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Citations de Audrey Alwett (417)


La Bretagne excellait à réussir les mois de novembre, qu’elle appelait dans sa langue « les mois sombres ». Elle y faisait de magnifiques ciels plombés, du genre qui donne envie de ne pas quitter l’âtre avant le retour du printemps. Tout l’intérêt de l’hiver en Bretagne était de pouvoir le passer au chaud, un privilège dont les enfants de Saint-Fouettard ne disposaient pas.

p.89
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Maître Lin : "-Prends bien garde à ne perdre aucune étoile, une fois qu'on a commencé, tout peut aller très vite.
Charly : -Et comment est-ce qu'on perd une étoile?
Maître Lin : -En faisant des bêtises. À l'infraction suivante, tu perds la deuxième, et si tu perds la troisième, sauf si tu peux payer une monumentale amende, tu te retrouves à Saint-Fouettard.
Charly : -Qu'est-ce que c'est, Saint-Fouettard?
Maître Lin : -Ça, mon garçon, tu n'as aucune envie de le savoir."
p.61.
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Quand j'étais plus petite, je croyais très fort à la magie. Maman en parlait comme d'une chose tout à fait normale. Magda et Louette rigolaient : c'était le métier de maman d'inventer des histoires.
En grandissant, je suis devenue comme tout le monde. Mais quand on a une grenouille qui parle dans sa tête, on est bien obligé de se poser des questions, quand même.

[p34]
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Les chats ont un talent pour vous faire vous sentir chez vous.
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Fermer les yeux devant le danger, c'est se donner en proie et renoncer à son libre arbitre.
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Son génie était reconnu par-delà toute la terre d'airain, en ce qu'elle était capable de compliquer les lois les plus simples jusqu'à les rendre absurdes. Dans l'objectif de verrouiller les pulsions violentes de ses concitoyens, elle avait totalement figé la cité dans une sclérose administrative. Malheureusement les choses ne s'étaient ensuite pas tout à fait déroulées comme prévu.
A force de devoir remplir des fiches tordues pour la moindre activité quotidienne, la population était entrée dans une phase de névrose collective. Une révolte avait vu le jour.
Quant à Administrator, elle avait été suppliciée par là où elle avait péché. C'est-à-dire qu'on l'avait forcée à ingérer ses "putains de formulaires pastel" jusqu à étouffement.
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- Alors comme ça, mademoiselle, vous avez toujours vécu dans une ... cave ?
- Oui, et je savais qu'un jour mon Prince viendrait.
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Il se leva pour aller ouvrir la fenêtre, c'était le nouveau journal. Il était complètement déchiqueté et, de ce fait, illisible.
-Ben, mon vieux! s'exclama Charly. Qu'est-ce qui t'est arrivé?
-Il a dû se battre avec un rapace. Ça arrive. Et les journaux sont nuls en baston.
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Il lui semblait que de très vieux souvenirs chassés depuis longtemps revenaient frapper à la porte de sa mémoire. Ils étaient faibles et flous comme des fantômes, mais ils revenaient. Le grimoire caressa son visage en faisant défiler ses vieilles pages parcheminées. Et Charly en eut les larmes aux yeux..
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D'habitude, il me jette toujours sa charentaise à la figure le matin, pour me dire bonjour. Des fois, y a même encore son pied dedans pour me prévenir qu'il s'est levé du mauvais. C'est une de ses petites manies attachantes.
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— Puisque je vous dis que je ne fais pas dans le viol ! dit Dame Carasse. Et deux fumerolles agacées jaillirent de ses narines.
Le soldat fut désarçonné.
— Le viol ? Mais non, ce n'est pas ça du tout... Je veux juste un philtre d'amour ! Pour qu'elle m'aime, vous voyez ?
— Essayez la séduction, c'est largement aussi efficace.
— Je n'ai aucune chance ! Elle a quinze ans, elle est sublime ! Ses yeux sont bleus comme des myrtilles, sa bouche est une cerise au cœur de l'été, sa peau est d'une douceur de pêche...
— Si vous voulez juste vous taper une salade de fruits, ça peut s'arranger.
— Non, ce que je veux dire c'est que je n'ai aucune chance avec elle ! Vous m'avez bien regardé ?
— C'est vrai que vous avez l'air d'un vieux goret malade.
— N'est-ce pas ! Alors vous me le faites, ce philtre ?
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- J'ai réussi mes deux premiers mariages, je réussirai le troisième !
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Un secret est mieux gardé si une seule personne le connait.
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-Brash! Je peux vous parler?
-... Est-ce que je peux vous en empêcher?
-Vous êtes impossible quand vous êtes ivre!
-Moi, au moins, c'est seulement quand je suis ivre. Vous c'est tout le temps!
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Alice avait une mère, qui se prénommait Alice également et possédait un lapin blanc. Cette Alice était elle-même la descendante d'une Alice qui avait pour mère et grand-mère deux autres Alice qui avaient chacune, elles aussi, élevé un lapin blanc. Au fil des années, la tradition s'était bien installée. Chaque lapin avait élevé une famille de son côté, et aujourd'hui, Alice la douzième du nom possédait 99 lapins blancs
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Son univers joliment enrubanné de fantaisie, Sumire s'aventura donc dans le labyrinthe administratif pour y quémander du soutien.

C'était un labyrinthe poisseux de mollesse et de frustration ennuyeux comme une vie gâchée. La petite princesse y fut bien vite perdue. Il y avait bien des flèches qui désignaient les impasses : "partez", "ouvert de 15h30 à 15h40 uniquement", "inutile d'insister". Mais aucune pancarte n'indiquait "rêve", "joie de vivre" ou "imagination"
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- On est venus pour vous prévenir de l'invasion de patates-patates ! s'exclama June.
- La quoi ?
- Ça ! dit June.
Et elle déplia un couteau dont elle donna un grand coup dans le sac de jute.
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- C'EST DE LA CENSURE ! C'EST DE LA CENSURE !
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Elles forment la constellation des pléiades , je la reconnais nourris moi

laboss_@
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Les pris n'étaient pas clairs. Les étiquettes allaient de "cher" et "très cher", jusqu'à carrément "exorbitant". Charly en attrapa un "particulièrement hors de prix".
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