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Critiques de Anita Pittoni (14)
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Confession téméraire

D’une brillante figure de la création artistique italienne au siècle dernier, les Éditions de la Baconnière proposent le premier volume de l’œuvre littéraire, encore inédite en France.
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Confession téméraire

Quel charme se dégage de ce recueil!

C'est un peu paradoxal, parce qu'en même temps l'auteure nous fait partager ses anxiétés, voire ses angoisses. Mais jamais elles ne virent au tragique.

Styliste, puis éditrice après la seconde guerre mondiale, et écrivaine toue sa vie, Anita Pittoni a été une figure marquante de la vie intellectuelle triestine. Et la ville de Trieste est une singularité en Italie et même en Europe. Ville de culture, au carrefour de l'Europe centrale et de la Méditerranée, elle rassemble des hommes et des femmes d'origines très diverses qui constituent un milieu culturel très riche.

Les textes ici réunis, la plupart initialement publiés en 1971, baignent dans une atmosphère onirique. Certains pourraient se lire comme de purs récits de rêves. Ils sont quelquefois dérangeants ou menaçants, presque à la manière de Kafka. Mais ils sont plus rassurants. On songe plutôt (c'est le cas de le dire) à Paola Massino ou à Elsa Morante chez qui les atmosphères oniriques sont fréquentes également.

Par ce biais, l'auteure dévoile son intimité, vers la fin de sa vie, avec une sincérité sans complaisance. Et on se prend à regretter qu'elle n'ait pas consacré plus de temps à l'écriture. Il reste donc à déguster ce qui existe.

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Confession téméraire

Je remercie Babelio et les éditions La Baconnière pour l’envoi de ce livre. Je l’avais sélectionné car cette femme m’avait intrigué ainsi que son parcours inconnu.



Je m’attendais à trouver une biographie d’Anita Pittoni (1901 – 1982) et non un texte écrit par elle. La première surprise passée, je me suis laissée porter par son style et son histoire intrigante. Malgré son style agréable, je ne sais pas exactement ce que je lis, une histoire ou une biographie romancée… La narratrice nous parle à la première personne mais on ne sait pas qui elle est, chaque chapitre semble indépendant dans la narration. C’est vraiment très étrange, j’ai du mal à lire quand je ne sais pas où je vais… En lisant les deux autres critiques pour ce livre, j’en ai appris un peu plus sur cette histoire. C’est donc Anita Pittoni qui se narre, se raconte voire qui analyse ses émotions et ses réactions au gré des évènements qui ponctuent sa vie. C’est une lecture curieuse car par moments, elle est à la limite du fantastique, des rêves et de ce que peut créer une imagination trop fertile. Un style alternant entre le psychologique, le policier et le fantastique, tout en étant poétique. Elle nous raconte ainsi des tranches de vie mais tous ne sont pas forcément intéressant, enfin pour moi. Je finis par stopper définitivement ma lecture car je ne sais jamais où je me suis arrêtée malgré le marque page, je ne gardais quasi aucun souvenir des pages précédentes. Je trouve son style très aérien mais plus j’avance dans les pages et moins je retiens ce que je lis. J’aurais aimé le finir, il ne fait que 200p mais j’avance de moins en moins vite dans cette lecture et elle a plus tendance à m’endormir qu’autre chose. J’ai donc abandonné cette lecture à seulement 75p.



Comme vous l’aurez compris, cette autobiographie est une déception pour moi, le style de l’auteur est vraiment trop aléatoire. Je ne m’attendais également pas à ce type de littérature ni de format, je n’y ai finalement que très peu adhéré. J’ai bien aimé certains chapitres mais trop peu pour m’aider à maintenir mon attention. Dommage pour moi car d’après les autres critiques, j’ai loupé une chouette rencontre avec cette femme originale. Je conseille néanmoins aux amateurs de biographies et de questionnements psychologiques de découvrir ce livre. Il n’est clairement pas fait pour moi mais j’aurais quand même essayé de le lire pour pouvoir m’en faire un maigre avis.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Confession téméraire

Une trentaine de courts textes, écrits au 20e siècle par une triestine découverte grâce à l'article que lui a consacré Libé à la sortie de ce recueil, qui a bénéficié d'un beau travail d'édition de la Baconnière. Une Woolf italienne, aristocrate et cultivée, qui mélange introspection et détails du quotidien avec, souvent, une dimension onirique. C'est un peu inégal, mais les meilleures pages m'ont ravi par leur sensibilité et leur délicatesse. Anita Pittoni n'a pas son pareil pour faire ressentir, dans un style d'une élégance folle, la profondeur d'un sentiment. Recommandé aux âmes rêveuses.
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Confession téméraire

a Masse Critique de Babélio offre des aventures littéraires inattendues. Encore merci à Babélio et aux éditions La Baconnière!  Je n'aurais sans doute pas tenté cette lecture et j'aurais raté une rencontre rare avec Anna Pittoni.



Anna Pittoni (1901 - 1982) fut une créatrice de mode, une styliste et une figure de la vie de Trieste, sa ville. Elle se tourna vers la vie littéraire et publia des recueils de prose poétique.En 1949, elle fonda la maison d'édition  lo Zimbaldone. Bien trop ignorante de la vie littéraire italienne d'alors, je n'avais jamais entendu parler d'Anna Pittoni ni de Roberto Balzen ou d'Umberto Saba. Wikipédia m'a appris que le nom de Zimbaldone faisait allusion à Leopardi , et que ce mot avait donné sabayon en français. 



Le recueil Confession Téméraire rassemble deux ouvrages Les Saisons  et Promenade sous les armes (1971) ainsi que de textes Cher Saba et La Cité de Bobi. Ces textes courts publiés séparément sont cependant homogènes : ils ont pour narratrice Anna Pittoni, elle-même qui se raconte, s'analyse devrais-je peut-être oser. En filigrane, un amour, un homme qui lui a offert un bouquet de cyclamen, dont le retour cause une joie indicible mais qui provoque parfois la jalousie (deux chapitres sont intitulés "jalousie"). Certains récits sont oniriques, la limite entre rêve, cauchemar et réalité est floue. 



Ce n'est pas une lecture facile. Je ne suis pas entrée tout de suite dans l'histoire. J'ai relu le matin les pages de la veille parce que j'étais perdue. J'ai dû apprivoiser la narration qui semblait ne mener nulle part. Puis je me suis laissé embarquer dans cette atmosphère étrange enchaînant les images comme dans un rêve. 



Certes, les différents chapitres ne m'ont pas tous séduite, je me suis un peu ennuyée dans des détours qui égarent la lectrice. Par surprise, une image comme celle de la pelote de chanvre bleue, chevelure de sirène, m'a ravie.  je me suis attachée au petit bouquet de cyclamens qui revient plusieurs fois. Ces histoires de jalousie avec leur chute inattendue m'ont aussi beaucoup plu.



Lecteurs de romans d'action passez votre chemin, les lecteurs contemplatifs trouveront leur bonheur. Ceux que l'analyse psychologique passionne aussi. 
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Confession téméraire

Auto-portrait en inquiétude. Dans une série de récits, de nouvelles pleines de basculements, toujours à la première personne, toujours à l'écoute d'échos fantastiques, Anita Pittoni capture les angoisses et les retours d'une sensibilité magnifiquement déchirée. Dans sa très forte cohérence composite, Confession téméraire tend un miroir, onirique et inquiet, à notre besoin de transparence intime.
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Confession téméraire

Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération Masse critique.

Cette lecture a été assez ardue pour moi ... j'ai trouver le style peu accessible et le format assez étrange. Pas forcément un immense moment de lecture mais très belle découverte de son auteure : une belle artiste d'1 grande modernité.
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Journal : 1944-1945

Nous voici plongés dans le journal d'Anita Pittoni, figure du milieu triestin intellectuel ; où elle couche ses pensées, ses sentiments et des réflexions esthétiques. L'irrégularité avec laquelle elle écrit et la diversité de ses approches (poésie, compte-rendu factuel de ses activités, adresse lyrique à Gianni) rendent parfois la lecture difficile à suivre de bout en bout ; mais on a ainsi l'impression de plonger vraiment dans les méandres de son esprit.

Cette lecture m'a beaucoup plu, même si j'ai parfois déploré de ne pas avoir plus d'éléments sur la vie à Trieste en cette fin de guerre, où qu'elle détaille plus amplement la nature de ses relations et les personnalités qui l'entourent.



Préface et postface sont un ajout complémentaire de grand intérêt.
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Journal : 1944-1945

Impossible pour moi de faire une critique réellement constructive du Journal 1944-1945 d’Anita Pittoni tant ce livre, aussi magnifique soit-il (que les Editions La Baconnière s’en félicitent), n'a cessé de me tomber des mains. A peine ai-je réussi à dépasser la moitié de l’ouvrage, et je dois reconnaître n’y avoir pris aucun plaisir.





J’étais pourtant réellement heureuse de l'entamer.

Je me trouvais ravie de faire la connaissance d’Anita Pittoni (Trieste, 1901-1982), créatrice de mode audacieuse, éditrice profondément libre et poétesse courageuse dans les années 30-40,

et le résumé qu’en faisait la maison d’édition avait de quoi me plaire:





Anita Pittoni est une personnalité fascinante du monde artistique et littéraire triestin du XXème siècle. Tenu entre le 18 octobre 1944 et le 5 août 1945, ce Journal a pour toile de fond la fin de la guerre à Trieste et l’occupation yougoslave, les bombardements et les retraits précipités dans les abris. Mais son objectif est tout autre, il est tendu vers la création, la liberté d’être et d’écrire.

Explorant l’intime à l’instar du Journal de Katherine Mansfield qui l’a beaucoup inspirée, il tient tout entier dans l’examen de la persévérance d’une vie intérieure riche et de la disponibilité de temps et d’esprit pour réfléchir. Sa liberté de jugement étonne et son don pour l’introspection séduit.

Ce Journal explore aussi son rapport à la sensualité, aux corps, aux lignées de femmes de sa famille et surtout expose ses sentiments amoureux pleins de craintes et de fulgurances.

On y croise l’entourage d’Anita Pittoni, les intellectuels de Trieste, son compagnon Giani Stuparich, le poète Umberto Saba qu’elle publie…

Si elle s’attarde longuement sur les relations humaines et les angoisses qu’elles génèrent, elle décrit aussi minutieusement le réseau de créateurs essentiel dans ces heures dures et sur lequel elle s’appuie pour avancer.





Alors sans doute suis-je passée à côté comme on dit, car pas une seule fois les mots d'Anita Pittoni ne m’ont émue, pas une seule fois n’ai-je été transportée par la force de ses pensées.

J’ai trouvé son écriture d’abord difficile d’accès puis franchement plate une fois mise en bouche, ses réflexions sans grand intérêt - même sur des sujets aussi passionnants que l’acte de création, et ses apartés interminables.

L’éditeur parlait de la guerre à Triste et de bombardements incessants en toile de fond, mais le mot m'a paru faible, je dois avouer.

Et c’est finalement un profond ennui qui m’a envahie à la lecture des deux premiers tiers de ce livre.





J’ai bien conscience de la dureté de mon jugement - de cela je m’excuse auprès des Editions La Baconnière car laisser tomber un livre avant d’en connaître la fin ne m’arrive que très rarement -, mais je serais ravie d’être la seule et unique à partager ce point de vue.

Le Journal 1944-1945 d’Anita Pittoni a certainement des mérites que je n’aurais su voir.
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Journal : 1944-1945

Composition de l'inquiétude dans sa matérialité, sa quotidienneté mais aussi dans ses débordements imaginaires, ses solitudes et ses espoirs de les voir dialoguer avec autrui. Entre journal de création, réflexion sur l'intime et ses inspirations, description amoureuse, la prose d'Anita Pitonni captive par l'exactitude de ses ressentis, l'intransigeance à confesser ses défauts, à composer surtout avec une personnalité complexe, entre exaltations et abattements, avec l'enthousiasme de toujours continuer à se fabriquer.
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Journal : 1944-1945

Cet ouvrage, poignant et bouleversant, est emprunt d'une profonde honnêteté que l'auteure a su poser sur le papier avec brio. Bien que cet écrit ne soit pas un de ceux, à mon sens, que l'on lit en une journée, savourer chaque jour un pan de ce livre fut un plaisir. Bien plus qu'un journal dans lequel Anita Pittoni décrit sa vie, celui-ci est le reflet de son être, de sa pensée et de ses interrogations. Une véritable remise en cause de sa vie. Cet ouvrage, d'une beauté d'écriture à couper le souffle, démontre à quel point l'esprit humain est animé par ses émotions qui peuvent nous paraître si contradictoires d'une page à l'autre. Peut-être a-t-elle même réussi à mettre en avant une part de la complexité de la femme et de ses sentiments.

"Journal 1944-1945" est, je pense, un de mes coups de cœur de l'année.
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Journal : 1944-1945

Ce livre m'a intrigué lorsque j'ai lu le résumé, mais j'ai eu du mal à entrer dedans en lisant les premières pages. On se retrouve projeté dans la vie d'Anita Pittoni, elle a un style bien à elle, parfois difficile à comprendre et on découvre ses amis très rapidement. À ce moment-là j'étais un peu perdu.



Cependant, une fois ces premières pages passées j'ai été fasciné par cette artiste. Nous plongeons dans son intimité, nous découvrons ses doutes et ses attentes. Elle parle également de ses angoisses et décrit grandement la création de son œuvre. On plonge dans la tête d'une auteure.

De plus malgré le climat oppressant de la guerre elle cherche à vivre et s'évader grâce à ses amis et à ses livres, c'est une facette de la guerre dont on entend peu parler mais qui est intéressante à lire.



Si j'ai autant aimé ce livre c'est notamment grâce à son écriture, Anita Pittoni savait choisir ses mots, elle avait un style très poétique et intelligent. Rien n'est choisi au hasard. D'ailleurs pour exprimer ses sentiments elle a également écrit quelques poèmes dans son journal, je ne suis pas une adepte de ce genre mais là je les ai trouvés passionnants.

Je regrette que ce journal dur seulement une petite année, j'aurais aimé en apprendre plus sur cette artiste!



En plus l'édition est complète, au début nous trouvons une préface qui explique la découverte de ce journal. Puis à la suite du journal nous pouvons y lire 3 essais tout aussi biens écrits ainsi postface qui analyse cette œuvre.



Je suis ravie d'avoir pu livre se livre, je remercie Babelio pour cet envoi dans le cadre de la masse critique!
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Journal : 1944-1945

J’ai eu le plaisir de recevoir ce roman dans le cadre d’un service presse Babélio.



Dans ce livre nous allons suivre Anita Pittoni, créatrice de mode audacieuse, éditrice profondément libre et poétesse courageuse dans les années 30-40.



Il s’agit d’un journal tenu par l’artiste elle-même pendant une période difficile de l’histoire. Du 18 octobre 1944 au 5 aout 1945. Cependant, ce n’est pas tant la période qui compte le plus dans cette lecture. Même si, évidemment, on suit l’évolution de l’occupation yougoslave et la guerre de Trieste, c’est surtout la vie, les relations, les créations d’Anita qui sont mises en avant.



Anita s’attarde longuement sur les relations humaines et les angoisses qu’elles provoquent durant ce moment de vie.



Je ressorts de cette lecture mitigée. Je dois bien l’avouer. Même si ce récit est très intéressant (surtout pour la créatrice que je suis .. styliste / modéliste / auteure) mais la manière d’écrire d’Anita Pittoni m’a un peu déstabilisé. Je n’ai pas été émue ni transportée.



L’auteure a une plume bien à elle, notamment cette manière d'ecrire des phrases à rallonge qui ont eu tendances à me perdre facilement.



Malgré-tout, j’ai été contente de découvrir cette personnalité que je ne connaissais pas du tout.



Ce n’est que mon avis, peut-être que le vôtre sera différent, et je l’espère !


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Journal : 1944-1945

C'est une lecture un peu plus exigeante qu'un roman : ici pas de narrateur ayant la volonté d'expliquer au lecteur. le lecteur décrypte par ses propres moyens, par le biais de son bagage culturel, par sa compréhension du texte souvent elliptique.

Il est toutefois intéressant d'avoir directement le fil des pensées de cette jeune femme qui vit son art et sa créativité malgré, en arrière-plan, la solitude et la tragédie de la guerre qui menace alentour. De nombreuses alertes l'obligent à se réfugier dans un sous-sol, parfois plusieurs fois par jour, interrompant ses moments de création.

J'ai trouvé l'ensemble quelque peu « décousu » car l'écriture de ce journal se fait selon les humeurs et les inspirations de la jeune femme, et regroupe nombre de ses questionnements. On sent qu'elle n'a de cesse d'écrire, d'avancer son oeuvre et notamment un livre dont elle n'a pas encore le titre. Toute son énergie semble tournée vers ce but et elle vit mal le fait d'en être détournée momentanément, par exemple par des tâches ménagères.

Si j'ai un bon bagage culturel italien, je ne la connaissais néanmoins pas, seulement ses amis Stuparich et Saba que l'on « croise » régulièrement au fil de ce journal. Les rencontres avec ses amis artistes sont très importantes pour elle : échanges culturels, lecture réciproque de leurs textes en cours. C'est un peu comme si la demeure de la jeune femme se transformait en un salon littéraire.

Mais Anita Pittoni n'est pas seulement une femme de Lettres. C'est aussi une créatrice textile reconnue et originale, ce qui me rapproche d'elle considérablement, ayant moi-même un héritage familial en ce sens. D'ailleurs le journal fait allusion à une création de gants au crochet pour un de ses amis. (Explication à la présence des photos de fils divers en macro).

Anita Pittoni recherche la beauté des choses, parfois simple comme des fleurs arrangées dans ses cheveux.

On touche donc à sa sensibilité singulière, à l'intimité de ses questionnements.

Toutefois ce journal ne se suffit pas à lui-même à mon sens, étant trop elliptique. Il complète le reste de son oeuvre ou devrais-je dire de ses archives. Cela dit, je suis ravie d'avoir fait la connaissance de cette femme singulière !



Je remercie les éditions la Baconnière pour cet envoi ainsi que Babelio pour l'organisation de la Masse critique.

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