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Critiques de Alexandra Burt (20)
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Mère toxique

Mère toxique...

C'est mon cadeau de la fête des mères !

...

Eh oui... ils ont osé les saloupiots !!!

Heureusement, aucun message caché.

Mes "adorables" enfants voulaient juste trop faire plaisir à leur tite môman chérie d'amour, en choisissant un livre pile poil, tout comme je les affectionne.

...J'l'ai pris comme ça en tout cas !



Cette critique, je voulais absolument la faire.

Mais voilà des jours que je la repousse...

Je me suis mis grave la pression, parce que j'ai vraiment très envie de réussir à vous transmettre toutes les émotions que j'ai pu ressentir.

Et parfois, c'est super compliqué de mettre des mots là-dessus...



Ce bouquin, il n'a franchement rien de trop original, mais pourtant, il n'est absolument pas banal.

Cette histoire ne vous fera pas tomber la mâchoire par terre, mais malgré tout, vous allez prendre un plaisir immense à la dénouer.



Ce thriller est juste étrange, fascinant, hypnotisant, mais, je ne saurais pas vous dire pourquoi, vous l'expliquer.



- Peut-être que cela vient de la narration ?

Le récit alterne principalement entre 3 personnages : Dahlia, Quinn et Aella.

3 femmes, 3 histoires qui semblent indépendantes, tellement elles sont différentes, mais dont on se doute qu'elles se rejoindront à un moment ou à un autre.

Les questions se font nombreuses et il est difficile de lâcher ce roman avant d'avoir un semblant d'explications.



- Peut-être que cela vient des personnages ?

Tous avec une personnalité aussi forte qu'énigmatique.

Par leurs secrets, leurs blessures, leurs traumatismes, leurs complexités.

Et ce sentiment obscur et omniprésent concernant leur identité, leur façon de vivre.

Clandestinement, en marge, caché, à fuir on ne sait qui, on ne sait quoi.



- Ou alors peut -être bien que c'est son atmosphère ?

Il règne tout du long une sorte de tension oppressante, malsaine.

On sait que ces mystères cachent des drames, des événements macabres.

Le dénouement se dessine progressivement, lentement.

On s'imprègne de tout cela.

Notre corps, notre coeur, notre souffle s'accordent, comme envoûtés, au rythme des révélations de cette terrible histoire.



Je sais pas...

A vous de voir.

Mais, moi, ce thriller m'a captivé.

Il m'a véritablement ensorcelé...
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Mère toxique

"Atmosphère, atmosphère. "

Ce livre dégage vraiment une atmosphère originale.

Je garderais de lui des images : celle d'une mère fuyant , en pleine nuit, avec sa fille en voiture, des fantômes qui apparaissent dans une maison délabrée, de la poussière, un coin paumé du Texas, et deux femmes au bord de la maladie . Un roman mystérieux plus que noir ….

Etrange livre, étranges histoires …



Dahlia en a ras le bol des petits boulots précaires, les seuls auxquels , elle puisse prétendre , vu qu'elle n'a aucun papier d'identité. Elle décide de se rendre près de sa mère, afin d'avoir des réponses à ses questions. Que fuyaient -elles toute son enfance, de motels minables en mobile-home ? pourquoi n'a t-elle pu aller à l'école qu'à partir de ses 14 ans ?

Mais celle-ci , sur le pont de basculer dans la folie, lui raconte l'histoire pleine de drames et de mystères d 'une certaine Quinn.

Entre les histoires de sa mère, la découverte d'une vieille ferme abandonnée, celle d'une jeune fille enterrée vivante et depuis plongée dans le coma, des odeurs, des sensations qui l'envahissent et échappent à son contrôle, Dahlia, peu à peu perd pied , en même temps que son identité remonte à la surface.



Une ambiance très oppressante, poussiéreuse, qui conjugue passé et présent. On est dans le roman noir et si peu. L'enquête autour de la jeune fille n'occupe pas la première place, on peut même dire qu'elle est anecdotique . Ce qui prévaut , c'est l'ambiance mystérieuse et cette fuite enfin expliquée.

Une ambiance parfaitement bien rendue, je ne m'attendais pas à cette histoire avant de commencer ce livre. Ça fait du bien des fois, d'être bousculée dans ses habitudes littéraires…





Challenge Mauvais Genres 2018/19.

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Little girl gone

( La mal nommée) , Mrs Paradise a "égaré " son bébé de 7 mois .

Pffft : disparu ! Il ne reste rien des affaires de sa fille (biberons, couches vêtements) ...Il faut dire que ce bébé ne faisait que pleurer ...

Et pour couronner le tout , elle n'arrive pas à faire sa déposition au commissariat du coin, C'est troublant, surtout lorsqu'on sait , qu'elle était en plein dépression post-partum...

Retrouvée accidentée bien loin de son domicile, voulait-elle fuir, ou a-t'elle caché son bébé ?

Devenue pour les médias," Madamnésique" , hospitalisée dans un établissement psychiatrique, elle ne pourra compter que sur son médecin, son mari ayant baissé les bras depuis longtemps.



Dépression post-partum, enlèvement , infanticide ?

Un pas en arrière: empathie.

Deux pas en avant : soupçons.

Retour à la case départ ; dégoût...

L'auteur , dont c'est le premier livre nous ballade dans le cerveau d'Estelle Paradise avec brio. J 'adore les histoires d'amnésie et je suis passée par toute la gamme des émotions d'une lectrice lambda. La fin est suffisamment étonnante pour se démarquer des autres romans sur le même thème . Evidemment , j'ai préféré la partie "Vol au dessus d'un Nid de coucou".

Le cerveau de Mrs Paradise, c'est l'enfer !
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Little girl gone

Je me suis lassée assez vite de l'histoire de cette jeune mère , Estelle Paradise en pleine psychose du post-partum accusée d'avoir fait disparaitre son nourrisson de 7 mois .



C'est vrai que tout la désigne : pas de trace d'effraction , peu d'empressement de la mère à signaler la disparition de l'enfant et les personnes qui l'ont côtoyé peuvent témoigner du comportement étrange de cette jeune femme vis à vis de son bébé ...



Retrouvée au fond d'un ravin, gravement blessée, elle ne se souvient pas de ce qui s'est réellement passé mais garde la conviction qu'elle n'est pas l'auteur de cet enlèvement , ce sera sa force pour combattre cette amnésie dévastatrice ...



Contrairement à ce qui a été déjà dit, je n'ai pas trouvé qu'il s'agissait d'un simple roman sur la dépression du post-partum , le malaise est plus profondément ancré et c'est seulement une explication facile pour accuser cette jeune maman qui est bien isolée dans son désarroi face à un bébé qui ressent lui-même le malaise de sa génitrice : délaissée de tous à commencer par son mari, elle est la proie également  de vives accusations de la part des médias jusqu'à ce qu'elle soit pris en charge par un psychiatre, spécialiste des amnésies et qui va permettre à Estelle de déchirer le voile et d'arriver peu à peu à la vérité : est-ce vraiment elle qui a fait disparaitre son bébé ?



Cela traine malheureusement en longueur . J'ai quand même été jusqu'au dénouement qui ne m'a pas convaincu plus que le reste ...
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Little girl gone

Une déception cette histoire

Malgré la quatrième de couverture alléchante " un suspens hallucinant " non mais ils plaisantent ?

Un mal fou à rentrer dans l'histoire

C'est lent , long , pénible

Estelle Paradise le personnage central et ben non c'est plutôt l'enfer !!!!

Jeu de mot pourri certes mais rigolons ….un brin

Bref je n'ai pas du tout aimé



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Little girl gone



Malgré un titre qui fait penser à tant d'autres, ( "petite fille disparue") que ce soit dans la littérature ou le cinéma, après le début du livre, accrocheur, on plonge tout de suite dans tout autre chose : Estelle est retrouvée dans un ravin, dans sa voiture, et elle s'est tiré une balle dans la tête. In extrémis elle est sauvée, l'angle de tir n'a fait qu'emporter son oreille. Là voilà à l'hôpital, amnésique. Elle ne se souvient de rien depuis qu'elle a compris que son bébé a disparu. Dans son berceau. À 7 mois







Je vous mets ici le résumé éditeur : "Que se passe-t-il lorsque le cauchemar de toutes les mamans devient réalité ? Quand elle se réveille ce matin-là, Estelle, comme tous les jours, se rend dans la chambre de sa petite fille de sept mois pour lui donner son biberon. Effarée, elle découvre un berceau vide, une chambre vide : Plus aucun vêtement, plus de jouet, plus de biberon. C'est comme si son bébé n'avait jamais existé. Et la porte d'entrée de l'appartement est fermée à clé, aucune trace d'effraction. Estelle, traumatisée par une dépression post-partum très sévère, met plusieurs jours à signaler la disparition à la police. Très vite, l'absence de preuves jette le doute sur son histoire, et la jeune mère devient le suspect numéro un aux yeux de la police et des médias. Son mari est le plus virulent, révolté depuis des mois par l'attitude bizarre de sa femme. Frustrée, incapable d'expliquer cette disparition, Estelle se lance dans des recherches désespérées Abandonnée de tous, une seule chose la fait tenir : l'espoir fou de retrouver son enfant, et l'intime conviction qu'elle détient la clé de ce qui s'est passé cette nuit-là. Elle va tout tenter pour obtenir des réponses car une mère ne renonce jamais..."



C'est une plongée dans la psychose post-partum d'abord, quand on se rend compte qu'on a un bébé qui hurle nuit et jour, et encore plus lorsque sa maman la prend dans ses bras. Avec son mari, la petite est calme et s'endort. Le mari, justement, qui ne fait que culpabiliser sa femme, qui ne comprend rien à ce qui se passe, et qui n'est jamais là. Et lorsqu'il y est, il la sermonne, la culpabilise, et elle, elle perd le fil, son esprit s'égare, elle a sommeil, elle ne peut pas dormir, ne dort jamais car le bébé hurle non-stop.... Les essais pour la faire dormir, les medecins qui disent "ce sont des coliques, ça va passer" sans jeter un oeil à la mère, qui veut absolument être une bonne mère mais qui sait qu'elle n'y arrive pas. Est-ce elle la coupable ? L'a-t-elle tuée ?



Et après l'accident, l'enfant toujours disparue, qu'on ne retrouve pas : le mari fait entrer Estelle dans une clinique psychiatrique sans son consentement. Parce qu'il est sûr qu'elle a tué le bébé, c'est ça ou la taule, et lui s'en và. Estelle heureusement est suivie particulièrement par un psychiatre indien qui va l'aider à surmonter jour après jour ses blocages dûs à l'amnésie.



C'est une amnésie post traumatique et l'auteur nous fait entrer de plein pied dans les pensées et les ressentis de cette jeune femme qui essaie de se souvenir de ce qui s'est passé pendant les moments oubliés. Lorsqu'elle commence à se souvenir, elle en est terrifiée. Jeune fille paumée, attirée par un homme "sérieux" premiere fois pour elle, et elle raconte l'histoire d'une grossesse pas vraiment désirée d'un mariage à la va-vite décidé par le mari, qui très vite se désintéresse d'elle, et lorsque l'enfant naît, elle n'éprouve pas l'amour qu'elle pensait éprouver. Et c'est si difficile de rester avec un nourrisson, et un mari qui l'isole et la manipule.. bienvenue dans l'enfer d'une mère traumatisée, souffrant d'une dépression post partum, et accusée d'avoir tué son bébé...



Little Girl Gone - Alexandra Burt, editions Denoël Suspense, 2017,
Lien : https://melieetleslivres.wor..
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Mère toxique

Trois femmes se partagent la narration dans ce thriller plutôt réussi (même si, encore, je n'ai pas tardé à lever le mystère !).

Memphis et sa fille Dahlia, toujours en fuite, d'un point à l'autre des USA, et Aella la sorcière. S'entrecroisent d'autres destins féminins, ceux de Quinn qui vit à Creel Hollow Farm avec son mari Nolan, et de Taïn la gitane psychiquement très en retard, et enfin Jane Doe la fille retrouvée enterrée vivante dans le bois.



Les hommes font pâle figure et n'ont pas le beau rôle : ce sont les violeurs qui ont saccagé lle corps de Quinn, ou Nolan le mari inconsistant qui épingles des insectes dans des boîtes et séduit Taïn, ou encore Bordeaux le propriétaire du motel...



Pas de suspense insoutenable, on voit rapidement se dessiner les intrigues mêlées qui vont faire avancer la narration, mais l'atmosphère est suffisamment travaillée pour que le malaise se distille : que cache Memphis sous sa folie ordinaire ? Dahlia est-elle vraiment schizophrène ou ses flashs sont-ils des réminiscences ?





C'est un polar habile, quoique l'intrigue soit presque convenue, mais je l'ai lu avec plaisir, sans doute pour l'ambiance, la quête d'identité sous-jacente, son côté malsain distillé page après page.
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Mère toxique

Depuis la parution de Little Girl Gone je souhaitais découvrir la plume d'Alexandra Burt, avec Mère Toxique c'est maintenant chose faite !



En lisant ce thriller, j'ai été happée dans une atmosphère oppressante et angoissante. La romancière alterne le point de vue de différentes femmes à des époques différentes, nous entrainant dans plusieurs intrigues et enquêtes.



Il y a d'une part le mystère lié à l'identité de Dahlia et de sa mère et d'autre part l'investigation liée à cette jeune femme retrouvée enterrée vivante et qui est dans le coma. Deux enquêtes qui vont s'entremêler et amener Dahlia à remettre en question toute son existence, à chercher la vérité.



Tout le long de ma lecture j'ai été impressionnée par cette faculté qu'a l'auteure de nous imprégner de l'ambiance propre à Aurora, une ville étouffante et qui possède de nombreux secrets liés au passé mais aussi au présent...



Après il est vrai que le livre possède un rythme très particulier, toutes les parties avec Dahlia sont assez lentes car le personnage est en pleine interrogation sur sa vie, sur sa mère, sur qui elle est. J'ai été plus intéressée par l'histoire de Quinn et comment cette dernière va se greffer progressivement à l'histoire de Memphis et Dahlia.



En définitive, un très bon roman noir où les secrets imprègnent toute l'histoire...
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Mère toxique

C'est un roman à l'atmosphère prenante c'est certain. Un roman très bavard, voir même trop bavard pour moi car finalement j'ai fini par m'ennuyer ferme durant ces 462 pages interminables. Cela commençait bien pourtant et j'ai vraiment aimé cette ambiance Texanne (j'ai eu la chance de faire un trip au Texas il y a quelques années et cela m'a aidé à apprécier l'ambiance du roman). Mais j'ai trouvé le style lassant, je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, mais au fil de l'eau j'ai pris conscience qu'il semblerait que l'auteure ne se soit pas trop cassé la tête pour relire son texte. Les phrases ont l'air de se suivre avec parfois des constructions assez déroutantes et qui manquent surtout de subtilité. Ce style sans fioriture a fini par vraiment me lasser, cette histoire aussi qui piétine avec ces non-dits. J'ai refermé ce roman soulagé, je voulais le finir mais cela m'a demandé un effort pour finalement pas grand chose. Je suis déçu car j'attendais plus de cette lecture qui semblait prometteuse.
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Mère toxique

Merci aux éditons Denoël de m'avoir permis de lire ce roman mère toxique de Alexandra Burt qui sort le 03 mai .

Excellent livre d'une auteure que je ne connaissais pas et qui écrit son second roman.

On découvre Dahlia de retour chez sa mère Memphis pour chercher des réponses sur son enfance. Elle se souvient de leurs fréquents déménagements précipités jusqu'à ce qu'elles s'installent à Aurora mais elle n'a jamais obtenue de réponses sur ce passé. Elle n'a pas de papier d'identité ce qui la bloque dans son travail et pour avancer dans sa vie.

Au fil des chapitres on suit Dahlia, Memphis, Quinn et Aella mais ces deux dernières, on a tout d'abord du mal à les situer dans l'histoire et même dans le temps. Et le roman se déroulant on commence à comprendre qui elles sont et le lien qu'elles ont avec Dahlia et Memphis. Le suspense reste jusqu'au bout et Memphis finir par révéler à sa fille Dahlia le secret de sa naissance et de ses premières années.

Un livre très prenant dès le départ et il est difficile de le poser, le titre m'a attiré de suite et la couverture est très belle et prend tout son sens en lisant ce livre.
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Little girl gone

L'auteure part d'une idée de base pour ce thriller qui est déjà vu mais elle a su la réinventer et la renouveler d'une manière remarquable.



Estelle Paradise, jeune maman, a du mal à trouver ses marques depuis que Mia est arrivée. Elle subit une grosse dépression post-partum depuis la naissance de sa fille et a du mal à gérer ses émotions. Surtout que Mia a des coliques et pleure sans arrêt. Un matin, Estelle retrouve le berceau de Mia vide. Toutes les affaires de la petite ont aussi disparu comme si elle n'avait jamais existé.



Toutes les mères auraient tout de suite reporté la disparition de leur enfant mais Estelle va être retrouvée trois jours plus tard dans un ravin à demi morte. Elle va se réveiller sans se rappeler de quoique ce soit. Que s'est-il passé pendant ses trois jours? Qui a pu enlever sa fille alors que toutes les portes et fenêtres étaient fermées? La police va commencer à douter de la version d'Estelle. Son mari la fait interner dans un hôpital psychiatrique pour que le Dr Ari, un grand spécialiste de la mémoire, s'en occupe afin qu'elle se remémore ce qu'il s'est passé.



Nous allons donc revivre avec Estelle sa vie, sa jeunesse, son histoire avec Jack, sa grossesse et Mia. J'ai douté tout le long du livre et je n'avais qu'une hâte connaître le fin mot de l'histoire. Ce thriller est absolument génial, et ne laisse aucun répit aux lecteurs. L'auteure traite d'un sujet qui peut être tabou et dont on parle très peu : la dépression post-partum. Une maladie qui touche plus de femmes qu'on ne le croit et qui peut s'avérer très compliquée. Elle décrit très bien ce sujet sensible.



J'ai passé un super moment de lecture. J'ai eu beaucoup de mal à le poser avant la fin tellement j'avais hâte de connaître la vérité et d'un côté je n'avais pas envie de le finir. Un thriller psychologique haletant. Alexandra Burt maîtrise très bien son sujet et son intrigue. Pas de temps morts ni de longueurs, tout est là dans un but bien précis. La psychologie des personnages et notamment celle d'Estelle est très bien analysée.



Je ne peux que vous conseiller ce livre vous ne serez pas déçu une seule seconde.
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Little girl gone

Même Derrick est moins soporifique que ce roman cousu de fil blanc, sans aucune intrigue, peuplé de personnages plus vides les uns que les autres.
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Little girl gone



L'histoire d'Estelle qui un matin en se levant constate la disparition de sa fille âgée de 7 mois . Tout a disparue , les couches , les biberons , les vêtements tout absolument tout.

Elle souffre de dépression post-partum ... Avant la disparition de sa fille , elle n'arrivait pas à calmer les pleurs de sa fille ...À t'elle commis l'impensable ou bien c'est il passé autre chose?Son mari la fait interner dans un hôpital psychiatrique... Est-elle devenue folle ?

En tout cas ce livre m'a tenue en haleine et j'avais hâte de découvrir le fin mot de l'histoire .Un coup je l'ai pensé meurtrière , folle , innocente , j'ai soupçonné le mari ...mais qu'est devenu la petite fille est-elle morte ou vivante ?.. j'ai donc passé un bon moment et j'ai adoré le roman surout le début , un petit passage à vide de deux ou trois chapitres au milieu et la suite jusqu'à la fin très prenante.
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Little girl gone

Premier roman assez spectaculaire… Découvert par hasard grâce aux oiseaux sur la couverture (challenge Les livrovores), mon choix était guidé. Je ne regrette aucunement.

Thriller étonnant, où on change de sentiment à chaque chapitre : responsable ou pas ? Coupable ou pas ? Cette jeune mère dont l’enfant a disparu est-elle sincère ? Où est cette petite fille ? Le post partum a-t-il pu mener cette femme à commettre le pire ?

Analyse fine des sentiments du baby blues, nous assistons à la déchéance de cette famille. Rebondissements et suspense, c’est un véritable page turner.

A conseiller pour une lecture d’été.

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Little girl gone

Une nuit une très jeune enfant disparaît, plus aucune trace de son existence car toutes ses affaires manquent aussi, un accident de voiture et une mère qui s'en sort miraculée, amnésique et certainement coupable. Une trame plutôt classique mais l'auteure grâce à un sacré travail de développement nous livre au final un texte loin d'être habituel. Un bon roman.
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Little girl gone

Incroyable thriller que ce “Little Girl Gone” qui vous retient au fond du puits pendant que l’eau monte. Il faut dire que celle qui l’a écrit Alexandra Burt est membre de “Sister’s in Crime” le fameux cercle des femmes autrices de polars. Burt connait ses gammes et ce qui aurait pu être un coup d’essai s’est révélé être définitivement un coup de maître. Ce qui est le plus fort dans son approche du récit tient au fait qu’elle part de presque rien. Tout commence, en effet, par une absence définitive, comme si quelque chose de la réalité n’avait simplement jamais existé. Burt part d’un cauchemar et le pire c’est que le lecteur n’arrive pas à se réveiller.

De quoi s’agit-il ? New-York. Une jeune mère, Estelle Paradise, s’aperçoit à son réveil que sa fille Mia, âgée de sept a disparu de sa chambre. Tout a disparu, ses vêtements, ses jouets, ses biberons. Aucune trace d’effraction. La porte d’entrée de son appartement est fermée à double tour. Pour Estelle qui sort d’une longue dépression post partum, c’est la panique. Elle va mettre plusieurs jours à signaler la disparition de Mia à la police.

Devant les explications alambiquées de la jeune femme et l’absence de preuves les enquêteurs se mettent à douter bientôt relayés par les médias qui voient dans cette affaire un excellent feuilleton qui fait vendre. Estelle Paradise devient rapidement le suspect numéro un y compris au yeux de son mari qui ne la comprend plus depuis sa dépression. Seule contre tous Estelle va devoir rassembler ses forces et tout tenter pour retrouver sa fille .

Alexandra Burt réussit un thriller qui place le lecteur en permanence sur le fil du rasoir. Jouant avec un formidable talent sur la psychologie des personnages Burt parvient à porter le récit à l’incandescence ne laissant aucun répit à ceux qui ont eu l’idée de lire le début de “Little Girl Gone”. Le piège de papier se referme et seule la dernière page fournira au lecteur la possibilité de sortir de ce cauchemar. Attention cependant à la crise de tachycardie…

Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Lien : http://www.culture-chronique..
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Little girl gone

Addictif. On a du mal à lâcher ce livre tellement on veut connaître la fin ! L'histoire d'une mère qui devient amnésique quand sa fille disparaît. L'amour d'une mère, la solitude, l'oubli, le temps qui passe... tout nous tient en haleine jusqu'au bout.
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Mère toxique

Une mère, Memphis et sa fille, Dalhia : un duo en fuite, mais en fuite de quoi ou de qui ? Memphis est une belle femme, secrète, qui exerce des boulots minables légalement ou non, Dalhia grandit dans la voiture, toujours en voie d'expiration, qui les emporte d'un lieu à un autre .. La petite vit en marge des autres enfants, sans école, à attendre dans la voiture le retour de sa mère, compulsant la grande encyclopédie qui lui sert de "bible" de vie. Une vie de road-movie sans but sauf la survie au jour le jour. Et pourtant, Memphis va revenir à son point de départ, le petit bled d'Aurora au Texas, le mal nommé. Parce que sa mère s'enfonce dans ses délires, Dalhia revient auprès d'elle après s'en être éloignée durant 15 ans. Lorsqu'elle découvre accidentellement un cadavre de jeune femme et que lentement, plusieurs disparitions non élucidées sont recensées à Aurora, Dalhia avec son vieux copain, Roberto dit Bobby, policier comme son père avant lui et qui connaissait Memphis quand elle était plus jeune. Dalhia va découvrir que sa mère possède une vieille ferme délabrée, Creel Hollow Farm et comprendre pourquoi elle n'a n'a pas d'acte de naissance. Elle va aussi découvrir que la maternité est un chemin tortueux qui parfois se confond avec la folie ...

Un roman surprenant, collant comme la chaleur du Texas, couleur nuit comme celles qui rythmait le quotidien de Dalhia, un conte de femmes, femmes sorcières, femmes combattantes et des hommes tout petits .
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Mère toxique

«Mère toxique » d’Alexandra Burt (464p)

Ed. Denoël



Bonjour les fous de lectures....



Et bien, je suis complètement passé à côté de ce live que j’ai trouvé d’un ennui profond.



Nous allons suivre le destin de femmes écorchées par la vie.



Il y a Dahlia. Sa mère, Memphis, complète déjantée, passe sa vie à fuir. La jeune fille non scolarisée aura passé une grande partie de son enfance à l’arrière d’une voiture vivant de façon clandestine .

Après des années d’absence, Dalhia revient chez sa mère espérant lever un voile sur le passé mystérieux de celle-ci

Ensuite il y a Quinn, violée à l’adolescence par 3 chasseurs. Elle traîne sa blessure avec elle mais fera preuve d’une force de caractère pour surmonter les humiliations et obtenir ce qu’elle désire.

Il y a Aella, la vieille femme un peu sorcière.

L’autrice jongle entre ces femmes, entre passé et présent.



Ce livre évolue lentement avec beaucoup de redites inutiles et il faut arriver péniblement à la moitié de la lecture pour que celle-ci devienne un peu plus captivante, que les choses s’emboîtent et prennent forme jusqu’au dénouement assez brutal.



Est-il judicieux de vouloir à tout prix fouiller le passé ?

Certains secrets ne feraient-ils pas mieux de rester enfuis ?

Telles sont les deux grands thèmes abordés.



J’ai du m’accrocher pour ne pas lâcher prise en cours de route.

Est-ce que cela en valait la peine ? Bof !
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Mère toxique

Un thriller bien fichu et plutôt original.



Narration intelligente avec le point de vue de personnages qui n'ont à priori rien à voir. Le lien se tisse au fil du récit, afin de créer un ensemble uniforme. Ce lien devient peut-être évident un peu trop tôt, mais peu importe, c'est efficace et c'est tout ce qui compte.



Le scénario semble simple aux premiers abords : une fille à la mère un peu tarée qui lui a donné une enfance complètement chaotique. Et puis un jour, elle trouve le corps d'une femme en faisant son footing.



Dommage que l'histoire de la fille retrouvée dans les bois n'est pas été davantage exploitée, parce qu'on reste dans la surface. Mais après tout, on s'en rend compte assez vite : cette femme n'est qu'un prétexte pour découvrir le passé de la narratrice. Donc cette histoire est peu développée et trop vite expédiée.



Heureusement, l'histoire de Dahlia, et celle de sa mère est bien plus développée, et vraiment plus intéressante. L'histoire prend forme au compte-goutte, peut-être un peu trop lentement, mais ça contribue à l'atmosphère du récit. Et si l'intrigue n'a finalement rien de très originale non plus, elle prend place dans une ambiance bien particulière remplie de mystères et a quelque chose d'assez sombre et oppressant. On finit par apprendre l'histoire de Quinn, une personnage totalement névrosée et haut en couleur qui a subi des horreurs, mais en a également provoqué. Et finalement, tout semble prendre son sens.



Ces drames familiaux, et ces secrets, finalement, c'est tout ce qu'on attendait. Avec ses personnages torturés et fascinants et ses quelques révélations (même si clairement, le suspense n'est pas le point fort de ce livre)
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