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Citations de Anders Bodelsen (13)


Le sang dans lequel baigne l'homme sur le balcon s'est figé, mais sa température et son pouls chutent toujours. En revanche, la température de l'air monte. D'un instant à l'autre, il baignera dans la lumière rouge du matin, qui grimpe jusqu'à lui le long du mur noir. La différence entre la température de l'homme inconscient et celle du balcon diminue un peu.
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Comparée aux risques qu'ils couraient dans sa nouvelle vie, cette mission n'était rien, mais elle avait le charme d'un conte de fées, quand le chevalier se trouve face à l'épreuve q'il doit subir: la mission impliquait une récompense et son corps se préparait à donner le meilleur de lui-même. Une porte munie d'une serrure supplémentaire représentait toujours une promesse, une chance.
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Au coin de la rue, il jeta un regard en arrière. Le soleil avait surgi dans la trouée au dessus du remblai, rouge dans l'air moite. A cet instant, la lumière frappa en plein le côté est de la rue et changea chaque vitre en un oeil injecté de sang.
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Le soleil, qui aurait dû se trouver dans son dos, s'était caché derrière une légère brume. En descendant de voiture, il chercha en vain son ombre.
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Dans certains métiers, on s'habitue à dire le contraire de ce que l'on pense. (p.42)
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Derrière toutes leurs théories si éloignées de la réalité, leurs engouements puérils, romantiques, il y avait une simple vérité, de plus en plus vraie d'ailleurs : le monde riche devenait de plus en plus riche, le monde pauvre de plus en plus pauvre - et tu n'as qu'une vie, alors qu'est ça que tu vas en faire ?
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Il comprit que sa vie à lui aussi était finie...
Et qu'il lui faudrait trouver un moyen de continuer malgré tout.
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Ce n'est qu'une fois rentré à la maison qu'il se rendit compte de l'absurdité de leur conversation: lui, la victime, avait tenté de convaincre son maître chanteur de s'intéresser davantage à l'argent... (p.242)
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Nothing to kill or die for... no religion, too...
Une bouffée du passé. Attente et incertitude. D'autres chemins que l'on aurait pu prendre. D'autres amours. Le chaos. L'espoir d'un changement.
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Derrière toutes leurs théories si éloignées de la réalité, leurs engouements puérils, romantiques, il y avait une simple vérité, de plus en plus vraie d'ailleurs : le monde riche devenait de plus en plus riche, le monde pauvre de plus en plus pauvre - et tu n'as qu'une vie, alors qu'est ça que tu vas en faire ?
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Laissez-le monde se débrouiller, laisser les forces libres se réguler toutes seules. Elle y croyait aussi fort que Søren et lui avaient cru vingt ans plus tôt en son exact contraire : que le monde devait être organisé et que toutes les forces devaient être maîtrisées par un système entièrement scientifique et équitable.
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Laissez-le monde se débrouiller, laisser les forces libres se réguler toutes seules. Elle y croyait aussi fort que Søren et lui avaient cru vingt ans plus tôt en son exact contraire : que le monde devait être organisé et que toutes les forces devaient être maîtrisées par un système entièrement scientifique et équitable.
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Nothing to kill or die for... no religion, too...
Une bouffée du passé. Attente et incertitude. D'autres chemins que l'on aurait pu prendre. D'autres amours. Le chaos. L'espoir d'un changement.
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Il connaissait les bons faiseurs de Paris, jugeait chacun d’eux d’un mot, parlait de la saveur des chapeaux d’un tel et de la logique des robes de tel autre. À dix-sept ans, il n’y avait pas une modiste qu’il n’eût approfondie, pas un bottier dont il n’eût étudié et pénétré le cœur. Indice : répondez questions 2 à 5 et revenez ensuite sur celle-ci que vous aurez par élimination

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