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Critiques de Arthur Golden (378)
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Geisha

Chiyo, 9 ans, fille de pêcheur, est vendue par celui-ci à une maison de geisha (okiya en japonais).

Dans l'okiya, dirigée par Granny, Mère et Tatie, Chiyo va subir la haine de Haksunomma, la geisha en titre. Celle-ci craint pour son titre car Chiyo est très belle. Chiyo devra subir toutes les brimades mais saura résister.
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Geisha

Chiyo n'a que 9 ans lorsqu'elle est vendue par son père pour être servante dans une maison de geisha à Gion. Contrainte de quitter son petit village de pêcheur, elle découvre un monde nouveau et fascinant.

Au fil du temps, la petite fille devient une très belle jeune femme et Mameha, une geisha reconnue, décide de la prendre sous son aile pour faire qu'elle un apprentie geisha.



C'est un beau roman que nous livre ici Arthur Golden. J'ai trouvé l'écriture assez fluide mais vraiment bien documentée.

Ce qui fait la force du roman, c'est le personnage de Chiyo. On suite l'évolution de cette fillette qui nous la rend très attachante.

Petit bémol toutefois sur certains passage du livre consacré à des descriptions que j'ai trouvé parfois un peu longues.
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Geisha

Ce livre est superbe. Il contient une part d'histoire, haine, amour, séduction, difficulté, culture, tradition... chacun peut s'y retrouver. J'ai une réelle fascination pour ces geishas et leur mode de vie. Après un apprentissage des plus difficiles, elles doivent passer leur vie "enfermées" et au service de leur clients... Dans ce japon qui chérit tant ses traditions, cette geisha est un véritable coup de frais... RIen que ses yeux bleux sont une ineptie pour la plupart des japonais... Ce livre est réellement envoutant, magique,... Je vous conseille l'adaptation cinématographique et surtout la partie où notre geisha dance...
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Geisha

Ça faisait déjà un très long moment que j'avais envie de découvrir ce livre : en effet, le film sorti il y a quelques années m'avait énormément plu. Mais bon, visiblement, dans ma médiathèque, je n'étais pas la seule à avoir envie de le lire ! Six mois se sont bien écoulés avant que j'arrive à l'emprunter ;)







Et je comprends totalement cet engouement ! Le film est très bien mais le livre l'est encore plus. Pour tout dire, j'avais eu quelques incompréhensions en regardant le film et le livre - plus riche et complet - m'a donné la solution pour certaines de mes questions.



J'ai, en effet, beaucoup aimé la façon dont est décrypté pour nous - pauvre lecteur occidental non initié aux traditions japonaises - le phénomène des Geishas et forcément la lecture n'en est que plus riche en découverte.



Personnellement, je pense que c'est un livre qui peut changer le regard que l'on a sur les Geishas. D'un autre côté, je suis très mal placée pour parler de ça : je ne crois pas que je savais réellement ce qu'était une Geisha avant la sortie du film, alors bon... Mais de Geisha, il en sort une aura sacrée, pure et traditionnelle. Dans le livre, elles sont si respectées qu'on en vient à les respecter nous-mêmes et tant mieux !







J'ai beaucoup aimé l'ambiance du livre pleine de rebondissements, de sentiments et de traditions. C'est vraiment très agréable d'évoluer aux côtés de Chiyo. Cette demoiselle est si douce, calme et pleine de bonne volonté. J'aime beaucoup la façon dont elle se bat pour se faire sa place et quand on voit comment elle était petite, il n'y a vraiment rien d'étonnant à ce qu'elle soit devenue la grande Sayuri ! Sans compter qu'elle m'a beaucoup touchée avec sa motivation pour devenir Geisha.



Il est tout aussi difficile de trouver Hatsumomo sympathique. Cela dit, sans elle l'histoire ne serait rien. C'est grâce à elle qu'on comprend qu'il est difficile de garder une bonne réputation et de ne pas faire les mauvais choix dans un monde sans pitié comme celui des Geishas. Comme quoi ce n'est pas forcément parce qu'on est belle qu'on a rien dans la tête ! Je n'apprécie pas Hatsumomo mais j'ai beaucoup aimé le personnage dans le contexte de l'histoire.







Le dernier point très positif de l'histoire est bien sur l'écriture d'Arthur Golden. C'est lui qui nous impose cette vision des Geisha assez sophistiquée, glamour et surtout romantique. C'est grâce à lui qu'elles ne me sont pas apparues comme des prostituées mais comme des représentatrices d'un art désuet (après tout, entre la cérémonie du thé, la musique, le chant et la danse...) dans notre monde d'aujourd'hui. Sans compter qu'il a vraiment une écriture très agréable et pleine de charme.



Geisha est vraiment une belle histoire.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Geisha

Un livre qui a longtemps attendu sur les rayons de ma bibliothèque et qui a soudainement attiré mon attention. J'ai débuté cette lecture sans grandes attentes. Le résultat? Mes soirées de lectures se sont allongées, avide que j'étais de connaître la suite. Une histoire bien écrite, un personnage principal qui est attachant dès le début et des intrigues surprenantes, mais nécessaires. Le roman est écrit par un historien, ça reste un roman, sauf que l'on découvre un peu de la réalité de ce monde que l'on connait souvent très peu. Une lecture que j'ai grandement aimée.
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Geisha

L'histoire débute sur l'enfance de Chiyo, qui vit dans un petit village du Japon. Son père est un vieux pêcheur, sa mère est gravement malade et est sur le point de mourir, l'avenir de la petite fille ne parait pas radieux. Un notable du village repère Chiyo et sa sœur et parvient à convaincre le père de les emmener avec lui en échange d'une somme d'argent à Kyoto. Chiyo atterrira dans un Okiya, une maison de geishas, sa sœur sera par contre emmenée dans un bordel.



La vie de la petite fille n'est pas simple, entre l'acharnement de Hatsumomo, seule geisha en activité de l'Okiya qui ne supporte pas la concurrence, la nostalgie du village, l'envie de retrouver sa sœur, et les professeurs peu amènes. Elle finira par faire un faux pas en essayant de s'enfuir avec sa sœur, tentative qui échoue. Les directrices de l'okiya décident alors d'arrêter tout investissement sur Chiyo, et ne lui font plus faire que des tâches de domestique. Les mois passent sans espoir de changement, jusqu'à ce que Mameha, grande rivale d'Hatsumomo, décide de prendre Chiyo sous son aile pour en faire une des geishas les plus en vue de Gion.



L'immersion dans le monde des geishas est très réussie, on ne repose pas le livre avant de l'avoir terminer. L'auteur est américain, mais on sent qu'il s'est bien documenté sur le sujet. Le seul petit bémol est le happy end à l'américaine qui détone avec le reste du récit, mais c'est un détail que je pardonne facilement.



Difficile d'avoir un avis tranché sur ce que vivent ces jeunes filles. D'un côté, elles semblent vivre dans une bulle confortable faite de luxe, d'art et de raffinement. D'un autre côté, la frontière entre la maison de thé et la maison close semble bien mince : on met leur virginité aux enchères, elles ne vivent correctement que si un riche protecteur s'intéresse à elles. Peut-être ont-elles du mal à juger leur situation elles-mêmes. Comme l'a dit Sayuri : "L'après-midi où j'ai rencontré M. Tanaka à été à la fois le plus beau et le pire de ma vie."
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Geisha

Memories of a geisha


Traduction : Annie Hamel





Ce qui étonne, et même stupéfie, dans "Geisha", c'est qu'un homme ait pu se placer avec tant de facilité à la place d'une femme, à plus forte raison d'une femme d'une génération et d'une civilisation fondamentalement différentes des siennes.


Le roman d'Arthur Golden conte en effet l'histoire d'une petite Japonaise aux yeux gris - couleur rarissime au Japon - Chiyo qui, née dans un obscur village de pêcheurs, à Yoroido, au début du XXème siècle, deviendra l'une des geishas les plus en vue de Gion avant de s'installer aux Etats-Unis après la Seconde guerre mondiale et de monter à New-York, avec l'aide de son protecteur (= danna en japonais) une petite maison de thé très cotée.


Chiyo, dont la mère est mourante, est tout d'abord remarqué par un notable de son village, M. Tanaka, lequel a eu une enfance malheureuse et se dit que, élevée décemment, cette enfant aux yeux si beaux et si étranges devrait finir par accéder à un bon niveau de vie. A cette époque, pour une fillette, il n'y a pas trente-six moyens de réussir : Tanaka convainc le père de l'enfant de les vendre, elle et sa soeur, à une okya (=maison de geishas) de Gion, à Kyoto, tenue par Mme Nitta.


Tandis que sa soeur, bien moins jolie, prend le chemin d'un bordel banal, Chiyo commence le dur apprentissage de geisha dans une maison où elle s'attire tout de suite la haine de la geisha en titre, Yatsumomo. Elle rêvera longtemps de s'échapper, tentera même de le faire jusqu'au moment où sa rencontre avec "le président" dans une rue de Gion, alors qu'elle n'a que 14 ans, lui donnera les motivations qui lui manquaient.


"Coachée" si l'on peut dire par Mameha, l'une des plus célèbres courtisanes de l'époque qui est aussi la grande ennemie de Yatsumomo, elle passe du statut de simple servante à celui, tant enviée, d'apprenti-geisha, suivant sa "grande soeur" (on nommait ainsi les geishas confirmées qui se chargeaient d'enseigner leur art aux apprenties) dans les maisons de thé où elle apprend à charmer et à plaire. Enfin, elle devient elle-même geisha et prend alors le nom de Sayuri.


Mais ses aventures ne sont pas finies et je gâcherais votre plaisir en vous les dévoilant.


A la différence du "Miroir des Courtisanes" de la Japonaise Sawako Ariyoshi, "Geisha" a une fin relativement clémente. Toutefois, au même degré que le "Miroir ...", ce roman décrit avec minutie l'univers des geishas où le moins que l'on puisse dire, c'est que tout n'est pas toujours rose. C'est aussi un regard assez pénétrant posé sur les coutumes sexuelles de ce que les Chinois appellent "le monde des Fleurs" et une excellente peinture de moeurs. C'est enfin un livre qui se lit vite et avec grand plaisir et qui ne laisse jamais le lecteur sur sa faim - sauf peut-être en ce qui concerne le retournement du personnage de Nobu, qui m'a paru, je l'avoue, très peu crédible. Mais enfin, la "happy end" à l'américaine exigeait, je suppose, son éviction.


Si vous ne connaissez rien de la tradition nipponne des geishas - lesquelles ne sont pas de banales prostituées - ce livre constitue un bon début pour vous y intéresser. Il ne faudrait pas cependant en rester là. Le roman de Sawako Arioshi est aussi à lire et il existe même un curieux récit, d'une Anglaise ou d'une Américaine qui, dans les années 70, s'acharna à devenir elle-même geisha. Si j'en retrouve le titre, je le noterai.


Bonne lecture ! ;o)
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Geisha

Dans ce roman d’Arthur Golden, j’ai fait la connaissance de Chiyo, fillette de 9 ans, qui habite dans un petit village de pêcheurs au Japon auprès de ses parents pauvres et de sa grande sœur Satsu. Sa mère étant gravement malade, son père décide de vendre ses 2 filles. L’aînée va devenir prostituée et la cadette servante dans une okiya pour prétendre à devenir une geisha. Un de ses atouts, ses yeux bleu-gris.

Et bien, quelle belle découverte que l’univers des geishas. Tout un métier en fait, une dame de compagnie si je puis dire, une artiste même qui se doit de savoir chanter, jouer, danser et même avoir de la conversation pour divertir ces messieurs lors d’un repas par exemple.

Et puis, j’entrevois un monde impitoyable, vraiment très codifié, où l’apprentissage s’avère difficile. Les geishas doivent apprendre aussi à souffrir pour être belle et plaire : les cheveux tirés et durement peignés, le port du lourd vêtement traditionnel, les inconfortables chaussures…

Les rivalités, les jalousies et les intrigues à jouer ou à déjouer pour arriver au but ultime, devenir geisha et bien je me suis laissée emporter par ce roman initiatique un brin romancé qui se déroule au moment de la 2nde guerre mondiale, par Chiyo si attachante, son apprentissage, ses attentes et ses espoirs.

Bref, en deux mots : dépaysement garanti !

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Geisha

Pour écrire Geisha, Arthur Golden s’est inspiré de témoignages et de la vie d’une certaine Mineko Iwasaki. Ces mémoires fictives suivent le parcours de Chiyo, petite fille de 9 ans, vendue par son père à un Okiya (maison close japonaise). C’est là qu’elle qu’elle suivra un apprentissage difficile et semé d’embuches pour devenir Sayuri, l’une des geishas les plus réputées de son époque.



Au fil des pages de ces mémoires, on voit la jeune Sayuri évoluer dans un univers très codifié qui fait la part belle aux rivalités et aux désirs mais où les apparences sont primordiales. Arthur Golden décrit avec minutie et beaucoup de réalisme le parcours de Sayuri en tant qu’élève et geisha au pays du soleil-levant, dans les années 30. Pour mois, Geisha est surtout un roman d’initiation et d’apprentissage avant d’être un roman d’amour même si la relation entre le Président et Sayuri sert de toile de fond à une grande partie de ces mémoires.



Grâce à des descriptions très précises et travaillées, le lecteur arrive à complètement s’immerger dans le Japon d’avant-guerre et le milieu très fermé, pour ne pas dire mystérieux, des geishas. En effet, l’auteur réussit le pari de nous transporter à une autre époque et dans un pays aux coutumes très différentes du notre qui hésite alors entre traditions et modernité.

L’auteur est très pointu dans ses descriptions ou les faits historiques se déroulant au moment de l’intrigue. On a presque l’impression de pouvoir ressentir les sons, les odeurs ou les couleurs qu’il nous décrit.



Cette histoire, à la fois triste et mélancolique, contient quelques longueurs mais elle est tellement prenante qu’une fois le livre refermé, on les oublie très facilement pour ne retenir que le destin hors norme de Sayuri.

Les personnages secondaires sont tout aussi intéressants : Hatsumomo, Mameha ou encore le Président et Nobu sont des personnages complexes qui apportent encore plus de profondeur à une histoire déjà très riche.

Il n’y a donc vraiment rien à redire sur le style d’écriture d’Arthur Golden : soucis du détail, fluidité et finesse étaient au rendez-vous pour mon plus grand bonheur.



Geisha est un très beau livre, emprunt de poésie et de mélancolie, sur la vie d’une femme au destin exceptionnel. Il a également fait l’objet d’une adaptation plutôt réussi en 2006, Mémoires d’une Geisha, réalisée par Rob Marshall.


Lien : http://drunkennessbooks.blog..
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Geisha

Intime, violent et passionné, Geisha est un roman auquel on pardonne volontier les quelques maladresses narratives au profit d'un véritable plaisir de lire et découvrir les aventures extraodinaires de cette petite fille que rien ne prédisposait à une vie si mouvementée... rien, sinon le destin !

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Et pour d'autres aventures livresques, rendez-vous aussi sur Instagram :
Lien : http://www.instagram.com/les..
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Geisha

Un superbe roman prenant de bout en bout. J’ai vraiment aimé cette histoire mêlant raffinement et tristesse sur cette petite fille devenue geisha.

Un livre qui vous entraine dans le petit monde fermer des Geisha qui me sembler si jolie et faisant partie intégrante de la culture nippone, je les pensaient vivant agréablement dans une belle maison et divertissant de riche puissant. Ce roman est aussi l’occasion de mettre les idées reçues de coté. Dans les mœurs générales, les geishas sont des prostituées de luxe qui ne vivent que pour le bon plaisir des japonais.



Les geishas sont avant tout des artistes (c’est la signification du mot geisha). Elles sont douées dans tous les arts tels la danse, le chant, la musique, mais aussi la cérémonie du thé. Elles sont comme des poupées de porcelaine, considérées comme des objets de luxe

Je ne me doutais pas que la vie était aussi difficile et que durant ses temps de guerre il était possible de vivre comme ça, une si jolie petite fille qui fini par vivre une vie parallèle. Le livre nous plonge dans ce monde avec une étrange sensation. Somme nous des voyeurs ou simplement des passant ne sachant quoi faire pour cette petite fille. Je vous laisse lire ce livre et me donner la réponse.



Le style de l’auteur est très agréable à lire. Certains pourraient trouver le rythme lent mais ce n’est absolument pas ennuyeux,. Il est plutôt contemplatif il est à l’image de son héroïne, raffiné et délicat.

En conclusion, un superbe livre sur un univers méconnu de nous autres, occidentaux.
Lien : http://leschroniquesaleatoir..
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Geisha

Ce livre est vraiment beau et poétique. La plume de cet auteur est soignée et touchante. L'histoire qu'il nous raconte m'a transportée dans le Japon du 19 ème siècle avec douceur et dureté. La vie de Sayuri n'est vraiment pas un long fleuve tranquille mais la beauté du monde des geishas compense toute cette difficulté.



Je comprends pourquoi on fait encore l'éloge de ce livre parce qu'il est superbe. Cependant, j'ai trouvée ma lecture un peu longue. Ce n'était pas ennuyant mais certains moments m'ont parus plus longs que d'autres. Mais c'est sûrement le seul défaut que je peux trouver à cet ouvrage. Pour moi, c'est un livre à lire une fois dans sa vie.
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Geisha

Une immersion dans le Japon des années 30 et l'univers des Geishas.

En suivant le parcours de Chiyo, une petite fille aux yeux couleur de l'eau, nous découvrons tout le travail que doivent accomplir ces jeunes filles pour devenir de grandes geishas, un statut qui leur assurera des revenus plus ou moins important selon leur notoriété. Danse, chant, musique, art de la conversation et de la séduction, Chiyo suit tout un apprentissage qui parfois la dépasse, pour devenir à 15 ans, sous la protection de sa "grande sœur" Mameha, la geisha Sayuri.

Complot, jalousie, rivalité, amour, Arthur Golden mêle tout cela avec brio pour nous faire découvrir cet univers complexe et ses mutations au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

Une lecture passionnante.
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Geisha

Chiyo est une jeune fille de pêcheur. Elle a seulement 9 ans lorsque son père la vend à une okiya comme geisha. Si au début elle tente de fuir, elle comprend rapidement que devenir geisha est une chance. C'est surtout le seul moyen pour elle d'approcher l'homme qu'elle aime.



Je me suis complètement laisser happer par cette histoire. J'ai vécu au Japon par procuration grâce à Sayuri (nom de geisha de Chiyo). L'auteur a réussi à me transporter littéralement dans son monde. Je me suis surprise à penser aux protagonistes, même à table avec ma famille, sans avoir le livre à la main. Impatiente de reprendre ma lecture. C'est un fait rare qui fait de ce livre un coup de cœur.
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Geisha

Au final une lecture des plus agréables, une écriture soignée, une histoire que l'on suit avec grand plaisir et dans laquelle on part à la rencontre d'un univers pas vraiment connu. Je suis très contente de l'avoir lu car sans cette lecture commune je crois qu'il serait resté encore un moment dans ma Pal.
Lien : http://bloggalleane.blogspot..
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Geisha

Roman riche en émotion qui nous fait voyager loin de chez nous dans un univers atypique mais pourtant bien réel, et bourré d'une connaissance hors du commun. Pour les amoureux de la connaissance et du Japon, ce roman est pour vous.



Ne connaissant pas beaucoup de choses, pour ne pas dire rien, concernant le monde asiatique ; ne lisant aucun manga et n'ayant encore jusqu'à présent lu aucun roman parlant de cet univers, c'est dans un inconnu total que je me suis lancé dans cette lecture, avec aucun a priori. Est-ce grâce à cela que j'ai autant apprécié ce roman ? Je ne saurais le dire. Ayant souvent entendu le mot « Geisha » sans jamais en comprendre réellement le sens, J'ai pris un réel plaisir à suivre cette atypique aventure.



Il s'agit de la triste histoire de Chiyo, ainsi que de sa sœur qui se retrouvent embarqué dans une histoire hors du commun, à la fois triste mais qui se révélera être une aventure que Chiyo ne regrettera pas une seule seconde de sa vie.

En effet les voilà tristement vendu à une Okiya alors même que sa mère est mourante, dans le but de devenir une Geisha de haut rang, ou, si elle se révèle inapte, une simple domestique.



J'ai beaucoup aimé la force de caractère de cette si jeune enfant, qui apprend à vivre très vite, hors des contes de fées et loin de sa maison ivre, cela ma touché du début à la fin, elle sait ce qu'elle veut et fait tous pour y arriver.

Elle rencontrera, sur son chemin des gens pas toujours bien, au fond méchant et jaloux, notamment Hatsumomo, mais aussi des belles âmes, qui l'aidera et la guidera vers le bon chemin, comme Mameha, mais aussi Nobu. J'ai aimé détester certains personnages comme Tatie.

Nous apprenons à connaître en profondeur chaque personne que Chiyo rencontre, que ce soit physiquement, psychologiquement, leurs quotidiens...



C'est une merveilleuse histoire, superbement bien écrite, et où j'ai particulièrement bien aimé la poésie qui se dégage des prénoms et de l'atmosphère de ce Japon de 1940. L'aspect historique était présent par touche nuancée dans le roman, ce qui ma touché et ému.

Néanmoins, j'ai trouvé ce roman long par moments, beaucoup de description et des longueurs qui m'ont parfois ralenti, allant même jusqu'à me lasser. J'ai également été révolter quand je lisais comment étaient traitées les femmes à cette époque.



Ce livre reste tout de même un livre à livre sans retenue, car ce n'est pas qu'un roman de plaisir, mais un roman de connaissance, une histoire de Notre histoire à connaître.
Lien : http://magie-litteraire.skyr..
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Geisha

Geisha m'a emportée au début du XXème siècle dans cet univers bien particulier du Japon. L'histoire est intéressante et fort bien documentée, sous forme d'une autobiographie fictive. La chute est un peu décevante. L'ensemble est agréable à lire mais m'a paru très éloigné de nos préoccupations actuelles, j'en garderai l'image des beaux kimonos de soie.
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Geisha

Bestseller rendu encore plus connu par le film qu'il a inspiré (adaptation fidèle et esthétiquement éblouissante, actrices sublimes, musique somptueuse mais quelques lenteurs), Geisha fut pour moi une porte entrebâillée sur un monde plein de mystères et de féminité que je n'ai eu depuis de cesse d'explorer dans des oeuvres moins romancées et plus documentées. J'ai donc toujours une certaine tendresse pour cette fiction quand bien même elle ne se distingue pas par son réalisme, parce qu'elle m'a introduite dans le Japon des geisha.

Histoire d'amour passionnel, de luttes de pouvoir dans une société exceptionnellement dominée par les femmes (et ce n'est pas monnaie courante au Japon semble-t-il), à un moment où l'histoire du Japon en particulier et du monde en général est particulièrement tourmentée, Geisha est forcément mouvementé et prenant. On n'oublie pas facilement son héroïne aux yeux bleus.
Lien : http://stendhal-syndrome.fr/..
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Geisha

A travers ce livre, on pénètre dans le monde des Geisha. Arthur Golden raconte de manière romancée la vie de Chiyo, une petite fille, vendue à neuf ans à une maison de Geisha. Elle deviendra la célèbre Sayuri, la Geisha aux yeux bleus. C'est passionnant de découvrir toutes ces traditions, ce monde fermé.

J'ai adoré ce roman. Il n'y a aucune longueur, c'est bien écrit. C'est vraiment un roman magnifique et passionnant.

Laissez vous prendre par cette histoire!!
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Geisha

Chiyo, fille de pêcheur, vit dans un petit village du Japon de l'entre-deux guerres. Entre sa mère malade et les difficultés financières de son père, elle est vendue, ainsi que sa sœur Satsu, par son père pour atterrir à Kyoto. Ses exceptionnels yeux bleu-gris lui permettront d'éviter le pire, la prostitution, comme sa sœur, et de découvrir la vie d'une okiya, maison qui forme et organise la vie de geishas.



Ce roman retrace l'enfance de Chiyo, ses premiers pas à Kyoto, la manière dont elle est devenue la grande et renommée geisha Sayuri et sa vie.



C'est un dépaysement total que cette lecture apporte, tant du fait de l'époque que du fait du pays. Mais le dépaysement tient surtout à la description de cette micro-société de Gion, des rituels qui entourent les geishas, leur mode de vie, leur habillement, leur maquillage. On y découvre que les geishas avaient pour rôle de distraire les hommes par leur compagnie ou par leur art, la danse, la musique (et non par le sexe, comme je pouvais le penser avant cette lecture).



L'histoire de Chiyo/Sayuri, c'est aussi l'histoire d'une petite fille qui doit s'adapter à sa situation et lutter pour forcer le destin, malgré les jalousies entre geishas, malgré la guerre.



Original et captivant.
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