Citations de Asumiko Nakamura (26)
Maintenant je sais.
Il n'y a pas pire que de tromper des gens en utilisant l'amour.
Je ne connaissais rien à l'amour. C'est pour ça que je ne comprenais pas.
J'ai tout sifflé le rhum coca
Et tout mangé le chocolat.
Euh ? C'est une chanson, ça, non ?
C'est n'importe quoi. Vous êtes bourré ?
Et alors ? Y'a pas de mal !
Je suis majeur et vacciné.
- Je peux vous prendre dans mes bras comme ça ?
Il parle sérieusement... Je réfléchis trop... C'est juste un peu... de partage de chaleur humaine...
- Si tu veux...
Les gens sérieux ont tendance à se tourmenter à l’excès.
Les chefs-d’œuvre hier deviennent les mauvais romans d’aujourd’hui,
Je pensais que le monde n'était constitué que d'un "ici" et d'un "là-bas".
Et j'ai toujours cru que moi, je me tenais "ici". Mais...
S'il n'y a pas "d'ici", il n'y a pas de "là-bas" non plus. S'il n'y a pas de "là-bas", il n'y a pas "d'ici" non plus.
Quand j'ai réalisé que l'un ne pouvait exister sans l'autre...
J'ai perdu les frontières de ce monde.
À l'instant où je suis saisi d'un doute, je suis assailli par la peur que ma plume s'interrompe...
-C'est pas une question de savoir qui a tort.
-C'est une question de savoir à quoi tu es prêt pour que vous puissiez rester ensemble pour toujours.
-Tu le sais pourtant, non ?
- Ca te convient d'être avec moi ? Traîner avec moi qui suis morose, intello, lunetteux... et... un garçon...
- Sajô, je vais me mettre en colère. [...] Crétin ! C'est toi, Sajô, qui compte le plus pour moi.
Le parfum interdit
Son odeur tentatrice
La peau qui l’absorbe
Le secret qu’elle cache
La, sous la surface
Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde … Tout se transforme, à l’infini … Et en même temps tout en demeure parfaitement immuable … Chaque instant constitue un tout.
Plus un texte se vendra, plus il sera lu et ça, ça ne peut être que bénéfique pour l’œuvre, non ?
Seul autrui peut en juger. Nous autres, les auteurs, tout ce que nous faisons c’est traduire nos fantasmes en textes. Une activité primaire, en somme.
Il y a une telle surproduction de livres que si on se démarque pas on se retrouve noyé dans la masse.
La jeunesse s'enfuit sans jamais revenir.
-C'est marrant...
-Ben comment dire...
-Je sais pas pourquoi mais...
-j'aurais cru que ça me ferait plus bizzare que ça...
-Sauf qu'en vrai...
-pas du tout.
Moi, pour la première fois de ma vie, j’ai eu honte d’exister.
- C’est ce décalage qui est crucial.
- Comment ça ?
- Réfléchis un peu … pourquoi a-t-on deux globes oculaires alors qu’on a qu’un seul œil dominant ? Tu m’avais posé la question d’ailleurs. En fait … ce sont ces deux points de vue décalés qui permettent de voir les choses en relief. Tu trouves pas ça intéressant comme métaphore ?
- C’est-à-dire ?
- En gros … on aurait deux points de vue … le nôtre, et un autre … un ici et un là-bas … l’objectif et le subjectif ... c’est lorsqu’on est en possession de ces deux éléments décalés … que le monde devient réel.
Il y a moi et il y a toi. Mais … la version de toi que je vois, c’est celle que je perçois à travers mes yeux. La voix que j’entends, c’est celle qui me parvient à travers mes oreilles. Peut-on affirmer qu’il n’y a aucun biais là-dedans ? Et si je ne voyais que ce que je veux bien voir, et que je n’entendais que ce que je souhaite entendre ? Peut-on réellement considérer … que celle qui me fait face est entièrement et parfaitement toi, sans la moindre altération ?
Je recherche tout ce qui attise la passion … Ce qui a le pouvoir d’ébranler les gens et la force de capturer un cœur pour le plonger dans la frénésie. Voyez-vous … Mon propre coeur est dure et glacée, comme si on m’avait ôté la vie … C’est pour ça qu’il est attiré par tout ce qui est empli de chaleur …