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Critiques de André Tubeuf (18)
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Richard Strauss ou Le voyageur et son ombre

Je ne suis pas spécialement amatrice de l'œuvre musicale de Richard Strauss, mais je vendrais mon âme pour chanter une seule fois "Les quatre derniers lieder", ces quatre somptueuses mélodies-testament du compositeur qui sont pour moi une des plus belles choses au monde.

Par ailleurs, le peu que je connaissais de la vie du musicien avant de lire cette biographie d'André Tubeuf n'avait jamais vraiment attisé ma curiosité.

Cet ouvrage biographique nous élève par sa lecture, nous emporte, par un style merveilleux de beauté et de poésie, dépassant selon moi son sujet d'une façon magistrale. Certes, il contient tous les éléments historiques et musicaux qui nous éclairent sur la vie et l'art de Richard Strauss, mais, à mes yeux, sa principale qualité est le portrait en filigrane d'une passion, la passion d'André Tubeuf pour Strauss, mais aussi pour la philosophie, l'art en général, le mystère de la création. La façon de parler de ce que l'on aime en dit plus sur nous qu'une confession frontalement intime. Je me suis régalée à lire et relire certaines lignes évoquant pêle-mêle Nietzche, Mozart, Venise, la peinture romantique, un paysage d'automne... Bien des œuvres de fictions que j'ai lues ne possèdent pas ce souffle, cette vision, ce style travaillé qui réussit le prodige, malgré son lyrisme et sa splendeur à ne pas faire ombre à son sujet.

Pour moi, cette biographie est une référence pour toute entreprise d'ouvrage biographique : au final, j'en sais davantage sur la vie de Richard Strauss, ses 85 ans d'une vie témoin d'un monde finissant et qui ne veut pas s'y résigner...

J'ai passé un fabuleux moment avec ce livre qui m'a aussi donné envie d'écrire. La littérature c'est fait pour ça, avant tout, non ?


Lien : http://parures-de-petitebijo..
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Schubert : L'ami Franz

Peu d'artistes comme Schubert ont donné l'impression de réveler une partie de leur moi la plus intime .

Le regretté André Tubeuf, écrivain, philosophe et critique musical raconte ce Schubert qui l’aura si longtemps accompagné, dans cet essai musical L'ami Franz publié en novembre dernier.

André Tubeuf, à qui l’on doit tant de livres de référence sur les grands compositeurs, notamment Mozart et Beethoven, n’avait jamais écrit sur lui.

En analysant ses sonates pour piano, sa musique de chambre ou ses lieder, André Tubeuf rappelle l’inépuisable capacité de consolation du compositeur, sa mélancolie attendrie, ses larmes et sa main tendue vers l’auditeur, jamais directive, toujours accueillante, qui n’est qu’à lui.

Tubeuf nous parle de Schubert, sa jeunesse, de ce que la vie lui a fait et en définitive de ce qu’il a décidé de faire de sa vie..

Bref, voilà une lecture immanquable pour tous les amoureux de grande et belle musique !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Ludwig van Beethoven

J’ai acheté ce livre au début de l’année, pour participer en lecture à l’année Beethoven qui célèbre les 250 ans de sa naissance. Je m’attendais à une biographie « classique » alimentée par un éclairage sur les oeuvres mais ce n’est pas cela que j’ai trouvé dans cet ouvrage d’environ 200 pages. J’ai déjà entendu une ou deux fois André Tubeuf en interview à la radio et j’en ai retenu sa grande connaissance musicale et aussi son parler parfait, presque précieux. C’est un peu cela que j’ai ressenti à la lecture de ce Ludwig van Beethoven : une analyse à la fois serrée, technique, musicologique des oeuvres et un style très lyrique qui demande un peu de concentration. A la fin, l’auteur « justifie » (à peine) le fait de ne pas avoir choisi la biographie traditionnelle, arguant que Beethoven était tout entier voué à sa musique et que seule l’oeuvre compte pour tenter de l’appréhender.



André Tubeuf commence par nous surprendre volontairement en mettant en avant Fidelio, le seul opéra écrit par Beethoven, plusieurs fois remanié, considéré comme vocalement ardu pour les rôles titres. Fidelio, c’est Léonore qui se travestit en homme pour libérer de sa prison son Florestan. Cet opéra est marqué par les idéaux de la Révolution française, tout comme Beethoven (qui admirait Napoléon, mais pas jusque dans ses dérives dictatoriales) et il est – selon André Tubeuf – le portrait du compositeur, épris de liberté.



L’auteur passe ensuite en revue les 32 sonates pour piano, l’instrument par excellence auquel Beethoven a consacré toute sa vie, l’étendue des possibilités pianistiques (Beethoven était attaché à son piano, ou plutôt à ses pianos successifs car il suivait avec attention l’évolution technique de l’instrument), la nouveauté à laquelle il soumet les oreilles de ses auditeurs, la manière dont il repousse sans cesse les limites de la forme sonate.



Les quatuors à cordes sont également l’expression de l’essence même de la recherche artistique du compositeur.



Les cinq concertos pour piano, le concerto pour violon traduisent la modernité de celui que le comte Waldstein envoya à Vienne pour « y recueillir des mains de Haydn l’héritage de Mozart » (le triple concerto pour piano, violon et violoncelle est, toujours selon Tubeuf, plus convenu). Tout comme les concertos, les neuf symphonies ont moins heurté les oreilles du public parce que l’orchestre cherche par nature l’harmonie, même si certains concertos (pas de Beethoven) rivalisent avec l’orchestre, par définition.



Le dernier chapitre, très court, propose une discographie, non pas la discographie idéale, mais celle qui a permis à André Tubeuf de connaître et d’aimer celui dont la musique vous prend d’emblée et ne vous lâche plus. A chaque auditeur ensuite de se constituer sa propre bibliothèque sonore.



Je n’ai pas tout compris d’une part parce que je n’ai fait qu’un an de solfège et que les explications musicales étaient ardues pour moi et d’autre part parce que je me suis rendu compte que je connais très mal les sonates pour piano (la Clair de lune, évidemment, la Pathétique…) et les quatuors à cordes. Mais je ne regrette pas ma lecture, qui m’a donné envie d’écouter et de découvrir encore le grand Beethoven (qui, paraît-il, ne mesurait guère plus qu’un mètre soixante-deux) et qui a été « complétée » par la visite à Bozar de l’expo Hôtel Beethoven : pas biographique non plus sauf dans les repères du début d’expo (ça n’aurait d’ailleurs que peu d’intérêt, en effet) mais une invitation à entrer dans des chambres qui présentent l’image de Beethoven « utilisée », travaillée par des artistes comme Bourdelle, Andy Warhol, Josef Beuys, une réflexion sur la surdité et la réception du son, l’évolution du piano, une reprise de Fidelio par des groupes musicaux de différents pénitenciers américains… bref l’impact que « l’icône » Beethoven a eue et a encore depuis 1827.
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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L'Orient derrière soi

Le point : "Traversée intime et... Lumineuse ." Merci pour la traversée intime et lumineuse. Seul le titre, (très vendeur) ! De ce roman m'a fait rêver. Quand j' ai ouvert ce livre, j'en attendais du rêve, de la poésie, la subjectivité de l'auteur... Pas à un cours d'histoire. 17 Euros un e book ! Pas gratuite la déception.
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La Quatorzième Valse

Le rythme de La quatorzième valse de Jean Tubeuf est lent, très lent. C’est peut-être la raison pour laquelle j’ai eu tant de mal avec ce roman et pourquoi j’ai mis tant de temps à le finir, car il me tombait des mains. Et pourtant, je savais que c’était un beau roman. Mais je ne suis jamais parvenue à me laisser gagner par le personnage, sa maladie, ses angoisses, ou son regard sur la musique. Peut-être à cause du ton. Ou du fait que le pianiste narrateur ne sait pas nous faire partager ce qu’il vit, à moins qu’il n’y tienne pas et que cette distance qu’il établit, cette barrière pour tout dire, ne soit volontaire.



Le tout est un livre bien écrit, où les pièces musicales sont mieux décrites que les émotions, où Bach fait figure de Dieu, où le génie de Mozart n’est pas en reste, pas plus que celui de Chopin. Les trois compositeurs qu’il met à l’honneur sur ce qui sera au programme de son dernier concert à Besançon, lequel lui prendra ses dernières forces, mais auquel il s’efforce d’être présent. Parce qu’il y a peut-être dans la salle quatre personnes importantes.



Inspiré par la vie du pianiste Dinu Lipatti, décédé à Genève en 1950, le roman d’André Tubeuf m’a paru extrêmement long. Il ne fait pourtant que 154 pages.



Je suis peut-être passée à côté de quelque chose. Je laisse donc soin à d’autres d’apprécier ce livre qui m’a laissée froide. Une pianiste de mes connaissances a trouvé de nombreuses qualités à ce roman en demi-teintes, qui m’a semblé sans enthousiasme et cérébral. Je vous invite à la lire.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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L'Orient derrière soi

Un très beau titre m'a attiré ainsi que la couverture vieux rose, comme un sépia encore défraîchi, Istanbul et la Corne d'Or?











André Tubeuf, musicologue que j'avais entendu sur France Musique, (clic vers le podcast ICI) raconte son enfance en Orient. Né à Smyrne en 1930, il a suivi son père ingénieur dans ses affectations en Orient, sur les bords de la Mer Noire, à Alep et à Beyrouth avant de partir en Classe Préparatoire à Paris à la sortie de la Seconde Guerre Mondiale. C'est une évocation de cette Méditerranée orientale, et un roman d'apprentissage de cet enfant français d'Orient qui se cherche et "s'incorpore" dans son école des Jésuites de Beyrouth...







La première partie "TROIE"raconte Smyrne. Lecture délicieuse. Evocation merveilleuse de la lumière dorée, des senteurs d'abricots et de raisins, de la douceur des baignades de la première enfance. Smyrne-Troie a brûlé lors de la Catastrophe en 1922, Smyrne-Troie-Atlanta d'Autant en emporte le vent, incendie terrible et spectaculaire que l'enfant n'a pas vécu mais dont le souvenir plane, souvenir homérique, Pergame proche.



LA COTE PERDUE : sur les bords de la mer Noire,l'enfant grandit libre entre son jardin sauvage et les baignades, ses chats, ses frères et quelques camarades. Il n'y a pas d'école pour enfermer les petits. Une religieuse lui apprend à chanter en latin, puis est expulsée par les autorités d'Atatürk, un frère des écoles chrétiennes improvise un semblant de classe avant que, en 1939, le déménagement ne soit inévitable pour les expatriés français.



Ce n'est pas en métropole - en France - que les Tubeuf se réfugient dans dans la Ville, Stamboul comme ils l'appellent, Istanbul. C'est là qu'ils se retrouvent en famille et que, à peine 9 ans André est scolarisé en 6ème, chez les séminaristes. Le plus petit, et pourtant bon élève. Evocation poétique non pas des monuments ou des sites de la Ville. Plutôt des goûters dans les salons des dames stambouliotes...J'ai adoré ce récit de la vie levantine, cosmopolite, hospitalière.



Alep 1941, étrangement l'enfant se découvre français, la Syrie est sous mandat. Dans les années 40, règne une étrange guerre franco-française entre les loyalistes pétinistes et la France libre, gaullistes ou simples résidents d'Outre-mer qui ne dépendent pas de Vichy. J'ai découvert cet épisode que je ne connaissais pas. Nouvelle installation, nouvelle maison, nouvelle école et découverte du théâtre, de Corneille et Molière.



A Beyrouth la famille passe l'essentiel de la guerre. Enfin, la scolarité de l'enfant se stabilise chez les Jésuites de USJ. Il a enfin des camarades presque de son âge. Il "s'incorpore" dans les camps (presque des préparations militaires) que les Jésuites organisent pendant les vacances. L'enfant déraciné se cherche des semblables dans les enfants français d'expatriés.



Enfin le récit se termine par un pèlerinage "ITINERAIRE DE JERUSALEM A PARIS" . Les références cathos et claudéliennes n'ont pas trouvé d'écho chez moi comme les récits levantins . Pluriel, mosaïque de religions, ouvert et hospitalier, le Liban n'en est pas moins très confessionnel. Et l'enfant , qui parle turc dans la rue et grec avec sa mère me séduisait plus que l'apprenti-combattant des camps d'été. Mais il faut bien grandir....




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Adolf Busch : Le premier des justes

Lorsque les nazis mirent au pas la société allemande dans les trois mois seulement qui suivirent la nomination de Hitler au poste de chancelier (30 janvier 1933), l'attitude des musiciens allemands, qu'ils fussent compositeurs, chefs ou interprètes, se rangea grossièrement en trois catégories. On peut mettre à part les musiciens juifs qui n'eurent d'autre choix que de quitter l'Allemagne, comme par exemple Otto Klemperer et Bruno Walter.

Certains musiciens s'accommodèrent parfaitement de l'aryanisation de la société (Richard Strauss) et durent même le début de leur carrière aux nazis (Karajan). D'autres firent le choix de rester en Allemagne, essayant tant bien que vaille de conserver des musiciens juifs, mais obligés d'accepter que des compositeurs comme Mendelssohn soient bannis de leur répertoire : tel fut le cas de Furtwängler. Quelques autres, non les plus nombreux évidemment, firent le choix radical et courageux de s'exiler pour éviter à tout prix de servir la propagande du Reich. C'est à cette dernière catégorie qu'appartient Adolf Busch, l'un des grands violonistes allemands de l'entre-deux-guerres.

La biographie de André Tubeuf ne s'attarde guère sur cet aspect de la carrière du musicien mais s'attache à en décrire le parcours exemplaire et empreint d'humilité. Ce livre n'échappe pas aux écueils de l'hagiographie, dans un style trop maniéré à mon goût, à la limite du supportable. Il a le mérite toutefois de raconter ce que pouvait être la vie d'un grand musicien de son temps, qui fut plus soucieux de transmettre que de laisser une trace à travers une carrière de soliste qu'il délaissa largement pour la musique de chambre, plus conforme à son idéal de partage et de camaraderie. Chez les Busch, comme chez les Bach, la musique se joue en famille et l'association entre Adolf Busch et son beau-fils Rudolf Serkin compte sans doute parmi les plus belles que la musique aient produites.



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Dictionnaire amoureux de la musique

Ce livre devrait contenter tous les amateurs de grande musique. Ce n'est certes une somme du genre "la musique pour les nuls", mais ce n'est pas non plus un livre réservé aux snobs ou aux spécialistes : c'est un guide complet écrit avec passion par un homme soucieux des hiérarchies et du fait de ne proposer à l'admiration de son lecteur de bonne volonté que les meilleurs et les plus grands. Si on accepte le parti-pris, un futur classique.
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L'Orient derrière soi

André Tubeuf livre ses Mémoires. L'occasion de plonger avec lui dans l'univers qui précède la seconde guerre mondiale. Un univers disparu aujourd'hui à tous égards. Après avoir été le Saint-Simon du microsillon, Tubeuf se fait dans ces pages le Proust de l'Orient.
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Schubert : L'ami Franz

À titre posthume a paru cet automne, chez Actes Sud, le dernier volume de sa passionnante autobiographie, consacrée à ses années de Normale Supérieure (Avoir vingt ans, et commencer) avec ce style limpide des grandes plumes, et le charme d’une langue jamais désuète, tellement précise et chaleureuse à dire la curiosité inaltérable du jeune homme découvrant ce Paris des années 1950 et contant ses beaux débuts de prof de philo.
Lien : https://www.lepoint.fr/livre..
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L'Orient derrière soi

A la mort d'André Tubeuf, j'ai souhaité lire un ses livres car j'appréciai ses critiques musicales et celui ci m'a été recommandé. Il y raconte son enfance à Alep, puis en Turquie et finalement à Beyrouth dans les années 30 jusqu'à la fin de la 2nde guerre mondiale. C'est un roman d'apprentissage dans l'univers des chrétiens d'orient. Mais c'est la description et les coutumes de cette diaspora chrétienne d'orient qui m'a le plus intéressée. Disparate venant d'Odessa, d'Europe ou bien en orient depuis des millénaires, elle apparait très soudée avec des liens familiaux extremement forts. Cette communauté se distingue de l'individualisme des chrétiens occidentaux.
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Platon, de plain-pied

André Tubeuf revient à ses premières amours : la philosophie. Dans un livre éclairant, Monsieur opéra nous met au diapason de l’auteur du « Banquet ».


Lien : https://www.lepoint.fr/cultu..
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Hommages

On y retrouve cette voix inimitable que connaissent bien les lecteurs du Point, ce timbre fait d'érudition et d'enthousiasmes. «Sans la musique, la vie serait une erreur», affirmait Nietzsche. Sans Tubeuf pour en parler, ce serait à peine plus supportable.

Thomas Mahler, Le Point



Un livre que l'on dévore comme un roman musical autant pour ses qualités de fond que pour la force de son style imagé et puissant.

Jean-Rémi Barland, La Provence



On se laisse charmer par cet étalage de souvenirs […] et, plus d'une fois, on rit beaucoup, quand l'hommage se teinte d'humour malicieux.

Laurent Barthel, Opéra Magazine



Les citations nombreuses des disques […] éclairent pour chacun ce en quoi il a marqué les esprits curieux, l’oreille du narrateur qui écrit en témoin souvent émerveillé par le mystère d’une voix, la carrière d’un chef, le jeu d’un instrumentiste…

Après la lecture attentive de chaque évocation, le lecteur peut se constituer une mémoire sonore de base, décisive pour sa propre culture de mélomane et de discophile.

Ce dictionnaire qui range les articles par ordre alphabétique ne prétend pas à l’exhaustivité, plutôt à la pertinence et à l’émotion.

Alban Deags, Classiquenews



C'est tout un monde qui revit dans le style gourmand, alerte, précis et évocateur d'André Tubeuf.

Cent trente-trois esquisses à main levée, un seul trait pour tout dire d'un artiste et de son art, avec pour philosophie cette vertu battue en brèche aujourd'hui par la critique : l'empathie.

Une somme? Un voyage!

Jean-Charles Hoffelé, Diapason



Plume inimitable de Tubeuf, engagée, passionnée, tour à tour émouvante, péremptoire, surprenante, injuste ou cruelle, mais toujours belle, «admirative et reconnaissante».

Frédéric Gaussin et Philippe Thanh, La Lettre du musicien



Mieux que quiconque, André Tubeuf sait communiquer une vraie passion pour les interprètes.

André Tubeuf offre d'abord en partage, outre une immense connaissance et une langue peaufinée, ces éléments, parfois peu connus, voire secrets, ces fines observations qui font qu'on se prend de sympathie pour chacun de ces grands musiciens.

L'Education musicale



On s'informe, on s'imprègne et on aime. Indispensable !

Quand tant d'interprètes que nous aimons ne sont que des noms sur des étiquettes de disques, André Tubeuf nous dessine leurs caractères, retrace leurs carrières, leurs combats, leurs drames, on croit entendre le timbre de leurs voix.

CLASSICA



On se laisse charmer par cet étalage de souvenirs, qui peuvent occasionnellement croiser les nôtres, voire par cet art si particulier de la caractérisation par petites touches. Et, plus d'une fois, on rit beaucoup.

Laurent Barthel, Opéra Magazine



Quand on connaît son style, amusé mais aussi encyclopédique, on retrouve avec plaisir Tubeuf raconter Anna Caterina Antonacci, Daniel Barenboim, Enrico Caruso, Matthias Goerne, Dorothea Röschmann ou encore Jordi Savall sur 520 pages.

Pierre Polomé, César
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Adolf Busch : Le premier des justes

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Bach ou le meilleur des mondes

Ni critique ni musicologue, André Tubeuf renouvelle l'énigme persistante du plus grand génie de la musique en l'abordant par la face la plus difficile.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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Bach ou le meilleur des mondes

L'écrivain et critique livre un magistral "Bach ou le Meilleur des mondes", qui explique pourquoi la musique du Cantor apaise, guérit et sauve.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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L'Orient derrière soi

Critique musical respecté, normalien et agrégé de philosophie, André Tubeuf se souvient de son enfance au Levant.
Lien : http://www.lexpress.fr/cultu..
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L'Orient derrière soi

Une traversée intime et lumineuse.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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