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Critiques de Alain Vaillant (14)
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Une saison en enfer de Rimbaud ou le livre ..

Un ouvrage universitaire qui a le mérite d'être écrit dans un style très clair et même assez convivial, si ce n'est décontracté. Expert des histoires conjointes de la littérature du XIXème et des médias (dans lesquels il a d'ailleurs l'habitude d'intervenir), Alain Vaillant sait communiquer avec le grand public, qu'il invite à découvrir la partie sans doute la plus hermétique de l'oeuvre de Rimbaud, à savoir la fameuse Saison en Enfer. Il s'attache à montrer comment ce livre reflète et interroge son temps, en particulier sur les questions de la religion, de l'esthétique et de l'homosexualité qui cristallisent le sens de l'ouvrage en une trame d'inspiration autobiographique (que l'on qualifierait aujourd'hui d'autofiction même si le terme est anachronique et qu'Alain Vaillant prend soin de ne pas l'utiliser).



L'ouvrage reste au plus proche du texte qu'il décrypte pas à pas, presque mot par mot, un peu comme on traduirait une langue étrangère. Par de constantes références à la biographie de Rimbaud et au contexte historique et social, Alain Vaillant nous aide à y voir plus clair. Cela s'avère très pédagogique et intéressant pour mieux comprendre Rimbaud, mais je ne peux m'empêcher d'adresser à ce travail un reproche peut-être injuste (car il porte sur un aspect peut-être sciemment écarté en raison du vaste public ciblé). J'aurais en effet aimé que cette analyse ne se cantonne pas à un plan strictement syntaxique et sémantique mais sache aussi prêter une oreille plus attentive à la musicalité du texte, à son rythme et ses intonations. Ce travail interprétatif, aussi convaincant et documenté soit-il, me paraît passer à côté d'une part essentielle de la poésie de Rimbaud (et de la poésie tout court).

Par exemple, quand Rimbaud dit que son « triste coeur bave à la poupe », peut-on considérer cette expression sans l'extraordinaire sensation de tangage créée par ces consonnes qui s'entrechoquent ? Peut-on parler de l'Adieu sans évoquer ses changements de rythme abrupts, les effets de rupture qui le sillonnent et tracent son mouvement ? Cet aspect manque dans cet ouvrage, au point de limiter sa portée interprétative, car on sait bien que son et sens se répondent. Cela reste un bon ouvrage très accessible pour le néophyte, mais les connaisseurs de Rimbaud voudront probablement laisser leur bateau ivre dériver plus loin.

Merci à Babelio et à l'éditeur.
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L'histoire littéraire

Indispensable !!!

Pour tous ceux désirant faire des études littéraires ou approfondir même la notion de littérature.



L'auteur le dit dans son introduction, l'histoire littéraire souffre de ce qu'elle n'a rien de méthodique, de scientifique. Elle est basée sur des traditions scolaires et universitaires discutables.

Alain Vaillant remet notamment en cause les systèmes de classifications génériques et périodiques, qui selon lui, sont plus qu'arbitraires. Il remet tout en question sans jamais apporter de réponse. Et si c'était cela justement, la méthode à adopter !!! Si au lieu d'avaler une suite de faits, de dates, de monographies, on discutait de la manière d'étudier l'histoire littéraire.

Et si celle-ci n'était qu'une suite d'apories qu'il fallait entretenir comme telle, élevant le débat et éveillant l'esprit critique. Soyons philosophes, amenons dans nos amphis l'ère du soupçon.



A la fois un essai et un manuel, cet ouvrage aborde les principaux points qui posent problème dans notre manière d’appréhender l'histoire littéraire.

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Une saison en enfer de Rimbaud ou le livre ..

Comme tous les livres qui racontent Rimbaud, il faut les boire, les dévorer...



Je me suis encore égaré dans les mots d'Arthur Rimbaud. Le nez scotché à son langage que je respire et rumine pour y déceler un dernier diamant, pépite que j'ai sans doute perdue en chemin. Alain vaillant nous instruit et je pense aux professeurs que Rimbaud vénéraient.



Mes premiers pas je les ai fait en marchant, les poings dans mes poches crevées. Mon voisin en récitant ma Bohème d'un trait racontait mon histoire sans le savoir , j'avais 14 ans, en pension depuis 6 ans. Ce fut pour moi en classe de troisième une révélation, une conversion. Une saison en enfer, j'y étais. J'avais toujours imaginé ma vie, en cherchant à suivre l'exemple d'un Cyrano, tout seul.



Je me suis mis à écrire, sur mes saisons en enfer. Mais comment tout rééquilibrer. Je finirais par perdre l'intelligence de mes visions. Mener sa vie comme un bateau, à la dérive, peut être mais un bateau ivre c'est ingouvernable...



Rimbaud ce n'était pas pour moi. Orphelin depuis l'âge de 6 ans, entouré par mes frères, leurs regards me bouleversaient, depuis notre descente en enfer. Combien de fois nous pensions à cette quille qui tenait vaille que vaille. Le bateau a tenu, et comme Alain Vaillant, j'ai dénoué peu à peu le langage de Rimbaud. L'imagination fait toujours appel à nos obsessions, à nos contradictions, à des points lumineux puis des réflexions obscures.



Ayant une passion pour un grand lecteur de poésie, Gaston Bachelar, il n'y a pas je pense de poésie sans fièvres du cœur et de l'esprit, sans envolées, sans métaphores lumineuses .Les mots en désordre s'effacent et coulent. Les mots ne s'accordent pas avec l'écriture automatique dénuée de sens ; la lumière nature (p111) fait partie de sa quête de sens, « mon âme éternelle, observe ton voeu ( p111) .





Alain Vaillant parle de prose de diamant ; le bateau ivre vous embarquera sur des rives enivrantes, lune atroce ! Soleil amer...Que ma quille éclate.

Si vous passez par les fissures de L'aube, vous trouverez quelques travaux d'alchimiste quand des flocons de mots déneigent le passé.
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Une saison en enfer de Rimbaud ou le livre ..

Un grand merci aux éditions Honoré Champion et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la Masse Critique Non Fiction de février 2024.



Alain Vaillant donne des clés de compréhension et lecture de l'énigmatique Saison en Enfer de l'homme aux semelles de vent Arthur Rimbaud.



Ses errances, sa relation tumultueuse avec Verlaine, son rejet de la justice, sa définition de la poésie par le "dérèglement de tous les sens", sa révolte religieuse et la tentation de la mort, tout cela constitue Une saison en enfer, son recueil signant son Adieu à la poésie et à l'écriture.

La part d'autobiographique est indéniable malgré les mystères et flous régnant sur des passages du recueil.

Une lecture exigeante et hermétique de l'enfant terrible de Charleville qu'Alain Vaillant nous permet de mieux déchiffrer.
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Juvenalia : Écrits de jeunesse de Gustave Fl..

Gustave Flaubert, patrimoine national, nom associé à des œuvres monumentales, monstre sacré de la littérature. Si l’on cherche une représentation physique de l’homme ne nous viennent à l’esprit que des images qui semblent ne jamais varier : un Flaubert au visage vieillissant, crâne dégarni, toupets sur les côtés, moustache grisonnante souvent caricaturée.

Or, lapalissade : comme tout un chacun, Gustave Flaubert n’est pas né vieux. Et @Juvenalia est passionnant en ce sens qu’il nous offre un bain de sa jeunesse, de son adolescence, de ce moment où, jeune adulte, il doit devenir autonome, moment exaltant et néanmoins redouté. @Juvenalia nous permet d’être au plus près de Flaubert, dans le vécu et non pas dans le souvenir.

Lorsque j’ai reçu @Juvenalia, je n’ai pas voulu lire l’introduction d’@Alain Vaillant parce que je souhaitais me lancer dans la lecture de ces récits, nouvelles, pensées, lettres, écrits variés, terminés ou non, en oubliant quel écrivain Gustave Flaubert avait été, comme il ignorait alors lui-même quel serait son destin.

En ce qui concerne le contexte, je ne pouvais pas en faire fi. Je connaissais un peu la biographie du grand écrivain, son père chirurgien, la famille habitant sur le lieu du travail paternel, sa sœur, sa complice, sa bien-aimée Caroline, jouant avec lui à se cacher pour braver l’interdiction d’apercevoir, à un certain endroit du jardin, des corps morts disséqués par les carabins. Je savais aussi que son frère aîné, Achille, prendrait la succession du père.

Que je sache ce qui s’est passé ensuite dans la vie de Gustave Flaubert n’a aucune importance pour cette lecture.

Les jeunes années de Gustave Flaubert sont, sur bien des points, assez semblables à celles de tous les adolescents. J’ai retrouvé, dans @Juvenalia, les émotions de ma propre adolescence dans la seconde moitié du 20ème siècle, adolescence que je me suis juré de ne jamais oublier. La société n’était certes pas la même qu’en la première moitié du 19ème et, en particulier, pour les femmes. Néanmoins et avec des valeurs moins institutionnalisées qu’à l’époque du jeune Flaubert, la bourgeoisie du 20ème siècle faisait toujours peser sur les épaules de « ses » jeunes une pression morale ; famille, établissements scolaires, environnement. Les codes sociaux n’appartiennent ni à un seul milieu ni à une seule époque. J’ai donc éprouvé beaucoup d’empathie envers Flaubert, une intime compréhension, une proximité et une certaine connivence. Idéaux, illusions, désillusions, envies, déceptions, rires n’ont ni sexe ni âge.

Suivre un avenir tout tracé, accepter des normes sociales exécrées, transmises avec ferveur par la famille, la société, le collège… comment Flaubert pourrait-il ne pas avoir envie de le chahuter, ce monde ? ce monde qui ne parvient pas à le tromper et qu’il observe avec la plus grande acuité.

La mesquinerie, l’hypocrisie, la vanité, la vacuité de l’homme, tout lui saute aux yeux. Il est d’une lucidité foudroyante, le jeune Flaubert et certainement pas fait pour la vie que lui prépare son milieu social.

Il aime sa famille sans souscrire à ses valeurs. Il a les siennes, qui signent son indépendance d’esprit et il a un idéal en ligne de mire.

Le jeune Gustave n’est pas sûr de lui mais le sera-t-il jamais ? Le doute est essentiel, fait partie de son intégrité. Nul ne peut vivre sans douter.

J’aime les moments où, parce qu’il lui semble ne pas avoir assez bien formulé ce qu’il souhaitait transmettre par l’écriture, il se récupère par une pirouette, un mot d’esprit.

J’aime Flaubert, ironique et impitoyable, lorsqu’il parle des hommes aux gants jaunes de son milieu, vanité et piété chevillées au corps mais entretenant leur maîtresse dans un secret éventé.

"Dites-moi maintenant que la vie n’est pas une ignoble farce, puisque le prêtre jette son Dieu pour entrer chez la fille de joie ! Satan rit, vous voyez bien ; bravo, il triomphe. Allons, j’ai raison : la vertu c’est le masque, le vice c’est la vérité."

Ce qu’écrit Flaubert peut être triste et drôle à en pleurer.

J’aime la célébration de la gaité et du rire chez cet homme-là, sa plume affûtée qu’il ne garde pas dans sa poche. D’autres que lui se fondent dans le moule ; lui s’étonne des esprits étroits et du malaise qu’ils engendrent. "Pourquoi lorsque nous ne sommes pas dans les mêmes sentiments que ceux que nous abordons, nous sentons-nous gauches, embarrassés à nous-mêmes ?"

J’aime aussi son désespoir, ses émotions poussées à l’extrême. C’est aussi le Flaubert de cette époque.

Sa vie, dit-il, ce ne sont pas des faits, sa vie est sa pensée.

J’aime sa quête incessante de pureté, de perfection, du mot qui, disposé autrement, ferait d’une pierre un diamant. C’est à ce prix seulement que l’on peut parler d’œuvre et envisager la publication. Flaubert respecte infiniment les écrivains. Rien n’est au-dessus de l’Art.

Et déjà, le jeune homme est talentueux ; il observe, il ressent, et cela prend sens sur le papier. Il est capable de passer d’un genre littéraire à un autre et c’est juste incroyable. Ses longues phrases pour décrire un instant fugace de beauté sont de l’émotion pure. Il passe ensuite au fantastique et dans un autre récit, décrit les différentes étapes observables de la mutation des corps lorsqu’ils deviennent cadavres. Oups, c’est glauque mais cela pourrait plaire à toutes les jeunes classes ! Dans d’autres nouvelles ou ébauches de nouvelles, les personnages prennent vie, sont de chair et de sang, mus par leur intériorité, leur singularité et ne ressemblent pas à des fantaisies. Flaubert est écrivain.

Il étudie la psyché humaine. Il décrit sans complaisance la société dans laquelle il vit. Et il y a l’Orient. Il en rêve, Flaubert, de cet Orient flamboyant et fascinant que sa culture et ses lectures lui ont fait découvrir. Il a pour ambition de voyager. Et ses mots, déjà, ont un goût de voyage. Je les ai lus avec la sensation d’être à ses côtés, dans cet Orient encore inconnu.

En ce qui concerne l’amour, il fantasme sur une femme qui ne pourra jamais être sienne. Jamais il ne l’oubliera. Cette femme inaccessible est un repère dans l’apprentissage de sa vie mais somme toute, c’est assez banal, tout cela. Lorsqu’il perd sa virginité, Gustave Flaubert, c’est avant tout pour être comme les autres. Cela n’a rien d’extraordinaire. Il voulait perdre son pucelage, il l’a perdu. L’amour dans ses rêves ne ressemble pas à l’acte charnel qu’il a vécu, si éloigné de tout sentiment et de toute émotion. Mais justement, peut-être que tout cela donne la meilleure matière pour écrire ?

Plus que l’amour, c’est l’amitié qui compte pour le jeune Flaubert. L’amitié qui l’unit à Alfred le Poitevin est une grâce. C’est à lui que Gustave dédie ce qu’il écrit et c’est encore à ce cher ami qu’il exprime avec romantisme la force de leur amitié. C’est une de ces amitiés à la vie, à la mort et destinée à durer toute une vie. J’ai été bouleversée par ce don fraternel de soi, cette totale confiance, cette amitié si rare qui nous en dit encore beaucoup sur la personnalité du jeune Flaubert.

Sans @Juvenalia et la construction établie par @Alain Vaillant, je n’aurais effectivement jamais pu savoir quel jeune homme avait été Gustave Flaubert.

@Alain Vaillant met en avant le talent littéraire du jeune Flaubert, ce jeune homme à la personnalité forte et ancrée, impressionnante comme devait l’être sa stature. Ce jeune Flaubert n’est en rien le brouillon du Flaubert de Madame Bovary ou de l’Education sentimentale. Ses écrits n’en sont pas une esquisse.

Ce que j’ai, a posteriori, trouvé magnifique, c’est de savoir que Flaubert n’avait jamais dérogé à l’essentiel des valeurs auxquelles jeune, il croyait.

Merci à @Alain Vaillant pour son remarquable travail et sa si pointue connaissance de Flaubert, à @Rotbart pour l’illustration, aux éditions Presses universitaires de Nanterre et bien sûr à @nicolasbabelio et toute l’équipe BABELIO. Cette rencontre avec le jeune Flaubert a été pour moi un immense cadeau.









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Juvenalia : Écrits de jeunesse de Gustave Fl..

Merci à Masse Critique pour ce joli livre.

Hélas, les écrits de jeunesse de Flaubert ne m’ ont pas séduite.

Si l’ éveil de la sexualité de cet adolescent solitaire est touchant par sa spontanéité, les

différents paragraphes et nouvelles manquent de légèreté, les mots se répètent, les idées se chevauchent.

Il faut , cependant, souligner son immense désir d’écriture, sa soif de poésie, ses rêves d’évasion .

Le jeune Gustave apparaît ironique, sur de lui-même et très critique sur le genre humain.

L’ auteur en herbe semble ignorer le doute, légèrement narcissique, et déjà, ne se fait aucune illusion sur l’ amour.

Je ne vois pas poindre Emma Bovary dans ces textes de jeunesse, mais, je ne suis absolument pas une spécialiste de Flaubert même si j’ aime ses œuvres de la maturité.
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Qu'est-ce-que le romantisme ?

Ouvrage juste absolument genial il a réorganisé mes pensées comme un puzzle mon esprit est tout à fait ordonné désormais j’avais beaucoup d’observations emmêlées et désormais elles sont claires et liées entre elles + mon intro de mémoire sera beaucoup moins chaotique maintenant et en plus il m’a donné beaucoup de pistes d interprétation et de développement bref super livre
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L'empire du rire

Dans "L'Empire du rire XIXe-XXIe siècle" (éditions CNRS), Mathieu Letourneux et Alain Vaillant retracent deux siècles d'humour à travers ses grandes figures, ses formes et ses techniques.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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La Civilisation du rire

Le rire, longtemps tenu pour instinctif, a une histoire. Elle s’emballe à l’ère démocratique, lorsque les sociétés s’industrialisent et se mondialisent. Les représentations relayées par les nouveaux médias forment alors une culture qui reflète les paradoxes de notre modernité.
Lien : http://www.laviedesidees.fr/..
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La civilisation du journal

Cette civilisation de la périodicité, ce livre monumental la décrit et la raconte selon deux points de vue, historique et littéraire.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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Juvenalia : Écrits de jeunesse de Gustave Fl..

Ce livre rassemble les écrits de jeunesse de Flaubert.

La préface est intéressante et l'édition très sympa avec de belles illustrations néanmoins je n'ai pas été très séduite par cette lecture. J'avais déjà lu "Novembre" que j'avais moyennement apprécié et ne m'y suis donc pas replongée. "Agonies" est une suite de courts textes aux sujets assez morbides comme son titre l'indique. Puis les "Mémoires d'un fou" est le récit assez désabusé de la jeunesse de l'auteur, le ton est très pathétique et romantique. C'est donc un peu ennuyeux même si le style est tout de même agréable à lire et que certains passages se distinguent et sont saisissants tellement ils rappellent avant l'heure "Une saison en Enfer" (la publication tardive fait que Rimbaud ne pouvait pas en avoir n' eu connaissance.) Dans "Souvenirs", le jeune Flaubert écrit dans son journal et énonce des phrases assez sentencieuses (maximes) sur la vie qui ne m'ont pas non plus touchée.

Lu dans le cadre de Babelio Masse critique.
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Dictionnaire du romantisme

Comme dans toute somme encyclopédique, certains articles apportent une exquise dose de mystère : « Arabesque », « Homme de trop », « Gauchesque ». Un monument d’érudition joyeuse.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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L'empire du rire

Cette vaste somme illustrée prend son objet au sérieux pour éclairer d’un jour réjouissant deux siècles d’évolutions sociales en France.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Dictionnaire du romantisme

À travers ce remarquable ouvrage encyclopédique, le romantisme est traité dans toute son ampleur et jusque dans ses derniers remparts thématiques.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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