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Citations de Alison Goodman (168)


- Tu ne sais pas toi-même ce que tu dis. Tu parles sans réfléchir, comme toutes les femmes.
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- D'après mon expérience, la vie est toujours une question de courage. Devant le danger, de quel côté allons-nous courir ? Allons-nous le fuir ou l'affronter ?
- Cela dépend de quel danger il s'agit.
- Non, cela dépend de ce qui est en jeu. Dans notre cas, l'enjeu est crucial, puisque c'est la sécurité de l'humanité.
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Je suis certaine que vous êtes très intelligente, mais vous êtes une femme, c'est-à-dire que vous vous fiez aux sentiments plus qu'à la logique. Comme toutes les personnes de votre sexe, vous êtes dominée par vos émotions. On ne peut attendre de vous la force, le talent stratégique et l'aptitude au raisonnement d'un homme.
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Vous semblez vous plaire dans les endroits où vous êtes indésirable.
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Il n'était pas dupe de sa comédie. C'était un homme qui savait reconnaître un cœur brisé.
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J'ignore dans quelle mesure notre attachement était le fruit de l'alchimie. Notre lien était tellement.. essentiel. Comme une pulsation redoublant celle de notre cœur. Et maintenant, c'est fini.
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Quinn se dirigea vers la femme effondrée contre le mur. S'agenouillant devant elle, il plaça un instant sa main au-dessus de la bouche de la malheureuse.
- Elle respire encore, milord, dit-il. Il se pourrait qu'elle survive.
Il la prit dans ses bras et la souleva avec aisance.
Carlston plia sa main blessée, en retenant un cri quand la plaie s'élargit. Le sang d'une coupure zébrant son front suintait à travers ses sourcils.
-Voilà ce que vous deviez voir, lady Helen, dit-il en essuyant le sang de ses yeux. Bienvenue au Club des mauvais jours.
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Moi, Helen Catherine Wrexhall, de par ma propre volonté, je déclare et jure devant Dieu tout-puissant, mon roi et mon pays qu’à compter de ce jour je suis un membre en exercice de la société secrète connue sous le nom de Club des mauvais jours et dépendant du ministère de l’Intérieur du gouvernement de Sa Majesté. Je reconnais devoir obéir à ses règles, le servir aussi longtemps qu’il plaira à Sa Majesté et ne jamais le mettre en péril par mes actes ou mes propos. En tant que Vigilante, je jure de soutenir et de faire respecter le Pacte entre l’humanité et les créatures appelées Abuseurs, et si jamais ce Pacte venait à être rompu, je vouerai ma vie à protéger l’humanité et éliminerai toute créature l’ayant enfreint. Je m’engage à sauver les âmes des rejetons d’Abuseurs et à les éveiller de nouveau à leur humanité quand c’est possible et, dans le cas contraire, à les arracher à une vie de souffrance. J’en fais le serment devant trois témoins, sous peine d’encourir la mort et de voir mon nom et ma réputation à jamais tenus en horreur.
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Le testament de ton père t'a confiée à ma garde jusqu'à tes 25ans, à moins qu'un homme accepte avant cette date d'assurer ton bien être. Si jamais tu veux te marier, tu dois apprendre que l'obéissance est la pierre angulaire de la féminité
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Aucune femme ne choisira jamais de se battre, intervint Benchley d'un ton railleur . Une femme est faite pour obéir aux hommes, c'est la loi de la nature .
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« Londres, aux derniers jours d’avril 1812. L’agitation sociale était à son comble, on se battait avec férocité sur le continent et toute la jeune nation américaine semblait prête à passer à l’attaque. Ce fut également ce mois d’avril que la reine Charlotte choisit, après deux ans d’interruption, pour reprendre les cérémonies de présentation à la cour des jeunes filles de l’aristocratie. Encore un champ de bataille, mais d’un autre genre. »
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- Le pragmatisme est comme de l'eau battant le rocher des principes, murmura Kygo en citant le grand poète Cho. S'il n'est pas maîtrisé, il finit par venir à bout de l'esprit en l'usant.
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La perle bougea sous mes mains quand le dragon leva la tête. Il m'appela et son hurlement transperça mon corps en cherchant à atteindre le coeur de mon être. Impossible d'échapper à ce déferlement argenté d'énergie. Il mit mon âme à nu, arracha le masque d'Eon et me trouva.
Il trouva Eona.
Mon nom véritable surgit en moi, remontant du plus profond de moi-même. Je devais crier mon nom au monde, célébrer la vérité de notre union. Telle était l'exigence du dragon.
Non !
Ils me tueraient. Ils tueraient mon maître. Je serrai les dents. Le nom remplit ma tête, retentit en elle en la tourmentant d'une souffrance de plus en plus intense. Eona. Eona. Eona. Non ! Ce serait ma mort. Je détournai mon visage de la perle, mais mes mains refusèrent de bouger, paralysées par le pouvoir les irradiant. Je hurlai en tentant d'étouffer le nom dans ma tête, et ma voix redoubla le cri perçant du dragon Miroir. Cependant le nom m'assaillait toujours, chargé de toute la force du désir du dragon. C'était trop, il risquait à tout instant de s'échapper de mes lèvres.
- Je suis Eon ! Hurlais-je. Eon !
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Le dragon se retourna pour regarder fixement l'empereur de l'autre côté de l'arène. Un seul de ses grands yeux sombres était visible dans le miroir. Son front large était surmonté de deux cornes recourbées. J'entendis des murmures nerveux dans la foule quand ses jambes antérieures se posèrent sur le sable et qu'apparut dans toute sa longueur le reflet de son corps sinueux. Puis il s'enroula comme un serpent et sa masse invisible atterrit tout entière sur le sol, en soulevant un nuage de sable et de poussière qui retomba sur son corps, dont les contours chatoyants se révélèrent un instant à nos regards. Il secoua la tête, en projetant encore force sable, puis se tourna vers le miroir et se contempla. La profondeur insondable de ses yeux lui donnait une expression de tristesse. Deux membranes bleu pâle se dressèrent sur chaque épaule et ondulèrent au soleil comme de la soie moirée avant de se replier contre son corps. Sa tête pesante pivota pour nous faire face de nouveau. La courbe de son dos massif et l'épais panache de sa crinière blanche se reflétèrent dans le miroir. Bien qu'on ne vît plus ses yeux, je savais qu'il nous examinait afin de choisir son apprenti.
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vous ne pouvez vous permettre d'être une femme sans défense dans ce monde.
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- Il connait la vérité, bien sûr. Comment pourrait-il en aller autrement ? Mais il y a un abîme entre ce qui est connu et ce qui est dit.
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"Amen, se dit Helen. Que Dieu soit avec nous." Elle ne souhaitait certes pas être contrainte de trahir un vœu prononcé face au Seigneur et de projeter son époux à l'autre bout de la pièce.
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Si jamais tu veux te marier, tu dois apprendre que l’obéissance est la pierre angulaire de la féminité.
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Accepter une lettre clandestine de la main d'un homme constituait une grave inconvenance.
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Quand la terre se fendra et que le poison se répandra,
apporte le sang, apporte l'os, apporte les morts.
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