectorat peu habitué à la SF ; mais dans son ensemble l’anthologie est franchement abordable et, comme je le disais plus haut, elle peut être une porte d’entrée à ce monde littéraire, vidéoludique, cinématographique et j’en passe. L’anthologie est présentée par Alain Grousset, que personnellement je connais surtout pour son travail chez Fluide Glacial et dans la littérature pour la jeunesse. C’est un auteur de SF qui écrit pas mal d’uchronie – toute une littérature qui s’intéresse à l’Histoire en se posant cette question pertinente qu’on se pose aussi en Histoire : « Et si ça (ne) s’était (pas) passé comme ça ? ».

En espérant que vous ne soyez pas de ces sinistres individus qui, sur les réseaux sociaux, prônent l’extermination de l’humanité pour sauver la planète, je vous recomman… Ou plutôt si, si vous estimez que tout est perdu, que nous fonçons dans un mur, rendant vains par votre fatalisme tous les gestes du quotidien visant à limiter la destruction de la planète, lisez cette anthologie : vous vous apercevrez que vous n’êtes pas non plus dans le vrai, que la réflexion que ça demande est tellement complexe qu’elle n’attend pas de solutions simples, voire simplistes.

Définitivement, cette anthologie est à mettre dans toutes les bibliothèques car, même si son titre n’autorise aucune concession, elle incite à réfléchir autrement, peu importe votre positionnement sur la question de l’écologie, du climat, de la santé de notre planète.
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Dix façons d'assassiner notre planète

Un recueil de 10 nouvelles avec pour thématique l’agonie de notre planète à cause des Hommes : terrible glaciation, inondation géante, invasion d’insectes, domination des machines, catastrophe biologique, surpopulation, guerre atomique... presque aucune thématique n’est oubliée.

Les nouvelles sont courtes avec comme toujours une qualité assez inégale.

J’ai bien aimé « dans le regard des miens » qui raconte le retour d’un terrien sur sa planète auprès des siens après des années passées sur une autre planète. Sans nouvelles d’eux, il va faire une découverte étonnante et tragique.

La nouvelle de Christophe Lambert sur le ton de l’humour est pas mal aussi avec ce retraité qui voit sa pelouse disparaître petit à petit. La raison est singulière et la chute excellente.

La guerre atomique est aussi une description assez terrible du résultat d’une guerre atomique avec une chute ironique et surtout inconvenante, choquante. La nouvelle sur la surpopulation est un peu sur le même esprit avec une société qui a trouvée une solution pour limiter la prolifération humaine et sans contraindre les gens à avoir des enfants... un terrible dilemme dont la solution est abjecte.

Les autres nouvelles ont aussi leur intérêt mais ont moins retenu mon intention. Dans l’ensemble, ces nouvelles sont toutes réussies mais elles sont vraiment trop courtes pour s’attacher aux personnages ou pour approfondir l’histoire. Pourtant certaines mériteraient certainement un récit sur un roman entier tellement l’idée est interessante et les possibilités de développement nombreuses.
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Dix façons d'assassiner notre planète

j'aime cette histoir car sa nous apprend des chose sur la vie ,comme le fait que environ 350 000 enfant nèsse chaque jour.je trouve très bizzard que le père refue de repondre a toute les question de son fils.et j'en revient pas que les s'habitant doivent respecter une limite de population.sinon j'ai bien aimé le livre et je le conseil au personne qui aime juger des livre
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Dix façons d'assassiner notre planète

Alain Grousset explique dans son introduction qu’il désire faire prendre conscience de l’importance de choyer notre planète et du caractère parfois irréversible de nos actes en créant ce recueil. Vous savez quoi? Ça fonctionne. On ne peut faire autrement que de réfléchir à notre réalité en parcourant ces nouvelles annonçant les catastrophes du futur. C’est même parfois passablement déprimant de se dire qu’on court à la notre perte et je n’ai pas pu tout lire d’un seul coup.



Cependant, les 10 nouvelles, quoique fort différentes, forment au total un ouvrage fort et cohérent, intéressant autant sur le plan du fond que de l’écriture. Il peut d’ailleurs servir de belle introduction à la science-fiction!


Lien : http://sophielit.ca/critique..
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Et s'il n'y avait plus de livres ?

Les liseuses sont à la mode : pratiques pour trimballer beaucoup de livres, elles permettent de faire plein de choses par rapport aux livres traditionnels, comme adapter la police de caractère à sa vue, chercher la définition d'un mot ou voir des photos d'un sujet ou d'un lieu abordé dans un livre. Mais pourtant, il leur manque une âme : celle du papier, celle de l'odeur typique de l'encre, le plaisir du toucher, les annotations des précédents lecteurs, le plaisir du choix du marque-page …

Ce petit recueil est un hymne au livre traditionnel papier comparé aux liseuses mais aussi un hymne aux livres en général et à la lecture. A raison d'une anecdote par page (cent en tout), on découvre la relation des auteurs avec les livres et la lecture et en tant que lecteur, on s'y retrouve souvent et on se prend à opiner devant leurs réflexions. Je suis en général une grande fan de ce genre de recueil et j'en ai lu un certain nombre, le plus souvent en anglais car c'est un genre assez répandu dans les pays anglo-saxons où de nombreux auteurs/lecteurs font part de leur expérience sur le sujet et du coup, j'ai quand même été un peu déçue par celui-ci. Je me suis identifiée dans beaucoup de cas mais moins que ce à quoi je m'attendais. Je pensais aussi rire et être émue par certaines réflexions mais ce fut rarement le cas. J'ai souri parfois mais dans l'ensemble, pas tant que ça ! C'est néanmoins vite lu et pour tous les fans de lecture, c'est sympathique à découvrir mais je ne le trouve pas forcément indispensable à lire et à posséder.
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Et s'il n'y avait plus de livres ?

L'apparition de la tablette paraît modifier à terme les habitudes de lecture et inquiète le lecteur. Quid de nos bons vieux livres papier, à l'odeur envoûtante et au crissement des pages si caractéristique ? L'auteur dresse avec humour et malice un catalogue de situations cocasses ou tragiques que la disparition du livre papier ferait naître. Un livre drôle et amusant qui apportera rire et détente à chacun.

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Et s'il n'y avait plus de livres ?

Un petit livre découvert dans la boite aux lettres, là même où un couple de mésanges avait décidé, cette année, de faire son nid : quel plus beau voisinage que les livres et les oiseaux, non ? Les uns et les autres sont propices aux rêves et nous appellent au voyage, en imagination, mais qu'importe, celle-ci nous entraînera bien plus loin...

Voilà pour le premier clin d'oeil de cet opuscule !



Un petit livre qui m'a rappelé ces bonbons arc-en-ciel de mon enfance : ce papier crissant, qu'on tripote pour le faire "parler", transparent pour s'en mettre plein les yeux avec les couleurs de la sucrerie, un moment de gourmandise un peu acide, un peu sucré mais qui semblait toujours toujours trop éphémère.

Une approche de ce petit recueil qui faisait désirer mais aussi savourer le temps de "l'avant-dégustation" !



Un texte, multiple, en forme de déclarations d'amour et aussi d'aveux de ce besoin vital, de la nécessité de conjuguer le quotidien à la présence du livre papier...

Des lignes apparemment écrites fougueusement au moment où la tablette faisait son entrée dans le monde de la lecture ! Allait-elle, à jamais, pour un tas d'avantages vantés, éclipser ces objets de toutes tailles et de toutes épaisseurs qu'on ne cesse de feuilleter depuis le jour où on les a découverts ?



En l'ouvrant, je m'étais dit : " C'est comme les 365 histoires de l'enfance - et oui, encore elle ! - alors, je lirai une page par jour, cela me fera une réserve pour trois mois..."

C'était sans compter l'avidité, la gourmandise impatiente, celle-là même du bonbon arc-en-ciel devenue à l'âge adulte celle des livres. Je n'ai pas résisté et j'ai croqué, en à peine deux journées, tous ces instants de vie, que je me souviens avoir vécus et que vous vous souviendrez comme vôtres, également, ces moment de joie intense de la découverte d'un livre qu'on cherchait, ces alibis pour passer le plus de temps avec ces pages reliées, à les prendre dans les mains, les caresser, les serrer sur le coeur, ces moments de partages que créent immanquablement les livres entre les êtres que ce soit pour dire que ceux prêtés ne reviennent jamais, qu'on n'en possède jamais assez, qu'ils induisent des manies, comme ces besoins qui s'additionnent quand les marque-pages deviennent personnages vivants de la lecture, assortis à cette dernière ou miteux d'avoir trop traîné dans les pages...enfin tout ce que vous savez de cette passion qui finalement vous ronge !





Un petit livre qui est tout le contraire d'une thérapie, il argumente plein d'excuses pour justifier ce plaisir addictif... Mais finalement, ça tombe bien parce que je n'ai pas envie de guérir, je veux juste légitimer le temps passé à dévorer ces pages comme je dévorais les bonbons autrefois !







"Feuilleter,

c'est de la gourmandise pour les doigts. (...)

Laisser les pages en l'air un moment,

suspendues, ouvrir au hasard,

laisser les mots se poser sur les yeux. (...)"





(Avril 2022)
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Et s'il n'y avait plus de livres ?

Un livre rassemblant 100 anecdotes d'un lecteur amoureux du livre papier.

L'ensemble est plutôt agréable, et nous pouvons tous nous retrouver dans une page. Cependant, les textes reflètent surtout des évidences. Elles peuvent faire sourire ("ah, c'est exactement ce que je ressens!"), mais sont également rapidement oubliées. En somme, un ouvrage peu indispensable mais où il fait bon lire des moments où tout lecteur peut se reconnaître.
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Et s'il n'y avait plus de livres ?

Sous titré 100 déclarations d'amour au livre, Et s'il n'y avait plus de livres ? nous parle du plaisir de lire un livre papier. Même si on peut emporter sa bibliothèque partout sur sa liseuse électronique, rien ne vaut, selon Alain Grousset et Carl Delaisse, le plaisir de feuilleter un livre, dans son lit, aux toilettes ou partout ailleurs.

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Et s'il n'y avait plus de livres ?

Une découverte totalement hasardeuse qui valait le détour. Pour les accros, les maniaques, les adorateurs et les fétichistes du livre !
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Et s'il n'y avait plus de livres ?

des déclarations d'amour faites aux livres!! ça peut étonner plus d'un mais il est vrai que les livres font notre bonheur quotidien!!!
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Roman pour jeune ado. Très bien !
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Koeb se réveille tout juste d'un voyage de quarante ans sur la planète géante Gigante. Il va apprendre que son fils (car il a un fils) l'a rejoint sur la planète, il l'a devancé et est plus vieux que lui. Il va donc partir à la recherche de ce fils inconnu en compagnie de son petit-fils. Ils vont tous les deux traverser des contrées sauvages, découvrir des peuples migrants très différents. Ce voyage initiatique va leur permettre de se découvrir et de s'assumer pleinement. J'ai beaucoup aimé ce besoin de reconnaissance chez les personnages. Un lien très fort uni le grand-père, le père et le fils. Ici ce n'est pas le but de l'expédition qui compte mais le chemin. J'ai beaucoup aimé les valeurs que véhicule ce récit. C'est un livre qui donne à réfléchir et j'ai plutôt aimé ça.
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Pierre Bordage et Alain Grousset ont collaboré à la création de Gigante et de ses personnages.

Si Bordage a visé un public adulte, Alain grousset, lui touche plutôt un public jeunesse.



Koeb Merticant , après un voyage de 40 ans arrive sur Gigante, cette planète hostile, ou il se trouverait des squelettes de géants. Mais une suprise l'attend à son arrivée : son propre fils, dont il ignorait l'exi, l'a précédé et est aujourd'hui considéré comme un dieu vivant pour avoir sauvé la population de Gigante.

Il part à la recherche de son fils avec l'aide de son petit fils, qui lui même n'a jamais rencontré son père.



Ce roman est bien un livre jeunesse. Pas déplaisant, bien au contraire. L'histoire est palpitante et des thèmes comme la famille, les liens du sang, la loyauté, la quête du bonheur et la religion y sont traités certes succintement mais ces sujets posent des interrogations qui peuvent faire réfléchir notre jeunesse.



un livre très intéressant, et pour avoir lu Au nom du père de Pierre Bordage : 2 romans qui se complètent bien.
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

babelio_id:Grousset-Gigante-tome-1--Au-nom-du-fils/543547
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Voici un livre de science-fiction qui est agréable à lire. Mais il s'agit avant tout d'un ouvrage pour la jeunesse et il faut le considérer comme tel : l'intrigue y reste relativement simple et il ne faut pas espérer y trouver des développements poussés sur les thèmes traditionnels de la science-fiction.
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Au nom du père ne joue pas dans la même catégorie qu’Au Nom du fils, courte aventure pour la jeunesse sans prétentions, qui pâtit forcément de ce voisinage. C’est de façon très imméritée.
Lien : http://www.vagabondsdureve.f..
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Et voilà... j'ai déjà terminé ma lecture. Pour avoir lu les deux « parties » en enfilade... la première chose qui me vient à l'esprit est le décalage entre le style des deux auteurs. Je dois l'avouer, j'ai préféré le style de Bordage.



Cela étant dit, ce n'est pas le style d'Alain Grousset qui m'a déplu mais plus l'histoire. Mon enthousiasme à poursuivre cette aventure Gigante a été un peu douché par cette histoire de têtes congelées au début du livre. (J'ai trouvé plus crédible l'échange de corps dans La saga des étoiles d'Edmond Hamilton.)



Quoi qu'il en soit, j'étais curieuse de voir comment allait réagir Koeb quand il découvrirait qu'il avait un fils et un petit-fils ! Zaslo l'a devancé et lui a volé son rêve... d'une certaine façon il a eu sa petite vengeance.



Ensuite il y a eu cette histoire d'Eglise du Saint-Sauveur... c'était à prévoir mais voilà ce n'est vraiment pas mon truc.



À côté de cela, j'ai encore eu cette sensation de me retrouver dans l'univers d'Alain Damasio... quand nos héros rencontrent les communautés d'Aquarmada ou du Zéphyr. Et il y a aussi cette lutte constante contre des phénomènes météorologiques.



J'ai beaucoup aimé la relation Koeb et Drek, les échanges étaient souvent savoureux.



Pour la fin mais voilà... j'ai trouvé que cela allait trop vite, que c'était trop facile (à partir du moment où ils retombent sur Romanka et les 3 Stooges). Le Zaslo de Grousset n'était pas le même que celui de Bordage. C'est bête à dire mais je ne l'ai pas reconnu. Donc pas trop convaincue par la façon dont l'histoire se termine.



Voilà donc pour mes impressions...



Il faut quand même saluer l'exercice de cette écriture conjointe... comme le dit Alain Grousset dans l'interview qui suit : « Ecrire à deux, c'est accepter que quelqu'un d'autre entre dans votre cuisine, ouvre placards et frigo, se serve pour confectionner une recette. » Apparemment les deux auteurs travaillent de façon très différente : « Pierre est un scripturant, moi je suis un structurant. »



Je lui mets quoi qu'il en soit 4 étoiles, car mon avis a probablement été influencé par l'euphorie de ma lecture précédente. Ce ne serait pas la première fois.
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

« Écrire à 2, c’est accepter que quelqu’un d’autre entre dans votre cuisine »



Gigante et ses personnages sont nés d’une discussion puis d’une collaboration entre Pierre Bordage et Alain Grousset. Ce premier volet est suivi par « Au nom du père » écrit par Pierre Bordage.



Lorsque Koeb arrive sur Gigante, il apprend que son fils l’a précédé, lui qui ne savait même pas qu’il en avait un. Une autre surprise lui fait rencontrer Drek son petit fils, qui lui, n’a jamais connu son père. Ils partent donc tous les deux à la recherche de Zaslo, ce fils et père inconnu, considéré comme un Dieu vivant par la population de Gigante. Un périple semé d’embûches et de rencontres durant lequel Koeb et Drek vont apprendre d’une part à se connaître mais aussi à découvrir le sens de la famille et de la solidarité.

Un livre jeunesse d’aventure et d’action assez mouvementé dans lequel sont abordés de façon simple divers sujets tels la religion, la haine, l’amour et la trahison. Un moment plaisant pour moi qui ne suis pourtant pas particulièrement fan du genre.
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Gigante, tome 2 : Au nom du père

Un roman qui ne manque pas d’intérêt, sur un décor de fond assez grandiose, et qui ne cède pas à la tentation d’en faire trop. Avantage de l’écriture à quatre mains ?
Lien : http://www.vagabondsdureve.f..
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