Citations de Albert Einstein (515)
Je ne fonde plus une opinion, une habitude ou un jugement sur autrui. J'ai expérimenté l'homme. II est inconsistant.
Trois idéaux ont éclairé ma route et m'ont souvent redonné le courage d'affronter la vie avec optimisme : la bonté, la beauté et la vérité.
Le meilleur façon de succès est de introduire. Toi même dans tous le temps avec un sourir
N'importe où, en quinze jours, une campagne de presse peut exciter une population incapable de jugement à un tel degré de folie que les hommes sont prêts à s'habiller en soldats pour tuer et se faire tuer.
Et des êtres malfaisants accomplissent ainsi leurs buts méprisables. La dignité de la personne humaine est irrémédiablement avilie par l'obligation du service militaire et notre humanité civilisée souffre aujourd'hui de ce cancer. Ainsi les prophètes commentant ce fléau ne cessent d'annoncer la chute imminente de notre civilisation. Je n'appartiens pas à ces futurologues d'apocalypse. Car je crois en un avenir meilleur...
Le plus beau sentiment qu'on puisse éprouver c'est le sens du mystère. C'est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, qui ne possède pas le don d'émerveillement, autant vaudrait qu'il fut mort : ses yeux sont fermés.
Albert Einstein
[Citation trouvée dans le livre Ascendances, Histoire(s)de secours en hélicoptère, p73, chapitre sur la corde raide]
L'imagination est plus importante que le savoir.
Il n'y a que deux choses infinies, l'univers et la stupidité humaine. Et encore, je ne jurerais pas de la première.
Ce qui est incompréhensible, c'est que le monde soit compréhensible.
Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront par être convaincus qu'un Esprit se manifeste dans les lois de l'Univers, un Esprit immensément supérieur à celui de l'homme.
(Lettre adressée par Einstein le 24 janvier 1936 à un enfant qui lui demandait si les scientifiques priaient Dieu)
Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde. Je ne m’intéresse pas à tel ou tel phénomène. Je veux connaître ses pensées, le reste n'est que détails.
(A Princeton en 1944)
Je connais lucidement et sans arrière-pensée les frontières de la communication et de l'harmonie entre moi et les autres hommes.
Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible.
Or la surcharge de l𠆞sprit, par le système de notes, entrave et transforme nécessairement la recherche en superficialité et absence de culture.
Une question parfois me laisse perplexe: est-ce moi, ou les autres qui sont fous ?
Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez-vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité !
La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c'est l'humour.
Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement...
L'imagination est plus importante que la connaissance, car la connaissance est limitée... tandis que l'imagination engendre le monde entier.
La gravitation n'est pas responsable des gens qui tombent amoureux.
Chez nous, toute l'éducation vise à rendre l'individu capable d'aborder et de mener à bien les combats de l'existence dans les meilleures conditions possibles. Particulièrement dans les villes, avec un individualisme sans limites, une concurrence sans merci qui exige la concentration de toutes les forces, une activité fébrile pour accumuler le maximum de luxe et de plaisirs. Les liens familiaux sont distendus, l'influence traditionnelle de l'art et de la morale sur la vie quotidienne, passablement affaiblie. L'isolement de l'individu apparaît comme la conséquence nécessaire de la lutte pour l'existence, il prive l'homme de cette insouciance joyeuse que seule permet l'appartenance à une communauté.