Citations de Alexandra Lanoix (111)
Le jour où je t'ai rencontrée, mon cœur de battre s'est arrêté, il n'a repris vie qu'à l'instant où tu m'as embrassé.
On n'a qu'une vie, ne la gâche pas en pensant à la mort, elle viendra assez vite.
Ne jamais écrire des promesses sur le sable...
Prépare-toi à vivre, Mary, parce que c'est ça le plus dur. C'est plus difficile de vivre que de mourir.
Quand tout sera termine, enterré, au début tu penseras à moi tous les jours, tu pleureras souvent. Mais avec le temps, je ne serai qu'une impression diffuse parce que la vie aura repris son cours, que tes enfants seront ta priorité, tu auras un homme aussi. Tu te souviendras de moi lorsque tu tomberas sur une photo ou quand tu penseras au présent et au futur, non plus au passé, et oui, tu apprécieras de posséder un gros portefeuille pour entre autres financer les études de tes fils.
— Chut... fais-je, avec tendresse. Je vais m'allonger près de toi, te caresser les cheveux, et tu vas t'endormir. Je ne veux pas te dire que je t'aime parce que tu le sais, je ne veux pas te dire que tu es tout pour moi, parce que tu le sais, je n'ai plus rien à te dire, Wyatt, parce que tu sais tout ce que tu dois savoir. Là, j'ai juste envie de me blottir contre toi, et qu'on dorme une dernière fois ensemble. Que nos chaleurs nous enveloppent et nous rassurent. Les actes sont bien plus parlants que les mots, souvent.
— Je serai ton sang et ta chair, ton tout et ton rien, tes pleurs et tes rires, ton ami et ton ennemi. Je serai à tout jamais une partie de toi, comme toi tu seras une partie de moi. Le jour où je t'ai rencontrée, mon cœur de battre s'est arrêté, il n'a repris vie qu'à l'instant où tu m'as embrassé. Je serai toujours à tes côtés, que tu sois malade ou en bonne santé, riche ou pauvre. Je te pardonnerai dans tes erreurs, te soutiendrai dans tes choix, quels qu'ils soient. On ne peut jamais être sûr de rien, pourtant, je sais avec certitude et conviction que je t'aimerai jusqu'à mon dernier souffle.
— Tu es bien bête de croire que posséder un gros QI détermine ce que tu es. Ce n'est qu'une partie, ce n'est pas tout. Tu es compatissante, bienveillante, marrante... Tu as des amis, une famille qui t'aime. Elle est chiante, mais elle te soutient, elle est là pour toi. C'est tout ce qui compte à la fin. Ni l'argent ni la gloire, juste les gens qui t'entourent.
Non. Je pense sincèrement que l’amour se cultive jour après jour. Les gens qui disent qu’ils s’aiment tout de suite, ce sont des menteurs. Pour aimer quelqu’un, il faut apprendre à le connaître complètement avec ses qualités et ses défauts. On aime dans le temps, pas dans l’instant.
J’ai moins bien dormi que la veille. Après m’être préparée, je vais me promener, j’ai besoin de m’aérer. Sans m’en apercevoir, mes pas m’emmènent jusqu’à l’embarcadère, là où hier encore le yacht de Watts était amarré, mais ce matin, l’emplacement est vide. Je me sens à la fois soulagée et… je ne sais pas quoi d’autre à vrai dire. J’ai l’impression d’être une alcoolique qui avait un verre sous le nez tout le temps et que maintenant que ce verre n’est plus là, la tentation ne me dévore plus.
Même si cette nouvelle m’enchante, j’insiste sur le fait qu’il ne faut pas te sentir obligée de tomber enceinte uniquement pour assouvir mon désir de paternité.
Je me suis toujours vu comme un lion, et la nuit où je t’ai repêchée, tu étais un agneau sans défense. Pourtant, je suis tombé amoureux de toi.
Nikolai est constamment romantique avec moi, mais là… je suis sous le charme du geste et de l’endroit du tatouage. Moi qui pensais qu’il s’était endormi d’ennui. Le roi de la jungle a bien caché son jeu. Je passe le bout des doigts sur chacune des lettres, mais il se recule sous mon toucher.
On ne peut pas renier ce que l’on est.
Il me retourne brusquement et c’est mon dos qui est cloué contre le carrelage froid à présent. Nikolai s’accroupit, mais je l’en empêche. Il me sourit et outrepasse mon veto, j’abdique. Il passe ma jambe sur son épaule pour accéder plus facilement à mon triangle interdit.
Tu es tout ce que je veux, Nikolai. Même après dix ans de vie commune, je n’ai jamais désiré personne comme je te désire encore aujourd’hui. Je t’aperçois et je m’enflamme. Penses-tu que je pourrais me passer de ce brasier que tu provoques en moi ? Tout ce qu’il y a autour n’est que superficiel, anodin, sans importance pour moi. L’argent, le luxe, les missions… Tout ça, je peux m’en passer, mais de toi… Putain… Nik, j’en mourrais si je te perdais ! lui avoué-je la gorge nouée.
Il emprisonne mon visage dans ses mains et il m’embrasse doucement, plus sauvagement, sa langue trouve la mienne, elles retrouvent leur chorégraphie qu’elles connaissent si bien. J’ai le bas du ventre en feu, un seul de ses baisers peut me mettre dans tous mes états.
La seule chose qui m’a littéralement terrifié lorsque je me trouvais sur le bateau était que je ne te reverrais plus, c’est ça qui m’a fait le plus mal, savoir que je ne te serrerais plus contre moi. Je n’ai jamais connu une telle souffrance auparavant. C’est insupportable, souffle-t-il, sur les nerfs, en se mordillant l’intérieur de la joue.
Accepter de l’aide n’est pas une marque de faiblesse, bien au contraire, mais d’humilité, de force.