AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Anna Jansson (186)


Le chagrin est le prix de l’amour, pensa Maria. Si on n’ose pas aimer, on a tout perdu dès le départ. Mais elle garda ses pensées pour elle. On n’apprend pas des expériences des autres.
Commenter  J’apprécie          00
Il devait sauver sa peau, même si cela entravait le travail de la police. On ne peut pas se fier aux autorités. Il était trop tard pour Linn de toute façon. Elle était morte. Il en était bien conscient et il n’y pouvait rien.
Commenter  J’apprécie          00
On peut quasiment torturer sans laisser de marques. Il y a des ripoux parmi les policiers et des collègues qui ferment les yeux. Personne ne le croirait, il en était persuadé à présent. On pouvait prouver qu’il avait été sur la scène du crime. Il fallait un coupable. L’opinion publique réclamerait un coupable.
Commenter  J’apprécie          00
Lui-même avait du mal à se débarrasser de certaines affaires, en particulier de livres. Quand on les a lus, on devient une partie de l’intrigue ; c’est comme si on donnait vie à un ouvrage quand on le lit.
Commenter  J’apprécie          00
Le respect qu’on a pour les médecins ne s’en trouve pas grandi quand on doit tout le temps réfléchir à leur place, vérifier des éléments et leur suggérer des diagnostics sans même un merci en retour, avait-il expliqué à son chien.
Commenter  J’apprécie          00
La science avait progressé. On ne cesse d’acquérir de nouvelles connaissances. Jadis, on considérait les gens infectés par des borrélies comme des malades imaginaires. Désormais, on en sait quand même davantage. Par exemple, une personne sur quatre ne présente pas le cercle habituel autour de la morsure. Il l’avait lu sur Internet comme dans la brochure. Dans ce cas, comment savoir si on a été infecté ?
Commenter  J’apprécie          00
Tous les médecins commettent des erreurs. Cela se produit parfois. Il est impossible de surveiller tous ses patients vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour qu’il ne leur arrive rien. Dix à vingt pour cent de ceux qu’on traite dans l’urgence risquent de recevoir des soins inadaptés. En réalité, ils se seraient mieux portés si on s’était abstenu d’intervenir.
Commenter  J’apprécie          00
Je n’ai pas la force de me déplacer et de passer des heures à parler avec quelqu’un qui ne comprend rien à ma vie. Ou de participer à un groupe de parole pour déterminer lequel d’entre nous est le plus malheureux. Je n’ai d’ailleurs pas la force d’entreprendre quoi que ce soit d’autre. Tous ces crétins veulent qu’on se remue alors qu’on est sur le point de s’écrouler d’épuisement.
Commenter  J’apprécie          00
C’était un véritable poison. Les médicaments provoquaient une castration chimique. Plus moyen de bander. D’un autre côté, je n’ai pas envie de relations sexuelles non plus, alors ce n’est pas essentiel. Ce n’est sans doute pas une bonne idée de transmettre des gènes merdiques comme les miens.
Commenter  J’apprécie          00
Il voulait vivre ; il voulait désespérément vivre une vie normale avec une femme, des enfants et un travail, comme tout le monde. Pourquoi diable était-il incapable de s’y autoriser ?
Dans son portefeuille, il y avait un petit bout de papier qu’Erika lui avait donné : le numéro de téléphone du médecin avec lequel elle flirtait. Anders Ahlström.
Commenter  J’apprécie          00
Ses pensées morbides ne le laissaient jamais en paix. Il n’avait ni la force de vivre ni le courage de mourir. Il y avait un solide crochet dans la poutre centrale du séjour, à l’endroit où le plafonnier était accroché. Il l’avait changé pour qu’il supporte une lourde charge. Il était là au cas où il aurait besoin d’emprunter la sortie de secours de la vie.
Commenter  J’apprécie          00
Elle affirmait l’aimer, mais ce n’était pas vrai. Elle aimait l’image de l’homme qu’il était avant qu’on ne lui tire dessus. Elle aimait le souvenir de la passion. Pour le moment, elle n’était que loyale et si longtemps que ce serait le cas, il la rejetterait. Pour le bien de Maria comme pour le sien. Il ne supportait pas d’être aimé alors qu’il était incapable de s’aimer lui-même.
Commenter  J’apprécie          00
S’occuper de son hygiène corporelle était déjà toute une entreprise. Il ne pouvait l’expliquer. Si cela avait été possible, il se serait ressaisi. C’est ce qu’on attendait de lui.
Commenter  J’apprécie          00
Si on veut terroriser quelqu’un, cueille-t-on du muguet ? Il ne s’agit sans doute pas de faire taire un témoin. C’est autre chose, beaucoup plus étrange. Il se pourrait que nous soyons confrontés à un psychopathe.
Commenter  J’apprécie          00
Que signifiaient les fleurs ? Pourquoi du muguet ? La symbolique était-elle liée à la blancheur et à l’innocence ou au fait que cette plante était vénéneuse ?
Commenter  J’apprécie          00
Le problème n’était pas de trouver des traces ; le problème, c’était qu’il y en avait trop. Cela revenait à essayer de trouver un seul cheveu pour procéder à une analyse ADN chez un coiffeur.
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait manifestement un faible pour la littérature légère. Des romans à l’eau de rose et des biographies de femmes influentes. Il savait quand les éboueurs passaient dans sa rue et avait lui-même récupéré ses poubelles pour en analyser le contenu.
Commenter  J’apprécie          00
L’angoisse circulait comme de la lave en fusion dans ses veines. Tous les rideaux et les volets étaient fermés. La simple idée que ce visage puisse à nouveau surgir la rendait anxieuse.
Commenter  J’apprécie          00
La nervosité n’était pas bonne conseillère.
Commenter  J’apprécie          00
C’était une pure mesure de sécurité… un mauvais pressentiment. Au cas où le pire se produirait… Si seulement tout avait été fini, réglé, elle aurait pu dormir.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anna Jansson (251)Voir plus

Quiz Voir plus

QUIZ FINAL DEFI BABELIO ADO 2022-2023

#Trahie : Le numéro de téléphone gratuit, d’aide pour le harcèlement est le :

3020
3028
3002
3082

35 questions
22 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}