Anya Allyn

Paper Dolls, c’est un second tome qui nous permet de plonger dans le passé, de comprendre plus aisément les comportements des personnages, pour nous permettre de mettre enfin plus de mots sur la situation, sur cet univers dont on entrevoit les grandes lignes et qui va prendre plus de profondeur, dans une complexité toujours plus passionnante !
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Suite donc au tome 2, j’avais beaucoup d’attentes sur ce nouvel opus. Je me posais une grosse question depuis un moment : comment Ethan a réussi à s’en sortir une fois derrière le mur (à la fin du tome 1) : le livre fait enfin la lumière sur cet événement (pour mon plus grand plaisir) !

On est en vase clos puisque presque toute l’action se déroule dans ce fameux château particulier où Molly et Cassandra sont prisonnières. Château qui se dévoile petit à petit et qui a malheureusement plus d’un tour dans son sac.

On sent bien le côté tragique du roman prendre le dessus (ce qui n’est pas pour me déplaire) : les personnages sont de plus en plus déprimés et on vient à se demander si l’espoir est permis (d’ailleurs, vu la fin, autant dire que la réponse est NON).

On en découvre un peu plus sur ce qui a eu lieu dans le passé et sur les personnes et moyens mis en place au niveau de la “Résistance” pour pouvoir contrer les méchants et les événements tragiques qui risquent d’arriver. On alterne les mondes et les temporalités et une petite prise de note n’est pas inutile pour s’y retrouver !

C’est donc pour mon plus grand plaisir que ce tome était à la hauteur du deuxième. Étant donné les derniers chapitres absolument dingues, je vais donc très probablement lire le dernier tome rapidement et pouvoir clôturer cette série en 2021.
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Si la fin du tome 1 m’avait laissé perplexe, j’ai vraiment adoré ce tome 2 pour deux raisons principales.

La première c’est cette alternance de temporalité avec la vie actuelle et les années 1920 où Jessamine évolue. On connaît peu son passé et les événements qu’elle a vécu nous éclairent petit à petit sur ce qui se trame dans le futur.

La seconde est le twist final absolument imprévisible qui m’a laissé sans voix et me fait dire que la suite sera incroyable.

Si j’ai senti venir quelques “twists” et que je ne suis toujours pas une grande fan de Cassie (ni Aïsha), j’ai en revanche appris à adorer Molly et, à mon grand étonnement, Jessamine. Les avancées que le fait sur le monde d’en bas et la découverte des “pouvoirs” de certaines personnes laissent planer des découvertes encore plus importantes dans l’avenir.

C’est une série que je ne regrette pas d’avoir commencée et que j’apprécie beaucoup.
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Je me suis laissée tenter par ce roman et je ressors un peu... Mitigée de ma lecture. J'ai bien aimé l'ambiance et le côté fantastique, le fait qu'on ne sait pas ce qui est réel ou non mais... Je n'ai pas vraiment aimé Cassandra, ni même ses camarades. Je suis restée extérieure à toute l'histoire...
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La sublime couverture réalisée par Miesis m’a envoûtée!!!

Mais qui est donc cette fille qui ressemble plus à une chimère qu’à une ado banale et qui semble endormie au fond d’une barque ? Et tous ces papillons viennent-ils d’une contrée féerique ? Etrange cette fleur enlacée autour de la cheville de la belle endormie…

6 jeunes, 1 lac… Sous l’eau trop de secrets… il n’en fallait pas plus pour piquer ma curiosité !!!

Vincent Tassy en traducteur, alors là je ne résiste plus et direct je me plonge dans le livre !!!

Ce roman c’est pour moi un autre gros coup de cœur de cette année 2021. La plume d’Anya Allyn fut une très belle découverte pour moi. J’ai hâte de découvrir d’autres œuvres littéraires de cette auteure. D’un bout à l’autre du roman j’ai été agréablement surprise par ce thriller scientifico-paranormal très riche en action et aventure qui semble osciller entre passé et présent, illusion et réalité, science et paranormal.

L’ensemble de cette œuvre est très poétique ; le récit comme la couverture. Mais les apparences sont souvent trompeuses et le doux rêve peut vite se transformer en cauchemar. Petit à petit la bulle onirique se fissure et laisse apparaître la cruelle vérité avec des intrigues originales qui s’enchaînent aisément tout au long du récit bien ficelé pour ne se révéler qu’à la toute fin du roman.

Bien qu’il s’agisse d’une fiction, cette histoire soulève des questions existentielles relatives à l’éthique et aux limites de la science, des préoccupations de notre monde contemporain…

Je le recommande. Je l'ai lu d'une traite. La poupée Raggedy Ann m'a donné froid dans le dos. C'est une histoire fantastique un peu horrifique pour jeune adulte. Il y a une romance au travers. J'ai adoré les personnages et l'auteur a une imagination débordante, elle nous plonge dans un univers hors du commun avec des personnages colorés. Impossible à lâcher, vous allez devoir lire le tome 2.

Un coup de cœur pour moi

J'ai aimé tout dans ce roman, l'étrangeté, la bizarrerie, l'extraordinaire.

J'ai été plongé dans un univers tellement nouveau pour moi, que j'ai eu de mal à quitter ce livre

Tout est beau, magique mais aussi flippant qu'on en redemande.

Les personnages sont attachants, beaux, que j'ai eu du mal à les quitter

Je recommande à 100%

Une lecture assez surprenante je dois dire.



Ici nous faisons la connaissance de Sera, 12 ans, orpheline déposée par sa mère à l'âge de

5 ans.

Elle est baladée de famille en famille, mais son comportement fait qu'aucun couple ne veut

l'adopter. Un jour, la directrice de l'orphelinat reçoit une lettre de sa mère biologique et

Sera doit rentrer chez elle à Lake Ephemeral. Là-bas, elle fait la connaissance de 5 autres

enfants et de leur famille, ainsi que de Miss Fern sa gouvernante. Sa mère est malade et elle

ne peut la voir pour le moment.

C'est ainsi que sa vie nouvelle vie commence, le problème est que comment s'intégrer quand

tout le monde voit en vous une meurtrière et une traîtresse.

Sera va aller de découverte en découverte, et rien de ce qu'elle trouvera ne sera logique.



Je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal au début du récit, car je ne voyais pas trop

où voulais en venir l'auteur, beaucoup de descriptions, beaucoup de longueurs ont fait que

je n'en voyais pas le bout. Pourtant à partir du moment où les choses ont commencées a

devenir bizarres et à partir un peu en cacahuète, j'ai adoré ma lecture. Je ne m'attendais pas

à ce que ma lecture parte dans ce sens là et je dois dire que l'auteur à une imagination

débordante. J'ai adoré le personnage de Kite, c'est le seul personnage secondaire a être aussi

bien travaillé, je trouve dommage que l'auteur n'aie pas approfondi les autres enfants, cela

aurait, je pense, apporté plus de piquant au récit. Par contre, Lake Ephemeral est magnifique

en description, et ses manoirs sont tout simplement splendides avec leur coupole.



La première partie du récit, on est avec Sera quand elle a 12 ans, et à partir de la

quatrième partie nous la retrouvons a 17 ans. Nous allons de rebondissements en rebondissements,

des choses horribles sont faites mais quand il s'agit de son enfant rien n'est impossible.



En bref, j'ai tout bonnement adoré ma lecture et franchement foncez si vous voulez être surpris.

Pour résumer, Paper Dolls est une suite à la hauteur de Dollhouse et gagne même en qualité ce qui est de bon augure pour la suite. Le roman est digne de sa magnifique couverture (signée par Mina M.) en offrant un texte fantastico-horrifique très addictif, plein d’émotions, écrit avec une narration à la première personne maîtrisée. Je suis bien contente d’avoir les deux derniers tomes dans ma PàL et j’affirme qu’ils n’y resteront pas longtemps. Je vous recommande chaudement cette saga qui n’aura pas fini de vous surprendre !
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Une fin majestueuse et émouvante pour cette série plus qu'originale. Difficile d'en dire plus sans spoiler...

Pour ceux qui me connaissent assez bien, vous allez dire : "mais pourquoi as-tu acheté ce livre alors que tu n'aimes pas les poupées, les clowns et les maisons hantées ?". Et vous auriez entièrement raison, d'autant plus que les trois sont réunis. Mais la couverture... Bah ouais, elle est trop belle et j'avoue que le résumé a su m'intriguer.



Quand sa meilleure amie Aisha disparaît lors d'une sortie scolaire, Cassie décide de partir à sa recherche, aidée d'Ethan, le petit ami d'Aisha, et de Lacey, leur camarade. Mais très vite, ils se retrouvent eux aussi pris au piège. Entre une maison hantée, des poupées à taille humaines et vivantes et des clowns tout sauf mignons, les voilà plongés dans l'horreur. Ils ne peuvent pas sortir, ils sont piégés. Mais pour combien de temps ?



Il faut croire que j'aime me faire peur, car ce genre d'histoire n'est absolument pas pour moi, à la base. Et pourtant, parfois, il faut sortir de sa zone de confort pour découvrir des ouvrages qui sortent de l'ordinaire. Et celui-ci en fait partie. Mais pour être honnête, j'ai encore du mal à savoir si j'ai aimé ou non ma lecture. Bien sûr, j'ai apprécié d'être plongée dans cet univers si particulier, mais j'ai aussi ressenti quelques longueurs qui ont un peu mise en retrait.



Commençons donc pour ces petits points négatifs. J'ai trouvé que certains passages étaient longs, en plus d'être répétitifs. Cassie se répète souvent, se pose toujours les mêmes questions, ne faisant pas forcément avancer l'intrigue, du moins une bonne partie du roman. Et c'est assez dommage, car l'histoire en elle-même apporte ces frissons tant attendus à la lecture du résumé. En plus de cela, j'ai trouvé que certaines choses étaient un peu tirées par les cheveux et un peu trop faciles à mon goût. Quand, parfois, tout va trop vite, la page d'après tout se ralentit.



Néanmoins, malgré ces points négatifs, l'ambiance glauque, oppressante et inquiétante est bel et bien présente. Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai eu peur, mais il est certain que j'ai été plus d'une fois mal à l'aise. Ces poupées, cette maison hantée et tous les mystères autour peuvent rapidement angoisser le lecteur. Âmes sensibles s'abstenir. Du moins, de mon point de vue.



Du côté des personnages, Cassie, malgré ses questions qui tournent en boucle, a un caractère fort qui la pousse à donner le meilleur d'elle-même dans toute circonstance. Elle est déterminée à retrouver son amie mais aussi déterrer tous les secrets de cet endroit si particulier. Quant à Ethan, un sacré mystère rôde autour de lui pendant une bonne partie du récit. J'ai beaucoup douté de lui, ne m'accrochant pas à lui, de peur d'être déçue.



L'intrigue en elle-même est plutôt novatrice et sait tenir en haleine son lecteur. Bien que quelques faits se devinent assez vite, il n'en est pas moins que l'histoire autour de cette maison et de ses habitants intrigué fortement. D'ailleurs, certaines explications ont assez surprise pour que je veuille continuer l'aventure avec le tome 2 !



​En résumé, c'est un premier tome un peu particulier. Je ressors assez mitigée de cette lecture. Des moments longs, répétitifs, mais une intrigue et des personnages qui tiennent en haleine et intéressants. Le mystère qui tourne autour de la maison m'intrigue fortement et je suis curieuse de découvrir la suite des aventures de Cassie and Co !
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J'avais adoré le tome 1 et que dire du tome 2.... L'histoire se partage entre le présent où l'on suit Cassie, traumatisée par ce qu'elle a vécu dans la maison de poupées - cette partie est très réaliste et intéressante- et le passé, on l'on suit une jeune fille (dont je tairai le nom pour éviter les spoils) qui vit dans un cirque. L'ambiance belle époque et l'univers circassien sont décris d'une manière très immersive et addictive. Certaines scènes donnent froid dans le dos... et la fin... cette série prend une tournure totalement inattendue et très originale !

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Un roman plein de clichés sans réel intérêt mais qui pose les bases dans l'univers d'Anya Allyn. Le sentiment de claustrophobie ressentit lors de cette lecture est un bon point mais qui ne réussit pas obscurcir le manque de développement au niveau des personnages féminins ainsi que la grande présence de clichés.
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Dollhouse est un roman de l’imaginaire (enfin… on l’espère…) glaçant dans lequel je conseille de plonger sans tarder. Lake Ephemeral m’avait saisie. Il en est de même pour ce roman d'Anyal Allyn publié récemment aux Éditions du Chat Noir, à la différence près qu’il va falloir attendre patiemment la suite, la saga comportant 4 tomes en tout !



Oubliez vos rêves d’enfants – jolies maisons de poupées et tours de carrousel enchantés !



"Elles étaient réelles. Ce n’étaient ni des poupées, ni des jouets."

Dollhouse nous fait vivre à la fois une aventure palpitante et un cauchemar éveillé dont on a du mal à sortir une fois le livre fermé. Quel rythme et quelle écriture ! Comme dans Lake Ephemeral, il est difficile d’émettre des hypothèses, le lecteur se perd dans les méandres cauchemardesques des lieux et de l’intrigue. L’ambiguïté dont chaque personnage est porteur est entretenue tout au long du roman. Ce qui a pour effet de nous faire tourner frénétiquement les pages. L’effrayant et capricieux carrousel dont il est question dans le roman agirait-il aussi sur notre façon de lire ?

Les amis d’Aisha suivent les traces de leur amie disparue. Parvenus jusqu’à un manoir isolé, ils empruntent un carrousel qui les conduit jusqu’à un étrange lieu : la maison de poupées. Jessamine y joue le rôle de maîtresse de maison. Dès lors que l’on devient son invité(e), on se doit de respecter certaines règles. Lire, danser ou boire du thé deviennent des activités obligatoires, ritualisées. Se maquiller aussi, pour être présentable… Le thé possède des vertus soporifiques qui ôtent toute forme d’opposition. Ainsi, Missouri, Sophronia et la jeune Philomena, déjà présentes dans la maison à l’arrivée d’Aisha, de Cassie, d’Ethan et de Lacey, semblent avoir accepté leur sort, au point de renoncer à leur vrai prénom… Ethan et Cassie, venus dans un but précis, décident alors de jouer le jeu, car il est impossible de discuter avec Jessamine. On a peur pour eux. Jusqu’où peuvent-ils ou doivent-ils aller pour ne pas perdre leur intégrité, leur lucidité ?

"Je pris le maquillage et m’avançai jusqu’au miroir à dorures sur le mur. J’enfonçai un doigt dans le pot et appliquai le produit en cercle sur me joue, puis sur mes lèvres. La peinture sentait la cire et l’odeur des objets vieillis. Je ressemblai maintenant aux autres filles. J’avais l’air ridicule. Des rubans étaient disposés sur la coiffeuse, sous le miroir, à côté d’une énorme brosse en bois. Je la passai dans les cheveux châtains tout emmêlés, fis deux tresses et les fixai sur ma tête avec les rubans.

Je ne me reconnaissais déjà presque plus."



L’impression d’assister à une pièce de théâtre un peu surjouée, un peu décalée, laisse la place à un sentiment d’effroi qui ne nous quitte plus. La sublime couverture créée par Mina M représente, selon moi, ce moment de bascule, la limite entre entre le jeu et l’horreur. Les questions des protagonistes se superposent aux nôtres. Qui est la Première Fille – celle qui a ouvert le bal dans la maison de poupées et qui pourrait éclairer Cassie et Ethan ? Où se trouve-t-elle ?



Des lieux arachnéens



La maison de poupées imaginée par Anya Allyn semble belle et bien vivante, comme si chaque pièce, chaque meuble, chaque mur, chaque recoin, chaque couloir – visible ou invisible – participait d’un organisme gigantesque qui, pour exister, aurait besoin de se nourrir d’âmes enfantines – féminines ? Ce qui n’est pas sans rappeler les motifs classiques et les figures de marâtres que l’on retrouve dans les contes de fées. Les protagonistes perdent leurs repères, tournent en rond, sont partagés entre la crainte de se retrouver dans le Coffre à Jouets – boîte à cauchemars pour les poupées désobéissantes – et celle de découvrir les secrets des lieux. Qui sont réellement Donovan, le Bienfaiteur et Balthazar ? Pourquoi s’intéressent-ils autant à Cassie ? Que signifie ce bal costumé qui rassemble des personnages n’habitant pas la maison de poupées et qui dessine la crainte sur le visage de Jessamine habituellement si stoïque ? D’où viennent-ils ? Comment peuvent-ils se dérober si facilement au regard ?



Vous prendrez bien une p’tite tasse de thé ?



Euh… non merci… sans façon… pas cette fois....

"Une théière surdimensionnée était posée au centre de la table ? Un bref instant, je fus contente que les poupées nous tournent le dos. Mais l’idée était folle : des poupées ne pouvaient pas nous voir."

Par contre, je reprendrais bien un autre livre des Éditions du Chat Noir !



Carrousel de livres



En lisant Dollhouse, j’ai (re)pensé à d’autres histoires passionnantes, d’autres lieux fantasmagoriques, d’autres personnages – pantins, automates, monstres ou humains, que l’on peut rapprocher de cet univers troublant créé par Anya Allyn… Aeternam Opéra de Laetitia Arnould, Lake Ephemeral d'Anya Allyn, Tragic Circus de Cécile Guillot et Mathieu Guibé, Les Fiancés de l’hiver de Christelle Dabos, A Doll's House de Henrik Ibsen et Magnetic Island de Fabrice Colin...

Une pépite !

Un coup de cœur !


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Lake Ephemeral est un roman surprenant du début à la fin. Anya Allyn a su mettre une pincée de magie dans une folie scientifique et réussit le pari de nous tenir en haleine pendant les 440 pages du roman. Malgré le fait que l’héroïne a 11 ans, le lecteur s’attache rapidement à ce personnage fougueux qui ne se laissera pas démonter face à des plantes carnivores et à des pantins revanchards. L’auteure nous entraîne dans un monde aux apparences paradisiaques et nous fait finalement découvrir que du paradis à l’enfer, il n’y a qu’un pas ! J'ai adoré :)
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Anya Allyn a su prendre des risques ici en emmenant son lecteur dans une aventure qu'il ne peut appréhender. Obligé de se laisser embarquer dans les aventures au gré des envies de l'auteur, cette dernière nous fait prendre le risque d'être déçus. Mais en même temps, elle amène une quantité de mystères et de questions qu'elle n'aurait pu avoir sans cela. Personnellement cela a très bien fonctionné avec moi, je fus envoûtée par cette histoire. J'espère qu'il en sera de même pour vous, et que vous serez autant convaincus que moi par le récit et l'écriture d'Anya Allyn. Un OVNI à découvrir.



Lire ma chronique :
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ATTENTION CHEF D’ŒUVRE ! J’ai tout de suite été happée par l’ambiance mystérieuse de Lake Ephemeral et de ses six manoirs… cette aura de mystère et de danger. Impossible d’arrêter de lire, il fallait que je comprenne, que je sache. Les premières révélations m’ont totalement surprise, car le tournant SF que prend l’histoire est assez inattendu et original, et puis le rythme s’accélère, de rebondissement en rebondissement. Certains passages sont réellement très émouvants, et j’ai failli pleurer à plusieurs reprises. Difficile d’en dire plus sans spoiler l’histoire, mais une fois le livre refermé, il m’a fallu un petit moment pour revenir à la réalité et j’ai laissé derrière moi Sera et ses amis avec une pointe de regret et de nostalgie.