Alex Kahler

Une très bonne surprise ! J'ai lu ce livre la semaine d'halloween et je me suis régalée ! L'histoire est aussi creepy que la couverture (ça vous laisse un peu imaginer ...).

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Très addictif, ce roman se lit très vite ! Josie et sa petite soeur Anna partent vivre chez leur grand-mère. Mais cette dernière demande aux filles de respecter trois règles : Ne pas traverser la forêt, ne pas ouvrir la fenêtre la nuit, ne pas rapporter de poupée dans la maison.

Cette histoire m'a rendu un peu nostalgique de mon adolescence où j'aimais me faire peur avec les copines. -

Un univers qui saura séduire les ados qui voudront se procurer quelques frissons. Un roman jeunesse horrifique dont l'ambiance oppressante de part cette menace invisible et ces poupées en porcelaine seront vous mettre mal à l'aise. En effet, durant ma lecture j'ai eu l'impression d'entendre des chuchotements et des bruits bizarres ... Comme quoi lire développe beaucoup notre imaginaire ...

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Un roman efficace, une plume fluide ce livre est une réelle surprise, je ne m'attendais pas à aimer à ce point !

Est-ce que vous faites partie de ces personnes qui, enfants, étaient effrayées par les poupées de porcelaine ? Est-ce que, même des années plus tard, après avoir grandi, cette inexplicable peur vous hante toujours un tout petit peu ? Est-ce que le simple fait de penser à en poser une à côté de vous la nuit, sur votre table de chevet, vous procure quelques frissons ? Est-ce que la couverture du roman illustré sur la photo de mon article vous met mal à l’aise ? Si la réponse à ces quatre questions est de nature positive, installez-vous bien confortablement : cette histoire devrait vous plaire..



Ici nous faisons la connaissance de Josie, une pré-adolescente qui s’apprête à faire sa rentrée au collège en sixième, et Anna, sa petite sœur âgée de sept ans seulement. Leur maman a perdu son travail et, pour ne pas laisser seule sa propre mère qui est en train de perdre la mémoire à cause de la maladie d’alzheimer et aussi pour faire une pause, il a été décidé qu’elles iraient toutes les trois vivre un temps chez elle. Elles ont donc quitté Chicago, leur école, leurs amis, et leur vie d’avant pour aller s’installer dans une immense maison particulièrement isolée et entourée par une profonde et lugubre forêt. En plus, le réseau est tellement nul qu’il est compliqué d’envoyer des messages. Impossible donc pour Josie de contacter ses copines. Cette situation est loin de l’emballer, elle qui, déjà, imagine à quel point elle va s’ennuyer. Mais, à peine arrivées à destination, l’aïeule va imposer des règles pour le moins étonnantes aux enfants. Premièrement, les fenêtres de leurs chambres devront toujours rester fermées après la tombée de la nuit. Deuxièmement, aucune poupée ne devra franchir la porte d’entrée. Troisièmement, elles ne devront jamais s’aventurer dans la forêt et s’approcher de la maison dans les bois parce que c’est là que vit Beryl, une entité qui les a repérées et qui leur veut du mal. Si, au départ, notre héroïne pensait que tout ceci était absurde et que sa grand-mère perdait la raison, elle va vite réaliser que non, au contraire, c’est bien réel.



Josie m’a, sans aller jusqu’au coup de cœur, assez charmée. C’est une jeune fille dont la vie vient de radicalement changer et qui essaie tant bien que mal de s’adapter à son nouveau quotidien. Mais c’est bien connu, plus facile à dire qu’à faire. Non seulement la forêt autour de la maison de sa grand-mère lui procure quelques frissons mais au collège, en plus, l’accueil n’est pas des plus agréables : les autres élèves ne veulent pas d’elle dans leurs bandes, on se moque, on parle dans son dos, et certains en viennent même à la chahuter. Pour un premier jour, ce n’est franchement pas glorieux. Heureusement, elle fera vite la connaissance de Vanessa, un personnage étrange que tous fuient mais avec qui elle va se lier d’amitié. Elle est gentille, elle s’intéresse à elle, elle lui pose des questions, elle a l’air sincère. Alors dans ce cas, pourquoi Josie reçoit-elle des messages anonymes dans son casier lui disant de se méfier d’elle ? Est-ce que les gens voudraient la séparer de sa future meilleure amie ? Ou bien, est-ce qu’ils tentent de l’avertir d’un potentiel danger ? Anna, quant à elle, est plus mise en retrait, même si son rôle a son importance dans le récit. Ce n’est encore qu’une enfant, aussi, elle pourrait bien être une cible plus facile..



Concrètement, j’ai beaucoup aimé l’intrigue. L’histoire est centrée sur, vous l’avez compris, des poupées, et ça m’a plu. Je n’ai pas l’habitude de voir ce genre de choses dans mes lectures, aussi, j’ai facilement plongé dans celle-ci. La plume était fluide, tellement d’ailleurs que j’ai lu ce roman d’une seule traite. Quant à l’ambiance, elle avait quelque chose de lourd, de pesant. Un climat d’insécurité se faisait ressentir, et ce, dès les premiers chapitres. Comme Josie, on avait l’impression d’être observés. Le danger est partout, mais peut-être s’est-il déjà fait une place à nos côtés ?



Merci aux éditions Page Turners pour l’envoi de ce livre, et pour la confiance qui m’a été accordée. J’ai pu découvrir un chouette bouquin. ♥
Lien : http://madameratou.com/les-o..

Ces temps-ci, j’aime bien me faire peur. J’avais envie d’une lecture effrayante, surtout pour coller à Halloween, qui approche à grande vitesse. En commençant ce roman, j’étais prête à frissonner d’angoisse et à passer une nuit blanche. Toutefois, il y a eu comme une petite méprise, car si Les oubliées est le livre idéal pour Halloween, il l’est surtout pour… un public relativement jeune.



Le roman de K.R Alexander raconte l’histoire de Josie, 12 ans et de sa petite sœur Anna, 7 ans. Leur mère vient de perdre son travail à Chicago et décide de tout quitter pour s’installer chez sa propre mère, dans une ville bien plus petite, entourée par la forêt. Dès son arrivée chez sa grand-mère, Josie découvre que celle-ci est en train de perdre la boule. Elle tient des propos incohérents, semble agitée et ne lâche presque jamais la forêt des yeux, comme si elle guettait un possible danger.



D’entrée de jeu, elle leur fait promettre de respecter 3 règles farfelues auxquelles elles n’ont pas d’autre choix que de se soumettre : ne pas aller dans les bois, ne pas ouvrir les fenêtres une fois la nuit tombée et surtout – surtout – ne pas laisser de poupée entrer dans la maison.



Difficile de prendre au sérieux les propos confus de la vieille dame, qui, à mesure que les jours passent, devient de plus en plus anxieuse. Et Josie ne prend pas ces recommandations très au sérieux, elle est bien trop occupée à s’en faire à propos de son entrée dans son nouveau collège. En effet, personne ne semble l’accepter et les journées se font bien longues. Jusqu’à ce que Vanessa entre dans sa vie et y mette un peu de couleurs. Mais plus le temps passe, et plus Vanessa semble, elle aussi, cacher son lot de secrets inavouables.



Je n’ai pas pu m’empêcher de ressortir de ma lecture passablement déçue. Non pas que l’histoire est mauvaise, mais jusqu’au bout, j’ai attendu quelque chose qui n’est jamais arrivé.



Le problème principal vient très certainement du fait que je pensais lire du young-adult réellement effrayant. De quoi figer mon sang et me coller les miquettes des nuits entières (c’est ce que le thème et la couverture laissaient suggérer en tout cas). Au lieu de ça, je me suis retrouvée avec une héroïne particulièrement juvénile, aux réactions de jeune ado (évidemment, rien d’incohérent jusqu’ici), ainsi qu’un fil conducteur des plus classiques.



À mesure que l’on progresse dans l’histoire, la fin se profile. On devine sans mal, on anticipe très vite, si bien que les effets de surprise ne nous tirent pas plus que de légers haussements de sourcil. Là encore, cela vient du fait que j’en attendais beaucoup. Trop.



J’ai tout de même poursuivi ma lecture jusqu’au bout, dans le vain espoir d’être prise de court sur le dénouement… Hélas, on comprend vite ce qui se joue et tout ça est amené de façon très rapide, presque dans la précipitation. Cette fin, je n’y ai pas cru, elle est simpliste, cousue au gros fil. Pour un public peu regardant et trèèèèès impressionnable, qui cherche simplement à se faire un peu peur, ça collera, c’est sûr. Pour moi – et même si je suis une vraie trouillarde –, ça n’a pas fonctionné. Pas du tout.



En résumé, Les oubliées n’est pas du tout un mauvais roman. Tous les ingrédients sont réunis pour plaire à de jeunes lecteurs qui aiment se faire « gentiment peur ». On y trouve des bruits inquiétants, une menace invisible, des poupées sinistres et des secrets bien gardés. Je suis frustrée de ne pas avoir apprécié cette histoire comme je le voulais, du fait de son côté trop jeunesse et simpliste, mais je suis persuadée que cet ouvrage peut trouver son public.




Lien : https://april-the-seven.weeb..

Un premier roman d'horreur à lire à partir du collège. Même si elle reprend l'univers déjà bien entamé des poupées, l'histoire se révèle originale. Néanmoins, la narration interne aux propos plutôt simple, sans particularité, empêche de se plonger complétement dans l'histoire, de partager l'angoisse de l'héroïne.

Je maintiens malgré cela que ce roman est une bonne entrée en matière pour les jeunes adolescent.e.s voulant s'aventurer dans le genre de l'épouvante.

Suite à la perte de son travail, une mère et ses deux filles quittent Chicago et viennent s’installer chez leur grand-mère qui perd la boule (croit-on) dans un trou paumé au fin fond des États Unis.

A leur arrivée, la grand-mère donne trois consignes aux enfants : ne jamais aller dans le bois qui se trouve derrière la maison, ne jamais ramener une poupée, ne jamais ouvrir les fenêtres après le coucher du soleil.

Ambiance.... cauchemars , magie noire, enfants qui disparaissent... du Stephen King en plus soft.

Bien écrit, l’histoire tient la route, du suspens, des situations quelque peu terrifiantes...pour ados qui ont envie de se faire peur !

Un petit roman fort sympathique, qui se lit comme du petit pain. Je n’ai pas mis longtemps à le lire, tant il est court. Je ne peux, en revanche, pas dire qu’il a été addictif et que c’est un coup de coeur. J’ai aimé mais sans plus. Idéale pour les amateurs ou les reprises en douceur.

L’histoire est très simple, peut-être un peu trop pour moi. Je suis habitée à plus de complexités, d’épreuves, d’action. Là, en trois pages, c’est réglé alors que l’intrigue dure 191 pages. La fin est très ouverte, elle nous amène même à penser qu’une suite pourrait existe -bien que ne voie pas d’intérêt.

La jeunesse des personnages ne m’a pas du tout dérangé. Les deux sœurs n’ont que quelques années de différence mais leurs liens sont plus forts qu’elles ne le pensent. Une affinité qu’elles ne s’avouent pas ouvertement.

Beaucoup de chapitres très courts, ce qui fait plaisir ! N’avoir que quelques pages dans un chapitre me ravit au plus au point !

Pour finir de vous convaincre, il n’y a pas vraiment d’horreur, sauf si vous avez une peur bleue des poupées ; et dans ce cas, je vous recommande de ne pas ouvrir ce livre ! Une touche de sorcellerie ancienne, un bois maléfique, une grand-mère folle…

Si vous aimez les romans intrigants, plongez au cœur d’une sombre forêt mystérieuse et rencontrez trop tardivement Béryl…

La couverture et le résumé m'ont de suite attiré.

Malheureusement, moi qui suit pourtant une vraie petite flipette, je n'ai pas du tout frissonné pendant ma lecture. J'y ai pourtant parfois cru, j'ai espéré mais j'attend toujours le moment "creepy".

Alors oui les poupées maléfiques et possédées, les méchantes sorcières, ça glace le sang normalement mais il n'y a pas vraiment eu de chute.

J'entends bien que ce soit un livre jeunesse/ados mais zut, un peu de frissons n'ont jamais fait de mal à personne et si on lit ce genre de livre c'est justement pour en avoir. Surtout que tout y était des petits mots dans le casier jusque l'ambiance assez glauque et pesante.



L'histoire reste toute fois très sympa à lire et de plus elle se lit vite, c'est agréable. On se pose des questions tout du long pour deviner les petits secrets que grand mère Jeannie nous cache et ceux de Vanessa.



C'est un livre que je pourrais recommander même si pour ma part, je suis un peu déçu de ne pas avoir eu ma part de frissons.

Une couverture très effrayante mais ne vous trompez pas, "Les oubliées" est bien un livre pour la jeunesse qui fera frissonner les enfants de 11 à 14 ans. Au dessus de cet âge là, je pense que les jeunes risquent de s'ennuyer. En effet, le vocabulaire est très simple, les phrases courtes et il y a peu de description. De plus, les personnages sont peu développés, réagissent vraiment comme des enfants et les faits se déroulent très rapidement. Pour les points positifs, on peut noter que l'histoire reprend tous les codes de l'horreur : les poupées possédées, la sorcellerie, la maison située au coeur d'une forêt étrange, les personnages énigmatiques dont bien sûr une inquiétante grande-mère qui paraît folle (mais l'est-elle vraiment ?).

Instagram : les_miss_books



Une mère et ses deux filles partent vivre chez leur grand-mère, pas d’internet, pas d’amis, c’est donc une nouvelle vie pour les jeunes filles.

L’angoisse monte très très vite, les 3 règles imposées par la grand-mère sont très bizarres, La première est de ne pas faire rentrer de poupée dans la maison, la deuxième est de ne pas ouvrir les fenêtres après le coucher du soleil, et la dernière est de ne pas aller dans la forêt derrière la maison.

Tout au long des chapitres, le suspense est à son comble. Nous découvrons petit à petit ce qui se cache dans la forêt, quelle est la relation avec les poupées.

Et ce que nous découvrons est très effroyable ! Une fin dont je ne me doutais pas une seconde.



Le livre est très facile à lire, je l’ai dévoré en deux jours. L’horreur est au rendez-vous !

Bien que je trouve que quelques chapitres sont un peu répétitifs, mais c’est ce qui fait l’histoire, sinon ce n’est pas possible de comprendre. J’ai bien aimé !

La couverture me fait vraiment flipper... En même temps, la seule chose de pire qu'ils auraient pu me faire, c'était mettre un clown !



Mais franchement, elle ne fout pas la trouille cette poupée ?



En comparaison, la lecture ne m'a pas donné autant de frissons que je l'espérais. Ce n'était pas pour autant une mauvaise lecture car l'histoire est prenante et avec beaucoup de suspense.

Je comprends la frustration de Josie. Elle se retrouve dans un coin perdu, quasiment sans réseau, sans amis, avec une petite sœur qui joue les crampons et une grand-mère qui perd la tête et donne des interdictions sans queue ni tête. Et puis, il ne faut pas oublier que Josie a 11 ans (puisqu'elle en 6e), on ne peut donc pas vraiment lui reprocher de ne pas comprendre ni accepter la décision de sa mère.



L’histoire n'est pas très originale et bon nombre de rebondissements sont parfaitement prévisibles.



Malgré tout, impossible de lâcher ce roman. J'avais beau me douter de ce qu'il se passait, il n'empêche que j'avais très envie de voir comment l'auteur allait nous y amener.



Bien sûr, le public visé est assez jeune, on peut donc supposer que le roman sera moins prévisible à leurs yeux et peut-être plus effrayant (*minute mamie* : et en même temps, quand on voit les horreurs que les mômes d'aujourd'hui regarde... *fin de la minute mamie*)



J'ai un peu regretté la rapidité de la fin. J'aurais aimé une cinquantaine de pages de plus afin de mieux la construire.



Il est difficile d'en dire plus sur un livre aussi court sans trop en dire et, même si les rebondissements ne sont pas époustouflants, il serait dommage de dévoiler l'intrigue trop vite.

Bien que ce livre ait été une bonne lecture, sa prévisibilité et sa fin trop rapide font que je l'oublierais sans doute assez vite.

Josie et sa petite-soeur Anna quittent Chicago pour aller s'installer à la campagne, chez leur grand-mère. Dès leur arrivée, Josie s'ennuie et ce n'est pas les divagations de la vieille dame qui arrangeront les choses. En effet, celle-ci semble complètement obsédée par le bois voisin et interdit à ses petites-filles d'y aller. Autres règles strictes : ne jamais ouvrir les fenêtres après minuit, et surtout, ne pas laisser entrer de poupée dans la maison. Alors entre ces interdits, cette nouvelle vie qu'elle n'a pas choisie, ses amies qu'elle ne voit plus et le mauvais accueil qu'elle reçoit dans sa nouvelle école, Josie en a marre. Heureusement, elle rencontre Vanessa, qui devient aussitôt son amie. Mais autant Vanessa interroge beaucoup Josie sur sa vie, autant elle ne dévoile rien de la sienne.

J'ai franchement adoré ce roman d'horreur, à l'intrigue efficace et qui se lit d'une traite. Si Chucky vous file les chocottes, passez votre chemin. Je pense que les jeunes de 10/12 ans vont adorer frissonner en lisant cette histoire de... mais chuuut....

Malgré une couverture qui laisse penser que ce récit est destiné aux plus grands adolescents, ce roman est en fait très orienté jeunesse. Tout d'abord, l'héroïne est jeune (12 ans environ) et les problématiques qui la touchent sont celles d'une jeune fille au sortir de l'enfance ( par exemple, elle n'est vraiment pas très contente quand sa petite soeur retient l'attention de sa nouvelle meilleure amie). Une fois ce constat posé et connu, ce roman est honorable et plaira aux jeunes ados adeptes de premiers frissons. Les plus grands pourront trouver que l'histoire est cousue de fils blancs et sans surprise car l'auteur fait appel aux codes du genre (la grand-mère qui passe pour malade, la mère avec des œillères qui n'a pas une grand rôle dans l'histoire si ce n'est d'être une mère, la transgression de règles qui amènent de gros problèmes...). Bref, rien de bien original ni de déroutant tout comme le dénouement qui est ultra classique et presque trop simple.



En somme, un roman jeunesse qu'il faut lire pour ce qu'il est (c'est-à-dire avant tout adressé aux jeunes ados) qui fait le job comme un bon vieil épisode de "Fais-moi peur" le faisait à l'époque. Les codes de l'horreur sont là (vieille sorcière effrayante, poupées maléfiques entre autres) mais les plus grands trouveront dommage que le sujet soit traité de manière si classique et attendu.

Roman jeunesse que j'ai adoré! C'est vrai, la couverture et le résumé ont eu raison de moi et ont fortement joué sur le fait qu'il se retrouve dans ma PAL mais je n'ai nullement regretté mon achat.



Certes, la police fait qu'il a été très vite lu mais en même temps, j'ai trouvé l'histoire tellement prenante, tellement bien construite que je n'ai pu poser mon livre une seule fois après l'avoir commencé.



On pense comprendre les choses très vite mais........ il ne faut pas toujours se fier aux apparences.... Je n'avais pas vu la fin venir avant qu'on me l'explique clairement et ça, c'est génial comme sensation!



Un roman que je conseille à tous les jeunes (et moins jeunes). Que vous aimiez les poupées ou qu'elles vous fassent peur, une chose est sûre, c'est que vous ne resterez pas indifférents face à cette histoire.

J'ai bien aimé ma lecture, mais sans plus.



L'histoire se déroule extrêmement vite, mais je m'en doutais au vu du nombre de pages, mais aussi à la police d'écriture et tous les espaces.



On suit l'histoire de deux sœurs Josie et sa petite sœur Anna, qui doivent emménager chez leur grand-mère avec leur mère qui a perdu son travail à Chicago.



Et dès leur arriver, la grand-mère de Josie et Anna les mes en garde et leur fixe trois règles très importantes pour leur grand-mère :



- Ne jamais laissez vos fenêtres ouvertes après la nuit, même s'il fait très chaud.



- Aucune poupée dans la maison.



- Et ne jamais allez, au grand jamais, du côté de la maison dans les bois.



C'est là qu'habite une sois disant "Beryl" d'après leur grand-mère.



Pendant tout le livre, les filles entendent des voix, des rires, qui proviennent de la forêt. Leur grand-mère, leur répète inlassablement de pas aller dans la forêt, pour les protéger, patati patata...



Et la mère, bien évidemment, ne croit pas à tout ça et pense que sa maman perd la tête.



Josie se fait une amie dans sa nouvelle école : Vanessa. On ne sait pas grand-chose à son sujet à part qu'elle habite chez sa tante.



Je ne me suis pas attachée spécialement aux personnages, car ils ne sont pas assez développés pour moi.



Après ce livre n'est pas mal mais tout se déroule trop vite, on n'a pas le temps d'avoir une ambiance pesante petit à petit, donc cela ne fait pas vraiment peur, je n'étais juste pas à l'aise vis-à-vis des poupées, je n'aime pas ça. C'est une lecture addictive, dès que l'on plonge dans l'histoire on a quand même envie de savoir le fin mot de l'histoire et découvrir qui est cette Beryl ? Si elle est vraiment réelle ou non, si cela est juste un délire de leur grand-mère.



Ce qui est dommage aussi, est la fin du livre, cela se passe extrêmement vite, hop en 3 / 4 pages, c'est réglé, alors non je n'aime pas ça. Cela donne l'impression d'une fin bâclée, en ce disant tien enfaîte, c'est ça la solution, la révélation et hop fin !



Après, je n'ai pas détesté ce livre, mais je trouve dommage que l'histoire n'a pas été plus exploité que ça.

C’est avec un grand plaisir que j’ai lu ce roman, gagné par masse critique. J’en avais entendu parler sur les réseaux sociaux et je l’avais remarqué sur babelio. Alors quand j’ai vu qu’il était dans la sélection de masse critique je l’ai tout de suite intégré dans la mienne pour tenter de le gagner.

Il s’agit là d’un roman jeunesse, assez gros caractères, lignes espacées, je l’ai lu en 2 soirées. Et si vous êtes adulte ne vous attendez pas à avoir peur à chaque fois que vous tournez la page. C’est un roman pour les adolescents oui, mais qui à mon sens débutent dans les romans frissons. Cette lecture, je pense, peut les impressionner. En revanche, ceux qui ont l’habitude de ces romans, n’auront pas peur.

L’histoire est bien imaginée, des poupées , de la sorcellerie… (je ne vais pas tout dire 😊), mais encore une fois en tant qu’adulte on devine très vite ce qui va se passer.

J’ai beaucoup aimé les 2 sœurs, elles sont très proche et la grande sœur très protectrice avec la plus petite.

J’ai mis 3 étoiles, mais c’est mon avis d’adulte. Si j’avais encore été une adolescente, j’aurais mis 5 étoiles.

À mi-chemin entre le conte et le roman d'épouvante type Chair de poule, ce récit d'abord destiné aux jeunes ados ravira petits et grands enfants !

J'ai adoré la façon dont ce livre traite du mythe de la poupée effrayante. C'est malin et incroyablement bien fait. Je me suis régalée !

Page après page je me suis surprise à naviguer entre les rebondissements et les doses de suspense à l'ajustement parfait qui permettent à l'auteur de nous servir une intrigue haletante à souhait. Avec un style simple et vif, très prenant et entraînant ce livre est tout à fait abordable pour les jeunes lecteurs dès 10 à 12 ans qui aiment se faire peur... Il se lit vite et se devorerait presque d'une seule traite !

On comprend bien vite que Josie et sa sœur Anna ne vont pas savoir respecter les règles imposées par leur mamie... L'arrivée de Vanessa, l'amie de notre plus grande héroïne va précipiter les choses et nous embarquer dans une histoire où la frontière entre rêve et réalité se montre très mince...

Êtes-vous prêt à avoir peur ? Allez-vous savoir démêler le vrai du faux ? Je vous invite à vous plonger très vite dans ce roman à la couverture magnifique et... gare aux poupées, elles ne sont pas toujours celles que l'on croit...
Lien : http://place-to-be.net/index..

Amateurs (ou angoissés) des poupées en porcelaine, le roman est dispo en librairie depuis le mois passé (oui, j'ai été le chercher le jour de sa sortie... Vous connaissez mon amour pour l'horreur.



Propulsées dans la campagne au fin fond d'un Etat des USA pluvieux, Anna et Josie doivent suivre les règles instaurées par Mamie Jeanne. Leur mère a beau dire qu'elle débloque et que son imagination prend sa source dans Alzheimer, la vieille dame est très crédible avec son œil terrorisé et son visage apeuré. Josie, l'aînée accepte donc de suivre par politesse les trois règles :

• Ne jamais traverser les bois.

• Ne jamais laisser une poupée entrer dans la maison.

• Ne jamais ouvrir les fenêtres après le coucher du soleil.

Persuadée que sa grand-mère perd simplement la tête, Josie ne prête pas vraiment attention aux murmures et appels étranges qu'elle entend depuis la forêt. Jusqu'à ce que commencent les cauchemars étranges.



Jai beaucoup apprécié ce récit court (260 pages mais c'est écrit grand) lu en une journée. Il rejoint aujourd'hui mon cours sur le fantastique car je pense qu'il va beaucoup intéresser les élèves. Je me suis beaucoup attachée au personnage de Josie qui tente de garder un pied dans la réalité alors que tout autour d'elle, l'angoisse s'accélère. J'ai apprécié le Peach de base, je n'avais jamais lu de récit sur des poupées flippantes. Sans être trop cruel, le récit est haletant et stressant pile ce qu'il faut. On ne sombre pas dans l'insurmontable, ça reste un roman jeunesse. J'aurais aimé lire davantage de réponses à mes questions mais j'ai pu facilement les deviner. La couverture est sublime et nous met directement dans l'ambiance Halloween. Et sans vouloir spoiler, j'ai adoré la toute fin. Le roman aurait même pu être plus long que ça ne m'aurait pas dérangée. Pour une traduction, franchement, c'est réussi. Je le conseille à ceux qui apprécient se ficher la frousse (même si j'ai moi-même pas osé le commencer le soir 😅).

La plus grande force de ce roman réside dans le ton et l’ambiance qui se dégagent des pages durant notre lecture. Quand deux sœurs viennent vivre chez leur grand-mère qui n’a plus toute sa tête et qui vit près de bois sombre et obscure. Mais attention, la vieille dame leur interdit d’y aller, car une sorcière y vivrait, enlevant les enfants pour les manger...



La chronique complète sur Songe en cliquant sur le lien !
Lien : https://songedunenuitdete.co..

Je ne m'attendais a rien et finalement ce n'est pas si mal que ça, je reconnais avoir été un peu déçue, je m'attendais à ce que ce livre s'adresse plus a des jeunes adultes qu'a des adolescents, ainsi il n'était pas aussi effrayant que ce que je m'étais imaginé. Bien que pas vraiment terrifiante, l'histoire n'en reste pas moins sympa, la plume est fluide et assez simple a comprendre. Malgré tout je trouve qu'en connaissant la fin, l'histoire est un peu tirée par les cheveux.

Nous allons suivre l'histoire de Josie, jeune collégienne de 12 ans, et de sa petite soeur Anna, 7 ans. Elles vivaient à Chicago avec leur mère, mais leur grand-mère tombe malade, et donc elles vont aller s'installer chez elle, pour pouvoir la chouchouter. Les filles adorent leur grand-mère, mais elle vit dans une maison isolée de tout, donne vue à une forêt sombre et menaçante. Dès leur arrivée, leur grand-mère leur donne trois règles à respecter: premièrement, ne jamais traverser la forêt; deuxièmement, aucune poupée n'a le droit de rentrer dans la maison; et pour finir, elles ne doivent pas ouvrir les fenêtres après le coucher du soleil. Depuis son arrivée, Josie fait le même cauchemar tutes les nuits: une voix de jeune fille l'appelle pour qu'elle lui vienne en aide, et cette voix provient de la forêt. Ce cauchemar lui donne envie de fuir, mais n'est-il pas déjà trop tard?



Pour tout vous dire, j'adore les films d'horreur, l'ambiance glauque et sombre qui donne la chair de poule et le suspens insoutenable. Mais il y a un truc que je détestais déjà, et que je déteste encore plus depuis que j'ai lu ce livre: les poupées. J'ai adoré ce roman jeunesse, l'ambiance que je cherchais était bien présente, le suspens était à son apogée, tous les éléments d'horreur y étaient. Josie et Anna vont honnêtement vivre un calvaire: elles doivent déménager de chez elle, quitter leur école et leurs copines, pour aller vivre chez leur grand-mère adorable mais un peu cinglée, au milieu de nulle part, où évidemment il n'y a pas le wifi. Le wifi pour les jeunes c'est sacré. Comment va-t-elle pouvoir parler avec ses copines qui lui manquent tant, et comment va-t-elle occuper ses soirées?



Elles doivent absolument respecter les trois règles énoncées par la grand-mère, elle insiste constamment pour que les filles ne brisent pas les règles.

Elles vont devoir affronter le regard de leurs nouveaux camarades dans leur nouvelle école, c'est pas la joie d'être la petite nouvelle qui débarque comme ça, parmi des gens qui se connaissent tous déjà pour la plupart.

Depuis leur arrivée, Josie fait constamment le même cauchemar, une voix d'enfant l'appelle, elle a besoin d'aide, mais sa voix provient de la forêt... Elle n'a pas le droit d'y aller, puis même si elle en avait le droit, elle n'en a pas envie, elle lui fait peur.

Elles vont basculer de péripétie en péripétie, et on aura les chocottes en même temps qu'elles.

Je ne vous spoile rien en disant que j'ai la frousse des poupées, et que dans cette histoire ça n'arrange rien, il y'a une poupée sur la couverture. Je déteste ça, mais si elles n'existaient pas, l'histoire n'aurait pas de sens, donc même si elles sont horribles et détestables, elles sont nécessaires à l'histoire.