André Bouchard

"Ohwimbohé owimbohé

Dans la jungle de la ville

Le lion sort ce soir"





Une histoire savoureuse ! Clémence adopte un lion car les parents ont dit:

-Pas de chat, ni de chien !"

Clémence et son lion sont félin pour l'autre!





La maman, en sortant de la salle de bains, les cheveux hérissés, déclare qu'elle part en voyage, sans prendre le temps de caresser le lion.





Le lion n'aime pas le caniveau et préfère utiliser les voitures décapotables comme litière, surtout celles de la marque au Lion.





Un lion aime la viande, pas la salade, ou de pissenlit, (de dent-de-lion!) pour lui.

Brave homme, le boucher laisse volontiers le lion choisir lui même ses morceaux. Et dans la rue, les passants jouent à chat perché, avec le gros animal.





Clémence est une mignonne petite brune, à croquer, selon le lion...

"Ohwimbohé owimbohé"

Quand le lion sort le jour

Les gens font un détour

Certains crient au secours !...

J'ai demandé à un ancêtre de commenter cet album. Mais, selon pépé Rahan, entre lui et les dinosaures, il n'y avait aucun raptor...





Quand son papa était petit, y avait des dinosaures :

- Prendre les transports en commun (avec un diplodo-bus) c'est vraiment la galère.





- La mode était au slip de peau pour tout le monde.

- L'élection de Miss France, c'était un peu n'importe quoi.





- Sortir le chien (un canichetosaure?) était déjà une corvée.

- Y avait déjà des oeufs de Pâques avec des surprises dedans.





- On allait faire les courses en famille", afin de pousser le caddie rempli de... steackausaures (On n'avait pas encore inventé la roue et le vélo-ciraptor)...





Des dessins amusants, voir la photo des finalistes de Miss France. Musique de fin, svp. Ah non! Il n'y avait que du Roc ou de l'aurochs...

Sur le chantier de " Jurassic Park", avant les raptors et le tyrannosaure, y avait déjà les bulldosaures, dixit Steven Spielberg.

Les médecins demandent ce 08/02 , la fermeture des écoles, à cause de l'augmentation du nombre de contaminations, par les... Cancres (mais non, par les Variants! Ah bon?)

"J'me suis chopé 500 lignes

"Je ne dois pas parler en classe"

Y en a marre, c'est digoulasse."

Renaud, c'est quand on va où ?





Avant quand y avait pas l'école:

- Quand il pleuvait on disait que Dieu faisait pipi et que l'orage, c'était Dieu qui pète...





- La connaissance se transmettait de génération en génération de bouche à oreille, on disait de Bouchekipue à oreillesale!





- On pouvait vraiment parler d'inégalité des chances (un roi "ogre" mangeant son voisin)...





Pas de fable du corbeau et du renard. (Le goupil n'aime pas un fromage qui pue, et puis c'est tout, camenbert!)

Pas de théorie de l'évolution, ou des grenouilles qui se laissent attraper (c'est elles qui bouffaient les hommes!)





De superbes dessins avec cette photo de classe cro-magnon avec massues et peaux de bêtes ou avec cette vache préhistorique : "pis c'est tout!"





Un livre pour ceux qui se plaignent de l'éducation obligatoire! (935 classes et 105 écoles fermées actuellement.) Ou ceux qui refusent le savoir, et préfèrent les ténèbres. Niveau scolaire en baisse, et plus d'ascenseur social...

Mr Marcel, en faisant ses courses au supermarché, dégotte dans un rayon, une couronne de roi à 4,50 €. Belle aubaine, il rentre à la maison, coiffé de cette couronne, puis demande à ses enfants et sa femme, devenus serviteurs, de travailler pour lui, et de le distraire. Heureux de détenir le pouvoir, il impose ce régime à ses collègues de travail, oui mais voilà, les collègues aussi trouvent une couronne et deviennent rois. S’ensuit, on s’en doutera, une guerre de pouvoir qui ne manquera pas d’arracher des sourires voire de rire à l’auditoire, surtout lorsqu'il associe des considérations matérielles et des faits de la vie quotidienne à des faits politiques, décrivant ainsi de grandes batailles qui scindent le peuple qui se bat à coup de gigot ou de pizza surgelées. Mais je n'en dis pas plus, afin de vous laisser découvrir cette pépite.



C’est donc avec beaucoup d’humour que l’auteur insinue des questions philosophiques sur le bonheur, l’égalité, la vanité, la soif de pouvoir, la société de consommation.



Belle découverte que cet album et son auteur qui semble manier l’absurde à la perfection pour parvenir à transmettre de belles idées.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..

Le gros Léon a  toujours l'air ronchon

et n'est pas aimable avec ses ses gentils voisins.

Il n'a d' yeux que pour sa vilaine sorcière,  Gertrude Crocheblaze

un laideron doté d'une grosse  verrue poilue sur son nez crochu....

Fou amoureux  ils  décident d'un commun sort de partir en voyage de noces

Surtout pas dans des villes d'art et de culture POUAH !

Non au pays des Rhino.. c'est rosse ! là il y a des grosses bêtes  GGGR

C'est décidé, ce sera l'Afrique...sauvage .

Mais le voyage et les rencontres ne se passent aussi pas mal que prévu...enfin presque.

Le dessin est  expressif et le récit déborde d'imagination et de balourdises...

On se demande qui sont les sauvages en tout cas pas  Alfred l'éléphant

qui a été élevé par une vieille duchesse anglaise.

La fin se termine bien ou mal, à vous de voir... en tout cas dans  les nuages..

J'ai adoré les méchants pas beaux du tout et les gentils comme tout

bien qu'un petit peu...lourdingues...

Un album jeunesse à recommander à ceux  qui aiment les petites histoires mitonnées.

Une si charmante verrue sur le nez, c'est pas mignon mais c'est poilant comme tout et ça a la....patate !

Pour la petite histoire cet album a été acheté à Madrid, mais c'est André Bouchard qui l'a écrit sous le titre original "quand les poules auront des dents". Comme c'est un album pour enfant, j'arrive à comprendre !!! Mais je me rends compte que je ne suis pas prête de me sentir bilingue :-(((

Cette petite poule Manuella travaille dans une usine de ponte d'œufs dans des conditions très dures, malmenée par un coq contremaître buté et autoritaire. ( toute ressemblance...). La fin est surprenante :-)

Une vingtaine de situations fantaisistes pour présenter le quotidien de votre papa quand il était petit. C'était bien sûr au temps de la Préhistoire, il est tellement vieux !

Des "slips en peau à poils", pas de congélateur ni d'ordi. Pas de télé, "alors le soir on regardait un ours". Des dangers et des grosses bêtes sauvages à tous les coins de grottes, à tel point que "le grand méchant loup, c'était de la rigolade". Et "comme musique, y avait que le roc"...



Le CV de l'auteur est riche : auteur-compositeur-interprète du groupe "Odeurs" dans les années 80, puis chanteur solo pour enfants depuis le début des 1990's. Et actuellement scénariste d'albums jeunesse, notamment de l'irrésistible série "Kiki, le King de la Banquise".

Il est aussi doué pour imaginer des histoires délirantes que pour choisir ses illustrateurs. Ici, les dessins d'André Bouchard, façon Reiser, donnent toute leur puissance aux gags.

Anachronismes, humour loufoque, clins d'oeil aux adultes, un peu de scato, et le tour est joué !



De quoi bien se marrer en lisant et relisant cet album avec les petits, sans se lasser. Entre les rigolades, on pourra glisser qu'en fait, même Papi et Mamie n'ont pas connu la Préhistoire. Que ces gros velus-chevelus n'ont pas côtoyé les dinosaures, et qu'ils étaient au moins aussi intelligents que les gens du XXIe siècle.



• Petit coup de pub en passant pour le "Centre de la Préhistoire", près de la côte vendéenne. Enfants et adultes apprennent beaucoup sur le mode de vie au néolithique, au gré d'animations intelligentes qui bousculent bien des idées reçues - sur la chasse aux mammouths, sur les méthodes pour allumer un feu, notamment... [ http://www.cairn-prehistoire.com/ ]

Un soir, papa en rentrant du boulot n'a plus de tête...en tout cas, celle-ci ne se trouve plus sur ses épaules.

Maman et les deux enfants ont beau chercher partout, il faut se rendre à l'évidence : la tête de papa est perdue !

* Dessin de la mère : flagada, mine grisâtre, affalée dans un fauteuil, pleurant en pensant au "qu'en dira-t-on" : " Voilà une femme bien négligente qui ne sait pas où se trouve la tête de son propre mari ! Qu'est-ce que ça doit être pour les chaussettes de ses enfants !"

La grande sœur et le petit frère décident alors de fabriquer une tête factice en papier mâché (recette livrée avec l'histoire !) et maman est contente de retrouver son époux avec sa tête de cochon...euh...bon, bref...sa tête (remplie de carton-pâte).

Heureusement qu'un homme, sans cervelle et donc sans volonté, est empreint d'automatismes : il suffit de le guider afin qu'il se comporte comme bon père ( qui sait sortir sa carte de crédit pour acheter plein de jouets), ou comme bon mari (sachant cuisiner, faire danser sa femme, ne ronflant plus...), pourvu qu'on lui ré-bricole sa tête quand il se rase de bien trop près avant de partir au travail comme un pantin.

...malheureusement chaque beau récit a une fin...ah non ; j'oubliais un instant que c'est un livre d'images pour les enfants à partir de cinq ans...je me reprends :

Tout cela se termine bien pour le papa qui avait, pendant quelques jours, tout simplement, sa tête...ailleurs !

* avant-dernier dessin : le lit conjugal...on voit le père, dormant comme un bien-heureux, sur le dos, bouche ouverte (le son n'est pas livré avec l'histoire), à côté de la maman...yeux grands ouverts, bouche de travers, prête pour une autre nuit d'insomnie...



Les illustrations de Quentin Blake, gaies, espiègles (aux traits plutôt grossiers, mais habiles, et palette de couleurs adaptées) savent, comme toujours et à merveille dessiner une mise-en-scène qui se marie parfaitement avec ce texte jouissif....non, excusez-moi...avec ce texte amusant !

Un conte moderne qui remixe de manière originale tous les ingrédients qui ont fait le succès de "La bûche de noel", pour le côté famille, "le père noel est une ordure" pour la Bonne humeur à toute épreuve et "Cosette" pour la pauvreté et le froid de l'hiver.

Autant dire que ce joli titre, rythmé par des illustrations type BD, est complètement adaptée aux veillées familiales de fin d'année.
Lien : http://www.liresousletilleul..

Vous vous êtes déjà demandé comment c'était Avant, quand y'avait pas d'école ? Au temps des hommes préhistoriques, par exemple, comment faisait-on pour lire les étiquettes des paquets de céréales ou pour calculer la surface d'un triangle rectangle ? Ne pas avoir d'école avait quelles incidences sur la vie quotidienne ?

Le tandem Vincent Malone / André Bouchard nous propose un album bourré d'humour et truffé d'anachronismes, où chaque nouvelle page, avec son décalage entre le texte et les illustrations, réserve son lot de fantaisie.

Les petits et les grands y trouveront chacun leur bonheur. Personnellement, j'ai adoré !

A partir de 8/9 ans.

Les parents ont dit à Clémence : « Pas de chien, ni de chat ! ». En petite fille obéissante, elle a ramené un lion à la maison. Mais un lion n’est pas tout à fait un animal domestique comme les autres. Pour faire ses besoins, il lui faut une grosse litière (du genre voiture décapotable) et quand il sort dans le quartier, les passants sont plus que surpris. Chose étrange également, quand le lion joue à cache-cache avec les copains de Clémence, il en manque toujours un à la fin de la partie…



Tout tient dans le décalage entre le texte et les images. A la fois drôle et terrifiant, cet album est un concentré d’humour noir et d’ironie mordante (c’est le cas de le dire !). Le trait d’André Bouchard a un coté vintage qui me rappelle les dessins d’humour d’antan. Le rebondissement final, aussi inattendu que savoureux, achève de convaincre du caractère irrévérencieux de cette histoire férocement « poilante ».



Pas si courant de trouver un album dégageant une telle forme de cruauté, je dois l’avouer, assez jubilatoire. Dommage car les enfants adorent ça !


Lien : http://litterature-a-blog.bl..

André Bouchard parvient fort adroitement et avec beaucoup d'humour à montrer l'absurdité des mécanismes qui régissent l'alternance des modes. Une histoire qui devrait faire passer l'envie aux enfants de se comporter… comme des moutons !





Article complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451 :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..

De l'humour noir et du second degré dans cet album jeunesse.



Les parents de Clémence ont été clairs : pas de chien ni de chat à la maison ! Alors, la petite fille, obéissante, (on perçoit déjà l'humour sous-jacent) ramène un lion. Dès le début du récit, on tombe dans l'absurde avec cet immense lion disproportionné qui domine la pièce.



J'ai été d'abord étonnée par l'humour caustique de cet album. On passe du premier au second degré tout au long de la lecture grâce au décalage entre le texte et les illustrations.



En ce qui concerne les illustrations, les humains sont représentés avec des traits extrêmement simples et caricaturaux. Ce n'est pas mon style de prédilection. Cela dit, l'aspect un peu crayonné et le noir et blanc des décors me plaisent beaucoup et permettent de contre-balancer. Le résultat est plutôt attrayant visuellement. Ensuite, le lion, bien que simple, est un gros personnage aux expressions attachantes et amusantes que l'on a presque envie d'envelopper (à nos risques et périls) !



Un album vraiment surprenant et décalé pour se distraire et pour développer son sens de l'humour.

Attention, vous allez vous payer un bon moment de franche rigolade, et vous risquez fort de vous retrouver en train de rire à gorge déployée aux côtés de votre progéniture… qui ne rira peut-être pas exactement pour les mêmes raisons que vous !



Les deux auteurs de cet album jeunesse nous embarquent pour un périple en pleine Préhistoire, une Préhistoire réinventée pour l’occasion. On se retrouve face à des situations complétement loufoques et ubuesques à chaque page. Mais, attention, surtout si vous êtes sensible à ce sujet, ce livre risque aussi de provoquer chez vous un petit malaise : il n’est pas exclu qu’au moment de refermer le livre, vous vous disiez – in petto – « Mince, je crois que je vieillis ! ».



Passant du slip à poils à l’élection de Miss France, les péripéties sont nombreuses et hilarantes, vous l’aurez compris.



J’ai également apprécié les illustrations de cet album jeunesse, simples, sans fioritures et qui rappellent les dessins crayonnés par les enfants. Ici, on ne cherche pas la perfection du tracé ou la finesse du trait, mais plutôt l’authenticité et l’enfance, et cette simplicité fait tout simplement du bien !



Et puis… je ne peux pas terminer cette chronique sans une petite dédicace et un clin d’œil à celui qui, fut un temps, se demandait si, lorsque son père était jeune, il y avait encore des rois de France…
Lien : https://ogrimoire.com/2021/0..

Relire "le Pacha qui s'ennuyait" dans ce contexte électoral à une drôle de résonance pour l'adulte et peux permettre un joli decriptage avec les enfants entre 6-8 ans qui veulent comprendre. En effet, le Pacha au sommet du succès du pouvoir et de l'argent s'ennuie et se retrouvé confronté à la pauvreté. Il apprend au fil des expériences que le bonheur se trouve aussi dans la quête du bien être des autres. André Bouchard trouve un ton juste, un graphisme riche et coloré ainsi qu' un humour très efficace pour nous faire parcourir cette histoire : les ingrédients sont ici réunis pour proposer une histoire qui va ravir pendant longtemps.



Cet album fait parti de la sélection 2017 du Prix Unicef litterature jeunesse.
Lien : http://www.liresousletilleul..

Ne passez pas à côté du nouvel album d'Antonin Louchard qui reprend de façon mordante et moderne la fable de la Fontaine du Loup et le chien.

Ici on découvre l'histoire savoureuse d'un loup famélique et d'une vieille dame solitaire…mais, jusqu'ou ira notre compère, quels renoncements devra-t'il accepter pour ne plus connaître les affres de la vie d'un SDF et jouir d'une affection « nourrissante » et réconfortante ?..

Le ton précieux, plein de commisération et néanmoins d'humour, est servi à merveille par des illustrations à mourir de rire ! Un vrai plaisir de voir ainsi revisité les codes de la fable de société version 2020 !
Lien : https://liresousletilleul.ov..

Tout dort dans cette maison… Loup en profite pour y pénétrer, bien déterminé à croquer la fillette qui sommeille telle la Belle au bois dormant, mais de préférence en lui ayant fait une peur bleue au préalable… Alors, il hurle à qui mieux-mieux dans la pièce silencieuse, jusqu’au moment où une voix outrée lui reproche de l’avoir réveillée… c’est celle du cauchemar de la petite qui habite sous le lit et qui estime être le seul à avoir le droit de l’effrayer… il est donc hors de question de la tirer de son profond repos !

Mon avis : Un album au format avantageux, une première de couverture au bleu intense et un loup, un effroyable loup aux yeux jaunes et au sourire cupide et démoniaque à faire pâlir les plus téméraires… L’histoire fait un clin d’œil aux contes de notre enfance, la Belle au bois dormant et le Petit Chaperon rouge, pour dédramatiser avec un humour truculent et décalé les cauchemars et autres monstres nocturnes issus tout droit de notre imagination. A chaque page tournée, le récit nous offre une nouvelle surprise hilarante aidé en cela par des illustrations sur fond blanc qui ne sont pas sans nous faire penser à celles de Mercer Meyer pour « Il y a un cauchemar dans mon placard » et à celle de Maurice Sendak pour « Max et les maximonstres »… Il est impossible d’en dire plus sans spoiler, ce que je ne veux surtout pas faire pour préserver tous les plaisirs que procure cette lecture , mais sachez que la chute est à la hauteur de nos espérances et nous offre une fin inattendue mais pleine d’esprit. Un dernier petit détail : très riche en onomatopées et bruitages en tous genres, cet ouvrage va demander un certain talent pour une lecture à haute voix, mais les sourires offerts aux petits auditeurs ne manqueront pas de les rendre encore plus tolérants qu’à l’habitude…

Public : à partir de quatre – cinq ans

L'auteur et illustrateur, André Bouchard ne possède ni site ni blog, mais en effectuant une recherche de ce titre sur google, vous pourrez avoir un bel aperçu des illustrations.

Coup de coeur pour cet album délicieux.

Tout commence avec Clémence, petite fille qui a emmené un lion chez elle, oui oui ses parents ne voulaient pas de chiens et de chats.

Rapidement on va découvrir que le lion a faim et qu'il mange très bien, notamment quelques passants...

J'ai adoré le texte qui est court mais très claire et les illustrations, mais surtout j'ai adoré la chute de cet album.

Il y a du second degré tout le long et je pense que cette histoire va plaire aussi bien aux petits qu'aux grands.

Bref, une histoire succulente...

Le mystère de la basquette bleue est un très joli album pour enfant.

La petite bande de copains se lance dans une enquête et les jeunes lecteurs pourront investir le mystère avec eux.

Les dessins ont le charme de l'enfance et cette petite bande se révèle bien sympathique.

ce livre offre un moment de lecture et de réflexion avec les petits lecteurs, tout en douceur et en complicité. Un très bon moment partagé !

Merci à Babélio et à Masse critique .

A Chiche-sur-Capon sur le trottoir git une basquette bleue.

Et voilà un mystère à résoudre. Pourquoi? Comment? A qui? La bande de copains va s'étoffer pour proposer des solutions assez farfelues.

Visiblement l'auteur ( qui s'adresse au lecteur) s'amuse dans cette histoire loufoque, au dessin soigné et rigolo. J'adore le chat derrière la fenêtre.

Finalement on aura le fin mot de l'histoire mais le lecteur peut proposer sa solution à André Bouchard. C'est là que l'album se dit interactif. Mais en fait les enfants lecteurs ne mènent pas vraiment l'enquête comme annoncé...Enfin comme je l'avais cru.

Un bel album, original et taquin. J'attends de voir comment il sera reçu par de jeunes enfants.

Par contre j'ai été surprise par l'écriture de " basquette". Je ne l'avais jamais vu écrit ainsi. Cela existe mais " rare". Il y a aussi "chouinegomme" dans cet album, mais là cela m'a amusée et moins gênée que cette Basquette bleue en titre.

Merci à masse critique et au Seuil pour cet envoi.