La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie. C'est le sentiment profond qui se trouve au berceau de l'art et de la science véritable
On a souvent dit, non sans raison, que les chercheurs en sciences de la nature étaient de piètres philosophes. S’il en était ainsi, le physicien ne ferait-il pas mieux de laisser au philosophe le soin de philosopher ? Cela est sans doute vrai dans les périodes pendant lesquelles les physiciens croient disposer d’un système solide et incontesté de concepts fondamentaux et de lois fondamentales ; mais il en va autrement à une époque où toute l’assise de la physique est remise en question, comme c’est le cas aujourd’hui. A une pareille époque, où l’expérience le contraint à chercher des bases nouvelles et inébranlables, le physicien ne peut tout simplement abandonner à la philosophie l’examen critique des fondements de sa science, car il est le mieux placé pour savoir et sentir où le bât blesse ; dans sa recherche d’une assise nouvelle, il doit s’efforcer, autant qu’il peut , de prendre conscience de la pertinence, voire de la nécessité, des concepts dont il fait usage.
L’imagination est tout. C’est l’avant-première des grands spectacles de la vie.
La folie c'est de faire la même chose, encore et encore, mais en s'attendant à des résultats différents.
Le monde est un endroit redoutable. Non pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui voient ce mal et ne font rien pour l'en empêcher.
La guerre est la chose la plus méprisable.
La pire des institutions grégaires se nomme l'armée.
Trois idéaux ont éclairé ma route et m'ont souvent redonné le courage d'affronter la vie avec optimisme : la bonté, la beauté et la vérité.
Le meilleur façon de succès est de introduire. Toi même dans tous le temps avec un sourir
N'importe où, en quinze jours, une campagne de presse peut exciter une population incapable de jugement à un tel degré de folie que les hommes sont prêts à s'habiller en soldats pour tuer et se faire tuer.
Et des êtres malfaisants accomplissent ainsi leurs buts méprisables. La dignité de la personne humaine est irrémédiablement avilie par l'obligation du service militaire et notre humanité civilisée souffre aujourd'hui de ce cancer. Ainsi les prophètes commentant ce fléau ne cessent d'annoncer la chute imminente de notre civilisation. Je n'appartiens pas à ces futurologues d'apocalypse. Car je crois en un avenir meilleur...
Le plus beau sentiment qu'on puisse éprouver c'est le sens du mystère. C'est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, qui ne possède pas le don d'émerveillement, autant vaudrait qu'il fut mort : ses yeux sont fermés.
Albert Einstein
Il n'y a que deux choses infinies, l'univers et la stupidité humaine. Et encore, je ne jurerais pas de la première.
Ce qui est incompréhensible, c'est que le monde soit compréhensible.
Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront par être convaincus qu'un Esprit se manifeste dans les lois de l'Univers, un Esprit immensément supérieur à celui de l'homme.
(Lettre adressée par Einstein le 24 janvier 1936 à un enfant qui lui demandait si les scientifiques priaient Dieu)
Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde. Je ne m’intéresse pas à tel ou tel phénomène. Je veux connaître ses pensées, le reste n'est que détails.
(A Princeton en 1944)
“Le plus beau sentiment du monde, c’est le sens du mystère. Celui qui n’a jamais connu cette émotion, ses yeux sont fermés.”
Je connais lucidement et sans arrière-pensée les frontières de la communication et de l'harmonie entre moi et les autres hommes.
Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible.
Or la surcharge de l𠆞sprit, par le système de notes, entrave et transforme nécessairement la recherche en superficialité et absence de culture.
Une question parfois me laisse perplexe: est-ce moi, ou les autres qui sont fous ?