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Critiques de Aurélien Bellanger (231)
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La théorie de l'information

J’avais beaucoup entendu parler de ce livre pour la rentrée littéraire (il était partout, on en parlait beaucoup…), alors quand je l’ai aperçu parmi les nouveautés de la bibliothèque, j’en ai profité pour le prendre et l’emmener dans mes bagages pour les vacances, afin de me faire une idée personnelle du roman…





Et puis…mouais…je dois avouer que je ne comprends vraiment pas l’engouement autour de ce livre. Comme je ne m’attendais pas à grand-chose, je n’ai pas été déçue, mais sur la fin, j’en avais assez et j’ai été contente de le finir.







Ce n’est pas vraiment un roman, ce n’est pas un essai, on dirait parfois un documentaire… c’est donc un joyeux mélange de ses trois genres !





Les critiques ont parlé de ce livre comme une épopée économique française. C’est donc toute l’histoire de l’informatique découpé en trois grandes périodes :





Le minitel

Internet

Web 2.0





Pour ce qui est du style, j’ai noté deux choses : la quasi-inexistante des dialogues et une façon d’écrire très neutre. Cela m’a un peu déconcerté au début, puis je me suis habituée.





Pascal, le personnage principal n’a pas réussi à m’intéresser Difficile de l’aimer franchement ! C’est un homme froid, qui montre assez peu d’émotions (sauf pour Emilie, mais je n’ai pas réussi à entrer dans leur « histoire d’amour » que je n’ai pas trouvé passionnante!)









Le grand bémol de ce livre : Je dois avouer que tous les chapitres sur la théorie de l’information me sont largement passés au-dessus de la tête (et pourtant, je vous jure, j’essayais de comprendre et de m’y intéresser…je ne dois pas avoir l’âme assez scientifique ou informatique pour ça).

J’avais lu pourtant – dans certaines critiques – que l’auteur avait réussi à rendre ses passages lisibles et passionnants…cela n’a pas du tout marché pour moi.





Par contre, j’ai aimé tous les passages qui expliquent la venue du minitel, d’internet et du web 2.0 avec toutes les anecdotes, les difficultés, l’évolution du marché informatique, les premiers réseaux, blogs…c’était plutôt très intéressant et j’ai appris beaucoup de choses!





J’ai donc bien aimé le début du roman…je n’ai pas du tout aimé la fin.



[Attention je dévoile la fin]





Alors franchement…qu’est ce que c’est que cette fin ? J’ai fermé le livre déconcertée et un peu ennuyée…tout ça pour ça? Est-ce que je suis la seule à penser que le coup des abeilles génétiquement modifiées, du monde aux mains de l’informaticien fou, c’est aller un peu trop loin?







——————————————



Après cette courte critique, je peux résumer mon avis ainsi : je ne peux pas vraiment dire que cela a été une lecture agréable…mais ce ne fut pas une déception. Je ne regrette pas de l’avoir lu, mais j’aurais pu m’en passer sans problème.
Lien : http://writeifyouplease.word..
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La théorie de l'information

Ce livre a bénéficié d'un lancement médiatique important, on ne pouvait pas le rater à cette rentrée. Il était présenté tout à la fois comme l'oeuvre d'un enfant de Houellebecq et LE roman du monde contemporain saturé d'information.

Alors que dire ? Roman, certes, mais alors nouvelle forme du roman, où la théorie scientifique - de l'information en l’occurrence -d'abord,plus l'analyse sociologique et historique ensuite, fixe le cap et les étapes de la progression de l'histoire. Les personnages sont dotés d'une existence souterraine comme éclairée par la théorie. Dans ces conditions les personnages sont un peu désincarnés et vivent comme vivent les notices biographiques neutres de Wikipedia.

Néanmoins Aurélien Bellanger a un véritable talent de vulgarisateur tant dans le domaine scientifique que dans les domaine de la sociologie et de l'histoire contemporaine? Il offre une synthèse des 40 dernières années avec une information très riche et détaillée qui permet de ne pas perdre son temps en lisant ce pavé de 480 pages.

Le style neutre fait évidemment penser à Houellebecq, mais il n'y a pas chez Bellanger ce - gros - grain de folie qui travaille la prose cérébrale de Houellebecq.

Cet Aurélien est quand même à suivre car il ne manque pas de potentiel me semble-t-il.
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La théorie de l'information

Dès la fin juillet, un roman était sur toutes les lèvres, un roman qui devait bouleverser le petit monde littéraire parisien : « La théorie de l’information ». Gallimard étant un éditeur sachant créer le désir chez les critiques littéraires et séduire encore et encore les inconstants jurés du Goncourt (« Les Bienveillantes » ou « l’Art français de la Guerre » sont des exemples récents de séduction aboutie), j’ai encore une fois fait confiance à la légendaire couverture et au marketing intense.



Sur environ 500 pages qui se lisent sans risque de méningite, « La théorie de l’information » narre le destin de Pascal Ertanger, petit génie et grand visionnaire qui, d’ abord créateur de sites roses pour le minitel (si vous avez autour de la trentaine et au-dessus, 3615 Ulla devrait vous dire quelque chose… Non ? Mensonge !), va se lancer dans l’aventure Internet et révolutionner les moyens d’y accéder. Nombreux sont ceux qui y reconnaîtront Xavier Niel, fondateur de Free – personnellement, j’ai beau avoir choisi ce fournisseur d’accès à Internet, je ne connaissais pas ce bonhomme ; d’ailleurs, incidemment, le culte qui est rendu à un créateur de smartphone récemment disparu me dépasse un peu même si j’utilise ses appareils – et le roman a largement été présenté sous cet angle.



Toutefois, Aurélien Bellanger n’a pas souhaité faire de « La théorie de l’information » la simple évocation d’une success story à la française. Son texte à l’allure houellebecqienne – style neutre, presque clinique, recours aux théories scientifiques, vision sociétale – ne manque pas de dérouter.

Tout d’abord, les dialogues sont presque totalement absents du roman : ça vit, mais ça parle très peu. Or, en ne montrant que des êtres qui agissent, en occultant l’expression directe de leurs émotions, Aurélien Bellanger fait de ses personnages, non plus des êtres qui se pensent en tant qu’êtres et qui ont donc connaissance de leur existence propre, mais les illustrations d’une théorie.

Il n’est plus question de s’interroger sur leur psychologie mais de les observer.



Le texte est donc un vaste laboratoire, la littérature comme expérience scientifique, qui semble tenir beaucoup par les intermèdes théoriques dont il abonde, intermèdes dont les intitulés successifs interpelleront les fans de science-fiction.

En effet, steampunk pour la science du XIXè siècle, cyberpunk pour celle du XXè, et biopunk pour celle du XXIè, ne peuvent qu’exciter les amateurs de littérature de genre ; ils y retrouveront de plus des références à la fantasy pour achever de les satisfaire.



Ces passages scientifiques, vingt-et-un, de une à deux pages, n’ont pas vocation prétentieuse ou décorative : ils portent littéralement le roman, et Aurélien Bellanger excelle à les rendre à peu près abordables et passionnants.

On sent rapidement que l’auteur sait avancer une théorie, la démontrer, la raconter aussi, ce qui constitue un véritable tour de force tant la langue scientifique et la langue littéraire ont fait chemins séparés de longue date.



D’ailleurs, le passage sur l’article de Xavier Mycenne, ami d’enfance du héros Pascal Ertanger, article qu’il nomme comme le roman « la théorie de l’information », m’a personnellement bluffé et je cherche presque vainement une œuvre romanesque qui ait autant d’intelligence que ces quelques pages : peut-être « La théorie du chaos » de Gleick chez Champs-Flammarion, un ouvrage de vulgarisation scientifique, si brillant qu’il en devient romanesque (lisez ce chef-d’œuvre, c’est un conseil).



Léger bémol cependant, le style est assez inégal dans la trame romanesque, chose frustrante qui provoque une sinusoïde dans le plaisir de lecture.

J’aurais aimé que l’ensemble se porte à la hauteur des passages scientifiques, très techniques, ardus, mais qui sont plus soignés, plus fulgurants que la description de l’ascension de Pascal Ertanger.

On en vient à espérer le retour des parties théoriques et leur multiplication, ce qui peut être gênant puisque se voulant roman, « La théorie de l’information » vaut plus pour ses parties dont l’aspect littéraire semblait a priori le moins évident.



S’il n’est donc pas au niveau d’un Maurice G. Dantec, dont le « Sattelite sisters » (éditions du Ring) sorti cette rentrée pousse l’ambition tant théorique que littéraire à son paroxysme et réussit à l’atteindre, il demeure indéniable qu’Aurélien Bellanger livre avec « La théorie de l’information » un roman qui, même s’il n’aura pas le Goncourt, le place parmi les auteurs à suivre avec attention lors des prochaines rentrées littéraires.

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La théorie de l'information

Au début, je me sentais élue, j’y croyais : c’était écrit pour moi. Ça parlait de mon époque.

Ça parlait d’entreprises, de lieux, d’institutions, de projets, de programmes, d’événements, de faits divers qui avaient constitué un temps mon environnement professionnel dans les années 80 et 90 : les technologies de l’information, la netéconomie. Ça parlait de personnalités que j’avais croisées (enfin : plutôt moins que plus, et plutôt de loin que de près).

J’étais touchée, émue, et reconnaissante envers ce jeune homme né en 1980 de souffler sur la poussière télématique qui avait enseveli le minitel de mes trente ans.


Pour un peu je croyais savoir ce que j’allais lire au chapitre suivant.

Je regrettais déjà — on ne se refait pas — l’absence d’index à la fin du livre, de bibliographie, de notes à consulter en bas de page, de tableau chronologique.


Et puis au bout d’une centaine de pages, j’ai lâché prise et enfin compris que c’était un roman, un vrai, un bon. Plaisant, intrigant, et dérangeant à la fois. Qui décolle. Je me suis laissée embarquer loin dans le temps, l’espace, voire plus.



Le héros de La Théorie est un pirate, mais un pirate de haut vol... un seigneur du phishing ! Pascal Ertanger a bâti sa fabuleuse réussite entrepreneuriale sur des coups d’envergure croissante avec les années et l’évolution des technologies de communication. C’est tout d’abord, alors qu’il est encore adolescent, la captation artisanale et laborieuse d’usagers du 3614 (service minitel gratuit) pour les attirer vers les messageries dites roses, services payants du kiosque 3615. Puis, un peu plus tard, c’est le piratage automatisé de l’annuaire 3611 de France Télécom pour permettre la recherche inverse d’un abonné connaissant seulement son numéro (si je ne me trompe pas, c’est effectivement Xavier Niel, le modèle vivant de Pascal Ertanger qui en fut l’auteur véritable !). Le dernier coup, le plus fort, n’a peut-être pas encore été réalisé dans la vraie vie, mais on peut penser que les tentatives ont été nombreuses et qu’il existe déjà des réussites partielles : le phishing des profils facebook pour recréer une humanité virtuelle et servir de base à un ultime projet démiurgique - ou démoniaque, selon !



-- Alors, c'est de la science fiction ?

-- Non. Enfin, si. Un peu, quand même. Mais n'étant pas calée en SF j'ai juste repéré les références à différents courants : entropique (steampunk), cybernétique (cyberpunk), bionique (biopunk). Ils structurent La Théorie de l'information par le biais de notules courtes qui précèdent chaque chapitre de la biographie de Pascal Ertanger. D'abord informatives et très intéressantes, je les ai trouvées de plus en plus fumeuses et délirantes au fur et à mesure de la progression du roman, ce qui me fait penser que le personnage d'Ertanger en est l'auteur supposé, et que l'effet sur le lecteur est voulu et maîtrisé par Aurélien Bellanger.




-- Et le style ?

-- Clairement : pas lyrique. Très efficace, car parfaitement en ligne avec la structure et le sujet du roman : une biographie, supposément écrite ou pensée par un métaphysicien (le personnage de Xavier Mycenne, sorte de double de l'écrivain). Mycenne/Bellanger est aussi "l'auteur" d'une publication scientifique intégralement reproduite dans la troisième partie de la bio d'Ertanger (2.0). Comme par hasard, le ton et le style de l'article (La singularité française 1960-1970) est étonnamment ressemblant à celui de la bio du magnat français de l'Age de l'information, à ceci près qu'il est totalement dénué d'humour, d'ironie, et de poésie, ce dont ne manque pas le reste (la plus grande partie) de l'ouvrage.
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La théorie de l'information

Pascal Ertanger est né à la fin des années 1960, dans un pavillon de la banlieue parisienne. Marqué très jeune par l’avènement des premiers calculateurs puis ordinateurs, il s’enthousiasme à l’adolescence pour le Minitel. Génie de l’informatique de la première heure, il comprend rapidement les enjeux économiques de ce nouveau média et se construit une fortune en pianotant dans sa cave sur les différents forums de messagerie rose qu’il a créé. Les idées vont et viennent à toute vitesse, toujours portées par l’envie de casser le système établi, qui sera longtemps le monopole de France Telecom sur les télécommunications. Pascal grandit trop vite et croise le chemin d’Emilie, danseuse dans un peep-show. Il en tombe amoureux et tente de la faire sortir de son milieu. Puis internet vient remplacer le Minitel et Pascal se lance dans une nouvelle ruée vers l’or en inventant successivement les cd-roms de connexion, la box et les offres triple-play… Et après internet, qu’y a-t-il ?



L’histoire de Pascal Ertanger, volontairement calquée sur celle de Xavier Niel, fondateur de Free, n’est qu’un prétexte pour Aurélien Bellanger. Ce personnage est plus froid qu’un glaçon, n’inspire aucune sympathie et même sa relation avec Emilie sonne faux, ou plutôt garde la trace indélébile d’un béguin d’adolescent. Dans certains chapitres, il apparaît à peine. Une fois la déception de cette vacuité acceptée par le lecteur, que reste-t-il ? L’histoire des réseaux, des luttes entre France Telecom et les entrepreneurs, le récit de coups commerciaux et de déploiement d’infrastructures de plus en plus complexes, entrecoupés de longues explications ardues sur les règles de la thermodynamique d’abord, puis sur la théorie de l’information de Shannon. Passages que j’ai fini par passer tant je me sentais dépassée par des explications scientifiques parfois embrouillées (imitant selon l’auteur les notices Wikipedia). Tout ce qui se conçoit bien ne s’énonce-t-il pas clairement ? Je ne nierai pas qu’il ressort au final de ces longues digressions mathématiques, de ces vastes data center où clignotent les diodes des serveurs, une certaine poésie, comme si ces enchaînements de mots donnaient naissance à une autre langue, la langue des machines et des réseaux. Mais très vite, l’aridité du style vous ramène à la terre ferme et à l’ennui. Les cent dernières pages, dans lesquelles l’auteur nous conduit doucement vers la vision quasi mystique d’un monde désincarné, n’ont pas rattrapé ce sentiment profond de déception. Parce que j’attends autre chose d’un roman.
Lien : http://passionlectures.wordp..
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La théorie de l'information

Un livre pour geek. Le titre est assez évocateur du contenu puisque sous couvert du parcours de Francois Ertanger ( Xavier Niel dans la réalité), on nous conte les développements du minitel, d'internet et du futur des ces technologies qui révolutionnent notre monde.



C'est un livre ancré dans notre temps qui s'essaie à décrypter cette évolution technique et sociale.



L'écriture est agréable, avec un style à la Houellebecq. Malheureusement, l’élève ne dépasse pas le maître. Ça manque de souffre et le roman reste assez conventionnel.
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La théorie de l'information

Sous des allures de roman, cet ouvrage est avant tout un Objet Littéraire Non Identifié… Voici ce qui vaut sans doute à l'auteur tant d'articles dithyrambiques dans la presse !

A travers cet essai romancé (je ne vois pas comment le qualifier autrement), c'est toute l'histoire de la révolution informatique qui nous ait contée à travers trois grandes époques : l'invention du minitel, le développement d'internet, l'émergence du Web 2.0 (Web participatif).



La première période est passionnante : Chapitres techniques et chapitres romancés alternent pour notre bonheur. Malgré des aspects parfois un peu trop scientifiques qui pourront rebuter quelques lecteurs, on se laisse prendre au jeu de l'histoire du héros, jeune geek avant l'heure, qui va devenir un acteur important dans le développement du minitel. Un personnage qui a de l'épaisseur et auquel on s'attache…

Cependant, on déchante rapidement dans la seconde partie : l'histoire s'englue dans des considérations financières qui relatent sans nulle doute la vérité historique de l'émergence d'internet mais se révèlent bien peu palpitantes… Par ailleurs, le héros perd singulièrement en personnalité et… J'avoue en être arrivée à me moquer totalement de ce qui pouvait lui arriver dans la suite de l'ouvrage ! Un comble pour un roman !

Le troisième partie est d'avantage une réflexion sur le Web 2.0, l'aventure Facebook, etc. Du concret, de l'actuel et… une digression vers la Science Fiction qui aurait pu être intéressante. Mais… Elle se résume à quelques pages seulement. Et le héros devient tellement antipathique qu'on peine à finir la lecture de ces quelques 500 pages...



A mélanger tous les genres, on obtient au final un espèce de gloubi-boulga bien froid… Un livre à lire pour l'aspect scientifique, technique et historique d'une technologie qui a bouleversé notre époque. Pour ce qui est du roman… Un ouvrage à oublier sur le champ !
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La théorie de l'information

[…]La fresque médiatico-métaphysique est virtuose chez un auteur neuf, mais trop intel­ligem­ment pensée et ficelée, trop destinée à faire bruisser les rumeurs...
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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La théorie de l'information

Un « roman-monde » ? Mieux, un « roman univers » cérébral et haletant.
Lien : http://www.lesechos.fr/journ..
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La théorie de l'information

Bellanger y démontre avec intelligence, et force théorie, qu’on peut faire l’impasse sur le style et produire ce qui s’avère sans doute le roman le plus innovant, diraient les entrepreneurs, d’une très riche rentrée littéraire.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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La théorie de l'information

Aurélien Bellanger a 32 ans, l'histoire qu'il nous raconte est celle de ces trois décennies, telles que nous les avons vécues, sans nous en rendre compte, passant de la préhistoire du Minitel rose à l'avènement de l'Internet et au triomphe de notre civilisation 2.0.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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