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Citations de Bernard Werber (3255)


- Je croyais qu'à l'origine, l'anarchie voulait libérer l'homme !
- Pour le libérer il faut commencer par le contraindre. La « dictature du peuple », tu connais ?
Quel joli paradoxe.
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- J'ai vraiment des problèmes.
- Vous avez encore blasphémé ?
- J'ai seulement parlé de « liberté de penser autrement » dans un monde où tout le monde pense pareil.
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« Les vaches ne boivent pas de lait. »
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Je me fige. Tout me revient d'un coup.
J'ai été mortel.
J'ai été ange.
Je suis devenu élève dieu.
J'ai joué.
J'ai perdu.
J'ai tué.
J'ai été condamné.
Et maintenant...
JE SUIS À NOUVEAU MORTEL !
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Je rêve que je suis mort.
Finalement la vie est une ligne en pointillé.
Les rêves sont ces pointillés.
La mort est le point final.
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- Je suis fatigué d'être gentil.
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Tout le monde savait mais faisait semblant de ne pas savoir.
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- Ce ne sont pas des mondes, ce sont des abattoirs, avait-il déclaré.
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- Elle ne parle que d'amour et se gargarise de ce mot car c'est celui qui lui est le plus étranger. On ne parle bien que de ce qu'on ne connaît pas, affirmait Hermaphrodite.
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Si vous voulez seulement faire plaisir à la majorité, vous êtes remplaçable par un programme informatique.
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- Vous êtes un solitaire, n'est-ce pas ? Les balades nocturnes, c'est votre truc.
- Qui n'est pas solitaire ? Nous juxtaposons parfois nos solitudes, c'est tout. C'est cela un couple. Deux solitudes qui se côtoient. Nous pouvons avoir des parents, des enfants, des femmes, des maîtresses, mais nous sommes toujours seuls.
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- Au commencement, il n'y avait rien. Puis il y a eu une pensée.
[...]
- Cette pensée s'est transformée en désir. Ce désir s'est transformé en idée. Cette idée s'est transformée en parole. Cette parole en acte. Cet acte en matière.
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J'ai l'impression que son regard fouille dans mon esprit. Il faut ne penser à rien.
Comment ne penser à rien ? Être dans le présent total. Chaque mot sorti de son immense bouche doit être la seule information à circuler dans mon esprit. Je suis un vase vide et je me remplis de ses paroles.
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L'immortalité c'est long, surtout vers la fin.
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Chassez l'irrationnel, il revient au galop et dès qu'il se passe quelque chose de trop extraordinaire, l'irrationnel s'en empare.
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Les Doigts se sont d'abord battus pour manger.
Puis, quand ils ont tous eu assez à manger, ils se sont battus pour le liberté.
Quand ils ont eu la liberté, ils se sont battus pour se reposer le plus longtemps possible sans travailler.
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À elle seule, la phrase « cette phrase est fausse » constitue la paradoxe d'Épiménide. Quelle phrase est fausse ? Cette phrase. Si je dis qu'elle est fausse, je dis la vérité. Donc, elle n'est pas fausse. Donc, elle est vraie. La phrase renvoie à son propre reflet inversé. Et c'est sans fin.
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L'homme et la fourmi se retrouvent confrontés au même problème : ayant cessé de s'adapter à l'environnement, il ne leur reste plus qu'à forcer l'environnement à s'adapter à eux.
Ils doivent imaginer le monde le plus confortable pour eux. Il ne s'agit plus dès lors d'un problème de biologie mais d'un problème de culture.
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Ils restent à regarder la profondeur étoilée, avec la sensation vertigineuse de mettre en perspective sans fin leur espèce dans le temps et l’espace, de n’être que les infimes acteurs d’une période elle-même infime et dérisoire dans le vaste écoulement des siècles.
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13. ENCYCLOPEDIE : APOCALYPSE
Du grec apo et calypsis , le mot " apocalypse " signifie littéralement : " enlèvement du voile ".
Plus tard traduit par " révélation " ou " mise à nu de la vérité ", ce terme est devenu synonyme de " fin du monde " car on considère que l'homme n'étant pas capable de voir la vérité (cachée derrière le voile de ses propres illusions et de ses mensonges), sa révélation lui sera fatale.
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