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Critiques de Arthur Golden (378)
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Geisha

Evasion au soleil levant

Il y a des années, Pearl Buck m'avait envoutée avec Impératrice de Chine.



Geisha rejoint sa consoeur dans mon panthéon des destins de femmes exceptionnels. Le destin et/ou la société japonaise et/ou le siècle transforme la fille d'un pêcheur pauvre en Geisha célèbre et raffinée.



On découvre à travers son regard imaginatif l'univers japonais avant la 2nde guerre mondiale. Pas de morale à outrance, pas de jugement, pas d'explications barbantes. On nous livre juste sur un plateau la culture japonaise, toute en retenue, en discrétion, sans pour autant cacher les combats et rébellions de la narratrice.



Alors faut-il le lire ? Oui. vraiment.
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Geisha

Ce roman est un vrai plaisir : on suit la quête initiatique de la jeune Chiyo qui doit devenir une geisha. Les personnages sont impeccables, attachants, profonds.

On est plongé dans un monde à mille lieues de ce que nous connaissons aujourd'hui : le Japon avant et pendant la Seconde Guerre Mondiale et surtout le quartier des geishas. On découvre une foule de détails, une atmosphère, des traditions et des rites. C'est magique.

L'histoire est très belle également et j'admire l'auteur d'avoir réussi à se glisser dans la peau d'un narrateur aussi éloigné de lui que possible tout en restant crédible.
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Geisha

Lorsque Sayuri est vendue par son père, elle n'a que neuf ans. Cette petite fille de la campagne va se trouver propulsée dans un univers qui lui est totalement étranger : le quartier des geishas, Gion, à Kyoto. Sayuri va commencer par être "femme de ménage" dans une maison de geisha. Elle est au service de Hatsumomo, geisha très en vogue qui fait vivre cette maison. Cette femme de toute beauté a un épouvantable caractère. Elle va tout faire pour rendre la vie impossible à Sayuri. Elle cherche très vite à écarter toute concurrence potentielle de cette petite fille aux yeux sublimes. Sayuri n'est qu'une enfant et tombe dans les pièges qui lui sont tendus par Hatsumomo. Elle compromet ainsi son avenir de geisha. Jusqu'au jour où la principale rivale d'Hatsumomo, Mameha, la prend sous son aile. C'est grâce à Mameha que Sayuri va devenir l'une des plus grandes geishas de son époque.



L'auteur nous plonge dans la vie du quartier de Gion, très codifié. Il y a une énorme documentation derrière ce livre. C'est avec intérêt que j'ai découvert le monde des geishas qui est en fait très mal connu en occident. Une fois ce livre commencé, il est très difficile de le reposer. On a très envie de connaître l'évolution de la vie de Sayuri qui est un personnage très attachant tant par sa naïveté que par sa pureté.
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Geisha

Dans l'imaginaire collectif toutes les Japonaises ont été des geshas, avec leurs masques blancs, leurs kimonos chamarrés et leur rituel de la cérémonie du thé.



Pour les Occidentaux, cela représente la femme "exotique" et surtout le plus haut point du raffinement féminin.



Mais quand est - il des pensées les plus intimes de ces femmes ? Croyez vous vraiment que l'une d'entre elle s'est levée un matin et ce soit dit : "Tiens aujourd'hui il fait soleil, je vais être une geisha ce soir" ?



Ne devient pas geisha qui veut. Leur route est juchée d'embûches, de moments de doute,, de solitudes et de trahisons. Leur éducation se fait dans la souffrance, l'humiliation afin que chacune de leurs postures atteignent la perfection.



Lorsque vous aurez fini de suivre le dur parcours et les différentes pérégrinations de notre héroïne, je suis certaine que tout vos à priori "occidentaux" sur le rôle des geishas se seront envolés tout comme les pétales des cerisiers en fleurs.
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Geisha

Quand on relit un livre pour la 7e ou 8e fois, il est moins facile de se laisser aller à la critique. Geisha est un de mes premiers souvenirs marquants de lecture. Je l'avais trouver au CDI j'avais 11 ans à peine et bientôt 15 ans plus tard il m'accompagne toujours.

Entré dans ce roman c'est plonger dans un tableau de maître sur le Kyoto des années 30 à 60. Chaque élément d'écriture permet une visualisation parfaite et l'on entend le bruit des Okobo qui résonne sur les pavés entre les salons de thé, on voit les visages blancs luisant sous les lumières des chandelles, les volutes des Ohana dont l'odeur monte jusqu'à nous...

C'est une voyage sensoriel, visuel, culturel qui marque l'esprit.

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Geisha

Une fois n'est pas coutume, j'avais d'abord vu le film et avais beaucoup aimé.

Le livre, sans surprise, est encore mieux.

Nous suivons la vie d'une jeune femme de ses 9 ans à la fin de sa vie, même si la fin est plutôt vite traitée. L'intrigue se concentre sur les débuts de la vie de geisha de cette jeune fille, le monde impitoyable de l'apprentissage et de la pauvreté, et puis sa vie de geisha en elle-même.

Nous apprenons beaucoup sur ces femmes et j'ai vraiment beaucoup aimé l'histoire de cette jeune femme et de sa grande soeur.

Ca reste exotique pour moi puisque je ne connais pas grand chose à la culture japonaise.
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Geisha

Une petite fille de pécheur est retirée de sa famille et vendue pour devenir apprentie Geisha. On va la suivre tout au long de sa vie. Arthur Golden nous raconte la vie d’une Geisha comme si c’était une biographie. On y croirait presque il s’est superbement documenté et il en ressort un livre formidable, touchant, exceptionnel. On pénètre dans ce livre et on arrive directement dans l’histoire et c’est avec peine qu’on en ressort. De plus ce livre nous permet de découvrir vraiment précisément ce qu’était la vie de Geisha. Une grande réussite.



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Geisha

Ce roman est très populaire et il mérite cette popularité. J'ai eu du mal à me plonger mais une fois que j'y étais, je l'étais jusqu'au dernier mot. L'auteur a réussi a nous faire découvrir le monde des geisha des années 1930. On suit Sayuri dans sa vie de geisha ainsi que l'évolution de son amour pour le président. Il tient en haleine jusqu'au bout
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Geisha

« Geisha » est un roman fleuve dont la lecture ne m'a guère passionné.



Reconnu pour son coté anthropologique, il a pour principal mérite de décrire le fonctionnement internes des okiya, sorte de maison d'apprentissage ou les geisha subissent un entrainement intensif pour devenir des prostituées de luxe.



La trame romanesque ne vole pas bien haut : l'héroine principale issue du bas de l'échelle sociale gravissant les échelons par son physique, son habileté et aussi pas mal de chance.



Une histoire finalement presque plus « american dream » que japonaise. Quant à la romance avec le PDG d'un groupe d'électricité japonais, elle constitue un ressort bien usé pour arriver au bout des 523 pages.



Ne cherchez pas non plus une once d'érotisme ou de mystère dans ce livre « grand public ».



Vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé « Geisha » pour toutes les raisons qui ont fait son succès : ce coté édulcoré, lissé, calibré, américanisé pour atteindre sa cible commerciale sans coup férir !
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Geisha

Un magnifique roman sur le monde des geishas qui m'était totalement inconnu jusqu'à présent.

Ce monde est à la fois violent, Chiyo est orpheline, achetée par une Okiya. Le traitement qu'elle subit est parfois très dur, injuste, elle sucite la jalousie.

On suit l'apprentissage de Chiyo de ses 9 ans à la trentaine, lorsqu'elle est devenue une geishas de renom.

Derrière le monde parfait que les geishas présentent en société leur vie est vraiment particulière. La place de la femme, n'en parlons même pas...

Une jolie découverte ce roman qui nous ouvre les portes d'un monde plutôt secret.
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Geisha

Geisha, c'est le récit de Chiyo, une petite fille de 9 ans qui va être vendue avec sa soeur pour devenir geisha.

Chiyo va devenir Sayuri, une des plus grandes Geishas de l'histoire du Japon.



Arthur Golden se base sur le récit d'une véritable geisha pour nous conter cette incroyable histoire qui captivée et passionnée de bout en bout.

On apprend énormément de chose sur la culture japonaise et bien sûr particulièrement sur les mythiques geishas. Leurs études, le mode de fonctionnement de leurs maisons (les okiya), tout le processus d'habillage et de maquillage. Et cela m'a vraiment fasciné.



J'ai tout aussi été captivée par la partie romancée de l'histoire, les histoires entre Geishas, le triangle amoureux entre Sayuri, Nobu et le Président, la seconde guerre mondiale et la chute du pays.



Geisha est vraiment un roman passionnant qui se lit d'une traite et je viens de me commandé Mémoires d'une geisha d'Yuki Inoue pour encore plus approfondir mes connaissances sur ce monde fascinant.
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Geisha

Un excellent roman pour qui veut connaître le monde assez déroutant des geishas. Un monde assez impitoyable avec ses règles strictes, son code de conduite à respecter à la lettre, ses exigences de perfection mais aussi ses coup bas, ses mesquineries, ses stratégies impitoyables pour arriver au premier rang. Il ressort de ce livre que, malgré le luxe et l'opulence dans lesquelles elles se trouvent, leur vie n'a rien d'un conte de fées. Les geishas ne sont pas libres, elles sont dépendantes de la maison où elles séjournent pour les choix et les orientations de leurs carrières et de leurs vies. Il n'est dès lors pas étonnant qu'un problème récurrent dans le monde des geishas soit l'alcoolisme.

J'ai tout de même une critique à faire à ce livre: je trouve qu'au final, notre héroïne s'en sort assez bien. Et j'ai du mal avec les histoires de type biographique qui finissent bien. Elles occultent la réalité. J'enlève donc une étoile.
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Geisha

Ce roman raconte la vie de Chiyo-chan, une petite fille de pécheur vendue par son père comme servante dans une maison de geisha à l’âge de neuf ans.



« Nos vies découlent comme des rivières à flanc de colline : nous allons dans la même direction, jusqu’au moment où un obstacle nous fait exploser en mille gouttelettes et nous oblige à changer de cours. »



Même si la virginité des geishas est mise aux enchères et qu’elles ne s’en sortent que grâce au bon vouloir d’un riche protecteur, le métier n’est pas à confondre avec celui de la prostitution. Etre geisha tient plus d’un art de vivre et le divertissement qu’elles offrent va du chant à la danse, en passant par la cérémonie du thé. Des nombreux dons qui leur permettent d’ensorceler les hommes.



« Être Geisha, c’est être appréciée comme une œuvre d’art vivante. »



Si le parcours initiatique de cette fillette qui rêve de devenir geisha malgré les embûches ne sort pas vraiment des sentiers battus, il propose néanmoins une immersion particulièrement réussie dans l’univers très fermé et assez particulier des geishas. De l’apprentissage du métier à l’adoption d’un nouveau prénom (Nitta Sayuri) une fois la conversion accomplie, le lecteur s’immisce dans l’intimité des geishas et découvre un monde sans pitié, marqué par la jalousie et les rivalités entre les apprenties.



« La vie n’est parfois qu’un long combat au quotidien. »



Outre les nombreux détails sur la vie des geishas, sur leurs codes et leurs traditions, Arthur Golden propose également une plongée dans le Japon des années 30 et 40. Ce voyage qui débute plusieurs années avant la seconde guerre mondiale ne parle donc pas seulement de l’élégance et des talents de ces femmes qui se retrouvent parfois prisonnières de leur condition, mais invite également à découvrir l’ambiance et les traditions d’un pays.



« La démarche d’une femme, dans la rue, devrait évoquer le clapotis des vagues sur un banc de sable. »



L’auteur porte aussi énormément d’attention au développement psychologique des personnages, ainsi qu’aux relations entre les différents protagonistes. Si la petite Chiyo est particulièrement attachante, l’histoire d’amour à laquelle elle se raccroche est également abordée de manière très intelligente.



« Je suis sûre d’une chose, c’est que chacun des pas que j’ai fait, du jour où je vous ai rencontré sur ce pont, n’avait d’autre but que de me rapprocher de vous. »



Un excellent roman, dont il me tarde de découvrir la version cinématographique.



Lisez également « La petite communiste qui ne souriait jamais » de Lola Lafon si vous avez apprécié ce roman et vice-versa.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Geisha

Je ne connaissais absolument rien à l’univers des geishas, et je dois dire que je n’ai pas d’attraits particuliers pour la culture nippone en général mais ce roman fut une excellente découverte.

Dans ce roman l’auteur nous propose de découvrir l’histoire d’une petite Japonaise nommé Chiyo, fille de pêcheur qui deviendra par la suite Sayuri, une grande geisha de Kyoto en traversant bien des orages.

Elle ne le sait pas encore mais elle est exceptionnelle, elle a les yeux couleur eau, d’un gris translucide.

Ecrit sous forme de mémoires, le récit de la vie de Chiyo est très immersif et ne nous épargne rien. On vit le déchirement de cette petite fille et de sa sœur, vendues par leur père à un négociant, l’une destinée à intégrer une maison de geisha, l’autre une maison de prostitués.



La vie de Chiyo est loin d’être un long fleuve tranquille. Elle affronte les tempêtes et les naufrages avec une force hors du commun. Car elle sera brisée à de nombreuses reprises mais si continuera de faire son chemin dans l’espoir de retrouver Mr Le Président. Un homme d’affaire qu’elle croise un jour alors qu’elle n’a que 12 ans et qu’elle est désespérée, cet homme sera le seul à faire un geste gentil envers cette petite fille malheureuse. Cette rencontre sera le déclic pour Chiyo qui dorénavant travaillera dur pour devenir une grande geisha.



Son enfance est extrêmement difficile, arrachée à sa famille, vendue par son père à une « okiya » une maison de geisha dans laquelle elle travaillera d’abord comme servante. Traitée de façon minable par la gérante, insultée et rabaissée elle subira les foudres la grande geisha Hatsumomo, jalouse maladive.



L’enfance malheureuse de Chiyo m’a fait penser au dessin animé Les malheurs de Sophie. On est totalement dans cette ambiance triste d’une petite fille malmenée par la vie mais qui garde quand même toute sa fraicheur et son caractère.



Ce roman est envoutant et m’a captivé du début à la fin.

J’ai adoré suivre Sayuri qui creusera peu à peu son chemin. Entre apprentissage de la danse, cérémonie du thé, art de la séduction, la vie d’une geisha est bien remplie et le parcours est long et chaotique. Car c’est un milieu terrible où la concurrence fait rage, de même que l’avidité féroce de la gérante de l’okiya, obsédée par l’argent et le profit. Et oui c’est loin d’être un monde tout rose, il y a des passages crus et terribles qui mettent légèrement mal à l’aise, comme par exemple la virginité de Sayuri vendue aux enchères.



L’auteur m’a bluffé car c’est un roman très bien écrit et très bien renseigné. L’écriture sous forme de mémoires à travers les yeux de la geisha Sayuri renforce la crédibilité du récit et le rendu est très réaliste et passionnant. On est forcément touché par cette fille/femme qui raconte sa vie de geisha de façon très sincère en n’épargnant pas le lecteur de détails sordides mais apporte aussi son témoignage sur un mode de vie très peu connu des occidentaux. En effet dans l’esprit occidental les geishas sont généralement perçues comme des prostitués de luxes ou comme les maitresses des riches hommes d’affaires. Et grâce à ce roman on se rend compte que ce n’est pas exactement cela et que ce serait réducteur de rester sur cette idée.

Devenir geisha requiert une formation très longue et très dure. Une geisha doit apprendre le service et l’hospitalité, elle est formée à la cérémonie du thé, et surtout aux arts. Car oui une geisha est une artiste initiée à la danse et la musique, elle joue du shamisen et chante. Son rôle est de divertir les hommes riches et influents. Son but est de trouver un « danna » un homme qui entretiendra financièrement sa geisha et qui par extension fera pérenniser son okiya.



J’ai adoré découvrir tout cela. C’est un milieu dans lequel il y a énormément de codes et de rituels. L’habillement de la geisha avec ses kimonos en soie, son maquillage, sa coiffure, l’auteur nous donne à voir de belles images qui contribuent à renforcer le côté mystérieux et « marginal » des geishas.



Mais si une femme devient geisha, c’est qu’elle n’a pas le choix. Une geisha n’est pas libre. Elle n’a pas le droit d’aimer. Elle doit consacrer sa vie à son métier, elle est prisonnière de son okiya. C’est en racontant tous les côtés sombres de la vie de Sayuri que l’auteur nous bouleverse et nous émeut tout en mettant en lumière l’univers fascinant des geishas. Arthur Golden nous transporte dans les mémoires et les secrets d’une geisha.

En bref c’est un roman magnifique qui mêle beaucoup de thèmes. Il parle avant tout de geishas, mais aussi d’amour, du destin, de la force de caractère, de la douleur et de la résignation. C’est un coup de cœur !


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Geisha

Il m'a semblé entendre les cliquetis de pas sur le pavé. J'ai cru apercevoir la silhouette glissante d'une femme au port altier, son costume, si typique, reconnaissable parmi tous. Et puis les rires au travers les fenêtres opaques d'un salon de thé. le saké que l'on verse, les regards chargés de sous entendus et ces gestes qui se veulent des caresses. J'ai pénétré cet espace feutré aux coutumes raffinées, j'ai traversé le voile de ce monde de mystère pour découvrir toute la subtilité de l'univers des Geishas.

i l'histoire de Sayuri est une fiction issue de l'imaginaire d'Artur Golden il nous permet cependant de côtoyer un monde qui a réellement existé, avec ses personnages historiques, ses traditions, ses rituels. Il nous plonge dans un univers fascinant au travers une histoire touchante. Nous y découvrons l'esprit le plus pur de la tradition japonaise, à l'apogée des Geishas, avant la guerre et l'arrivée des américains. Avant que tout ce monde ne s'effondre au profit d'une autre culture. Alors nous suivons les pas de Sayuri dans les ruelles de Gion.

Ma chronique complète :


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Geisha

J'ai lu ce livre après avoir vu le film Mémoires d'une Geisha, et j'ai aimé l'un et l'autre. Leur poésie, leur aspect réaliste et néanmoins dramatique m'ont plu.

Les coutumes du Japon décrites sont passionnantes et il est aussi intéressant d'assister à l'évolution avec la Seconde Guerre Mondiale.



J'ai beaucoup aimé l'univers des geishas et l'histoire de l'héroïne, ce qui m'a fait lire la vraie histoire de Mineko Iwasaki (que je ne peux que conseiller à tous ceux qui ont aimé ce roman).
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Geisha

Un très joli récit, qui m'a fait découvrir le mode de vie de ces femmes appelées "geisha"...

Un peu dubitative quant au changement de rythme qui survient au 2/3 du roman : première partie assez lente puis dernier tiers sur un rythme plus rapide. J'aurais aimé en avoir un peu moins au début, et un peu plus sur la fin.

Cela n'enlève rien à la beauté de ce roman, que je ne peux que vous conseiller de découvrir...
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Geisha

Ce voyage m'a assez plu dans la globalité. Si tous les évènements s’enchainent avec une certaine facilité et que notre héroïne voit tout ce qu'elle souhaite se réaliser, rien ne lui tombe tout cru dans le bec. Elle doit faire quelques efforts, doit se rallier à l'avis de sa grande-sœur, etc. Certes, on voit vraiment qu'elle ne peut rater, on réalise que chaque action DOIT arriver à ses fins mais ce n'est pas trop désagréable car chaque chose à une explication correcte.



Les personnages font très vrais tant dans leur caractère que dans leur physique ou, pour une fois, on ne trouve pas que des personnages beaux. Même dans les Geishas ne sont pas, comme par miracle, sublime.



L'histoire semble très bien renseignée et on a l'occasion de découvrir de nombreuses choses. Malheureusement, les explications sont longues et surviennent un peu trop souvent, même à des moments inopportuns, ce qui nous casse notre lecture. Je reproche aussi le fait que l'auteur passe son temps à mettre entre guillemet les termes japonais et ça fait bien vite beaucoup de guillemet et fait une mise en page très désagréable...



Petit aparté sur l'héroïne... au fil de l'histoire, elle devient de plus en plus insupportable et prétentieuse, je trouve. À la fin, elle m'énervait et me semblait plus qu'incohérente. J'ai été tout à fait ravir de finir l'histoire pour ne plus avoir à la supporter...
Lien : http://angelscythe2.eklablog..
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Geisha

Geisha raconte l'histoire de Chiyo-chan, cette fille aux yeux couleurs de l'eau, très belle, qui deviendra Sayuri, une des Geisha les plus courtisées et reconnues de ce Japon du début du XXe siècle.

Être une Geisha est plus qu'être une simple courtisane. Il faut exceller dans l'art vestimentaire, de la parure, du thé, de la danse, du chant, de la musique et surtout, savoir faire rêver les hommes d'amour.

Cette histoire incroyable de cette jeune fille, son manque de repères pour vivre à Kyoto, les difficultés liées aux contextes historiques (la guerre) au Japon, nous plonge dans un univers qui nous est peu connue et qui devient fascinant.
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Geisha

C’est en lisant certaines critiques que j’ai voulu lire ce livre et je n’ai pas du tout été déçue. Car, j’ai lu une jolie histoire de petite fille qui a été forcée de devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Malgré les obstacles qu’elle aura à parcourir durant son enfance et son adolescence, Sayuri deviendra la plus grande geisha. Ce n’est pas seulement c’est jolie histoire qui m’a fait aimé cette lecture, mais aussi le fait d’apprendre la vie d’une geisha. Je ne savais absolument rien de ces femmes au maquillage forcé, à la coiffure parfaite… Je le conseille à tout le monde, car c’est un super moment de lecture.
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